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1Amoebose (amibiase)
Actualités 2023
Professeur Pierre Aubry, Docteur Bernard-Alex Gaüzère. Mise à jour le 20/02/2023 www.medecinetropicale.com1. Généralités
Un rapport d'experts sur l'amoebose (nom actuel de l'amibiase), piloté par l'OMS en 1997 àMexico, définit cette parasitose comme suit :
ues, un protozoaire Entamoeba histolytica ».On distingue donc :
- des formes asymptomatiques : amibiase-infection, - des formes symptomatiques : amibiase-maladie, de localisation intestinale au niveau du colon et extra intestinale, essentiellement au niveau du foie et des poumons.2. Parasitologie
: E. histolytica, qui existe sous trois formes :- une forme kystique : le kyste, éliminé dans les selles, qui est la forme de résistance et de
dissémination,- deux formes végétatives ou trophozoïtes : trophozoïte non hématophage non pathogène
(Entamoeba histolytica minuta) -infection et trophozoïte hématophage pathogène (E. histolytica histolytica-maladie.2.2. Le cycle parasitaire est simple : le kyste, émis dans le milieu extérieur, est ingéré par
-parasite : - soit un cycle non pathogène : kyste - trophozoïte non hématophage - kyste ase- infection, - soit un cycle pathogène : kyste - -maladie.Les kystes ingérés se transforment en trophozoïtes qui se déplacent grâce à leur pseudopode
jusqu'au côlon, se multiplient, adhérent à la muqueuse par l'intermédiaire de lectines et
phagocytent des particules alimentaires et des hématies (hématophagie). A ce niveau, lestrophozoïtes libèrent des enzymes protéolytiques, cytotoxiques pour l'épithélium intestinal, à
l'origine de multiples ulcérations de la paroi (réalisant des lésions typiques en coup d'ongle et
muqueuse et sous la muqueuse), les trophozoïtes peuvent par extension des lésions ou par voie sanguine diffuser à d'autres organes (foie, poumon, cerveau...).E. histolytica histolytica, amibe hématophage, possède un pouvoir nécrosant (abcès en
bouton de chemise au niveau du colon) et par voie portale, peut atteindre le foie où elle réalise
colique, passée inaperçue dans la majorité des cas. Les autres localisations (poumon,
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23. Épidémiologie
3.1. Répartition géographique.
élevée en milieu tropical, liée aux mauvaises pays tempérés chez les immigrants et les touristes ayant séjourné dans les pays de forte endémicité, les pensionnaires des institutions de malades mentaux et les homosexuels, VIH négatifs ou positifs.3.2. Réservoir de parasites.
porteur asymptomatique, semeur de kystes.3.3. Transmission.
souillés par les excréta, les aliments contaminés (surtout les crudités) et les mouches.3.4. Prévalence. On es E. histolytica à 480 millions
de porteurs, dont 36 millions présentaient des signes cliniques et à 100 000 décès par an. On
E. histolytica
: pendant longtemps E. histolytica, amibe pathogène a été confondue avec Entamoeba dispar, amibe non pathogène (Brumpt, 1925). Elles sont morphologiquement indiscernables en microscopie optique dans les formes kystiques et les -enzymes qui a permis dedifférencier E. dispar et E. histolytica. Les techniques de biologie moléculaire ont confirmé
qu et E. dispar étaient bien deux espèces différentes. Des méthodes de diagnostic rapide basées sur la détection de copro-E. histolytica ontété développées. Le diagnostic différentiel entre ces deux espèces est important puisque
seule l'amoebose-maladie due à E. histolytica nécessite un traitement. Si les données concernant les cas d'amoebose-maladie ne sont pas contestables, le taux de prévalence est surestimé, car il est établi sur le simple portage de kystes en microscopieoptique, ce qui ne prend pas en compte le diagnostic différentiel d'espèce. L'amoebose-
maladie paraît en nette régression dans de nombreux pays, même si elle reste un véritable
problème de santé publique en Amérique centrale, dans certaines régions d'Amérique du sud,
en Inde et dans les régions tropicales du continent africain. En pratique, 10 à 20% des
personnes infectées développent des signes sévères de l'amibiase et 40 000 d'entre elles en
meurent chaque année.3.5. Physiopathologie
une baisse intestinale locale, comme une altération de la flore intestinale, une infection bactérienne intestinale, ou VIH, que la forme minuta devient la forme histolytica ou forme hématophage.4. Étude clinique
