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La guerre froide (1945-1989) – Texte intégral

7 juil. 2016 l'Allemagne serait divisée en quatre zones d'occupation la France recevant une zone d'occupation en partie prélevée sur celles du ...



Education nationale ; Direction des lycées et des collèges ; Sous

Archives nationales (France). Pierrefitte-sur-Seine Résultats à l'examen du baccalauréat professionnel (1986-1989 et 1991) par les.



Liste indicative des principaux diplômes sanctionnant un niveau de

France ou à l'étranger doit être considérée comme justifiant du niveau de connaissance de Certificat d'études primaires (ancien) (supprimé en 1989).



DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE .

https://archives.assemblee-nationale.fr/9/qst/9-qst-1989-02-13.pdf



DÉBATS PARLEMENTAIRES QUESTIONS ÉCRITES

13 mars 1989 10728. - 13 mars 1989. - Mme Marie-France Leclair attire l'attention de M . le ministre de la coopération et du dévelop-.



Formation initiale orientations et diplômes de 1985 à 2002

meilleurs taux de réussite au baccalauréat ont poursuivi en fortes proportions des études loi d'orientation de 1989 prévoyait que chaque.



À la session 2009 le taux de réussite au baccalauréat général

France métropolitaine. Source : MESR-DGESIP/DGRI-SIES (panel de bacheliers 2008 et suivi après le baccalauréat de panels d'élèves entrés en sixième en 1989 



Baccalauréat -- Épreuve anticipée de français -- France

L'Epreuve orale de francais au bac technologique. (1989). Paris : Centre national de documentation pédagogique (France) [éd.] ; Limoges : Centre régional.



Durée de scolarisation

Enfants - Population scolaire des 1er et 2nd degrés » in France



Gestion des brevets de technicien et baccalauréats de technicien

Brevet de technicien et baccalauréat de technicien. 1967-1989. 20111097/7. Autres diplômes professionnels et technologiques. Archives nationales (France).

Education nationale ; Direction des lycées et des collèges ; Sous- direction de l'orientation, de l'insertion des élèves et de la formation des adultes ; Bureau réglementation, affaires générales, formation des adultes, apprentissage (1925-1997)

Répertoire (20020354/1-20020354/28)

Archives nationales (France)

Pierrefitte-sur-Seine

2002
1

Cet instrument de recherche a été encodé en 2012 par l'entreprise Numen dans le cadre du chantier de

dématérialisation des instruments de recherche des Archives Nationales sur la base d'une DTD conforme à la DTD

EAD (encoded archival description) et créée par le service de dématérialisation des instruments de recherche des

Archives Nationales

2

Préface

Chronologie et notices

Liens :

Liens annexes :

Chronologie et notices

Archives nationales (France)3

INTRODUCTION

Référence

20020354/1-20020354/28

Niveau de description

fonds

Intitulé

Education nationale ; Direction des lycées et des collèges ; Sous-direction de l'orientation, de l'insertion des élèves et

de la formation des adultes ; Bureau réglementation, affaires générales, formation des adultes, apprentissage

Date(s) extrême(s)

1925-1997

Nom du producteur

Bureau de la réglementation et des affaires générales de la formation des adultes et de l'apprentissage (direction des

lycées et collèges)

Localisation physique

Pierrefitte

DESCRIPTION

Présentation du contenu

Introduction

1. Petit historique de l'enseignement technique et de son financement

C'est en 1919, avec la loi Astier Paul Astier : député, rapporteur de la commission parlementaire du commerce et de

l'industrie. que commence l'aventure de l'enseignement technique et professionnel du XX e siècle. Pour Paul Astier,

