Nouveaux programmes de 3ème : Un récit denfance - COLETTE
COLETTE : La Maison de Claudine 1930
CAHIER FRANÇAIS BREVET 3 BREVETS BLANCS
Colette La Maison de Claudine (1922) LES QUESTIONS ET LA DICTÉE. • Contrairement aux sessions antérieures
1. Vivre dans sa maison au quotidien intérieurs
https://www.editions-ellipses.fr/index.php?controller=attachment&id_attachment=46320
La question du vocabulaire dans une perspective littéraire Francis
LA QUESTION DU VOCABULAIRE DANS UNE PERSPECTIVE LITTERAIRE – FRANCIS MARCOIN sur la question. ... Le curé sur le mur » La Maison de Claudine
Étude du genre dans les Claudine de Colette
Les Claudine sont la première série de romans que Colette rédigera de 1900 à 1903 sexuelle a conduit rapidement à une mise en question de la catégorie ...
Où sont les enfants?: Aspects du silence dans La Maison de
DANS LE CHAPITRE LIMINAIRE de La Maison de Claudine "Ou sont les en- fants?"
BREVET BLANC n°1 - Français. Première parte 1h10) Analyse et
COLETTE « Le curé sur le mur »
Willy et Colette CLAUDINE À LÉCOLE
Willy et Colette. CLAUDINE À L'ÉCOLE ses livres d'anglais et en route pour la maison ! ... Elle s'embarrasse de toutes mes questions
Rooms of Their Own: How Colette Uses Physical and Textual Space
the narrator. This fragment the sixth in Colette's La maison de Claudine
tapuscrit these colette
textes qui composent La Maison de Claudine Colette reprend des motifs déjà mis en question tout au long des écrits autobiographiques
[PDF] Un récit denfance - COLETTE : La Maison de Claudine 1930 éd
COLETTE : La Maison de Claudine 1930 éd Le livre de poche n°763 Document pédagogique proposé par Christabel GRARE IA-IPR de Lettres
[RTF] LA MAISON DE CLAUDINE - Project Gutenberg
The Project Gutenberg EBook of La maison de Claudine by Colette This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with
Sidonie-Gabrielle Colette - La Maison de Claudine ( EPUB et PDF
La Maison de Claudine ( Sidonie-Gabrielle Colette ) - EPUB / PDF Télécharger Epub · Télécharger PDF 0 12 Mo 0 55 Mo
La Maison de Claudine - Colette PDF Émile Zola - Scribd
Un des meilleurs livres de Colette Elle trouve des accents merveilleux pour nous parler de son enfance et de sa famille Un des plus grands écrivains
La Maison de Claudine - PDF Téléchargement Gratuit - DocPlayerfr
1 La Maison de Claudine Colette Exporté de Wikisource le 05/08/20 1 2 Où sont les enfants? Le Sauvage Amour La Petite L Enlèvement Le Curé sur le mur Ma
[PDF] La maison de Claudine by Colette eBook - Perlego
Point de Claudine dans ce recueil de souvenirs Et la maison est bien celle de Sido la mère que Colette évoque dans ces pages pour la première fois et
[PDF] BREVET BLANC n°1 - Français Première parte 1h10) Analyse et
Gabrielle Colette (1873-1954) est une romancière française Dans La maison de Claudine elle raconte par une suite de courtes scènes son enfance heureuse
Colette - Cercles et intersections dans La Maison de Claudine
3Retour sur une période déjà évoquée La Maison de Claudine reprend l'inventaire du cercle des proches qui constitue ici une palinodie par rapport à Claudine à
[PDF] tapuscrit these colette
textes qui composent La Maison de Claudine Colette reprend des motifs déjà mis en exergue dans ses œuvres de jeunesse en leur donnant un sens nouveau
Qui est la petite dans la maison de Claudine ?
Elle redonne vie à sa chère Sido, sa mère tant aimée, si pleine d'amour et d'inquiétude maternelle pour ses quatre enfants. Colette, qu'elle appelle Minet-Chéri, est sa petite dernière.Quel est le genre de la maison de Claudine ?