4.1.1. L'amibiase colique aiguë.
Elle réalise une dysenterie aiguë ou une diarrhée aiguë non dysentérique. La forme
dysentérique est une diarrhée glairo-sanglante afécale (crachat dysentérique) avec épreintes
% des cas).L'abdomen est sensible et le toucher rectal douloureux. L'état général est relativement bien
conservé. Le nombre de selles est limité de 5 à 10 par jour.Le diagnostic de présomption est épidémiologique et clinique. Le diagnostic de certitude est
parasitologique par les examens des selles réalisés sans délai et / ou les prélèvements sous
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3rectosigmoïdoscopie. Celle-ci permet de visualiser les lésions (classiques ulcérations en coup
prélèvements par écouvillonnage au niveau du mucus. Larectosigmoïdoscopie doit cependant être discutée : elle est inutile si le diagnostic
formes atténuées avec des selles plus ou moins sanglantes. balantidiose colique et surtoutavec les diarrhées infectieuses dues à des germes entéro-invasifs, en particulier les shigelles
et les salmonelles.Avec un
traitement efficace, " » avec présence dhématophages au long cours, observée en zone tropicale, ne devrait plus exister. Non traitée,
(ou fulminating dysentery ou amibiase zones tropicales et surtout chez les femmes enceintes ou accouchées. Quelques cas sporadiques ont été rapportés en zone non endémique. La clinique associe un syndrome anale avec expulsions de lambeaux de muqueuse colique. Le diagnostic repose sur la association amibes et -bacillaire), sur la sérologie amibienne l'examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire qui retrouve des amibes dans la paroi colique. avec colectasie, péritonite, choc septique. La mortalité en zone tropicale est proche de 100 %. ectocolite hémorragique (RCH) anti-amibien doit être prescrit avant toute corticothérapie.Cette pathologie peut être rencontrée en Afrique chez l'enfant, le diagnostic d'amibiase
maligne étant difficile à établir cliniquement en raison de la fréquence des péritonites
typhiques par perforation caecale. forme rare de l'amibiase colique rencontrée surtout dans les zones d'endémie. Laplupart des auteurs ne font état que de courtes séries ou de cas isolés. Il semble relativement
plus fréquent en Amérique latine. Cette " pseudo-tumeur » résulte de l'intensité de la réaction
scléreuse au voisinage de l'ulcération amibienne entraînant progressivement unrétrécissement de la lumière colique, pouvant aboutir à son obstruction. Elle siège par ordre
. Elle peut être inaugurale ou la radiologie et mêmel'aspect endoscopique n'ont rien de spécifique. Elle peut se révéler par des douleurs
abdominales, une diarrhée sanglante, une constipation syndrome pseudo-occlusif, une masse abdominale. L'amoebome pose le problème dudiagnostic différentiel avec le cancer colique et d'autres " tumeurs » inflammatoires coliques :
tuberculose iléo-coecale, actinomycose, schistosomiase, maladie de Crohn iléo-coecale. Le diagnostic repose sur l'examen histologique (biopsies au cours d'une coloscopie, pièce lympho-plasmocytaire avec de nombreuses amibes hématophages.4.1.4. Les formes chirurgicales : appendicite, perforations, hémorragies, abcès péri-coliques
sont des complications chirurgicales classiquesCentre René Labusquière, Institut de Médecine Tropicale, Université de Bordeaux, 33076 Bordeaux (France)
44.1.5. La colopathie post ou méta-amibienne est caractérisée cliniquement par des
symptômes colitiques (douleurs, troubles du transit) et des symptômes extra colitiques
parasitologique des selles plus une amibiase. On note la fréquence de la diverticulose colique associée.Elle est toujours secondaire à une
E. histolytica histolytica dans le foie par la
veine porte entraînant une nécrose focale, puis un abcès.4.2.1. La forme classique ou forme franche aiguë réalise la triade de Fontan :
hépatomégalie douloureuse et fébrile. - douleur e la région sous-costale droite, - fièvre : quasi constante, à 39 °C, en plateau - hépatomégalie Cette forme typique est présente dans 80 % des cas.L'état général est altéré.
