[PDF] Le Surréalisme Robert Desnos « Les gorges froides »





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Corps et biens R Desnos

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maîtrise de la langue

Parole vive est un projet de mise en voix et en espace qui a creusé un sillon dans l'académie Espaces du sommeil de Robert Desnos Corps et biens.



Corps et Biens

LES ESPACES DU SOMMEIL . I LA VOIX DE ROBERT DESNOS . ... Tandis qu'un chien troublait mon sommeil et la messe. Qui par rauques abois



Le Surréalisme

Robert Desnos « Les gorges froides » in Destinée arbitraire et « Les espaces du sommeil » in Corps et biens. Paul Eluard



Gabriel Dufay Robert Desnos

numéro des Cahiers de l'Herne sur Robert Desnos. J'ai tant rêvé de toi » « Les Espaces du sommeil »



Le Merveilleux surréaliste de Robert Desnos

L'Evolution pobtique de Robert Desnos (Bruxelles: Palais des Acad6mies ouvrage charnus" et ses "floraisons phosphorescentes" ("Les Espaces du sommeil



Séance 5 : Lamour rêvé Parfois lamour nest quun rêve… Le rêve

du poème rappellent les thèmes du rêve et du sommeil. Robert Desnos



Untitled

Association agréée par l'Education Nationale & Jeunesse et Sport du val de Rhône. Espace Carco 20 rue Robert Desnos • 69120 Vaulx en Velin.



Le rêve dans le surréalisme : vers une nouvelle conception de soi et

peu après Robert Desnos tombe une fois de plus dans le sommeil. vif que l'espace et le temps se transmettent à travers l'infini et l'éternité »183.



Corps et Biens - bibliotheque-numerique-romandech

Dont les baisers malsains moisiront votre chair Dans leur taverne basse un orchestre tzigane Fait valser les péris au bruit lourd de la mer Navigateurs chantant des refrains nostalgiques Partis sur la galère ou sur le noir vapeur Espérez-vous d’un sistre ou d’un violon magique Charmer les matelots trop enclins à la peur ?

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LITTERATURE VIVANTE

Collection dirigée

par Paul Désalmand

Alain Lewi

Le surréalisme

André Breton

Pierre

Bordas et fils, éditeur

7, rue Princesse 75006 Paris Retrouver ce titre sur Numilog.com

REFERENCES DES PROPRIETES LITTERAIRES

Editions Gallimard

André

Breton / Philippe Soupault, Les Champs magnétiques.

André Breton,

" Ma femme à la chevelure... » issu de " L"Union Libre » et " Tournesol » in

Clair de Terre, collection Poésie.

Louis Aragon, Le Paysan de

Paris.

Robert

Desnos, " Les gorges froides » in Destinée arbitraire et " Les espaces du sommeil » in

Corps et biens.

Paul Eluard, " Le miroir d"un moment » et " La courbe de tes yeux... » in Capitale de la douleur.

Le texte

de René Char qui figure page 4 de couverture est extrait d"un poème intitulé " Tu as bien fait de partir, Arthur Rimbaud ! » in Fureur et mystère.

Jean-Jacques Pau vert

André

Breton, Manifeste du surréalisme et Poisson soluble.

REFERENCES

DES ILLUSTRATIONS

Page

8 : d"après Gaïtis.

Page

13 : gravure sur bois de Valloton intitulée A vingt ans.

Page 16

: Le cri d"Edward Munch. Page

31 : portrait d"André Breton (cliché Roger-Viollet).

Page

62, 63, 69 : dessins de Man Ray. © A. D. A. G. P.

Page

71 : L"Extase de Georges Malkine, paru dans La Révolution surréaliste n° 7

(15 juin 1926).

Page 77

: Portrait d"Aragon par Henri Matisse. Page

83 : dessin de Man Ray. © A. D. A. G. P.

Page

90 : Prostitution universelle de Picabia. © S. P. A. D. E. M.