La Maison de Claudine peut être vu comme un récit autobiographique. Il s'agit d'un recueil de souvenirs. D'une nouvelle à l'autre, les personnages et le point de vue changent. La majorité des histoires se déroulent à Saint-Sauveur-en-Puisaye.- Sido, diminutif de Sidonie, est plus qu'une mère. c'est une louve qui veille sur sa progéniture sans partage. Elle saura transmettre Amour et éducation en harmonie avec la nature. Colette-enfant sera surnommée Minet-Chéri. Elle voudra devenir " marin pour être garçon et porter culotte et béret bleus ".
![La question du vocabulaire dans une perspective littéraire Francis La question du vocabulaire dans une perspective littéraire Francis](https://pdfprof.com/Listes/17/32996-17download.pdf.jpg)
Ressources
pour l'école primaireLe vocabulaire
et son enseignementLa question du vocabulaire, dans une
perspective littéraireFrancis Marcoin
Professeur de langue et littérature françaiseUniversité d'Artois
Novembre 2011
éduSCOL
LA QUESTION DU VOCABULAIRE DANS UNE PERSPECTIVE LITTERAIRE - FRANCIS MARCOIN EnjeuEn littérature, le vocabulaire s'entend bien plus dans l'usage que l'auteur fait des mots que dans leur
nombre ou dans leur construction. S'interroger sur une approche du vocabulaire partant des textes, dans une perspective communicationnelle qu'il ne faut pas perdre du vue, sans s'interdire d'envisager
également, mais dans un autre contexte et avec d'autres objectifs, la structuration des mots.Selon une perspective aujourd'hui abandonnée par la critique mais qui reste prégnante auprès d'un public
non prévenu, le texte littéraire se serait caractérisé d'abord par la richesse d'un vocabulaire recherché, se
distinguant d'un parler ordinaire réputé plus pauvre. Cette conception d'un style ornemental a plus ou
moins influencé la pédagogie du vocabulaire, même si d'autres points de vue ont toujours été développés
sur la question. Qui n'a entendu parler de la sobriété du vocabulaire de Racine, sobriété même exagérée
par la légende1 ? Celle-ci prouve pour le moins qu'en littérature l'abondance du vocabulaire n'est pasconsidérée a priori comme une qualité indiscutable. En atteste encore le fameux jeu de mots de Paul
Valéry : " Entre deux mots, il faut choisir le moindre » (Tel Quel, 1941).Les approches lexicales montrant que la langue française se distingue par l'importance de mots courts et
polysémiques ont renforcé l'idée que le sens se construit sans doute plus par la connotation que par la
dénotation, et que l'originalité de l'écrivain tient plus dans l'usage personnel qu'il fait des mots que dans la
rareté de ces derniers. Toute la critique dite " thématique »2 offre une parenté avec l'analyse lexicalelorsqu'elle s'attache à montrer les valeurs personnelles affectées à telle notion devenue quelquefois
obsessionnelle. Étudier le vocabulaire d'un écrivain, c'est moins relever le nombre de mots que ces
valeurs. Marcel Proust est allé jusqu'à dire d'une façon un peu provocatrice que " les beaux livres sont
écrits dans une sorte de langue étrangère3 : c'est-à-dire que tout en usant des mots les plus communs, l'auteur leur donne un sens unique. Par ailleurs, cette analyse lexicale ne peut s'exercer que dans un cadre syntaxique permettantprécisément de comprendre tel ou tel mot en relation avec son entourage. Ce qui s'applique à des mots
extrêmement courants comme " idée » ou " lieu », inclus dans des locutions figées comme " On n'a pas
idée », " Quelle idée », " J'ai idée que », " A mon idée » ou " au lieu de », " il n'y a pas lieu de ». Mais
aussi à des mots rares ou inconnus. Dans la fable de La Fontaine, " Le corbeau et le renard », prenons
ces paroles du renard : Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.Très généralement, les élèves de CE1 ignorent le mot " phénix », mais certains vont comprendre la
phrase en s'appuyant sur le contexte. Des observations que nous avons pu mener tendent même àpenser qu'en situation de rappel de récit, ceux qui ont saisi le sens n'ont pas retenu le mot tandis que
ceux qui le répètent n'ont pas les moyens de s'exprimer autrement, c'est-à-dire de paraphraser (la
capacité de paraphraser étant considérée comme un signe de maîtrise, en dépit de la mauvaise
1Ce vocabulaire est plus étendu qu'on ne le dit souvent si l'on suit les travaux de Charles Bernet : Le
vocabulaire des tragédies de Jean Racine. Analyse statistique, Genève, Paris, Slatkine, Champion, 1983.