Le diagnostic est évoqué cliniquement et confirmé par :- la biologie : VSH > 50, voire 100 mm à la 1ère heure, CRP > 150 voire 300 mg/L,
hyperleucocytose à polynucléaires > 12.000/mm3 à la NFS. - la radioscopie et la radiographie thoraciques, hémi-coupole diaphragmatique droite et une - , qui est le seul examen d'imagerie nécessaire et suffisant, : liquidienne pure (anéchogène, sans paroi nette, à renforcementpostérieur), mixte (échos internes non homogènes), hypo-échogène (paroi fine, sans
renforcement postérieur). Elle précise le siège (lobe droit dans 90% des cas), le nombre
(unique ou multiples), la taille (ainsi, un abcès unique du lobe droit inférieur à 10 cm guérit
plus vite que les autres). heures ou quelques jours plus tard, elle montre alors les aspects habituels.Le scanner peut être utile
surcharge pondérale). Il retrouve une ou plusieurs collections hypodenses à périphérie
-lésionnel. - l : le diagnostic est alors fondé sur la sérologie ou mieux sur la RT-PCR, qui permet de débuterimmédiatement le traitement antiamibien. Le problème du test thérapeutique au métronidazole
se pose dans un poste isolé. - : dans ce e prise de métronidazole pour éviter une amibiase cutanée spécificité au test thérapeutique. - la sérologie est apporté par les techniques sérologiques, - la RT-PCR par E. histolytica. est favorable sous traitement :Centre René Labusquière, Institut de Médecine Tropicale, Université de Bordeaux, 33076 Bordeaux (France)
5 - surveillance clinique : fièvre et douleur régressent en 2 à 3 jours, - surveillance biologique : la VSH diminue de moitié en 72 heures, surveillance sérologique après 6 à 9 mois (taux résiduels)4.2.2. Les autres formes cliniques
4.2.2.1. Formes atypiques
- selon la symptomatologie : formes atténuées où la douleur n'est retrouvée qu'à l'ébranlement
du foie, formes fébriles pures, formes ictériques fréquentes en Afrique, formes pseudo
tumorales pouvant simuler une tumeur nécrosée du foie ou un kyste hydatique, formes
suraiguës ou fulminantes associées à une amibiase colique maligne, - selon la topographie : formes pseudo biliaires, pseudo rénales, pseudo appendiculaires.4.2.2.2. Formes compliquées
péritoine, les viscères, la peau.4.2.2.3 Formes récidivantes ou à rechutes.
récidive ou une rechute, selon que la topographie est identique ou différente, peut survenir, après un traitement correct par un 5-nitro-im -infection4.3. L'amibiase pleuro-pulmonaire est en règle secondaire à une amibiase hépatique (le
couple hépato-pulmonaire) par passage intra thoracique, soit par propagation trans-phréniquepar diffusion ou par effraction en plèvre libre ou en plèvre symphysée, soit par propagation
vasculaire par effraction veineuse.4.3.1. Les aspects radio-cliniques. Quatre aspects radio-cliniques sont décrits :
- les pneumopathies amibiennes non abcédées, systématisées (lobe inférieur droit, lobe
moyen droit) ou non systématisées, - les abcès du poumon, - les pleurésies amibiennes, se compliquant de pyothorax, - les fistules hépato-bronchiques.4.3.2. Le diagnostic.
sérologique.Trois sont classiques :
4.4.1. La péricardite amibienne
gauche, diagnostiquée par échocardiographie, mettant en jeu le pronostic vital par hémodynamique ; , transmise par voie hématogène à partir dutomodensitométrie cérébrale, sérodiagnostic et PCR, à distinguer de la méningo-encéphalite
primitive à amibes libres ; mibiase cutanée, réalisant une ulcération délabrante. La peau est contaminée le plus souvent par effraction, de façon endogène ou exogène. La localisation est directementliée au mode de contamination : au niveau de la région ano-génitale, siège le plus fréquent,
; au niveau de la paroi abdominale parfistulisation à la peau des lésions parasitaires intestinales ou hépatiques, ou iatrogène, après
intervention chirurgicale ou ponction. Le diagnostic de certitude est porté sur la présence
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6 D'autres localisations sont plus rarement rapportées :- amibiase splénique primitive, de diagnostic préopératoire difficile, révélée par des douleurs
de l'hypocondre gauche dans un contexte septique. Le diagnostic repose sur l'échographie abdominale et la sérologie, - amibiase du pénis : l'amibiase pénile est diagnostiquée chez les hommes homosexuels, les personnes qui pratiquent le sexe ano-génital ou les immunodéprimés. Le diagnostic est celui des ulcérations génitales. La biopsie est indispensable pour isoler les trophozoïtes.5.1.1. Examen parasitologique des selles au microscope : ex