"L'enseignement technique, industriel ou commercial a pour objet, sans préjudice d'un complément d'enseignement

général, l'étude théorique et pratique des sciences et des arts ou métiers en vue de l'industrie ou du commerce". Mais

ce sera surtout avec la loi de financement du 13 juillet 1925 dite taxe d'apprentissage, que l'enseignement technique

sera doté de réelles potentialités. Cependant Antoine Prost nous explique dans son livre l'enseignement en France 1800-1967 que "un remaniement

ministériel avait provoqué, le 20 janvier 1920, une transformation capitale, en créant un sous-secrétariat d'État à

l'enseignement technique, rattaché à l'Instruction publique. C'était une petite révolution, car la loi Astier plaçait

explicitement cet enseignement sous l'autorité du ministère du Commerce. Certes, le technique conserve une

autonomie réelle, mais elle recule peu à peu : son budget cesse d'être voté séparément en 1930, et l'on peut prêter à

Jean Zay le projet de le démanteler indirectement (cf. infra)", p. 314. C'est donc à partir de 1920 et avec l'attribution

d'un sous-secrétaire d'État de l'instruction publique chargé de l'enseignement technique que l'enseignement technique

subira la lente et irrémédiable attraction de l'enseignement général.

Edmond Labbé sera le premier directeur de l'enseignement technique, il nous a laissé un témoignage important à

travers les réflexions qu'il a engagées sur la genèse du financement et sur le rôle de l'apprentissage. Mais comme

l'analyse Prost, "il [Edmond Labbé] se faisait de la culture l'idée d'une accumulation de connaissances de tous ordres,

un fatras encyclopé-dique : il aboutissait ainsi à une pédagogie ridicule, où le cours professionnel devait fournir

l'occasion de bribes de grammaire, d'histoire ou de morale, artificiellement rattachées au moindre prétexte". Il faudra

attendre le successeur de Edmond Labbé, Hippolyte Luc pour trouver un désir de fonder la culture technique sur la

maîtrise d'une méthode intellectuelle.

Mais revenons sur la taxe d'apprentissage, elle repose sur un principe simple : elle vise toute personne ou société

exerçant une profession industrielle ou commerciale ou se livrant à l'exploitation minière ou concessionnaire d'un

Archives nationales (France)4

service public. Toute personne ou société ainsi définie est assujettie à une taxe dite taxe d'apprentissage dont le

produit inscrit au budget et l'État contribue aussi bien aux dépenses nécessaires de l'apprentissage qu'à celles de

laboratoires scientifiques c'est-à-dire que cette taxe est destinée à financer pour partie la formation et pour partie la

recherche.

Le taux de la taxe d'apprentissage est fixé chaque année dans la loi de finances. Il prend pour base le montant total des

appointements, salaires ainsi que les redistributions quelconques payées pendant l'année précédente par le chef

d'entreprise.

Quant au versement, il existe deux façons de s'acquitter de la taxe d'apprentissage, soit en la versant directement au

Trésor public (exemple la loi 71-576-16), soit en sollicitant une mesure d'exonération (exemple le décret 72-283).

En effet, une société peut solliciter une mesure d'exonération si elle prend des dispositions en vue de favoriser

directement ou indirectement l'enseignement technique. Ainsi, il est compté : - les frais de cours, - les salaires des techniciens qui sont chargés de la formation et de la direction des apprentis, - les salaires payés aux apprentis, - les frais des oeuvres complémentaires.

Donc, ce sera surtout à partir des mesures d'exonérations que se développera l'enseignement en alternance.

Or, il est important de savoir qu'il existe traditionnellement une asymétrie de la redistribution de la taxe

d'apprentissage. Par exemple, en 1996, 20% de la taxe d'apprentissage étaient versés aux centres de formation

d'apprentis (enseignement technique élémentaire) tandis que 80% étaient versés à l'enseignement supérieur et

secondaire !

2. Enseignement technique et professionnel

L'enseignement technique est traditionnellement divisé en trois niveaux de compétence, un niveau élémentaire, un

niveau moyen et un niveau supérieur (les ingénieurs). Il est singulier de remarquer qu'il n'existe pas de véritable filière

continue entre le niveau élémentaire et le niveau supérieur. Enfin, il existe une formation spécifique de l'élite

technicienne.

