MOLECULES POLYATOMIQUES
9 déc. 2002 Une molécule polyatomique est un édifice d'atomes reliés entre eux ... la demi longueur d'une liaison 100% covalente; par exemple le rayon.
Etude théorique des collisions moléculaires réactives de type atome
13 déc. 2017 du type atome + molécule polyatomique. Présentée par ... des oxydes d'azote NOx dans la troposphère (exemple: OH + NO ? HN + O2).
Chapitre 5 Structure des molécules polyatomiques Hybridation des
Molécules polyatomiques non conjuguées formées de liaisons simples ou multiples isolées
Chapitre X Vibrations moléculaires Absorption infra-rouge et
Modèle mécanique de la molécule diatomique et modèle équivalent de la masse réduite Soit une molécule polyatomique comportant N atomes.
POLARISABILITE DES MOLECULES POLYATOMIQUES
1023101030. Pergamon Press 1973. Prinled in GreaI Brilain. POLARISABILITE DES. MOLECULES. POLYATOMIQUES: EVALUATION A PARTIR. DU MODELE DE SILBERSTEIN.
Tableau de certains ions polyatomiques Formules Constantes et
Tableau de certains ions polyatomiques. Formules. Constantes et conversions. Solubilité des composés ioniques dans l'eau à 25 °C.
LES EDIFICES COVALENTS 1. Notion de liaison chimique Les
Les édifices polyatomiques (molécules ou ions) résultent d'interactions entre Dans cet exemple la règle de l'octet est vérifiée pour l'atome d'azote N.
Calcule et visualisation des fréquences de vibrations
Nous pouvons matérialiser une molécule polyatomique par l'énergie (par exemple sous forme d'un coup de bâton) il se mettra à exécuter un mouvement ...
Énergie de vibration-rotation des molécules polyatomiques. Tables
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Quels sont quelques exemples de molécules polyatomiques
Une molécule polyatomique est un édifice d’atomes reliés entre eux par des liaisons formées par recouvrement d’orbitales s ou p Comme il a été vu précédemment les deux électrons de la liaison occupent l’ensemble du volume de l’orbitale moléculaire sans que l’on puisse leur affecter une position précise à un instant donné
MC 410 : Chimie Physique et Théorique - sorbonne-universitefr
Prenons l'exemple d'une molécule diatomique On peut en représenter la surface d'énergie potentielle dans un schéma bidimensionnel où la séparation interatomique est portée sur l'axe des x et l'énergie de liaison sur l'axe des Y (dans le présent cas la surface est une courbe) S'agissant
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Application : molécule H 2 O Prenons l’exemple de H 2 O Nous allons construire les orbitales moléculaires de H 2 O Nous parlerons de la symétrie des orbitales et des états sans traiter leurs énergies H 2 O : symétrie C 2V (E C 2 ? v ? v ’) Notons que les orbitales 1s de l’hydrogène n’appartiennent à aucune représentation
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Exemple : l’élément hydrogène comprend trois isotopes de masses très différentes : protium (99985 ) deutérium (0015 ) et tritium radioactif (env 10–7) Référence pour les masses atomiques (convention internationale I U P A C ) : la masse de l’isotope de carbone 12C (6 protons et 6 neutrons) vaut exactement 12 unités de
Comment savoir si une molécule est polyatomique ?
Toute molécule contenant plus de 2 atomes est polyatomique. Ce serait donc de l’ozone (O3), etc. Pour être honnête, je ne sais pas pourquoi, mais je peux deviner. Si nous avons un atome et un électron, nous pouvons résoudre léquation de Schrödinger à la main (par exemple un stylo et du papier ou un tableau noir et une craie).
Comment calculer la structure de Lewis d'un ion polyatomique ?
Dans une structure de Lewis d'un ion polyatomique, la somme des charges formelles de l'ensemble des atomes doit être égale à la charge totale de l'ion. Connaître les ions polyatomiques les plus courants est utile pour identifier les composés ioniques et prédire leur réactivité.
Comment calculer la charge d'un ion polyatomique ?
Dans un ion polyatomique, le groupe d'atomes liés de façon covalente porte une charge non nulle puisque le nombre total d'électrons de la molécule n'est plus équivalent au nombre total de protons. Dans une structure de Lewis, la charge totale d'un ion polyatomique est égale à la somme des charges formelles de chaque atome qui le compose.
Quels sont les différents types de molécules ?
Tout ce qui se compose de deux atomes ou plus est appelé moléculaire, par exemple loxygène (O2), lazote (N2), lozone (O3), le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), le benzène (C6H6) et bien plus comme le rotaxane ou des protéines ou des polymères. Toute molécule contenant plus de 2 atomes est polyatomique. Ce serait donc de l’ozone (O3), etc.
