[PDF] Appréhender le niveau de sécheresse dans le cadre des études





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UTILISATION COMPARÉE DES FORMULES DE THORNTHWAITE

UTILISATION COMPARÉE DES FORMULES DE THORNTHWAITE. TURC MENSUELLE ET TURC ANNUELLE



Utilisation comparée des formules de THORNTHWAITE TURC

Utilisation comparée des formules de THORNTHWAITE. TURC mensuelle



Lévapotranspiration potentielle et ses implications géographiques

ponctuelles très fines et son utilisation à l'échelle régi utilisation comparée des formules de Thornthwaite Turc mensuel



Evaluation du bilan hydrique dans les milieux anthropisés de la forêt

comparative de différentes formules utilisant certains indices et Cf. –rapport 71 –SGN-173-HYD : Utilisation comparée des formules de Thornthwaite Turc.



73 SGN 373 AME

Utilisation comparée des formules de THORNTHWAITE. TURC mensuelle



PAR LES MÉTHDDES DE THORNTHWAITE ET DE TURC

des formules mensuelles de THORNTHWAITE et de TURC ont été mis au point en vue de faciliter notamment le calcul des bilans d'eau men¬ suels et annuels.



Appréhender le niveau de sécheresse dans le cadre des études

25 nov. 2021 Dans cet article seules trois formules simples d'utilisation et faciles à ... terrain sont présentées : Thornthwaite



Etude comparative des différentes méthodes destimation de l

Depuis 1950 plusieurs formules ont été développées pour estimer l'évapotranspiration: Thornthwaite (1944)



AIDE-MÉMOIRE SUR LÉVALUATION DES RESSOURCES EN EAU

- Evaluation des ressources hy- drauliques. Utilisation comparée des formules de THORNTHWAITE. TURC mensuelle



Développement spatialisation et validation dindices bioclimatiques

20 juin 2013 comparer des indices spatialisés et essayer d'identifier ceux qui ... kilométrique selon la formule de Thornthwaite (A) Turc (B) et ...

Appréhender le niveau de sécheresse dans le cadre des études >i A/è ?H@yp99N933 ?iiTbèff?Hnb+B2M+2f?H@yp99N933 amrKBii2/ QM k8 LQp kykR

MGBb KmHiB@/Bb+BTHBM`v QT2M ++2bb

`+?Bp2 7Q` i?2 /2TQbBi M/ /Bbb2KBMiBQM Q7 b+B@

2MiB}+ `2b2`+? /Q+mK2Mib r?2i?2` i?2v `2 Tmr@

HBb?2/ Q` MQiX h?2 /Q+mK2Mib Kv +QK2 7`QK

i2+?BMv M/ `2b2`+? BMbiBimiBQMb BM 6`M+2 Q` r`Q/ Q` 7`QK TmrHB+ Q` T`Bpi2 `2b2`+? +2Mi2`bX /2biBMû2 m /ûT¬i 2i ¨ H /BzmbBQM /2 /Q+mK2Mib b+B2MiB}[m2b /2 MBp2m `2+?2`+?2 TmrHBûb Qm MQM

TmrHB+b Qm T`BpûbX

TT`û?2M/2` H2 MBp2m /2 bû+?2`2bb2 /Mb H2 +/`2 /2b ûim/2b biiBQMM2HH2b 2i /2 H g2biBQM 7Q`2biB`2 ¨ T`iB` hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQMè kyy8 8d U9V TTXjjR@j8eX RyX9kedfky9kf8y88X ?H@yj99N933

Appréhender leniveau de sécheresse

da n s lecadredes études stationnelles e t delagestionforestière p a rt i r d"indices bioclimatiquesFrançois Lebourgeois -ChristianPiedallu Lacaniculede 2003 arappeléd"unefaçonspectaculairelerôleclédelasécheressesurla v i t a li t d esécosystèmes(Landmannet al.,2003;Brédaet al.,2004).Dessécheressesintenses pe uv en t se traduirepardesdysfonctionnementsécophysiologiquesirréversibleset lamort des a r b res(Aussenacet Guehl,1994).Ainsi,lacaractérisationdesniveaux potentielsdesécheresse es t importantepourlegestionnaireforestier,carceux-cipeuvent modulerfortement lechoix des essen c esou du typedesylvicultureàadopter.Cependant,pourlenon-spécialiste,lamultiplicité d

esdonnéesmétéorologiquesdisponibles(température,précipitation, vent,humiditédel"air,

e t c ,àdeséchellesspatiales(régionales,locales...)et temporelles(seconde,minute,jour,mois, a nnée ,décennie...) variées,rendsouvent difficilecetteanalyse(Choisnel,1992a).Àcelas"ajoute l adifficultéd"obtentiondecertainesdonnées,quinesont disponiblesquesur unnombre res t rein t depostesou surdecourtespériodesnonadaptéesau contexteforestier,et demise enœuvredesoutilspermettant decaractériserlesniveaux desécheresse.Contrairement àl"agro- nome leforestierdoit effectuerlaplupart du temps uneanalyserétrospectivesurplusieurs a nnées voiredizainesd"années,afindecomprendrelecomportement desespècesforestières (her bac

éesou arborées) vis-à-visdu climat.

