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  • Quelle luminosité pour travailler ?

    Dans la plupart des situations, l'éclairage d'un bureau pour un poste de travail doit assurer un minimum de 250 lux et pouvoir être élevé à 500 lux en fonction des besoins.
  • Quel éclairage pour une pièce de 20 m2 ?

    Pour une pi? de 20 m2, prévoyez un éclairage général avec un suspension de bonne taille par exemple (1000 lumens), qui couvrira l'ensemble de l'espace. Ajoutez 2 ou 3 éclairages ponctuels à utiliser selon les besoins : une lampe à poser à proximité du canapé pour lire, un lampadaire pour regarder la télévision…
  • – la correction du flux lumineux si le tableau de données a été calculé pour 1000 lm avec la formule UGR(?) = URG(1000) + 8 log (?/1000), ? étant le flux lumineux total sortant du luminaire (en lumen). Une fois ces corrections appliquées, la valeur la plus défavorable est retenue.
Modélisation de léblouissement dinconfort dans des situations

École doctorale MSTIC

Mathématiques et Sciences et Technologies de l"Information et de la Communication Spécialité : Signal, Image, AutomatiqueThèse de doctorat de l"Université Paris-EstModélisation de l"éblouissement d"inconfort dans des situationsdynamiques

Par : Joffrey GIRARDIFSTTAR/COSYS/LEPSIS

Thèse présentée et soutenue le 17 décembre 2019

Membres du jury :

Dominique DUMORTIER Professeur (ENTPE) Rapporteur

Patrick LE CALLET Professeur (Université de Nantes) Rapporteur Catherine GABAUDE Directrice de recherche (IFSTTAR) Présidente du jury Anne-Catherine SCHERLEN Maîtresse de conférences (ESSILOR) Examinatrice Roland BREMOND Directeur de recherche (IFSTTAR) Directeur de thèse Céline VILLA Ingénieure Chercheuse (IFSTTAR) Encadrante

Remerciements

Je tiens en premier lieu à remercier les membres de mon Jury de thèse, M. Dominique Dumortier, M. Patrick Le Callet, Mme Anne-Catherine Scherlen et Mme Catherine Gabaude, pour avoir accepté d"évaluer mon travail de thèse. Je remercie tout particulièrement mon directeur de thèse Roland Brémond et mon encadrante Céline Villa. Merci à vous deux d"avoir été impliqués à mes cotés durant ces trois années que je n"ai pas vu passer. J"ai appris énormément de choses grâce à vous et je vous suis reconnaissant de m"avoir toujours soutenu. J"espère sincèrement être amené à travailler de nouveau avec vous durant mon parcours professionnel. Je remercie le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire pour avoir financé ce doctorat, ainsi que l"IFSTTAR pour m"avoir accueilli dans ses locaux, au sein du Laboratoire Exploitation, Perception, Simulateur et

Simulation (LEPSIS).

Je tiens à remercier l"ensemble de mes collègues et amis du LEPSIS, que j"ai fréquenté pendant trois ans. Je remercie Eric Dumont, directeur du LEP- SIS, de s"être rendu disponible pour répondre à mes questions. Je remercie également Amélie Grichi pour sa bonne humeur quotidienne, et son aide précieuse dans l"organisation de mes déplacements. Un grand merci à Fa- brice Vienne qui m"a toujours encouragé à rester du bon côté de la Force. Je remercie également François Eymond, Thomas Surand et Nicolas Manzini pour tous nos fous-rires et nos soirées endiablées. Merci également à Angé- lique Montuwy, Sami Mecheri, Carle Prevost, Enoch Saint-Jacques, Navid Ghasemi et Mathias Paget pour nos longues discussions sur l"actualité et autres sujets cocasses. Je remercie aussi Stéphane Caro et Pachiak Boun- gnalith pour m"avoir aidé à construire mes dispositifs expérimentaux. Merci également à Regis Lobjois et à Sio-Song Ieng pour leurs conseils. Je remercie tous les participants qui ont pris le temps de venir à mes expérimentations, en espérant ne pas les avoir trop ébloui. Un immense merci à l"unité éclairage du Cerema d"Angers, Florian Gref- neau, ainsi qu"à l"ensemble des agents de la DTER OUEST DLAn, pour leur accueil chaleureux au sein de leur équipe, avec laquelle je vais désormais tra- vailler. Un grand merci à ma famille et à mes amis pour m"avoir soutenu au cours des moments difficiles. Enfin, je tiens sincèrement à remercier Zoé Maillard, pour m"avoir encou- ragé quotidiennement à donner le meilleur de moi-même, et pour m"avoir supporté en période de stress intense.