Pages

97, 101, 128 : dessins de Man Ray. © A. D. A. G. P.

Pierre Bordas et fils, 1989. ISBN 2-86311-190-6 Retrouver ce titre sur Numilog.com

De nouvelles frontières

Après

l"épanouissement du romantisme, après que Baudelaire et

Rimbaud

eurent entamé la première grande révolution du langage et qu"Apollinaire eut donné les plus belles efflorescences de l"héritage symboliste, apparut le surréalisme. Ce mouvement dépassa, pour notre émerveillement, tout ce que l"on pouvait attendre, tant il repoussa loin les frontières de l"univers poétique : celles de tous les arts et, d"abord, celles du langage, premier champ d"application de notre liberté et premier outil de recréation du monde. Mais les surréalistes ne se sont pas contentés d"emprunter les voies de l"art et de la littérature dont ils refusaient les règles convenues, les jeux et les mensonges. Plus engagés dans la quête du bonheur humain, ils ont voulu montrer l"homme dans sa totalité jusqu"alors trop méconnue, et, pour que cet homme nouveau puisse assurer son

épanouissement,

ils ont élargi leurs recherches et étendu leurs activités la politique, convaincus qu"une nouvelle " déclaration des droits de l"homme » devait s"accompagner d"une nouvelle définition de la société.

Enfin,

sûrs de la profonde noblesse de leurs choix, ils ont com- mencé, pour eux-mêmes, dans la plus grande des passions et dans la fureur souvent, la révolution de leur propre vie. Cet immense projet, qui laissa parfois, sur le chemin, des égarés dont le destin fut tragique, ne se mit pas en place sans difficultés. Il fut, en dépit du génie personnel d"André Breton, son conducteur, attaqué durement par les tenants des traditions ou de tous les ordres établis anciens et nouveaux, comme le communisme dont les surréalistes avaient

partagé, un temps, les idéaux. Les hommes veulent bien tracer de nouvelles frontières mais il est

plus facile d"obtenir l"assentiment général pour envoyer un astronaute sur la lune que de " changer la vie » ou de faire reculer d"un pouce telle idée que le plus grand nombre croit éternelle, comme le patriotisme par exemple. A cause de cela, le surréalisme, en tant que mouvement de contestation,

appartient toujours à notre présent. De plus, l"évo- lution de nos mœurs et l"actualité donnent raison à André Breton et à

ses amis. Que font les gouvernements en cette période de destruction des murs si ce n"est rendre les armes devant la puissance de profonds désirs humains ? Ce flamboiement de pensées et de formes qu"est le surréalisme nous donnera encore, dans un futur qui lui appartient plus qu"à d"autres, et si

nous savons rester à l"écoute de son message essentiel, des vérités indestructibles et belles. Retrouver ce titre sur Numilog.com

1

Les précurseurs du

surréalisme

André Breton

Si notre

" regard » était moins chargé de préjugés lorsque nous considérons

les peuples dits primitifs, qu"ils appartiennent à la lointaine histoire de l"humanité ou au monde actuel, nous serions très

étonnés de constater que le

judéo-christianisme et le rationalisme nous ont fait subir des pertes très importantes. En fait nous devrions plutôt parler d"amputation.

N"est-il

pas étonnant d"entendre, en cette fin du vingtième siècle, un ethnologue très connu, Jean Malaurie, déclarer devant des millions de téléspectateurs, en présence d"un Esquimau, d"un Indien et d"un

Africain en

costumes traditionnels, que nous avons beaucoup à apprendre de ces gens qui ont été si longtemps, et parfois sont encore, l"objet de notre mépris et de nos brutalités, d"entendre de cette même bouche et puis d"autres tout aussi autorisées, que notre société est " en décadence » (je cite), faute d"avoir pu trouver un équilibre, au milieu d"autres peuples qui nous forcent à remettre en question beaucoup de nos certitudes, qui revendiquent leur place et nous offrent des modèles de réussite sociale enviables à bien des égards ?