L "o b je c t ifdecet articleest derappelerlesdifférentessourcesdedonnéesmétéorologiques d isponi b leset dedonner,au praticien,quelquesoutilsfacilesàmettreenœuvrepourappré- hen d erlesniveaux desécheressedanslecadred"étudesécologiquesou delagestionforestière. N o u s a v onsfocalisénotre travailsurlaprésentationd"indicesbioclimatiquesfacilement utili- s ab leset sur uneprésentationet unecomparaisonde troisméthodesd"estimationdel"évapo- t r a nspir a t ionpotentielle(ETP).Lanotiondebilanhydriqueet lesdifférentesméthodespourson ca l c u lseront traitées ultérieurement. D onnée s mesurées sur des réseaux d"observation P o u rlegestionnaire,lepremierniveau d"analyse temporelleest l"échellehistoriquequis"appuie s u r d esdocumentsd"archives,et permet deretracerlesconditionsclimatiquespendant les siè c lespassés(1000ansau maximum).Lesécritsreligieux (Sanson,1937,1956),d"érudits H u m b er t 19 3

9)ou dechroniqueurs(Bories,1953)sont dessourcesimportantesd"observations,

c epen da n

t essentiellement qualitativeset nerenseignent quesurdesévénementsextrêmesRev.For.Fr.LVII-4-2005331OUTILSETMÉTHODES

exceptionnels.Parexemple,àParis,certainsécritsreligieuxont retracédesphénomènesexcep- t ionnelscommelesinondationsenjanvier1496,lesorageset delagrêleenjuin1551,en j u ille t 1555
lessécheressesenjuin1517,mai1524,etc.(Sanson,1937).C"est àl"époquecontem- por a inequelaperceptiondu climat est lamieux appréhendée,grâceàl"apparitionet au déve- loppemen t desmesuresinstrumentalesprécises.EnEurope,ilexiste une trentainede très long u essériesd"observations thermiques,souvent continues,dont lesplusanciennesremontent a u XVIIesiècle(Moberget Demaree,1999).EnFrance,ilfaut attendrelemilieu du XIXesiècle po u r voirapparaître un véritableréseau demesures,sousl"impulsiond"UrbainLeVerrier,direc- t e u r d el"ObservatoiredeParisentre1854et 1877.Àlafinde1856,leréseau françaiscomporte 2

4stationsdont 13 équipéesdeliaisons télégraphiques.Parlasuite,lesdonnéesont étécentra-

liséesaveclacréationdu Bureau centralmétéorologiqueen1878.LasériedeParis-Montsouris c ons t i tu e unedessérieslesplusanciennesavecdesrelevésmensuelsdesprécipitationset des t empér a tu resrespectivement depuis1688et 1873.Àl"heureactuelle,lesstationsdu réseau de M t éoFranceconstituent laplusgrandesourcededonnées.Ellessont classéesen 6catégories selonle typedemesureset lesdélaisde traitement et dedisponibilité(sourceclimathèque M t

éo-

F r a n c e

2004).Les types 0à 3sont constituésdestationsautomatiquesou àobserva-

t ionshumainesrelevant desdonnéeshorairesou quotidiennesdisponiblesrapidement.Parmi c es4types,lesstationsautomatiquesen tempsréelavec transmissionquotidiennedesdonnées ty pe2)sont lesplusnombreuses:1072stationsétaient opérationnellesen 2004contre133, 6