Résumé

Dans un contexte de transition énergétique, les sources lumineuses énergi- vores sont petit à petit remplacées par des sources plus efficaces et économes en énergie comme les LEDs (diodes électroluminescentes). En particulier, les sources lumineuses à LEDs ont vu leur nombre augmenter en éclairage exté- rieur, que ce soit en éclairage urbain, routier ou automobile. Elles présentent de nombreux avantages (flexibilité dans la conception de l"éclairage et des produits, etc), et surtout elles ont une efficacité lumineuse et une durée de vie accrues. Toutefois, ces sources ont des propriétés photométriques (e.g. spectre, forte luminance, petite taille) qui peuvent engendrer certaines nui- sances pour les usagers de la route (piétons, cyclistes, automobilistes) et en particulier l"éblouissement d"inconfort. L"éblouissement d"inconfort est défini comme la sensation de gêne ressentie par un observateur en présence de sources lumineuses, sans nécessairement impacter ses performances visuelles. Ce doctorat s"intéresse à ce phénomène dans le cadre d"une situation d"éclairage extérieur. Bien que beaucoup de modèles de prédiction de l"éblouissement d"inconfort aient été établis dans la littérature, aucun d"entre eux ne fait consensus en éclairage extérieur. De plus, la majorité de ces modèles ont été conçus pour prédire l"éblouissement d"inconfort quand une seule source immobile est présente dans le champ vi- suel de l"observateur. Or, en éclairage éclairage extérieur, l"usager est généra- lement en mouvement par rapport aux nombreuses sources qui l"entourent. Pour étudier ce phénomène dans des situations dynamiques à sources mul- tiples, plusieurs expérimentations psychovisuelles ont été conduites en labo- ratoire sur des panels de participants, en proposant des stimuli multi-sources et dont les caractéristiques (luminance, taille apparente, position) varient périodiquement. Grâce aux données collectées, un modèle de prédiction de probabilité de quatre niveaux de gêne a été établi. Il dépend des caractéris- tiques photométriques et géométriques de la scène visuelle.

Table des matières

1 Introduction 27

1.1 Contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

28

1.2 Définition de l"éblouissement . . . . . . . . . . . . . . . . . .

29

1.3 État des lieux technique et réglementaire . . . . . . . . . . . .

31

1.4 Problématique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

33

1.5 Démarche générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

34

2 État de l"art 37

2.1 Facteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

39

2.2 Modèles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

59

2.3 Méthodologies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

71

2.4 Bilan de l"état de l"art . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

83

2.5 Précisions sur la démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

86

3 Gammes de valeurs des facteurs 89

3.1 Objectif et démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

91

3.2 Gammes de valeurs et évolution temporelle . . . . . . . . . .

93

3.3 Bilan des simulations informatiques . . . . . . . . . . . . . . .

123

4 Aspect dynamique 127

4.1 Objectif et démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

129

4.2 Éléments communs aux expérimentations . . . . . . . . . . .