N"avons-nous pas

été nourris d"une grave illusion, renforcée par le mirage technique ? N"avons-nous pas cru être les possesseurs de " La

Vérité

», des recettes d"un bonheur qui n"aurait que faire de la nature, des aspects magiques et intuitifs de notre relation avec elle, avec nos semblables

? Et que les autres peuples n"ont plus qu"à tenter de suivre nos voies ? Retrouver ce titre sur Numilog.com

Des précurseurs très lointains

A

regarder ce que l"art primitif a produit et produit peut-être encore, on serait sans doute surpris de découvrir à quel point

convergent en lui les composantes harmonieusement distribuées de l"être

primitif, essentiellement la mentalité magique et ses efforts de communion avec le monde, la nature, et enfin les désirs qui

s"expriment en

lui. On serait aussi étonné de constater le syncrétisme de cet art en ce qu"il n"occulte aucune des " réalités » humaines.

Il y

a de fortes chances pour que l"homme primitif ait été, du point de vue des surréalistes, le premier d"entre eux. Par ailleurs, à condition d"admettre une idée chère à Rousseau, cet homme " primitif » n"est pas

encore touché par les effets pervers de la société humaine et en parti- culier du système judéo-chrétien et du rationalisme cartésien. Il est indemne, dans l"état le plus favorable à la création poétique. Une fois que fut perdue cette mentalité magique, c"est aux religieux, aux

philosophes, le moins souvent aux artistes, qu"est revenue cette lourde tâche de dire aux hommes pourquoi ils étaient dans ce monde,

qui ils étaient et ce qu"ils y faisaient. Jérôme Bosch fait partie de ceux-là.

Une expérience

significative

En 1505,

Jérôme Bosch s"engage sur le chemin d"une exploration de l"univers

caché de l"âme humaine, et aux images du monde visible substitue dans ses œuvres celles des monstres qui habitent l"homme.

La nature

" chrétienne » de sa démarche l"empêche de voir autre chose, derrière le masque des apparences trompeuses, que les laideurs qui s"épanouissent dans le royaume de Satan.

De même,

Bosch ne verra dans la folie qui fascine le Moyen Age comme la Renaissance que la preuve de la présence évidente, dans l"homme, du Malin qui le détruit. Mais déjà, cette reconnaissance d"un langage, fût-il celui du Malin, dans le comportement du fou, cette exploitation

des secrets cachés de l"âme, n"est-ce pas la preuve qu"il existe bien deux plans complémentaires qui font l"homme ? D"abord

celui

des apparences immédiatement perceptibles aux sens, puis l"autre, plus secret, que la " science » médiévale accusera d"être investi

par des forces obscures, inquiétantes. Les surréalistes y verront, tout au contraire, des trésors enfouis, plus riches de vérité que l"apparence limitée

du visible. Ils y découvriront cette part de l"homme si impor- tante qu"elle est indispensable, selon eux, à la constitution de son unité, de sa plénitude.

Il est vrai que les figures extraordinaires que Bosch peint sur sa toile ont ce pouvoir fascinant des images surréalistes, préfigurent la peinture

de Salvador Dali, à tel point que l"amateur peu averti les assimile trop vite les unes aux autres. Et si, chez Dali comme chez Retrouver ce titre sur Numilog.com

Bosch, le bizarre, par nature difficilement compréhensible, l"emporte sur la claire représentation à laquelle nos yeux sont habitués, n"est-ce pas d"abord

parce que cet inconnaissable qui est en nous ne peut se traduire avec les mots, les formes, les associations, les outils communs,

mais requiert l"invention d"un nouveau langage ? Chez Jérôme Bosch, l"expérience spirituelle, la méditation sur l"homme, prennent leur forme dans un langage particulier, une utili- sation originale des formes et des couleurs. Chez les surréalistes l"expression de l"inconscient ne pourra se réaliser, de la même manière, que grâce à une expression verbale et picturale elle aussi nouvelle.