2Critique illustrée notamment par Jean-Pierre Richard qui, dans ses débuts, se réfère très explicitement à
Gaston Bachelard. 3
Marcel Proust, Contre Sainte-Beuve, Paris, Gallimard, coll. " Bibliothèque de la Pléiade », 1971, p. 299.
© MENJVA/DGESCO źeduscol.education.fr/vocabulaire Page 1 sur 3
LA QUESTION DU VOCABULAIRE DANS UNE PERSPECTIVE LITTERAIRE - FRANCIS MARCOINréputation qu'on lui a faite). Comprendre, c'est donc redire avec d'autres mots, ce qui au passage va
contre de nombreux exercices de contrôle où l'on évalue la lecture par la remémoration de termes exacts.
Toutes ces considérations sont faites du point de vue du lecteur, qui peut comprendre des expressions
qu'il n'a jamais entendues ou qu'il connaît mais n'utilisera jamais. On peut postuler, notamment en
situation de lecture de textes littéraires, une sorte d' " inégalité » entre la langue lue et la langue pratiquée.Bien entendu l'attention de ce lecteur (ou auditeur), surtout s'il est jeune, peut être attirée par tel mot
inconnu, quand le contexte ne permet pas de l'interpréter. Ce qui est le cas lorsque le mot désigne un
objet très précis ou relève du vocabulaire technique et scientifique, qui passe souvent par des mots
savants, plus longs et volontiers tirés du latin ou du grec. C'est le cas aussi quand le mot présente en lui-
même un caractère mystérieux ou attirant. Il y a même un goût du mot rare dont on ne connaît pas le
sens. On connaît l'exemple célèbre de Colette :Le mot "presbytère» venait de tomber, cette année-là, dans mon oreille sensible, et d'y faire des
ravages. " C'est certainement le presbytère le plus gai que je connaisse... » avait dit quelqu'un.
Loin de moi l'idée de demander à l'un de mes parents : " Qu'est-ce que c'est, un presbytère ?» ("
Le curé sur le mur », La Maison de Claudine, 1922).La poésie peut s'appuyer sur ce procédé, même si ce dernier ne constitue qu'une des possibilités qui lui
sont offertes. Effet poétique que l'on retrouve dans " Le petit Chaperon rouge » avec la non moins
célèbre formulette " Tire la chevillette et la bobinette cherra », que certaines versions pour enfants
modernisaient autrefois alors qu'elle est un des traits fascinant le jeune public et un effet d'archaïsme
recherché par Perrault.D'où le paradoxe : d'une part, si l'on s'en tient au plan littéraire qui est en définitive généraliste, la bonne
maîtrise d'un vocabulaire de base permet déjà de bonnes performances, d'autre part tout texte simple
peut présenter un ou deux vocables rares dont la saisie correcte permet la bonne compréhension du texte
non seulement au plan de son contenu mais au plan des intentions : s'il n'y a qu'une manière de dire
vraiment une chose, pourquoi a-t-on choisi de dire ce mot qui dit telle chose et non une autre ?Face à cette question, deux comportements possibles. Soit on bute devant le mot, soit on saute par-
dessus pour saisir l'ensemble. Aussi recommande t-on aujourd'hui aux maîtres de ne pas faire rechercher
dans un texte les mots inconnus, l'élève risquant alors de se contenter de ce relevé sans chercher à
comprendre. En même temps, on ne peut, d'un point de vue pédagogique, se contentersystématiquement de l'à peu près. Il ne nous appartient pas ici de discuter d'éventuelles activités de
" structuration », d'exercices attirant explicitement l'attention des élèves sur le vocabulaire, et dont
l'intérêt, au-delà de tel ou tel point particulier, est précisément de provoquer cette attention.
