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LE JOURNALISME PARTICIPATIF DE LIDÉOLOGIE À LA PRATIQUE

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par ucenci jeudi 10 septembre 2020 2

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Bruno Le Maire déclarait début avril à l'occasion d'une audition par la commission des affaires

économiques de la chambre haute que se profilait " la pire récession depuis 1945 ». Ces mots

forts alertent sur l'ampleur de la crise qui se profile dans les mois à venir alors que l'Europe entrevoit seulement les premiers déconfinements et que de nombreuses questions restent en

suspens. Alors que les enjeux des finances publiques étaient jusqu'alors centrés sur une volonté

d'équilibre, le covid-19 a profondément bouleversé les préoccupations économiques jusqu'à la

levée des plafonds du pacte de stabilité et de croissance, signe que la volonté de réduction du

déficit et de la dette est à l'heure actuelle bien loin des préoccupations politiques. Les impacts à court terme, entre augmentation de la dette et explosion du déficit

Les chiffres annoncés dans les médias sont certes souvent disparates mais ils n'en demeurent pas

moins vertigineux. La dette devrait atteindre les 115% quand le déficit pourrait dépasser les 9%

du PIB.

En mars, la première loi de finances rectificative (LFR) annonçait 3,9% de déficit tandis que la loi

de finances (LF) pour 2020 tablait sur 2,2%. Ces évolutions sont signe de la réduction progressive

mais surtout soudaine de l'activité économique. Cela s'observe ainsi davantage avec les chiffres de la croissance. En effet, la loi de finances pour

2020 avait prévu une croissance de +1,3% tandis que la première loi rectificative avançait -1,0%.

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Enfin, la seconde loi de finances rectificative votée le 17 avril 2020 annonçait -8,0%. Ces lois

rectificatives, qui, lorsqu'elles sont utilisées en cours d'exercice, visent à adopter la politique

budgétaire à la conjoncture économique, témoignent ici de la chute progressive et vertigineuse de

l'économie face au covid-19. Le mardi 22 avril dernier, Gérald Darmanin annonçait que le déficit

de la Sécurité Sociale prévu pour 2020 serait de 41 milliards d'euros. Le ministre de l'action et

des comptes publiques, qui doit en plus faire face au début de la période des déclarations d'impôt,

a qualifié ce déficit de " jamais-vu », devant la commission des affaires sociales du Sénat. En

effet, cette somme dépasse largement les 28 milliards d'euros atteints en 2010 au plus fort de la

crise des subprimes, et qui restait jusqu'ici le record atteint par la sécurité sociale comme le

relevait François Berguin dans un article du monde le 23 avril. Le déficit anticipé pour 2020 était

de 5,4 milliards d'euros, ce qui explicite toujours un peu plus l'impact considérable du

coronavirus mais aussi et surtout son caractère inattendu et brutal. Au-delà des administrations

publiques, la plupart des secteurs d'activité voire quasiment leur totalité est impacté par le virus.

Il est vrai que dans certains secteurs économiques, les conséquences s'exposent déjà à vue d'oeil.

S'il est souvent fait état des lieux de réunion comme les bars ou les restaurants à travers les

médias, le secteur culturel est par exemple lui aussi gravement touché. Le virus semble en effet

compromettre les habitudes estivales, or, il s'agit de la saison la plus prolifique pour ce secteur

avec notamment les festivals ou encore le cinéma et le théâtre remis au centre des activités grâce

aux vacances scolaires. Franck Riester, le ministre de la culture déclarait ainsi au journal le Monde " le coût de cette crise pour le secteur culturel va se compter en milliards d'euros ».

La crise sanitaire a forcé l'État à opérer une réorientation de ses fonds vers des points clé afin de

maintenir l'économie à flot. Ainsi, à la manière d'une hémofiltration, qui est une opération visant

à refroidir le corps pour que celui-ci se concentre sur les organes vitaux, l'État s'est vu contraint

de réduire drastiquement le financement de certains secteurs pour concentrer les flux financiers sur les principaux piliers économiques. Ainsi Sharon Wajsbrot titrait dans les Echos " le

financement des énergies renouvelables fragilisé », expliquant que l'équation était difficile à

résoudre pour l'État entre besoin énergétique et amenuisement des ressources face à la crise

sanitaire. Des impacts à plus long terme, perspective d'une crise d'ampleur et d'une récession historique Lors de son audition par la commission des affaires économiques de la Chambre Haute, Bruno Le

