LE BACCALAUREAT GENERAL
300000. 1962 1964 1966 1968 1970 1972 1974 1976 1978 1980 1982 1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002. Bac général garçons. Bac général filles.
BAC 259/1980 Nº 329
11 juin 2022 BAC 259/1980. Nº 329. 1971. Page 2. Disclaimer. In accordance with Council Regulation (EEC Euratom) No 354/83 of 1 February 1983 concerning ...
Liste de dossiers
1 oct. 2018 BAC 259/1980 181. 1970 - 1970. Période : URI : https://data.europa.eu/doi/10.3003/QkFDLTAyNTktMTk4MC0wMTgxLQ. Titre : Référence :.
Exercice (souvenirs du baccalauréat de 1980)
Remarque : on peut répondre en trois lignes sans aucun calcul. Q2 Question posée au baccalauréat
Liste de dossiers
1 oct. 2018 BAC 259/1980 1067. 1978 - 1979. Période : URI : https://data.europa.eu/doi/10.3003/QkFDLTAyNTktMTk4MC0xMDY3LQ. Titre : Référence :.
1980/1981 (Arrêté du 9 janvier 1980) « Dans chaque académie la
26 sept. 1980 Dans chaque académie la date de début des vacances d'été de l'année scolaire 1979/1980 ainsi que le calendrier de l'année scolaire 1980/ ...
Filles et garçons dans le système éducatif depuis vingt ans
d'une génération de filles possèdent le baccalauréat contre 56 % pour les garçons. étaient des femmes en 1980 ils ... diplôme supérieur à bac+2 est in-.
Formation initiale orientations et diplômes de 1985 à 2002
Simultanément à la fin des années 1980
Untitled
Fernand PUJOL. Président du B.A.C. Décembre 1980. ET AUJOURD'HUI VOICI NOTRE RESULTAT LE B.A.C. 1981.
JOURNAL OFFICIE.
4 août 1980 (enseignement supérieur et post baccalauréat : Hérault). 34192 . — 4 aoùt 1980. — Mme Marie Jeep attire l 'attention de.
Lundi 4 Août 1980 *
,JOURNAL OFFICIE.DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
DÉBATS PARLEMENTAIRES
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
6' Législature
QUESTIONS ECRITES
REMISES A LA PRESIDENCE DE L'ASSEMBLEE NATIONALE
ETREPONSES DES MINISTRES
srSOMMAIRE
1.Questions écrites (p. 3233).
2.Réponses des ministres aux questions écrites (p. 3269).
Affaires étrangères (p. 3269).
Agriculture (p. 3270).
Anciens combattants(p. 3273).
Budget (p. 3274).
Commerce et artisanat (p. 3276).
Commerce extérieur (p. 3277).
Culture et communication (p. 3277).
Défense (p. 3280).
Départements et territoiresd'outre-mer (p. 3281).Economie (p. 3281).
Education (p. 3281).
Environnement et cadre de vie (p. 3295).
Famille et condition féminine (p. 3295).
Fonction publique (p. 3295).
Industrie (p. 3297).
Intérieur (p. 3305).
Jeunesse, sports et loisirs (p. 3307).
Justice (p. 33,10).
Postes et télécommunications et télédiffusion (p. 3313).Santé et sécurité sociale (p. 3316).
Transports (p. 3322).
Travail et participation (p. 3327).
Universités (p. 3333).
Questions écrites pour lesquelles les ministres demandent un délai supplémentaire pour rassembler les éléments de leur réponse (p. 3334).4. Liste de rappel des questions écrites auxquellesii n'apasété
répondu dans les délais réglementaires (p. 3334).5.Rectificatifs (p. 3335).
QUESTIONS ECRITES
Etrangers (politique à l'égard des étrangers).34170. - 4 août 1980. - M.Jean Aurouxappelle l'attention de
M.le ministre du travail et de la participationsur les conséquences de la diminution de 25 p. 100 des crédits du fonds d'action sociale pour les travailleurs migrants. Cette mesure va entraîner de graves conséquences quant à la situation d'analphabétisme qu'elle va renforcer et quant à l'activité socle-éducatrice, elle va cré er de lourdes difficultés financières aux associations qui travaillent d ans ce secteur. Est-ce là une mesure d'accompagnement de la pclitique de. suspension de l'immigration. li lui demande quelles mesures il prévoit pour arrêter cette-tendance à l'analphabétisation et pour permettre la poursuitedesactionssocio-éducatives en faveur des immigrés.Machines-outils (emploi et activité).
34171. - 4 août 1980. - M.Jean Auroux appellel'attentionde
M. le ministre de l'Industrie sur la situation française de l'industri e de fabrication de matériel textile. En effet, il semble qu'au niveau de la recherche des efforts soient faits dans le sens de l'innovation technologiquemais, si les idées ne manquent pas, elles ne peuvent souvent être mises en oeuvre du fait de la quasi-inexistence en ce domaine de l'industrie mécanique, de la machine-outil et plus spécialement de l'industrie de construction de machine textile. Il lui demande donc quelles mesures il compte prendre pour permettre à notre pays d'être présent dans le secteur de la mac hine textile et, en particulier, pour aider les entre,.rises travaillant sur ce réseau et principalement les A. R. C. T. 663234
ASSEMBLEE NATIONALE - QUESTIONS ET REPONSES
4Août 1980
Assurance maladie maternité (cotisations).
