[PDF] Quest-ce quun robot industriel ?





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Modélisation cinématique et dynamique du robot industriel IRB2400

robot industriel IRB2400 de l'ECAM. Ing. T. LATOUR. ECAM – Bruxelles. Simuler le comportement d'un système multicorps acquiert toute son.



IRB 1200 Un petit robot industriel à la fois compact flexible

https://library.e.abb.com/public/0e326addccda457848257da8003a753e/ABB_Robotique_Fiche_IRB1200_ROB0275FR%20HD.pdf



IRB 140 Robot Industriel

Compact puissant et rapide. Doté de six axes de travail



IRB 4600 Robot Industriel

Robot Industriel. Robotique. L'IRB 4600 est le premier-né d'une nouvelle génération de robots de précision dotés de fonctionnalités améliorées et inédites.



IRB 120 Robot Industriel

IRB 120. Robot Industriel. Robotique. L'IRB 120 est le plus petit robot jamais conçu et dernier-né de la 4ème génération de robots ABB.



IRB 260 Robot industriel

Robot industriel. Robotique. Robot industriel compact pour l'encaissage. L'IRB 260 a été créé sur la base de l'IRB 2400 robot industriel le plus populaire 



IRB 6640/ IRB 6640ID Robot Industriel

Service de machines. Soudage par points. IRB 6640/ IRB 6640ID. Robot Industriel. Robotique. IRB 6640. Un robot solide – conçu pour diverses applications.



Armoire de commande pour robot industriel

L'IRC5 est la 5ème génération d'armoires de commande robot d'ABB et établit de nouveaux standards. De conception modulaire elle est dotée du FlexPendant



IRB 2600 Robot Industriel

IRB 2600. Robot Industriel. Robotique. L'IRB 2600 est le second modèle d'une génération de robots de précision dotés de fonctionnalités améliorées et.



Quest-ce quun robot industriel ?

n appelle robot industriel un ensemble « autonome » constitué de trois éléments : – le bras ;. – l'armoire de commande ;. – le pupitre de programmation.



Executive Summary World Robotics 2021 Industrial Robots

Global robot installations are expected to rebound strongly and grow by 13 to 435000 units in 2021 thus exceeding the record level of about 422000 units achieved in 2018 Installations in North America are expected to increase by 17 to almost 43000 units



(PDF) Industrial Robotics - ResearchGate

Classic industrial robots are large bulky automated machines that typically perform repeatable routine chores inside a cage In recent years collaborative robots which in industrial contexts are designed to safely interact with human workers in factory environments without the need for enclosures



Ch 8 Industrial Robotics - Montana State University

Industrial Robot Defined A general-purpose programmable machine possessing certain anthropomorphic characteristics Why industrial robots are important: Robots can substitute for humans in hazardous work environments Consistency and accuracy not attainable by humans Can be reprogrammed Most robots are controlled by computers and can



12 Industrial robots - definition and classification

Industrial robot as defined by ISO 8373:2012: An automatically controlled reprogrammable multipurpose manipulator programmable in three or more axes which can be either fixed in place or mobile for use in industrial automation applications The terms used in the definition above are explained in more detail below:

What are industrial robots?

Industrial robots are by far the largest commercial application of robotics technology today. All the important foundations for robot control were initially developed with industrial applications in mind.

Where do Robots come from?

Most robots today can trace their origin to early industrial robot designs. Much of the technology that makes robots more human-friendly and adaptable for different applications has emerged from manufacturers of industrial robots. Industrial robots are by far the largest commercial application of robotics technology today.

What are the benefits of robots in factory automation?

The use of these machines in factory automation can improve productivity, increase product quality and improve competitiveness. Robots have been created to perform a wide variety of tasks spanning from educational robots in classrooms, to arc welding robots in the automobile industry, to teleoperated robot arms and mobile robots in space.

Why do people use robots?

The main motivation for using robots is to protect workers from burn injuries, as well as from inhaling potentially harmful fumes . In addition, due to their high precision and consistency, robots have been used for painting, gluing, adhesive sealing or spraying materials in general .