L'enseignement professionnel est une façon originale de dispenser l'enseignement technique. Cet enseignement est

appelé enseignement par alternance. L'alternance est donc le caractère pédagogique d'une formation professionnelle.

Elle repose sur le principe d'une formation alternée entre une période d'acquisition de connaissances et de savoir-faire

en entreprise et une période d'acquisition de connaissances dans un centre de formation. Les durées des

apprentissages en entreprise et en centre de formation sont respectivement courtes pour permettre plusieurs allers et

retours sur une année scolaire.

Pour Paul Astier l'enseignement technique, industriel ou commercial n'est pas préjudiciable à un complément

d'enseignement général, mais que sous entend-il ? Sous entend il que l'enseignement technique ne dispense pas d'un

peu d'enseignement général (enseignement dont l'objet d'étude est alors différent ; on peut se poser alors la question

de la consistance intellectuelle d'une telle formation car la méthodologie est-elle utilisable par les apprentis si elle ne

repose pas sur une culture technique ?) ou bien, voit-il dans l'enseignement général le complément théorique de

l'enseignement technique ?

Ensuite, si aujourd'hui l'enseignement professionnel est globalement plébiscité, l'impression d'un enseignement

"schizophrénique" est souvent dénoncée par les apprentis.

On voit que l'existence de l'enseignement technique et a fortiori professionnel demande que soient posées les

questions du rapport entre théorie et pratique, du rapport entre enseignement technique et enseignement général.

L'expression ou le déni de ces liens et de ces antagonismes par l'administration ou les politiques sont bien sûr un point

intéressant du problème.

3. Les centres de formation pour apprentis (CFA)

Il est intéressant de noter que l'endroit où sont dispensés les enseignements théoriques pour apprentis, enseignement

conjoint à la période de formation en entreprise, n'est pas le lycée technique mais le Centre de Formation pour

Apprentis dit CFA.

Les centres de formation pour apprentis ont été créés pour permettre la formation "théorique" des apprentis inscrits à

Archives nationales (France)5

une formation en alternance, ainsi ils reçoivent alternativement les apprentis entre deux périodes de travail en

entreprise.

Il existe donc une différence idéologique entre la formation par alternance et la formation technique classique ;

différence matérialisée par une différence de locaux, le centre n'a assurément pas la fonction sociale du lycée.

4. Les réformes des années 1980-1990

L'essentiel des réformes ont pour dessein soit la réorganisation de la taxe d'apprentissage, c'est-à-dire de réformer le

volet financier de l'apprentissage, soit la réorganisation de l'enseignement par alternance, c'est-à-dire de réformer le

volet pédagogique de l'apprentissage. Mais, si les réformes visent la taxe d'apprentissage, il n'en demeure pas moins

qu'elles modifient incidemment l'enseignement.

Comme toujours, la série des réformes met à jour l'inconsistance au long terme de la politique en matière

d'enseignement par alternance. Cette dernière ne faisant que régler les problèmes qui se posent et jamais ne les

anticipe.

En effet, si l'on prend pour exemple les réformes des années 1980-1990 ; on voit tout d'abord se succéder une série de

réformes (1971 avec la réforme sur le financement, 1978 avec la création des cotisations complémentaires, 1979 avec la

création du fonds de compensation) alourdissant considérablement la démarche d'exonération, sous prétexte de

préciser la filière à financer et de répartir les différentes charges de financement entre plusieurs acteurs. Cette

complexification des procédures d'exonération devient vite aux yeux des entreprises insurmontable. Ainsi, cette

première vague de réformes a de fait désengagé les entreprises de la formation d'apprentis, ceux-ci préférant payer

plutôt que de passer du temps à justifier d'une exonération devenue peu intéressante.

Devant cette situation, les pouvoirs publics se retrouvent devant un paradoxe : paradoxe qui veut que la formation en

alternance, professionnelle, n'intéresse plus les professionnels, maillon pourtant incontournable de la formation.