34172. - 4 août 1980. - M. MichelDelpratattire l'attention de
M. le ministre du commerce et de l'artisanat sur la profonde décep- tion resentie au niveau des commerçants et artisans, concernant l'application de la loi du 27 juillet. 1973. En effet, les articles 9 et 20 prévoient l'harmonisation des régimes de retraite, et l'alignement progressif des cotisations sur celles du régime général et ce, avant le 31 décembre 1977. Or, les artisans retraités continuent de payer des cotisations au régime d'assurance maladie des travailleurs non salariés des professions non agricoles au taux de 11,65 p. 100. Ils se considèrent, à juste titre, défavorisés depuis le vot e de la loi du 28 décembre 1979 qui a institué une nouvelle cotisation sup plémentaire de 1 p. 100 sur la retraite du régime général et, par le biais d'autres dispositions, sur les avantages vieillesse servis par des régimes différents, ce qui est le cas des = polypensionnés et apolyaetifse.Le vote récent de la loi en faveur de la promotion de la famille accentue encore les injustices ressenties par cette caté gorie professionnelle puisque, seuls, les salariés du régime gé néral pourront bénéficier de la prime au troisième enfants. Il lui demande si, t'•rns le prochain budget, il compte prendre des mesures allant dans le sens de l'article 9 de la loi d'orientation du 27 juillet 1973, dans le respect de la parole donnée et de l'esprit de la loi. Les commerçants et artisans qui versent des cotisations plus impor- tantes, sans aucune amélioration des prestations, attendent main- tenant des actes du Gouvernement. Instrumentsdeprécision et d'optique(entreprises).34173. - 4 août 1930. - M.Guy Bêcheappelle l'attention de
M. le ministre de l'industrie sur les conséquences du rachat de l'A. O. I. P. par C. I. T.Alcatel (groupe C. G. E.). Selon certaines infor- mations, cette opération aurait pour conséquence la mise en oeuvre d'un plan de licenciement d'une partie du personnel par le biais notamment desaprimes de départ volontaire *. Ces licencie- ments pourraient laisser présager à terme une disparition totale de l'A. 0. I. P. Une telle situation, si elle était exacte, serait inac- ceptable: après avoir refusé à cette coopérative les aides néces- saires au maintien de son activité, les pouvoirs publics seraient responsables de son rachat et de sa liquidation par un groupe privé. En conséquence, il lui demande de l'informer sur les condi- tions dans lesquelles l'A. 0.1. P. a été rachetée par C.I.T.-Alcatel et sur l'existence ou non d'un tel plan de licenciement.Publicité (réglementation).
34174. - 4 août 1980. - M. AlainChénardappelle l'attention de
M. le ministre de l'intérieur sur le retard pris dans l'application de la loi n" 79-1150 du 29 décembre 1979 relative à la publicité aux enseignes et préenseignes. L'article 44 de cette loi prévoit qu'elle entrera en vigueur à une date fixée par décret et au plus tard six mois après sa promulgation. Or, à ce jour, aucun décret n'est encore paru au Journalofficiel.Il lui demande des précisions sur la nature des difficultés qui pourraient justifier le retard pris dans l'élaboration des textes réglementaires. Il souhaite également connaître la date envisagée pour la publication de ces textes.Budget: ministère(administration centrale).
34175. - 4 août 1980. - M. AlainChenardattire l'attention de
M. le ministre dubudgetsur l'importance du délai que les services fiscaux départementaux mettent à satisfaire les demandes de rap- ports estimatifs des biens indispensables à la réalisation des pro jets édilitaires et à produire ces documents. Il lui semble que l'aggrava- tion de ces délais tient aux tâches nouvelles imparties à ces s ervices par le. mise en application de la législation nouvelle relative aux déclarations d'intention d'aliéner et mises en demeure, tâches nouvelles qui n'ont pas été compenéées par la dotation adéquate de ces services en personnel. II lui rappelle que ce retard dans la satisfaction des demandes d'estimation traditionnelles pénalise gra- vement les collectivités locales qui les formulent: retards de réalisa- tion des projets, augmentation des coûts des travaux et des emprunts. Il lui demande quelles mesures il compte prendre pour mettre à la disposition de ces services fiscaux les moyens à la hauteur de leur tache.Retraitescomplémentaires(S. N. C. F.).