46TECHNOLOGIE

197AVRIL?MAI 2015AVRIL?MAI 2015TECHNOLOGIE19747

- Spéci?que ex : adjonction d'un rail porteur 5

Les polyarticulés sont utilisés en

majorité dans l'industrie pour tout type d'application (80 % de l'ensemble du parc). Les cartésiens sont principale- ment utilisés pour des applications de déchargement de presse et les SCARA et hexapodes pour la manipulation de pièces dans un plan. Chaque famille a, de par sa mor-phologie, une zone de travail de forme différente : - Polyarticulé 6 - SCAR A4 7 - Hexa pode4 8

Les robots se distinguent également

par la masse qu'ils peuvent porter ou l'effort mécanique qu'ils peuvent fournir. Certaines familles ne sont pas adaptées aux charges impor- tantes (SCARA, hexapodes) ; d'autres couvrent toute la gamme de poids de quelques grammes à plus d'une tonne (cartésiens, polyarticulés)4 9 Les performances en vitesse et accé-lération des robots sont corrélées à la charge qu'ils transportent. Comme vous pouvez le voir sur le diagramme 10 , l'hexapode et le SCARA peuvent monter jusqu'à 200 cycles/min avec une charge de moins de 1 kg, alors que le polyarticulé ou le cartésien portant n appelle robot industriel un ensemble "4autonome4» consti- tué de trois éléments4: - le bras - l' armoire de commande - le pup itre de programmation.

Élément mécanique principal en mou-

vement, il est appelé ainsi par ana- logie avec le corps humain. Il existe néanmoins différentes familles de bras dont certaines n'ont plus grand-chose

à voir avec un bras humain, mais rem-

plissent au ?nal la même fonction : un déplacement dans l'espace a?n de répondre aux multiples applications pouvant être robotisées. On peut citer les principales familles suivantes : - Robots SCARA 3 ou 4 axes 1 -4Robots polyarticulés (4 à 7 axes)4 2 - Spéci6que ex4: hexapode4 3 - Spéc i6que ex4: double bras44 Cet extrait de la brochure " Robot mode d'emploi » n'est qu'un chapitre d'un long plaidoyer pour ces machines, véritables vecteurs de croissance et de progrès pour l'entreprise. Destiné aux chefs d'entreprises qui n'osent pas encore investir dans la robotisation en raison d'idées reçues, ce guide a été réalisé par le SYMOP, en partenariat avec les Techniques de l'ingénieur, et avec le concours de professionnels. Publié en 2011, il partait du constat alarmant que la France ne comptait alors que 34 000 robots contre 62 000 en Italie et 144 000 en Allemagne. mots-clés machine, partie commande, partie opérative, programmation1

Robots SCARA 3 ou 4 axes

2

Robots polyarticulés (4 à 7 axes)

3

Hexapode4

Double bras

5

Adjonction d'un rail porteur

jusqu'à 1 tonne a des performances de vitesse et accélération adaptées. Pour optimiser les performances des robots en fonction de leur charge, les construc- teurs mettent à disposition des utilisa- teurs les diagrammes de charge pour chaque modèle de robot.

46TECHNOLOGIE197AVRIL?MAI 2015AVRIL?MAI 2015TECHNOLOGIE

19747
6

Polyarticulé

7 SCARA 8

Hexapode

Vitesse cycles/min

Charge robot

kg

Robots

hexapodes

Robots SCARA

Robots polyarticulés100

10 1

0,11101001000

9 Domaines d'applications des di4érentes architectures robotiques 10

Diagramme de charge

48TECHNOLOGIE

197AVRIL?MAI 2015AVRIL4MAI 2015TECHNOLOGIE19749

de la trajectoire sont calculés ou sont issus d'une simulation. Dans ce cas, les logiciels proposés permettent : - de simuler graphiquement sur PC le programme robot (vue du robot en mouvement à l'écran, véri?cation du temps de cycle) - de créer ou d'éditer les pro- grammes ; - de transférer des programmes robot du PC à l'armoire de commande.

Programmation

par auto-apprentissage

Une nouvelle fonction brevetée d'auto-

apprentissage de trajectoire par le robot pour les opérations de ?nition telles que polissage, ébavurage, pon

çage, meulage, etc., existe égale-

ment. Cette solution, qui combine le pilotage en effort du robot associé à une interface utilisateur simpli?ée, permet de diminuer de façon signi?- cative les délais et les coûts liés aux programmations, et peut être utilisée pour tous les process avec contact (métallurgie, mécanique, fonderie, plasturgie...).

La cellule se compose d'un robot avec

son armoire de commande et d'équi- pements périphériques lui permettant d'effectuer la tâche qui lui incombe 11

Parmi les équipements, on distingue4:

la pr

La programmation du robot peut

se faire de plusieurs manières, par apprentissage, en hors-ligne ou par auto-apprentissage. Il existe, pour différents métiers, des logiciels d'ap- plications dédiés (par exemple : pein ture, soudure...) prenant en compte les spéci?cités du process.