C'est avec le projet de réforme de défiscalisation de 1987 que les pouvoirs publics pensent "arranger" le problème. Ils

cherchent par ces réformes à favoriser les mesures d'exonération, donc à percevoir directement moins d'argent mais à

augmenter la prise en charge des apprentis par les entreprises. Si cette dernière réforme a pour effet de favoriser la

prise en charge d'apprentis, elle a pour effet mécanique d'augmenter le nombre d'apprentis (ceux-ci se retrouvent être

250 000 en 1994-1995 aussi nombreux qu'en 1968 avant les réformes alors qu'ils n'étaient plus que 150 000 en 1976 ;

voir tableau en annexe).

Or, si le nombre d'apprentis augmente le nombre de demande d'encadrement en centre de formation augmente

d'autant (car chaque apprenti demande une place dans un CFA). Mais l'argent perçu pour le fonctionnement des

centres de formation d'apprentis n'augmente pas aussi vite puisque comme nous l'avons dit les entreprises demandent

des mesures d'exonération. En effet, la taxe d'apprentissage n'apporte pas l'argent nécessaire aux fonctionnements des

centres de formation d'apprentis, tout simplement parce que le problème de fond, c'est-à-dire le problème originel n'a

même pas été posé. Il concerne la curieuse répartition de la taxe d'apprentissage, répartition qui préconise une

redistribution de la taxe d'apprentissage avec un taux de 20 % pour les CFA et de 80 % pour l'enseignement secondaire

et supérieur. Sans jouer sur les mots on peut parler d'acte manqué des réformes de cette période, car elles manquent

leurs objectifs explicites, l'enseignement professionnel et incidemment favorise un autre type d'enseignement,

l'enseignement secondaire et supérieur. On voit ici émerger une suspecte division idéologique, passablement nocive à

l'enseignement technique.

En effet il faudra attendre les années 1990 (1996) pour que soit énoncé explicitement ce problème de répartition et que

soit proposé un enseignement supérieur professionnel (voir à ce sujet la commission Xavier Greff, 1991). A coup sûr

voilà que les prérogatives de l'enseignement général et l'enseignement de l'élite sont ébranlées.

5. De l'antagonisme entre l'enseignement général et l'enseignement technique.

L'histoire de l'enseignement technique est pour une part l'histoire d'un double antagonisme que l'on observe entre

l'enseignement général et l'enseignement technique et entre la formation de niveau élémentaire et la formation d'une

élite. En effet, si le niveau "supérieur" de l'enseignement technique n'a pas été délaissé par l'État, il reste étrangement

coupé de l'enseignement des niveaux techniques élémentaires ou moyens. La formation de l'élite technique, les

ingénieurs, passe par la voie de l'enseignement général et à aucun moment il n'existe de filière technique ou pire

encore, professionnelle.

Archives nationales (France)6

De plus l'enseignement supérieur reste indexé sur l'enseignement théorique. La formation d'ingénieur n'est pas une

formation professionnelle proprement dite, mais technique et intellectuelle.

Les enseignements généraux et leurs professeurs, voient d'un mauvais oeil leur échapper le monopole de l'accession

aux études supérieures par l'instauration d'un baccalauréat professionnel, voir le monopole lui-même de la formation

de niveau supérieur. En effet la mise en place du baccalauréat technique et surtout du baccalauréat professionnel

modifie idéologiquement de l'accession aux études supérieures.

Il faut être conscient que cette hiérarchie très nette entraîne un recrutement sociologique inégal.

Cependant, les années 1980 verront l'instauration d'un baccalauréat professionnel, voir à ce sujet le suivi de

l'expérimentation par la commission Garagnon en 1988, c'est-à-dire la possibilité d'accéder aux études supérieures par

la voie de l'apprentissage. D'autre part un projet de préparation du diplôme d'ingénieur par la voie de l'apprentissage

sera proposé (délégation Xavier de Greff 1991) puis repoussé.