Maire qualifiait la crise à venir de " vertigineuse », comparable " à la crise de 1929 ». Ces mots

laissent présager le pire quant aux bouleversements économiques auxquels le monde devra

inévitablement faire face dans les mois voire les années à venir. Ainsi, il est déjà crucial de mettre

au clair non plus seulement les enjeux à court terme mais aussi les conséquences tendant à

s'étendre dans le temps. Dans un article du 21 avril, Forbes France alerte sur les nouveaux enjeux

financiers dus à cette crise. Michel-Henry Boucher, auteur de l'article, alerte d'abord sur la

nécessité de protéger à la fois les acquis sociaux et le pouvoir d'achat sans quoi il sous-entend que

la relance pourrait être difficile à mettre en oeuvre. En reprenant la référence à la crise de 1929,

comme le ministre de l'économie, l'article met en avant l'importance d'empêcher une répétition

des conséquences de 1929 qui avait été " le terreau des régimes extrémistes », sachant que

beaucoup de pays d'Europe constataient avant la crise du covid-19 une forte poussée du

nationalisme à laquelle la France n'a pas échappée. De plus, la bonne gestion du virus en Autriche

a conduit à renforcer le chancelier conservateur, signe que le nationalisme peut être une menace à

ne pas ignorer. Ici, les finances publiques devront donc jongler entre le besoin de financement et une demande d'ordre limitée afin que celle-ci ne produise pas des effets semblables à ceux rencontrés il y a aujourd'hui plus de 90 ans. Enfin, le professeur de Skema s'inquiète des

agences de notation, titrant d'ailleurs " Covid-19 et Pavlov : il faut toujours se méfier des agences

de notation ». En effet, en 2008 la dégradation importante des dettes des États avait vu les

agences de notation abaisser la note de nombreux États. Ainsi la France n'avait pas été épargnée

tout comme les États-Unis avec la perte du triple A pour les deux nations. Cette notation due à

l'emprunt des États sur les marchés internationaux et ayant pour but d'indiquer le niveau de

solvabilité des États a déjà fait des victimes. Douze pays ont d'ores et déjà été déclassés dont la

Royaume-Uni, l'Afrique du Sud ou encore le Liban et douze autres font partie d'une série de

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révisions négatives comme l'Australie. Début 2020, Audrey Tonnelier expliquait dans un article du Monde que " 2020 sera pire que

2009 ». Cet article interpelle sur le fait que de nombreuses références historiques sont établies, de

1929 à 2008 en passant par 1945 et les années 1970, la crise de 2020 est présentée par son

caractère inattendu et dévastateur comme un raz-de-marée que les finances publiques devront intelligemment et méthodiquement combattre pour éviter un possible effondrement ou au moins le limiter. Des mesures d'urgence : entre retour du Keynésianisme et solidarité

Le " quoi qu'il en coûte » d'Emmanuel Macron dérive du discours du Mario Draghi du 26 juillet

2012 avec " whatever it takes », alors que le Grèce est au bord de la sortie de l'Euro, le

gouverneur veut sauver la monnaie à tout prix. Cette fois le chef de l'État a pour objectif de

sauver l'économie française mal embarquée face à la crise qui se profile. Des aides d'urgence ont

ainsi été rapidement mises en place avec notamment 150€ supplémentaires pour les personnes

inscrites au RSA et 100€ de plus par enfant dans le cadre des allocations familiales. Quatre

millions de foyers seront concernés par ces mesures à partir du 15 mai. Cette crise a marquée

l'habituel retour du Keynésianisme en temps de crise avec notamment le mise en place d'un vaste

plan d'urgence en soutien à l'économie disposé dans la loi rectificative votée en Avril. Les grands

apports de l'État s'observent surtout au sein des deux lois rectificatives (LR) votées en mars puis

en avril. La première loi rectificative du 23 mars 2020 a d'abord mis en place un plan d'urgence de 45 milliards pour soutenir l'économie. La nouvelle LR du 17 avril 2020 est venue étendre la

première en doublant le plan de soutien le faisant passer à plus de 110 milliards d'euros. Deux

milliards d'euros ont été ajoutés par des amendements prévoyant l'extension du chômage partiel à

compter du 1ermai, l'achat de masques et de machines de confection, le soutien aux zoos, refuges et cirques, pour la continuité des soins des animaux, et enfin un soutien aux entreprises industrielles avec un plan de 500 000 millions d'euros pour les entreprises employant entre 50 et

250 salariés. Un fonds de 20 Milliards d'euros a été mis en place pour faire participer l'État dans

des entreprises stratégiques. L'urgence s'est également focalisée autour du chômage avec 24

milliards d'euros débloqués pour financer le chômage partiel qui concerne environ 9 millions de

salariés. Capital titrait cependant le 20 avril dernier : " le chômage partiel n'empêchera pas le

chômage », signe de la nécessité de protéger l'emploi. L'État providence ne s'arrête pas là,

puisque depuis quelques semaines la notion de nationalisation a refait son apparition. La

commission européenne a d'ores et déjà autorisé la France à octroyer un soutien de 7 milliards

d'euros à Air France dont 4 milliards de prêts bancaires. Bruno Le Maire annonçait dans une

conférence de presse téléphonique : " Je n'hésiterai pas à employer tous les moyens qui sont à ma

disposition pour protéger les grandes entreprises françaises. Cela peut passer par la capitalisation

ou une prise de participation. Je peux même employer le terme de nationalisation si nécessaire. ».