34176. - 4 août 1980. - M.Roger Duroureattire l'attention de
M.le ministre des transportssur la situation des anciens agents de la S.N.C.F. qui n'ont pas quinze ers d'ancienneté dansla société. Alors que les agents de la fonction publique bénéficient au bout de quinze ans d'ancienneté du régime Ircantec; que les anciens auxiliaires de la S.N.C.F. n'ayant pas ces quinze ans d'ancienneté sont rattachés à une caisse complémentaire de salariés, rien n'est prévu pour les cadres permanents de la S N.C.F. qui ont moins de quinze ans de service. L'extension à ces agents de la retraite complémentaire selon les modalités de la loi de 1972, proposée en 1978, était prévue en fonction d'une modification du règlement de la S.N.C.F. et d'une décision du ministre de tutelle. Or, à ce jour, cette décision n'est toujours pas intervenue. En conséquence, il lui demande quelles mesures il compte prendre pour permettre l'extension prochaine du régime de retraite complémentaire aux anciens agents de la S.N.C.F. ayant moins de quinze ans d'ancien- neté. Produits agricoles etalimentaires(aliments du bétail).34177. - 4 août 1977. - M. Roland Florian rappelle à M. le minis-tre del'agricultureque la récupération des sous-prnduits d'origine
agricole est une question de plus en plus à l'ordre du jour. De nombreux rapports officiels insistent sur l'important potentiel que représentent ces sous-produits dans la réduction de certains coû ts de production ou dans une valorisation par les animaux. En parti- culier, le secteur betteravier présente une grande importance en ce qui concerne l'utilisation directe des sous-produits (pulpes( dans l'alimentation animale, tant par les quantités récupérables que p ar l'intérêt de ces sous-produits sur le plan alimentaire. Or, ces sous- produits sont de plus en plus systématiquement achetés et exporté s, principalement par des societés belges ou hollandaises, à tel poin t que, dansledépartement de l'Oise, il est devenu impossible aux petits éleveurs d'obtenir des pulpes auprès des sucreries. Il lui demande quelles mesures il compte prendre pour favoriser une utilisation sur place, par les éleveurs français, des sous-produit s de notre agriculture, notamment pour le secteur betteravier.Agriculture (aides et préts).
34178. - 4 août 1980. - M.Roland Florianappelle l'attentionde M. le ministre de l'agriculturesur les conséquences pour l'agri-culture de la politique d'encadrement du crédit. Mis en placedepuis plusieurs années, l'encadrement du crédit se fait de plus
en plus draconien à un moment où de sérieuses menaces pèsent sur l'activité économique. Aujourd'hui, il touche particulièrement le Crédit agricole et rend caduc l'accord de 1978 entre le Gouver. nement et la fédération nationale du crédit agricole. Les agricul- teurs en difficulté et les jeunes agriculteurs sont les premières victimes de cette situation. De plus, le financement traditionnel desrécoltes lui-même est menacé par sa mise dans l'encadrement:trois milliards de francs ont été autorisés alors qu'il en faudrait cinq.
Or les agriculteurs, de plus en plus endettés, attendent la récolt e pour régler leurs fournisseurs. En conséquence, il lui demande quelles mesures il compte prendre pour permettre au Crédit agri- cole de continuer à apporter sa solidarité à l'égard des agriculteurs les plus en dificulté et de revenir à un mécanisme de financeme ntdes récoltes qui soit moins dommageable et respecte mieux lescontraintes propres à l'activité agricole.
Etablissernents d'hospitalisation, de soins etde cure (centres hospitaliers: Oise).34179. - 4 août 1980. - M.Roland Florianattire l'attention de
M. le ministre de la santé et de la sécurité sociale sur les dif fi- cultés d'application dans la région de Senlis de la loi du 31 décem- bre 1979 faisant obligation aux centres hospitaliers de créer desstructures d'interruption volontaire de grossesse à la dispositionde la population. Afin de répondre aux besoins de la population
du secteur de Senlis et de ses environs, des I. V. G. ont été prati- quées à l'hôpital de Senlis depuis le 14 juin 1979 dans le cadr e du service gynécologie-obstétrique. Parallèlement, pour compléter cette structure, un centre de planification s'est ouvert dans l'enceinte de l'hôpital de Senlis le 21 septembre 1979. Hormis une conseillère conjugale et tin médecin gynécologue rémunérés à la va cation, le personnel du centre n'est pas rémunéré spécifiquement pour cetteactivité. La pratique des I. V. G. s'est déroulée dans des conditionscomparables: il s'est agi d'une activité supplémentaire pour le
personnel du service degynécologie-obstétriquesans qu'il se soit vu renforcé à l'occasion de cette mission nouvelle. Bien au contraire, des réductions d'effectif sont envisagées. Cette situation se traduit par un accroissement de la charge de travail à laquelle le personnel devrait faire face. Elle met en cause la qualité des soins et la sécurité des malades et des usagers du service. II lui demande quelles mesures il compte prendre pour mettre fin à cette situation et faire en sorte que la loi puisse être appliquée dans des condi- tions satisfaisantes.4Août 1980
ASSEMBLES NATIONALE - QUESTIONS ET REPONSES
3235Assurance matante maternité bénéficiniresn