6. Mise en oeuvre de l'enseignement en alternance : organisation et sanction

Si l'élaboration des contenus de l'alternance est affaire de politique, la mise en oeuvre n'est pas simplement un

problème de gestion administrative, mais affaire de raison et d'idéologie, en un mot de morale.

En effet les problèmes d'organisation et de sanction de l'alternance ne sont pas seulement des problèmes de gestion

administrative, comme on pourrait le penser aux premières lectures des dossiers sur la durée des contrats (2 ou 3

semaines) ou sur l'âge des apprentis (code du travail) ou encore de leurs rémunérations (en fonction de l'âge) ou

encore des problèmes de relation entre cours dispensés dans les CFA et pratique en entreprise, car tous ces problèmes

pour être tranchés font appel à une théorie de l'action.

Ainsi, l'organisation et la sanction de l'apprentissage est toujours un outil de propagande au service de l'économie en

place. Il n'est donc pas surprenant que les sujets traitent d'une façon particulière les problèmes des rapports de

production comme par exemple l'enseignement ménager (formation féminine), le plafond d'emploi simultané (du

chômage dans une branche) des accords cadre entre le secrétaire d'état à l'enseignement technique et de grandes

entreprises.

7. L'amitié des instituteurs, le modèle allemand et les lobbys patronaux.

L'enseignement par alternance se révèle être un moyen efficace pour lutter contre le chômage. A partir de 1984, la

gauche essaie de lui donner un nouveau souffle, mais cet élan est bridé par les liens qu'elle entretient avec le monde

enseignant, notamment avec les instituteurs. En effet, ceux-ci comme nous l'avons dit sont réticents face à une

formation qui leur échappe.

En 1991 Lionel Jospin devient ministre de l'Éducation nationale et Édith Cresson devient Premier ministre ; elle

relance la réforme du système de formation par alternance en prenant pour modèle le système allemand de formation

professionnelle. En effet, ces derniers n'ont pas le même préjugé sur l'enseignement technique et professionnel, leur

gauche est d'une tradition syndicale liée au milieu technique professionnel. Ainsi, le bélier utilisé par Édith Cresson

sera les réunions de septembre 1991 avec la puissante Union des industries métallurgiques et minières ; au cours de

ces réunions elle présentera ces projets.

Or, un écueil d'une autre nature menacera la réforme de 1996, réforme devant permettre aux CFA de faire face à

l'afflux toujours croissant d'apprentis : les lobbys patronaux.

En février 1996 le gouvernement propose d'augmenter la taxe d'apprentissage pour financer les CFA, ceci en

amoindrissant les aides destinées à la prise en charge des apprentis données aux entreprises. Cela dit en passant il

s'agit de l'éternel mouvement de reflux de réforme qui n'aborde toujours pas le problème de l'inégale répartition de la

taxe d'apprentissage entre les CFA et le niveau moyen et supérieur.

Les patrons, quant à eux, sont réticents à l'augmentation de la taxe d'apprentissage et ils font pression pour bénéficier

d'une compensation à la diminution des aides, prétextant qu'ayant constitué leurs propres filières d'apprentissage de

niveau supérieur, notamment dans les secteurs industriels (voir à ce sujet les projets de l'union des industries

métallurgique et minières), ils ont besoin de l'argent des aides. En effet, les formations de niveau supérieur sont

coûteuses. Le gouvernement répondant à la pression des patrons par l'intermédiaire de Michel Berson fait des

propositions dans leur sens en proposant un relèvement des niveaux de formation par la voie de l'apprentissage.

À côté de cela, les petites entreprises, peu influentes, craignent de perdre une partie des aides. La chambre des métiers,

Archives nationales (France)7

emboîtant le pas des petites entreprises pour préserver une juste répartition, propose la création d'un conseil national

de l'apprentissage pour garder un système de péréquation nationale.