1et 163 pourles types 0,1et 3.Le type4correspondaux stations(bénévoles)manuellespour

lesq u ellesseuleslesdonnéesquotidiennessont disponiblesau plus tôt 45joursaprèslafindu moisencours.Parmiles 3316stationsdece typeouvertesen 2004,1594correspondent àdes pos t esclimatologiques thermo-pluviométriques.Enfin,le type5correspondàdesstationsauto- m a t iq u esinterrogéesoccasionnellement (22postesen 2004). S u rl"ensembledu territoire,lesstationspluviométriquessont plusnombreusesquelesstations t hermomé t riq u es ,avecrespectivement 4220postescontre 2499ouvertsen 2004(2487postes t hermo-pl uv iomé t riq u mes u rerlesprécipitationsqueles températureset d"autrepart,parlaplusgrande variabilité sp a t i a leet temporelledu régimedespluies.LarégionRhône-Alpesdisposedu plusgrand nom b redestationsavec 322postes thermo-pluviométriques,alorsquelesrégionsHaute- N orm a n d ieet Nord-Pas-de-Calaisn"endisposent quede 31chacune.Lerayonnement solaireest mes u résur481stationset l"évapotranspirationpotentiellequotidiennesur444postes. O ut releréseau national,ilexisteégalement à traverslaFrance unensembledestationsprivées o u deréseaux liésàdesorganismesderechercheou degestion:réseau agrométéorologiquede l" INRA(80postes),réseau EDF(400 à500postes),réseau ProtectiondesVégétaux (environ 1

00postes),etc.Onpeut également citerl"exempledu réseau météorologiqueforestierde

2

8stationsautomatiquesinstalléau milieu desannées1990 danslecadredu réseau national

d esuiviàlong termedesécosystèmesforestiers(RENECOFOR)géréparl"Officenationaldes F orê t s. I lest important derappelerque,pourlagrandemajoritédesstations,moinsde50ansde d onnéessont disponibles.Iln"existequ"unequinzainedepostespossédant plusde150ansde d onnéeset environ400 avecdesrelevésdepuis1900 (moinsde 250postes thermo-pluviomé- t riq u men t s d elocalisationdespostesou dematériels utilisésseposent également.Faceàce pro b lème uneffort d"homogénéisationdeslonguessériesdemesuresmétéorologiquesaété en t reprisen1994parMétéo-France.Ce travailapermislaconstitutiond"unebasedeséries mensuelleshomogénéiséesde températures(minimaleset maximales)et précipitationssurle XX

esiècle(Mestre, 2000).Ainsi,àl"heureactuelle,ilexiste 70séries thermométriquesmensuelles332Rev.For.Fr.LVII-4-2005FRANÇOISLEBOURGEOIS- CHRISTIANPIEDALLU

Rev.For.Fr.LVII-4-2005333Outils et méthodescentenaires(1901-2000)sur52départements.Pourlesprécipitations, 226sériesrépartiessur

4 0 d ép a r t emen t ssont disponibles.Cettebaseaété utiliséepourétudierl"évolutionclimatique e t validerlesmodèlesdeclimat (Moisselinet al.,2002).Enfin,ilfaut également soulignerque, po u rlesétudesmenéesdanslescontextesmontagnards,sub-alpinsou alpins,lessourcesde d onnéessont limitées.Peu depostesdemesuressont présentsdansces zones,quiprésentent po u r t a n t unefortehétérogénéitéspatialedesconditionsclimatiques,engendréesparde nom b re ux changementsdeconditions topographiqueset d"altitude.Eneffet,seulement 7%des pos t es thermo-pluviométriquesdu réseau Météo-Francesont situéesàplusde1000met 2% pl u s d e1400m. D onnée s calculées sous systèmed"informationgéographique(SIG) M

êmesileréseau Météo-Francecouvred"unefaçonsatisfaisantelamajoritédu territoirenational,

ilnepermet pasd"appréhenderla variabilitéspatialedesconditionsclimatiquesàl"échelledela forê t ou du massifforestier,et encoremoinsdelacartographier.Danslamajoritédesétudes, lesdonnéesmétéorologiquesproviennent despostesdemesurelesplusprochesdu sited"étude, e

t sont transposéessansaucune transformation.Ainsi,la variabilitélocaleliéeàla topographie

o u àlalatitudeest rarement priseencompte.L"utilisationdesSystèmesd"Informationsgéogra- phiq u es(SIG),parfoiscoupléeàdesoutilsstatistiquesou géostatistiques,permet lecalculde d onnéesclimatiquesspatialisées,quiont pouravantagedefournir uneinformationen tout point d

u territoireétudié.Lesdonnéesclimatiquesobtenuesseprésentent généralement souslaforme

d u nmaillagerégulier,chaquecellulepossédant une valeurcaractérisant la variable. U n c er t a innombrededonnéesclimatiquesou deprogrammespermettant delescalculeront déjà t éélaborés.C"est lecasnotamment desradiationssolaires(Kumar e t al.,1997;Piedallu,en prép a r a t ion) ,dont lapriseencompteest essentiellepourcertainesméthodesdecalculdel"éva- po t r a nspir a tquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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