132

4.3 Expérimentation sur le mouvement . . . . . . . . . . . . . . .

140

4.4 Expérimentation sur la luminance . . . . . . . . . . . . . . .

158

4.5 Expérimentation sur l"excentricité . . . . . . . . . . . . . . .

172

4.6 Expérimentation sur l"angle solide . . . . . . . . . . . . . . .

181

4.7 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

191

5 Aspect sources multiples 197

5.1 Objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

199

5.2 Expérimentation sur l"inter-distance . . . . . . . . . . . . . .

200

5.3 Expérimentation sur l"angle solide . . . . . . . . . . . . . . .

214

5.4 Expérimentations sur l"accommodation . . . . . . . . . . . . .

225

5.5 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

233
1

2TABLE DES MATIÈRES

6 Modélisation 237

6.1 Démarche de construction du modèle . . . . . . . . . . . . . .

239

6.2 Formule de l"aspect sources multiples . . . . . . . . . . . . . .

241

6.3 Formule de l"aspect dynamique . . . . . . . . . . . . . . . . .

248

6.4 Expérimentation sur une échelle d"inconfort . . . . . . . . . .

258

6.5 Construction du modèle général . . . . . . . . . . . . . . . . .

277

6.6 Discussion du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

290

7 Discussion générale 303

7.1 Contributions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

304

7.2 Limites et perspectives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

312

7.3 Méthodes d"application opérationnelles . . . . . . . . . . . . .

321

A Résultats des simulations informatiques 331

B Protocole d"escalier psychophysique 375

C Spectres des sources 379

D Cartes de luminance 383

E Questionnaire 395

F Fiche technique du diaphragme 399

G CAH 401

H Source équivalente 407

Table des figures

1.1 Schéma présentant les principales étapes mises en oeuvre pour

répondre à la problématique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

2.1 Schéma illustrant les travaux de Luckiesh & Guth (1949) sur

l"impact de la position d"une source sur l"éblouissement d"in- confort. Trois positions d"une même source sont représentées dans un même plan (xy) orthogonal à la ligne de vision de l"observateur. Chaque source est positionnée avec la même excentricitéθS, sur un axe spécifique : sur un axe horizontal (Shz), sur un axe diagonal (Sdiag) ou sur un axe vertical (Svt). La distancedobscorrespond à la distance entre l"observateur et le point de fixation placé sur le plan (xy). . . . . . . . . . .42

2.2 Résultats des travaux de Kim & Kim (2010). Il s"agit de la

distribution de quatre courbes iso-gênes (I, II, III et IV) sur l"ensemble du champ visuel de l"observateur. Elles sont ob- tenues pour quatre valeurs deLS(LS= 3000cd/m2pour la courbe I;LS= 5000cd/m2pour la courbe II;LS=

10000cd/m2pour la courbe III;LS= 30000cd/m2pour

la courbe IV) et pour une luminance de fond de la scène vi- suelleLb= 34,3cd/m2. Le facteur appelé "Angular distance [°]" désigne l"excentricité de la sourceθS, celui appelé "Radial angle [°]" désigne l"angle?Sde la source par rapport à l"axe horizontal passant par le point de fixation de l"observateur (i.e.?S=ξS-π2 [2π]). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .44

2.3 Exemple d"une scène visuelle en situation d"éclairage public.

Si on regarde le point de fuite, on voit que pour cette confi- guration des luminaires, l"angleξSest constant. . . . . . . . .45

2.4 Graphes issus des travaux de Benz (1966) qui ont été rappor-

tés dans l"article de (Einhorn, 1991). Les courbes représentent l"évolution de la luminance moyenne au BCD

1de la source en

fonction de son angle solideωS, pour deux valeurs d"excentri- cité : à gauche,θS=0°et à droite,θS=10°. . . . . . . . . . .47 3

4TABLE DES FIGURES

2.5 Schéma d"une matrice LED qui montre des LEDs séparées

par une même inter-distance (ou pitch). . . . . . . . . . . . . 51

2.6 Schéma du dispositif expérimental issu de l"article de de Boer

& Schreuder (1967). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

2.7 Simulateur de Fry. En haut, la photographie issue du rapport

d"Anantha (1982) montre le disque du simulateur laissant ap- paraître une spirale lumineuse. En bas, le schéma issu du rapport de Hussain (1985) décrit les différents éléments du simulateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

2.8 Graphe extrait des travaux de Irikura et al. (1998), représen-

tant les valeurs moyennes derIrikura(cf. Eq. 2.3) en fonction de la fréquence de clignotement de la source, vue sous diffé- rentes luminances de fond. La courbe continue est une courbe de régression. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

2.9 Forme de la cible permettant d"assurer un meilleur maintien

du regard des participants (Thaler et al., 2013; Lee et al., 2017). 71

2.10 Exemple d"escalier psychophysique faisant apparaître l"évolu-

tion de l"intensité d"un stimulus jusqu"à se stabiliser autour d"une valeur seuil. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

2.11 Luminance de la source au BCD en fonction de sa durée d"al-

lumage. Ce graphe est extrait des travaux de (Ahmed & Ben- nett, 1978). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