Enfin, les chambres de commerce et d'industrie qui drainent la moitié de la taxe d'apprentissage et qui forme le gros

des niveaux professionnels élémentaires sont logiquement réticentes à la proposition gouvernementale de favoriser le

financement de niveau professionnel supérieur voyant là un abandon de la formation des couches élémentaires de

l'industrie.

Sommaire

Apprentissage industriel, commercial et. Artisanal. Art 1-4 : Historique, financement, perception et

utilisation de la taxe d'apprentissage, 1925-1996. Art 5-28 : Préparation de diplômes par la voie de l'apprentissage :

Textes fondamentaux et commissions, organisation et sanction de l'apprentissage, situation par Académie et par

section, formateurs et maîtres d'apprentissage, inspecteurs généraux et service académique de l'inspection et de

l'apprentissage, formation et entreprise, programme Petra, 1972-1997.

TERMES D'INDEXATION

taxe d'apprentissage; réforme de l'enseignement; industrie; formation professionnelle; entreprise; diplôme;

commerce; centre de formation d'apprentis; artisanat; apprentissage; diplôme; formation; financement

Archives nationales (France)8

Répertoire (20020354/1-20020354/28)

20020354/1-20020354/4

F17bis 1999.20/1-F17bis 1999.20/4

LA TAXE D'APPRENTISSAGE.

1925-1996

20020354/1

F17bis 1999.20/1

Historique.

1925-1982

Régime de la taxe d'apprentissage : documents antérieurs à la loi de 1971.

Lois, décrets, arrêtés, circulaires, relatifs à la taxe d'apprentissage (série non exhaustive).

1925-1982

Rapports et notes.

- Documents de Edmond Labbé, directeur de l'enseignement technique : . Rapport. 1926. . Tapuscrit d'un livre sur l'enseignement technique. . Rapport général sur les exonérations de la taxe d'apprentissage, notes et correspondance. - Extrait du bulletin officiel des contributions directes. 1942.

Notes de M. Anboyneau, inspecteur des finances et au secrétariat à l'enseignement, établissement

du nouveau régime de la taxe d'apprentissage. 1954.

1926-1954

20020354/2-20020354/3

F17bis 1999.20/2-F17bis 1999.20/3

Financement de la taxe d'apprentissage.

1962-1996

20020354/2

F17bis 1999.20/2

Indemnités, ventilation et simplification des flux de la taxe d'apprentissage. - Versements et montants des indemnités de la taxe d'apprentissage. 1962-1980. - Projet de loi. 1970. - Examens et rapport de M. Sarrazin sur la taxe d'apprentissage, 1962, 6p. - Compte rendu, fonctionnement de la ventilation de la taxe d'apprentissage. 1980. - Correspondance. 1975-1979. - Projets et réformes. 1984. - Discours des ministres de l'Éducation nationale : Jean-Pierre Chevènement et Alain

Savary.

- Projets de simplification des flux de la taxe d'apprentissage. - Propositions politiques du gouvernement. - Projet de réforme et de décret de la taxe d'apprentissage relatif au fonctionnement et à l'organisation de la commission d'appel de la taxe d'apprentissage. 1964-1966.

Archives nationales (France)9

- Coordination et concentration de la politique de formation professionnelle. 1972.

1962-1980

Fonds national interministériel de compensation (FNIC). - Rapports d'activités, projet de décret, correspondance. 1983-1991. - Fonds de péréquation : notes, décret et loi. 1979. - Modification du taux du FNIC, de 7 % à 10 % : réglementation, notes, correspondance et statistique. 1980-1987.

1979-1991

Commission pour la simplification des formalité incombant aux entreprises (COSIFORME). - Défiscalisation : propositions, notes, correspondance, problème corollaire à la défiscalisation. 1984-1993. - Analyse technique d'une réforme administrative, notes, correspondance. 1987. - Rapport sur le financement et la gestion des centres de formation d'apprentis (CFA), Joël Rochard et Jean-Pierre Leclerc, inspecteurs des finances. 1978.