Programme par apprentissage

Les trajectoires du robot sont apprises

manuellement, c'est-à-dire à l'aide du pupitre de programmation. L'opéra- teur déplace le robot au point désiré et enregistre sa position, puis il va générer de cette façon tous les points de la trajectoire en indiquant la vitesse de déplacement et le style de trajec- toire (linéaire ou courbe...). Dans le déroulement du cycle, le programmeur intègre des appels process (exemple : allumage d'arc en soudure, fermeture d'une pince, ouverture du pistolet de peinture...). Ce type de program- mation est très courant ; cependant, comme il se fait avec le robot dans l'atelier, il nécessite l'arrêt de la cel- lule en production.

Programme hors ligne

Pour éviter les arrêts de production,

on choisira la programmation hors ligne sur un logiciel PC où les points

Souvent appelée " baie robot » par

les spécialistes, elle comporte l'élec- tronique qui va piloter le robot dans ses tâches. Elle s'apparente à un auto- mate ou une commande numérique et contient et exécute les programmes de travail du robot. Ceux-ci vont com- mander aussi bien les déplacements du robot que les relations avec les action- neurs, accessoires ou outils présents dans la cellule. Par exemple : le pro- gramme synchronisera le démarrage ou l'arrêt du pistolet de peinture avec les différentes trajectoires du bras. Il déclenchera l'ouverture de la pince au- dessus du carton et la fermeture de la pince au poste de prise de la pièce en manutention et changera les positions en fonction du carton.

L'armoire de commande du robot

est un automatisme ouvert qui peut communiquer avec différents équipe- ments via les bus de terrain ou liai- sons Ethernet. L'armoire robot est bien sûr capable de garder plusieurs programmes en mémoire qui seront simplement rappelés par leur numéro lors des changements de série de la cellule. Elle s'intègre aisément dans le réseau de l'atelier de différentes façons, e/s, bus de terrain, Ethernet.

Appelé aussi " teach pendant » ou

boîtier opérateur, il s'agit du pan- neau de commande déporté du robot qui permet d'effectuer la programma- tion par apprentissage. Il comporte généralement un écran d'af6chage, des boutons de commande et un dis- positif de mise en mouvement du robot (arrêt, départ, mouvements manuels, clavier, etc.). 11

Adjonction d'un rail porteur

12

48TECHNOLOGIE197AVRIL?MAI 2015AVRIL?MAI 2015TECHNOLOGIE

19749

Au niveau IHM, on pourra travailler :

- soit avec le pupitre de program- mation du robot. Celui-ci possède en général un petit af?chage sur lequel des interfaces " spéci?ques utilisa- teur » sont facilement dé?nissables, utilisant alors des fonctions opérateurs simples et le vocabulaire propre au " métier » de l'utilisateur. Cette solu- tion n'est toutefois pas très adaptée

à des cas complexes

- so it avec un écran déporté (tac- tile ou non) via une connexion réseau.

Cette option permet alors de mettre

en place des solutions extrêmement conviviales pour les opérateurs, et les capacités de développement sont quasi illimitées - dans certains cas, on choisira l'utilisation d'un PC pour gérer par exemple le process principal et prendre en charge l'interface homme-machine générale de la cellule.

Les robots qui opèrent dans l'industrie

demandent généralement une interven- tion humaine dans une ou plusieurs phases de leur exploitation. Il peut s'agir classiquement de la maintenance ou de la programmation, mais aussi de l'approvisionnement de la cellule, voire, et c'est un des nouveaux usages des robots, de la production en mode collaboratif.

Il convient dans l'ensemble de

ces con?gurations de garantir une intervention du personnel en toute sécurité. Comme tout équipement de production, le système robotisé devra donc répondre aux exigences essentielles de sécurité et de santé rendues obligatoires par la directive

2006/42/CE en vigueur à ce jour. En

fonction des contextes, les solutions mises en oeuvre auront un impact plus ou moins important sur les conditions d'exploitation de la cellule robotisée. au sy

Il est courant d'assurer la sécurité

du personnel en délimitant la zone de risques par une enceinte de sécu- rité qui pourra non seulement limi- ter l'accès à l'opérateur, mais aussi jouer, si nécessaire, le rôle de pro- tection contre d'autres risques liés au process (projections, éclatement,

éjection, bruit...). Cette solution est

préconisée lorsqu'il y a peu d'inte- ractions entre l'homme et le robot (chargement/déchargement des pièces, programmation, maintenance) 13

Des capteurs véri?ent la fermeture

du périmètre et, lorsque l'accès est ouvert, les énergies sont coupées de manière à éliminer tout danger.

Le redémarrage de l'installation

nécessite le suivi d'une procédure spéci?que.