Cependant,

les surréalistes pourront présenter une image plus promet- teuse de l"homme, plus optimiste que celle que Jérôme Bosch offre à notre regard.

Les premiers

expérimentateurs de la chimie verbale

Beaucoup plus

tard, à la fin du XVIII siècle, le marquis de Sade (1740-1814) rejettera, après Voltaire, cet héritage chrétien qui atrophie l"homme. Il rejettera surtout l"idée du caractère divin de la nature humaine, dénoncera les impasses vers lesquelles le cartésianisme engage l"humanité, et montrera, dans cet univers où l"homme est enfermé, le triomphe du mal dans des images saisissantes.

Après

lui, au début du XIX siècle, Arnim et Novalis, romantiques allemands, puis les Français Gérard de Nerval et Hugo, continuateurs d"une tradition déjà établie qui donne sa place à l"expression de la part sensible » de l"homme, tenteront, par la démarche qu"on appellera surnaturalisme » ou " voyance », une réconciliation de l"homme avec le monde par des voies nouvelles. Mais ce sont d"abord les symbolistes (voyez, dans cette même collection, l"ouvrage qui est consacré au symbolisme), Rimbaud surtout et ensuite Lautréamont dans lesquels les surréalistes recon- naissent leurs prédécesseurs essentiels, qui proposeront par leur double remise en cause du monde, et du langage qui le définit, cette clé hiéroglyphique » seule susceptible d"ouvrir la porte de l"univers oublié. Du symbolisme au surréalisme Le mouvement surréaliste s"est aussi déterminé par rapport à ses prédécesseurs plus immédiats qui furent aussi ses contemporains quelquefois. Son premier souci fut sans aucun doute de trouver un outil d"écriture, de nouvelles voies d"expression. En

1916, presque toute la poésie est héritière du symbolisme. Ce

mouvement a trouvé son épanouissement vers des voies diverses et Retrouver ce titre sur Numilog.com riches à la fois. Le symbole ouvert est devenu un véritable " outil » d"écriture. Chaque poète peut l"utiliser en toute liberté pour exprimer poétiquement le monde ou l"homme, comme sa sensibilité lui dicte de le faire.

Apollinaire,

héritier de tout ce courant symboliste dont il ne reniera rien, élargira considérablement l"arsenal des moyens poétiques, et sa poésie sera le point de convergence de l"ancien et du moderne. Le poème " Zone », qui ouvre le recueil Alcools (1913), en est sans doute le meilleur exemple.

Avec Apollinaire

nous nous trouvons devant une poésie qui résiste l"analyse tant les influences qui s"y rejoignent sont diverses, tant elle est aussi le lieu où s"exprime une richesse profonde de l"homme méconnu, dont parleront les dadaïstes et les surréalistes, illisible à l"entendement commun trop habitué à la " représentation dans des formes poétiques convenues d"un réel trop immédiatement accessible ». A cet égard les surréalistes reconnaîtront la paternité d"Apollinaire :

Breton,

en particulier, dans un article publié dans la revue L"Eventail du 15 octobre 1918. A noter aussi que lorsque, le 24 juin 1917, Apollinaire représente sa pièce Les Mamelles de Tirésias et parle de " théâtre surréaliste », Breton confère à cet ouvrage ce rôle important, comme il l"a fait pour Ubu roi d"Alfred Jarry, de contribuer à la création d"un esprit nouveau dans l"art. Il reconnaît qu"Apollinaire a été sans cesse favorable aux idées nouvelles, a manifesté une constante " horreur de la stagnation ». Mais Breton critique Apollinaire sur d"autres points. S"il admet qu"il est impossible de le passer sous silence, il lui reproche d"avoir été, sur le plan artistique, une sorte de guide qui a conduit des poètes vers la création », " dans cette espèce de terrain vague », poussé à cela par un esprit moderne » qu"il n"a jamais su définir lui-même, d"avoir été, en littérature, un " professionnel », un " spécialiste », c"est-à-dire : "... un de ces hommes dont pour mon compte j"avoue n"avoir que faire ».