1984-1993

Projets de réforme du financement.

- Propositions et projets de réforme de la taxe d'apprentissage, correspondance + tableaux statistiques. 1982-1988. - Rapport du comité de coordination sur le financement de l'apprentissage. 1994-1995. - Discours des ministres de l'Éducation nationale : notes, correspondance, comptes rendus.

1984-1988.

1982-1995

Réforme avortée du financement.

- Table ronde sur l'apprentissage, correspondance, notes, fiches techniques, modélisation de financement du fonds national d'apprentissage, annexes pédagogiques, comptes rendus de réunions interministérielles, Conseil d'État 1989, projet de loi, notes.

1989-1995

20020354/3

F17bis 1999.20/3

Financement des entreprises.

- Rapport au Premier ministre sur la participation des employeurs au financement. - Modification du code du travail, correspondance. - Projet de décret pour la formation des apprentis. - Circulaire relative aux contrats d'objectifs sur l'apprentissage et l'alternance.

1992-1993

Projet de loi et de financement.

- Projet de loi de l'Assemblée nationale, financement de l'apprentissage. - Rapports et différentes corrections du projets. - Consultation des partenaires : syndicats, patronats et associations nationales des élus régionaux (ANER) : notes et manuscrits, comptes rendus de table ronde. 1995-1996.

Archives nationales (France)10

- Notes de service sur la réforme de la taxe d'apprentissage. 1981-1984.

1981-1996

20020354/3

F17bis 1999.20/3

Perception de la taxe d'apprentissage.

1974-1994

Rapports d'inspection générale par région. - Rapport d'activité, note et compte rendu du groupe de travail sur la réforme du coût de fonctionnement de la taxe d'apprentissage.

1974-1979

Collecte de la taxe d'apprentissage.

- Correspondance de différents établissements techniques qui se proposent de recevoir la taxe d'apprentissage.

- Rapport d'enquête par région, correspondance à propos d'irrégularités, séries statistiques.

- Aspects juridiques : sursis, prescriptions et fonctionnement de la commission spéciale prévue

pour régler les contentieux sur la taxe d'apprentissage. - Notes de service : cotisation complémentaire à la taxe d'apprentissage.

1979-1994

Réorganisation de la perception.

- Amendement Berson, problème de perception et de versement de la taxe 1984-1986, notes, bilan et annexe statistique.

- Projet de réforme, notes concernant le plafonnement, la création d'un fonds, sur l'exonération et

procès-verbaux.

1984-1986

Quota régional.

- Réponses à la question de l'instauration d'un quota régional par préfecture et par grande

institution de formation. 1993

20020354/4

F17bis 1999.20/4

Utilisation de la taxe d'apprentissage.

1972-1989

Utilisation, contrôle des montants.

- Rapport sur l'utilisation de la taxe, MM. Rochard et Leclerc, inspecteurs des finances, 1978, 28 p.

- Contrôle des montants : notes, comptes rendus, observations manuscrites, arrêtés. - Communication de Robert Chapuis sur la politique concertée d'équipement des lycées techniques et professionnels. 1989.

- Rapport sur l'utilisation de la taxe, François Bloch-Lainé, inspecteur général des finances. 1982.

- Plafonnement des prélèvements/répartition des prélèvements : projet de décret, manuscrit,

comptes rendus de réunions interministérielles sur l'application du décret, des arrêtés, notes,

groupe de réflexion sur les sujets.

Archives nationales (France)11

1978-1989

Redistribution.

- Propositions concernant l'application des mesures : simulation d'une nouvelle répartition (à l'échelle régionale), comptes rendus traitant de la redistribution de la taxe.

- Application et crédit d'impôt : comptes rendus, application régionale de la taxe, correspondance

avec les partenaires. - Coopération entre entreprises et enseignement : conventions générales, conventions types, notes, bilan financier. - Circulaires. 1972-1983. - Notes sur le contrôle de la taxe d'apprentissage. 1976-1979.