Au laboratoire, le prélèvement est traité en 3 temps lamelle pour recherche des formes mobilE. histolytica histolytica, examenaprès coloration (lugol, méthionate Iode formol [MIF]) qui permet une meilleure étude
morphologique des trophozoïtes et des kystes, techniques de concentration qui permettent de concentrer les kystes, mais détruisent les formes végétatives. L'examen parasitologique desselles permet le diagnostic de certitude d'E. histolityca lorsqu'il met en évidence des
trophozoïtes hématophages.5.1.2. Lorsque l'examen parasitologique des selles met en évidence des kystes ou des
trophozoïtes non hématophages, il est impossible de distinguer E. dispar et E. histolytica ce E. histolytica par ELISA au niveau des selles permettant de différencier E. histolytica et E. dispar (kystes, trophozoïtes non hématophages). Le développement de techniques moléculaires spécifiques (PCR temps réel) pour parasites (Giardia,Cryptospoiridium
Plusieurs techniques sérologiques sont utilisées : immunofluorescence (IFI), ELISA, électrosynérèse. Il faut demander 2 techniques sérologiques complémentaires : - : ELISA, HAI, test au latex - les antigènes figurés : IFI (plus adaptée au suivi thérapeutique). Gal/GalNAc spécifique par technique ELISA) et par la RT-PCR.5.3. Stratégies
- en cas de découverte de kystes chez un sujet asymptomatique, rechercher des copro-E. histolytica,
- E. histolytica, ; si kystes ou trophozoïtes non hématophages, rechercher les copro- E. histolytica : si recherche positive, amibiase intestinale aiguë, si recherche négative : rechercher une autre cause de colite. - amibiase tissulaire : demander les réactions sérologiques, si positivestissulaire, si négatives : sérologie à renouveler 7 jours plus tard, le malade étant traité.
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76. Traitement médico-chirurgical
6.1. Médicaments amoebicides
6.1.1. Amoebicides tissulaires et de contact. Ce sont les 5-nitro-imidazolés :
- métronidazole (FLAGYL®, comprimés, solution buvable, solution injectable pour perfusion) - tinidazole (FASIGYNE®, comprimés) - ornidazole (TIBERAL®, comprimés, solution injectable pour perfusion) - secnidazole (SECNOL®, microgranules, sachet dose)Le chef de file des 5-nitro-imidazolés est le métronidazole. Après administration per os, au
moins 80 heure. La demi-vie plasmatique est de 8 à 10 heures. Sa diffusion dans les tissus et liquides -maladie, toutes les atteintes viscérales complémentaire (drainage : ponction, chirurgie). La posologie est de 40 mg/kg/j en 3administrations quotidiennes, de préférence par voie orale. La voie intraveineuse est réservée
toléré. Il est for contre- périphérique. -furoate de diloxanide (ENTAMIZOLE®) serait mieux tolérée que le métronidazole seul.6.1.2. Amoebicides uniquement de contact
Divers produits (oxyquinoléine, diphétarsone, tiliquinol) utilisés pendant de longues années ont
été retirés du marché. Le tiliquinol+tibroquinol2019. disponible que la paramomycine (HUMATIN®) sous ATU.
6.2. Indications
E. histolytica
Amoebicides de contact : INTETRIX®, 4 gélules par jour en 2 prises pendant 10 jours, d'unepart pour éviter le passage à une forme invasive chez le porteur, d'autre part pour prévenir la
contamination de l'entourage par transmission féco-orale.6.2.2. Amibiase colique
- aiguë : 5-nitro-imidazolés per os (FLAGYL®, 1,5 g/j en 3 prises pendant 10 jours,
FLAGENTYL® 1,5 g/j en une prise pendant 5 jours ou SECNOL® 2 g en prise unique), - maligne : 5-nitro-imidazolés injectables (FLAGYL® ou TIBERAL®), antibiothérapie, réanimation, surveillance médico-chirurgicale,- amoebome : 5-nitro-imidazolés (FLAGYL®, 1,5 à 2 g/j pendant 10 à 20 jours) avec
surveillance clinique et endoscopique. En cas de forme compliquée d'occlusion, d'hémorragie grave ou de péritonite par perforation, l'intervention chirurgicale s'impose. La chirurgie est également indiquée en cas de non rétrocession de la tumeur par les anti-amibiens du fait duquotesdbs_dbs43.pdfusesText_43[PDF] actualité économique de la semaine PDF Cours,Exercices ,Examens
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