2.12 Schéma détaillé de la démarche générale qui vient compléter

la Figure 1.1 avec les choix retenus suite au bilan de l"état de l"art (cf. Section 2.4). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

3.1 Schéma du scénario d"éclairage public à l"instant initialt=

0s. En haut, une vue de profil de la scène; en bas, une vue

de dessus. Le véhicule roule à vitesse constanteVobssur une voie rectiligne de largeurLvoie. Pour une raison de clarté, seuls trois luminaires sont représentés (NS= 3). Ils ont une hauteurh, une avancéea(i.e. la distance entre le fil d"eau et le luminaire) et sont séparés par un espacemente. Les yeux de l"observateur sont à une hauteurheyepar rapport au sol et à une distanceleyepar rapport au fil d"eau. Illustration du véhicule tirée de :https ://drawingdatabase.com/nissan- skyline-r-32-gtr/. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .95

3.2 Exemple de l"évolution de l"excentricité de chaque luminaire

présent dans le champ visuel en fonction du temps. Les valeurs numériques utilisées pour le calcul sont présentées dans le Tableau 3.1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97

3.3 Exemples des variations périodiques de l"excentricité des cinq

luminaires les plus proches de l"observateur à chaque instant t. Ce graphe est fondé sur celui de la Figure 3.2. . . . . . . .98

TABLE DES FIGURES5

3.4 Exemple de signal périodique de l"évolution temporelle de

l"excentricité du luminaire le plus proche de l"observateur. Il est obtenu à partir de l"exemple de la Figure 3.3. . . . . . . . 99

3.5 Grandeurs géométriques permettant de calculer l"angle solide

du luminaireωluminairevu par l"observateur à chaque instant t. Pour simplifier le calcul, la surface lumineuse est supposée circulaire de diamètre∅luminaireavec une inclinaison nulle (i.e. de normal verticale dirigée vers le bas). Elle est vue avec une taille angulaire égale à2αluminaire. . . . . . . . . . . . . . . .100

3.6 Exemple de l"évolution temporelle de l"angle solide de 10 lu-

minaires. Les valeurs des grandeurs utilisées pour cet exemple sont issues du Tableau 3.1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101

3.7 Exemple des variations périodiques du luminaire le plus proche

de l"observateur. Ce graphe a été obtenu à partir de l"exemple de la Figure 3.6. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101

3.8 Caractéristiques géométriques du luminaire. Les anglesγeye

etCeyepermettent de décrire la distribution photométrique du luminaire vers les yeux de l"observateur. . . . . . . . . . . 102

3.9 Exemple des variations temporelles de la luminance issue de

10 luminaires identiques. Les valeurs des grandeurs utilisées

sont répertoriées dans le Tableau 3.1. Pour tracer ce graphe, la fiche technique du luminaire "THORN 96265146 ISARO

24L35 NR EFL 730 CL2 MA60 [STD]" a été sélectionnée sur

le logicielDialux 4.13. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .103

3.10 Exemple des variations périodiques de la luminance issues du

luminaire le plus proche de l"observateur. Ce graphe a été obtenu à partir de l"exemple de la Figure. 3.9. . . . . . . . . . 104

3.11 Exemple des variations temporelles de l"éclairement vertical

au niveau des yeux de l"observateur provenant de 10 lumi- naires. Le calcul d"éclairement dû à chaque luminaire est réa- lisé à partir de l"Eq 3.5 et des exemples présentés sur les Figures 3.2, 3.6 et 3.9. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105

3.12 Exemple des variations périodiques de l"éclairement vertical

total au niveau des yeux de l"observateur sous éclairage pu- blic. Cet exemple est calculé à partir des profils périodiques présentés sur les Figures 3.4, 3.7 et 3.10. . . . . . . . . . . . . 106

3.13 Grandeurs géométriques permettant de calculer l"espacement

apparenteeye(en °) à chaque instantt. L"excentricité des luminaires est supposée inférieure àθmax= 20°. . . . . . . .108

3.14 Évolution temporelle de l"espacement apparent entre deux lu-

minaires visibles consécutifs. Pour établir ce graphe, les va- leurs numériques présentées dans le Tableau 3.1 ont été utilisées. 109