1972-1983

Baccalauréat professionnel (organisation des périodes de formation en entreprise). - Notes, correspondance, protocole d'accord, règlement général.

1986-1988

20020354/5-20020354/28

F17bis 1999.20/5-F17bis 1999.20/28

PRÉPARATION PAR LA VOIE DE L'APPRENTISSAGE DE DIPLÔMES, DU BREVET AUX BACCALAUREATS.

1972-1997

20020354/5-20020354/8

F17bis 1999.20/5-F17bis 1999.20/8

Textes fondamentaux et commissions (échelle politique).

1980-1997

20020354/5-20020354/7

F17bis 1999.20/5-F17bis 1999.20/7

Textes fondamentaux.

1983-1997

20020354/5-20020354/7

F17bis 1999.20/5-F17bis 1999.20/7

Rénovation de l'apprentissage. 1983-1997

20020354/5

F17bis 1999.20/5

Dossier de travail. 1983-1997.

- Bulletin de recherches sur l'emploi et la formation n° 7 éd. le CEREQ, mars-avril

1984, 12 p.

- Synthèse sur le développement de l'apprentissage, P. Lambert. - Projet de loi (octobre 1983) par le Comité Central de l'Apprentissage (CCA). - Propositions du CCI. - Rapport de " la commission des premières formations », mars 1997, 7 p. - Comptes rendus de la réunion de la commission permanente, 28 septembre 1983,

15 p. et annexe.

Archives nationales (France)12

- Notes de service et correspondance. - Tableaux statistiques. - Projet de décret et circulaires. - Apprentissage dans l'artisanat, renseignement pratique sur le contrat d'apprentissage, le centre de formation d'apprentis, la classe préparatoire à l'apprentissage, 1985, 39 p. " Dossier pédagogie pour la préparation aux certificats d'aptitude professionnelle (CAP) par unité capitalisables » F. Bruneau, S. Fidier et J. Martin, 1985, 326 p. - Système des unités capitalisables, le livret de l'animateur local, unités capitalisables, P. Bruant (conseillé en formation continue), 1991, n.p. - Petit guide de survie à l'usage des formateurs, unités capitalisables de l'académie

Nancy-Metz, P. Bruant, 1991, 17 p.

- Système des unités capitalisables, principe institution et pédagogiques de base, P

Bruant, 1992, 74 p.

Projet de rénovation de l'apprentissage, mesures prises après le conseil des ministres du 13 juin 1985. - Compte rendu des premières réunions du ministère de l'Éducation nationale (projet de décret, circulaire), du ministère du Commerce, conseil de gestion, notes de service, correspondance, fiches techniques.

Divers rapports. 1985-1989.

- Rentrée scolaire, 1985, ministère de l'Éducation nationale, 83 p. - Centres de formation d'appentis et formes d'apprentissage, J. Biret, M.C. Combes,

P. Lechaux, 1984, 75 p.

- Formations complémentaires, M. Egiole, 1985, 37 p. - Contrats d'adaptation à l'emploi, anonyme (Éducation nationale), 1986, n.p. - Réflexions sur la pédagogie à adopter concernant les CAP et BEP tertiaire de bureau, ministère de l'Éducation nationale, s.d. (&gt ;1989), 167 p. Réforme de l'apprentissage, préparation de la loi n°87-572 de 1987. - Décret n°87-572. - Décret et projets de décret avec annotations manuscrites. - Correspondance et notes de service manuscrites

20020354/6

F17bis 1999.20/6

Proposition pour la rénovation des classes préparatoires à l'apprentissage. 1987-quotesdbs_dbs50.pdfusesText_50
[PDF] bac 1990 algerie

[PDF] bac 1991

[PDF] bac 1991 algerie

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[PDF] bac 1992 algerie

[PDF] bac 1993

[PDF] bac 1993 en algerie

[PDF] bac 1994

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[PDF] bac 1996

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[PDF] bac 1998

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[PDF] bac 1999