Université de Tunis El Manar
Faculté des sciences de Tunis
Université de Franche - Comté
THÈSE DE DOCTORAT
Spécialité : Physique
Titre :
Etude théorique de collisions réactives
du type atome + molécule polyatomiquePrésentée par
Ridha BEN BOUCHRIT
Soutenue publiquement le Vendredi, 09 Octobre 2015 devant le jury composé de : Mr.Mohamed Tahar JRAD Professeur à la Faculté des Sciences de Tunis Président Mr. Manaf ABDERRABBA Carthage-IPEST Rapporteur Mr. Thierry STOECKLIN Directeur de recherche au CNRS, Bordeaux-France Rapporteur Mr. Majdi HOCHLAF -Est Marne la Vallée ExaminateurMr. Pascal HONVAULT versité de Franche-
Comté (Besançon), France Directeur de ThèseMr. Nejmeddine JAIDANE Professeur à la Faculté des Sciences de Tunis Directeur de Thèse
1Remerciements Ce travail a été réalisé en co-tutelle entre le Laboratoire de Spectroscopie
Atomique Moléculaire et Applications LSAMA du département physique de la Franche Comté (Besançon, France) sous la direction de Nejmeddine Jaidane, Professeur à la faculté des sciences de Tunis El Manar et Pascal Honvault, -Comté (Besançon, France). En premier lieu, je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance à mon directeur pour répondre à mes durant la période de correction du manuscrit. re conseils scientifiques et pour son aide lors des missions scientifiques. troisième encadrant de thèse, Dri avec moi durant ces dernières années et pour ses conseils scientifiques très fructueux. Je lui adresse ma profonde reconnaissance et tout mon respect. Je remercie aussi Mohamed Tahar Jrad, professeur à la faculté de sciences de 2Un grand merci à Béatrice Honvault, directrice de recherche au CNRS à Besançon puis à Dijon (France), pour le temps passé ensemble pendant toute
ançon et pour les nombreuses discussions chimie quantique. Je tiens à remercier vivement Thierry Stoecklin, directeur de recherche au moi. mon travail. Je le remercie pour son soutien moral et pour le service fourni afin2014/2015.
Je remercie tous les membres du Laboratoire de Spectroscopie Atomique Moléculaire et Applications (LSAMA) du département de physique de la faculté des sciences de Tunis El Manar, en particulier Kamel, Faouzi, Ounaies et Adel pour avoir eu avec eux de riches discussions scientifiques et pour leurs encouragements durant cette longue période. pour tout ceMes remerciements à tous mes ami(e)s.
3Table des matières
Introduction générale .................................................................................................................. 7
Références ................................................................................................................................ 13
Chapitre I. ....................................... 171. Introduction ....................................................................................................................... 18
3. Approximation de BORN-OPPENHEIMER .................................................................... 19
......................................................................................... 214.1 Méthode LCAO-MO ................................................................................................... 21
4.2 Nature des fonctions de base ....................................................................................... 21
4.3 Etendue de la base ...................................................................................................... 22
4.4 Bases contractées......................................................................................................... 22
4.5 Orbitales de polarisations ou diffuses ......................................................................... 23
.......................................................................... 235.1 Méthode de Hartree Fock ......................................................................................... 23
5.1.1 Equations de Hartree-Fock ................................................................................... 24
5.1.2 Méthodes R(O)HF et UHF " Restricted and Unrestricted Hartree-Fock » ........ 26
5 .1.3 De la méthode HF au traitement de la corrélation électronique ......................... 28
5.1.4 Méthode du principe variationnelle ...................................................................... 28
5.2 les interactions de configurations ................................................................................ 29
5.2.1 La méthode Multi-Configuration Self Consistent Field (MCSCF) ...................... 30
5.2.2 La méthode Multi-Reference Configuration Interaction (MRCI) ....................... 31
6. Conclusion ........................................................................................................................ 33
Références ................................................................................................................................ 35
4Chapitre II. Méthodes de dynamique réactionnelle .................................................................. 37
1. Introduction ....................................................................................................................... 38
2. Méthode quantique indépendante du temps TIQM .......................................................... 42
2.1 Coordonnées de Jacobi ................................................................................................ 42
2.2 Théorie quantique des collisions inélastiques ............................................................. 45
........................ 46 .............. 482.2.4 Equations couplées ............................................................................................... 49
2.2.5 Conditions aux limites ; matrice S ........................................................................ 52
2.2.6 Conditions aux limites réelles ; matrice K ........................................................... 54
.................................................................................. 573.1 Hamiltonien ................................................................................................................. 58
3.2 Fonctions de base ........................................................................................................ 59
3.3 Equations couplées ...................................................................................................... 60
4. Théorie quantique des collisions réactives ....................................................................... 62
4.1 Coordonnées de Jacobi pondérées............................................................................... 62
4.1.1 Hamiltonien .......................................................................................................... 65
4.1.2 Fonctions de base ................................................................................................. 66
4.1.3 Equations couplées ............................................................................................... 66
4.2 Coordonnées hypersphériques..................................................................................... 67
4.3 Symétries du système triatomique............................................................................... 69