6TABLE DES FIGURES

3.15 Schéma du scénario d"éclairage automobile (vue de dessus à

l"instant initialt= 0s). Le véhicule de l"observateur roule à vitesse constanteVobssur une voie rectiligne de largeurLvoie. Une succession de véhicules à l"approche (tous identiques) roulent à vitesse constanteVpharesur une voie de même lar- geur, à gauche de l"observateur et de sens opposé. Illustration du véhicule tirée de :https ://drawingdatabase.com/nissan- skyline-r-32-gtr/. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .110

3.16 Exemple de l"évolution temporelle de l"excentricité des phares

gauches (en bleu) et droits (en rouge) desNVvéhicules à l"ap- proche. Les valeurs numériques utilisées pour le calcul sont celles fournies par le Tableau 3.2. . . . . . . . . . . . . . . . . 112

3.17 Exemple de l"évolution temporelle de l"angle solide des phares

gauches (en bleu) et droits (en rouge) présents surNVvéhi- cules à l"approche. Les valeurs numériques utilisées pour le calcul sont celles fournies par le Tableau 3.2. Le diamètre de la surface lumineuse de chaque phare a été pris égal à phare=0,07 m. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .113

3.18 Illustration des anglesHzetVtd"un phare par rapport aux

yeux de l"observateur, permettant de décrire la distribution photométrique de ce phare à chaque instantt. . . . . . . . . .114

3.19 Exemple de l"évolution temporelle des propriétés photomé-

triques des phares gauches (en bleu) et droits (en rouge) de N Vvéhicules à l"approche vus par l"observateur. En haut, il s"agit de l"évolution temporelle de l"éclairement vertical, dû à chaque phare, au niveau des yeux de l"observateur. En bas, le graphe présente les variations de la luminance de chaque phare au cours du temps. Le tracé des deux graphes reprend les valeurs numériques fournies dans le Tableau 3.2. . . . . . . 117

3.20 Exemple de l"évolution périodique des facteurs géométriques

des phares gauche (en bleu) et droit (en rouge) du véhicule le plus proche de l"observateur. En haut, il s"agit de l"évolution périodique de l"excentricité; en bas, il s"agit de celle de l"angle solide. Les tracés des deux graphes sont fondés les exemples proposés sur les Figures 3.16 et 3.17. . . . . . . . . . . . . . . 119

3.21 Exemple de l"évolution périodique des facteurs photométriques

des phares gauche (en bleu) et droit (en rouge) du véhicule le plus proche de l"observateur. En haut, il s"agit de l"évolution périodique de l"éclairement vertical total au niveau des yeux de l"observateur dû aux véhicules visibles; en bas, il s"agit des variations périodiques de la luminance de chaque phare du véhicule le plus proche. Les tracés des deux graphes sont fondés sur ceux des exemples proposés sur la Fig. 3.19. . . . . 121

TABLE DES FIGURES7

3.22 Grandeurs géométriques permettant de calculer l"inter-distance

apparentedeye(en degré) entre les deux phares du véhicule le plus proche de l"observateur. Illustration du véhicule tirée de :https ://drawingdatabase.com/nissan-skyline-r-32-gtr/. .122

3.23 Exemple d"évolution temporelle de l"inter-distance apparente

d eyeentre deux phares d"un même véhicule à l"approche. Cet exemple a été obtenu à partir du système de phare n°3 (CIE,

2010b) en mode feux de croisement, avec les valeurs numé-

riques présentées dans le Tableau 3.2. . . . . . . . . . . . . . 123

4.1 Schémas illustrant les quatre expérimentations traitant de

l"aspect dynamique de l"éblouissement d"inconfort. . . . . . . 130

4.2 Mentonnière utilisée durant les expérimentations. . . . . . . .

133

4.3 Quatre exemples d"escaliers psychophysiques. Pour un esca-

lier donné, chaque point correspond à un réglage de lumi- nance enregistré pour l"essai correspondant. Les réglages com- mencent tous ànessai= 0avec la même valeur initialeLini (cf. ANNEXE B) et sont compris entreLminetLmax. Les escaliers 1 et 2 sont des escaliers valides. En revanche, les es- caliers 3 et 4 sont tous les deux rejetés respectivement selon les critères de rejet 1 et 2. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137

4.4 Mouvement d"une source suivant une trajectoire circulaire à

vitesse constanteVS. Cette trajectoire est contenue dans unquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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