L"opinion

de Breton se résume dans cette déclaration extraite de la conférence sur le " Caractère de l"évolution moderne et ce qui en participe » qu"il prononça à l"Ateneo de Barcelone le 17 novembre 1922 : Le seul intérêt d"Apollinaire est d"apparaître un peu comme le dernier poète, au sens le plus général du mot. De ce fait on l"observe avec curiosité et même on se laisse un peu charmer par cette modulation qu"on sent sur le point de finir. Tout se passe, je le répète, à l"intérieur de quelques volumes de prose ou de vers, car l"homme ne réussit à être chez lui que le valet de l"artiste... »

L"appréciation portée sur

Pierre Reverdy est beaucoup plus flatteuse. Dans cette même conférence, Breton déclare : De tous les poètes vivants [il est] l"un de ceux qui me semble avoir pris sur eux-mêmes au plus haut point ce recul qui manque tellement à Apollinaire. » Retrouver ce titre sur Numilog.com Après plusieurs années, regardant les hommes avec sans doute moins de passion donc de sévérité, il dira dans Entretiens (1953) : ... notre époque est moins avilie qu"on veut le dire. Picabia, Duchamp,

Picasso

nous restent, je vous serre les mains Louis Aragon, Paul Eluard, Philippe

Soupault,

mes chers amis de toujours. Vous souvenez-vous de Guillaume

Apollinaire et

de Pierre Reverdy ? N"est-il pas vrai que nous leur devons un peu de notre force ? »

La pensée

philosophique et scientifique Il n"y a pas que des hommes de lettres, qui entrent dans l"héritage dont bénéficient les surréalistes. Il y a aussi, contemporaine de leurs premiers " travaux », toute une pensée philosophique et scientifique qui dénonce l"échec du positivisme scientiste et du mécanisme. Henri

Bergson

attire l"attention sur les limites des théories de Spencer. Il affirme la prééminence d"une intuition naturelle de l"esprit, apte à pénétrer, plus loin que toute analyse, à l"intérieur de l"objet, pour en saisir ce qui est essentiel et permanent. Par ailleurs, toute l"activité scientifique s"oriente vers le relativisme et l"indétermination : c"est en 1913 qu"Albert Einstein publie " Le

Fondement

formel de la relativité générale », qui remet en cause toutes les certitudes scientifiques précédentes. C"est lui, Einstein, qui affirme

également que

l"imagination est plus puissante que le savoir. Il faut aussi prendre en compte les travaux de Freud qui commencent à remettre en question toute la psychologie et la psychiatrie. Les surréalistes seront les premiers à tirer de son ensei- gnement les raisons d"une nouvelle conception de l"homme que leur démarche de poètes leur avait déjà laissé entrevoir. Retrouver ce titre sur Numilog.com

Pour aller plus loin

Il faut évidemment se reporter aux œuvres de Desnos et notamment à Corps et biens qui est disponible en Gallimard / Poésie. Pour

l"étude de cet ouvrage, on trouvera une aide précieuse dans un petit livre très accessible publié aux éditions Champion : Etude de Corps et biens de

Robert

Desnos de M.-Cl. Dumas. On pourra aussi se reporter à Robert Desnos de Michel Murat chez José Corti, et au Robert Desnos de la collection " Poètes

d"aujourd"hui » chez Seghers. Dans ce livre, M. Berger défend vigoureusement

Desnos

contre ses détracteurs et notamment contre les attaques de Breton : " Un poète peut se promener dans n "importe quel cloaque, sa pureté n "est jamais en jeu. »

Voir aussi le livre de Marie-Paule Berranger déjà cité page 14, dont l"index est

très utile et permet de trouver des indications précieuses pour comprendre le travail qui se faisait dans les " ateliers de poésie » durant les années 1919-

1925.
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