Il est également possible de prévoir

des zones d'interaction qui peuvent permettre jusqu'à une collaboration entre l'homme et le robot 14

Les risques encourus par l'opéra-

teur devront dans ce cas être identi?és et maîtrisés par la mise en oeuvre de dispositifs de sécurité et de protec- tion appropriés (exemple : barrières immatérielles). - les préhenseurs (pince, aimant, ventouse, changeur de main...) ou outils de process (fraise, torche de soudage, pistolet de peinture...) - l'alimentation et l'évacuation des pièces (convoyeur, caisses, bols vibrants...) ; -4les machines ou outils de process (presse, machine-outil...) ; - les capteurs (vision, capteurs d'effort...) qui donnent des sens au robot. •Les capteurs d'effort vont per- mettre de contrôler (limiter) leur effort via l'asservissement des moteurs, très utile, par exemple pour insérer un axe dans un alésage. •La vision est un équipement de plus en plus associé au robot. Elle permet, entre autres, des opérations de contrôle de pièce, de détection de position, de tri de pièces bonnes ou mauvaises. •Un automate programmable n'est pas obligatoirement néces- saire, car l'armoire du robot est capable de gérer son environne- ment. Pour différents besoins, un automate externe peut être ajouté (par exemple4: utilisation en mode dégradé de la cellule, standardisa- tion de l'interface...)4 12

Comme dans toute machine ou outil

de production, il s'agit d'une fonction essentielle pour une bonne utilisation, ef?cace, avec des risques d'erreurs minimisés. 1314

50TECHNOLOGIE

197AVRIL?MAI 2015

4616977598916024

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Un accès rapide et permanent

à la

recherche entre l'homme et le robot sous forme de dispositif d'assistance au geste.

On utilise le terme de cobotique pour

parler de cette forme de robotique collaborative. Si ces systèmes sont encore peu employés en production industrielle, des manipulateurs industriels, dont le fonctionnement est fondé sur le principe de l'assistance au geste, sont exploités dans l'industrie depuis plusieurs années.

Des systèmes cobotiques ergono-

miques capables d'assister les gestes opérateurs dans les opérations de pro- duction dif?ciles sont développés par plusieurs constructeurs nationaux. ■

à réaliser, la solution robotique peut

être de proposer un travail collaboratif

Les dernières évolutions des normes

de sécurité (EN 10218-1, EN 10218-2,

EN 13849) autorisent des solutions

nouvelles de sécurité telles que4: butée logicielle de sécurité, protection périmétrique réduite, arrêt sans sup pression des énergies, console sans

6l, accès sans demande préalable...

Ces évolutions permettent de s'af-

franchir de barrières physiques trop fermées en pro6tant des fonctionna- lités offertes par les matériels et logi ciels de dernière génération.

Dans des contextes de productions

plus variées, on peut ainsi accéder au robot de manière répétée lors des changements de série, mais aussi lors de l'approvisionnement du poste. Dans d'autres cas, les volumes de production ou la complexité des tâches à réaliser peuvent justi6er une automatisation partielle du procédé en laissant la charge de certaines opérations com- plexes à l'opérateur.

Désormais, il est envisageable

d'adapter la vitesse de déplacement du robot et même d'arrêter ou de remettre en marche en automatique le système en fonction de la position de l'opérateur4 15 de pr

Dans les contextes de production où

l'amélioration des conditions de travail et la grande variété des opérations se combinent à la complexité des tâches

Le SYMOP

Le Syndicat des machines et technologies de production représente un secteur d'activité

stratégique pour la compétitivité de l'industrie et de l'économie française, les machines

et technologies de production. C'est l'un des principaux syndicats professionnels a?liés

à la Fédération des industries mécaniques (FIM). Son rôle est de représenter les profes

sions réunies en son sein a?n de faciliter le dialogue entre professionnels et transmettre les messages de la profession vers les interlocuteurs extérieurs (secteurs clients, médias, pouvoirs publics...). Le SYMOP as sure une veille informationnelle et prospective. Il aide les diri geants d'entreprises et leurs équipes à optimiser leurs projets en France comme à l'international. Il permet aussi de mener des projets innovants pour améliorer encore la visibilité et la notoriété de la profession et de ses entreprises, une dyna mique boostée par l'action collective. www.symop.com

Techniques de l'ingénieur

Éditions spécialistes de l'information pour les profession nels scienti?ques et techniques, les Techniques de l'ingé- nieur regroupent 3 500 experts qui contribuent quoti diennement à développer, enrichir et mettre à jour plus de 9 000 articles et ?ches pratiques répartis dans plus de 430 bases documentaires. Ces ressources sont dispo- nibles en ligne, en téléchargement PDF et sur tablette. Plus

300 000 utilisateurs, ingénieurs, bureaux d'études, direc

tions techniques et centre de documentation sont concer- nés. La chaîne de rédaction-validation, de fabrication, et ses contrôles qualité garantissent l'originalité, l'exploitabi lité, l'expertise de chaque publication. www.techniques-ingenieur.fr e :

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