Ces annonces rejoignent ainsi la volonté de tout mettre en oeuvre pour sauver l'économie exposée

à plusieurs reprises par Emmanuel Macron et synthétisée dans l'expression " quoi qu'il en

coûte ». Il est donc fort probable que le sauvetage des fleurons économiques français s'opère par

une nationalisation temporaire, l'express révélait d'ailleurs une liste des possibles bénéficiaires le

15 avril : Renault, Airbus, Accor, Club Med voire même ADP. Ce processus est également opéré

dans des États frontaliers, l'Italie se prépare à investir 3 milliards d'euros dans la compagnie

aérienne Alitalia, alors que dans le même temps, l'Allemagne se prépare à la nationalisation de

Lufthansa, également dans le secteur aérien, mondialement touché par la crise. Une volonté européenne de " relance verte » La crise pose naturellement la question de la relocalisation notamment dans les secteurs stratégiques comme le médical ou encore l'automobile. En effet, la délocalisation de la production de masques en Chine a placé la France dans une situation complexe face aux besoins urgents. Si en 2008 la relocalisation avait répondu à un besoin d'emplois signant le retour du " Made in France », 2020 pourrait observer une consécration du " Made in Europe ». Il est envisageable que cette relocalisation ne soit pas exclusivement nationale mais s'observe

davantage à l'échelle européenne. Cela s'explique par la volonté de ne pas freiner brusquement la

mondialisation mais aussi et surtout d'éviter une montée du sentiment de nationalisme, comme en

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1929. De plus, la relocalisation pourrait entrer dans une démarche de renouvellement de l'Union

Européenne tournée vers la transition écologique en témoigne les nombreux appels pour une

restructuration de l'économie dans un modèle " vert » au sein de l'Europe. Dans un livre publié le 5 mai dans la série " Tract de Crise » de Gallimard, Bruno Le Maire

appelle à une relance verte : " la relance économique doit être une relance verte », affirmant que

la crise " offre une chance unique de redéfinir notre propre modèle économique, national et

européen ». Le ministre va même jusqu'à fixer d'importants objectifs : " il nous appartient

d'accélérer la transition écologique pour faire de notre économie la première économie

décarbonée de la planète. ».

En reprenant le cas d'Air France, il est observé que la compagnie aérienne devra en contrepartie

du prêt de l'État, réduire ses émissions de CO2 de 50% sur ses vols domestiques d'ici 2024. De

plus, l'entreprise devra engager une réflexion en France sur son réseau lorsque des alternatives

ferroviaires sont possibles pour des trajets de moins de 2h30.

Cette idée de relance verte n'est pas exclusive à la France mais provient davantage d'une volonté

européenne globale. Pour permettre le " quoi qu'il en coûte », il faut inévitablement faire appel à

la Banque Centrale Européenne (BCE), celle-ci annonçait d'ailleurs le 18 mars racheter 750

milliards d'euros de dette publique et privée d'ici la fin de l'année. Les États sont donc tous

tournés vers la BCE dans le but de déceler quels seront, à moyen terme, les choix européens pour

contenir la crise par les politiques monétaires et budgétaires. L'idée d'utiliser le levier écologique

pour relancer l'économie est ainsi émise par les décideurs européens s'installant dans le pas initié

avant la crise du Covid-19 notamment avec le " pacte vert ». Paolo Gentiloni, commissaire

européen, avait en effet fait adopter des dispositions vertes au sein du Pacte de Stabilité et de

Croissance (PSC), afin de pousser les États à la relance par la transition écologique. Les Échos

relayait cette volonté le 5 mai : " Les appels pour une relance verte se multiplient », avançant

qu'une étude de l'université d'Oxford affirmait que des plans massifs d'investissements publics

" verts » seraient le moyen le plus efficace pour relancer les économies. Cette volonté européenne

pourrait d'ailleurs avoir pour effet de convaincre l'Allemagne, jusqu'ici réticente à participer

financièrement aux plans de crise européens, sachant qu'elle est l'une des figures de proue de l'écologie européenne, notamment par sa volonté d'abandon du nucléaire.

Cette idée amène presque à envisager le fait que dans le cas où la relance verte venait à se

concrétiser à grande échelle, elle pourrait projeter les finances publiques dans une nouvelle aire,

quittant la volonté d'équilibre des Finances Contemporaines pour organiser l'économie autour

d'un axe commun : l'écologie.

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