Les mêmes questions se posent en production de texte : l'élève peut exprimer beaucoup de choses avec
un vocabulaire relativement restreint, mais en même temps il lui faut au moins occasionnellement trouver
un mot plus précis qui affinera le sens mais qui vaudra aussi comme signature, en quelque sorte. En conclusion, pour le vocabulaire comme pour les autres composantes de la langue, la perspective communicationnelle semble essentielle même si la tentation est grande aujourd'hui dela remettre en question. C'est parce que les textes font sens que l'élève va s'intéresser au sens des
mots. De ce point de vue, les inégalités sont déjà très fortes à l'école maternelle entre les enfants qui ont
entendu beaucoup de récits, lus ou racontés, donc rencontré certains mots dont ils ont pu croiser les
différentes nuances de sens. Cependant, cette approche en reste rarement à un stade intuitif car on sait
que les parents ou les adultes qui ont à faire avec les plus jeunes usent de stratégies relevant d'une sorte
d'enseignement explicite, en posant des questions, en faisant des rapprochements, en commentant, lesenfants eux-mêmes prenant dès lors l'habitude de ne pas rester sans comprendre. Ce que certains
appellent un " bain de langage » et que l'on pourrait nommer, pour le sujet qui nous intéresse, un bain de
© MENJVA/DGESCO źeduscol.education.fr/vocabulaire Page 2 sur 3
LA QUESTION DU VOCABULAIRE DANS UNE PERSPECTIVE LITTERAIRE - FRANCIS MARCOINrécits voire de littérature (en ne cantonnant pas ce terme aux oeuvres légitimes) implique généralement un
étayage, c'est-à-dire une pédagogie, celle-ci étymol ogiquement le fait de celui qui accompagne, qui marche avec.Ces considérations nous renvoient à la démarche proposée naguère par les équipes de recherches en
français menées au sein de l'INRP dans le sillage du Plan de rénovation de l'enseignement du français,démarche en trois temps : expression, structuration, expression, le second temps ayant des implications
que l'on situerait aujourd'hui sur un plan didactique, avec des activités prenant le vocabulaire aussi bien
en diachronie qu'en synchronie, l'histoire des mots, de leur évolution, des emprunts, des néologismes
croisant l'usage contemporain. Dès 1976, le linguiste, ancien instituteur, Michel Glatigny proposait un
manuel sur Le Lexique dans la collection " Les chemins de l'expression » dirigée par M. Obadia et
R. Dascotte (Hachette).
Destiné aux classes de 3
ème
, il offre encore un exemple de démarche transposable à d'autres niveaux.Sur ce plan, comme sur bien d'autres, des réflexions existent donc, qui débordent la seule question de la
littérature et envisagent la question du vocabulaire sous différents aspects, comme en témoignent par
exemple les articles de la revue Repères 4 , librement consultables sur le site de l'INRP (Institut national de recherche pédagogique) 5 4Repères a d'abord été un bulletin rendant compte des activités des équipes de recherche-action en Français créées
dans le mouvement du Plan de rénovation dit " Plan Rouchette » initié en 1966. C'est ensuite devenu une revue
soumise de plus en plus aux normes scientifiques d'observation non participative tout en gardant un certain contact
avec les classes. Les articles plus anciens peuvent encore donner des pistes de travail et des informations d'ordre
linguistique. 5Il suffit de taper " INRP Repères vocabulaire » sur un moteur de recherche ou de se rendre directement sur le site
de l'INRP, éditions électroniques. La question de la littérature n'y est guère abordée. C'est en cherchant du côté de la
poésie que l'on trouve le plus de développements. Voir l'article de Françoise Sublet, " Au vif des mots, au coeur des
choses : recherches INRP en poésie dans les années 70 », Repères n°13 (nouvelle série), Lecture et écriture
littéraires à l'école, numéro lui aussi en libre accès. Dans la foulée du poète Francis Ponge, elle place la poésie sous
le signe des " choses-mots » et des " mots-choses »© MENJVA/DGESCO źeduscol.education.fr/vocabulaire Page 3 sur 3
quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] multicolinéarité stata
[PDF] multicolinéarité économétrie
[PDF] comment résoudre le problème de multicolinéarité
[PDF] multicolinéarité vif
[PDF] multicolinéarité spss
[PDF] fonction vif r
[PDF] facteur dinflation de la variance
[PDF] epicerie solidaire marseille
[PDF] bordereau colissimo imprimer
[PDF] tarif colissimo
[PDF] colissimo international
[PDF] suivi colissimo
[PDF] pédagogie travail collaboratif
[PDF] relation de travail entre collègues