4.4 Représentation diabatique ........................................................................................... 70
4.5 Equations hyperradiales .............................................................................................. 73
......................................................................... 744.7 ............................................................................... 75
4.8 Analyse asymptotique, matrice de diffusion S ............................................................ 76
55. Méthode J-shifting ............................................................................................................ 79
6. Théories de capture .......................................................................................................... 83
6.1 Les interactions à longue portée .................................................................................. 83
6.2 Théorie de Langevin ................................................................................................ 85
6.3 Théorie de la capture adiabatique................................................................................ 88
Références ................................................................................................................................ 91
Chapitre III. Dynamique quantique de la réaction O(1D)+CH4 ............................................... 96
1. Introduction ....................................................................................................................... 97
2. Description de la méthode quantique indépendante du temps (TIQM) .......................... 101
3. Résultats .......................................................................................................................... 102
3.1 Probabilité totale de réaction ..................................................................................... 102
3.2 Probabilité de réaction résolue en vibration ............................................................. 104
3.3 Probabilité de réaction résolue en rotation ................................................................ 105
3.4 Probabilité de réaction en fonction du nombre quantique v' de OH pour différentes
énergies de collision. ....................................................................................................... 107
3.5 Population des états de vibration de OH par rapport à la population de la réaction de
v' = 1 pour une énergie de collision E c = 0.212 eV. ........................................................ 108à différentes énergies de collision ................................................................................... 108
3.7 Taux de réaction ....................................................................................................... 109
4. Conclusion : .................................................................................................................... 111
References .............................................................................................................................. 113
Chapitre IV. Approche théorique de la structure du système H2O2 ....................................... 116
1. Introduction ..................................................................................................................... 117
2. Géométries des points stationnaires du système H
2O2 ................................................... 120
3. Fréquences des vibrations harmoniques des points stationnaires ................................... 122
4. Propriétés des réactants, des produits et du complexe intermédiaire H2O2 ................... 123
5. Diagramme énergétique et interprétation: ...................................................................... 124
66. Conclusion ...................................................................................................................... 125
Références ........................................................................................................................... 126
Conclusion général et perspectives......................................................................................... 128
Annexe .................................................................................................................................... 130
: .............................................................. 130 : ........................................................ 131Références : ......................................................................................................................... 132
Liste des figures et des tableaux 3
Introduction générale
7Introduction générale
théorique de réactions entre systèmes neutres et radicalaires. Nous nous sommes particulièrement intéressés à dintérêt atmosphérique et astrophysique de type atome-molécule poly-atomique: O(1D) + CH4(X1A1) OH(X2) + CH3(XA2) et O(1D) + H2O (X1A1) 2OH(X2).
Les collisions réactives et non réactives entre atomes et molécules jouent un rôle clé
dans le milieu interstellaire, dans les atmosphères planétaires, mais aussi dans la physico- etc.... Pour les collisions réactives, plusdifficiles à étudier en général, des avancées majeures ont vu le jour ces vingt dernières années
suite à de nombreux travaux innovants sur ces systèmes [1, 2, 3, 38, 39, 40, 41]. Le domaine d des collisions Prix Nobel de chimie a été attribué à trois leaders de la dynamiqueréactionnelle pour leur contribution importante à la dynamique des processus chimiques
élémentaires : Dudley R. Herschbach pour ses concepts des réactions directes et indirectes [41], Yuan T. Lee pour ses mesures des sections efficaces différentielles des réactions F+H2 ;F+HD ; F+D
2 [42], et John C. Polanyi pour ses fameuses " règles » [43,44], qui montrent le
lien entre les caractér potentielle (SEP) et des distributions spatiales, de rotationnelle et vibrationnelle des produits. Citons aussi Ahmed H. Zewail qui a reçu le Prix Nobel de chimie en 1999. Iétait chimique grâce à des techniques laser ultra-rapides [45]. Enfin en 2013, M. Karplus, M. Levitt et A. Warshel ont obtenu le Prix Nobel de chimie pour leurs travaux sur la modélisation des réactions chimiques.Par opposition à la cinétique chimique qui cherche à déterminer une information
de réactions élémentaires, ladétermination des différentes observables donnant des informations détaillées sur les
mécanismes fondamentaux qui régissent une réaction : approche des réactants, ruptures des
liaisons chimiques, formation de nouvelles liaisons et donc des produits, influence des étatsIntroduction générale
8 modes de mouvements nucléaires des fragments Revenons aux deux réactions qui constituent le sujet de cette thèse pour parler tout d'abord de l'intérêt des espèces mises en jeu premier état électronique excité O(1D) est importante dans plusieurs champs de la physico- chimie. Il joue un rôle essentiel dans les mécanismes de transformations chimiques. Dans la stratosphère et dans la troposphère supérieure, métastable O(1D) qui est en quantité très minoritaire provient essentiellement de la photodissociation de 3. La altitude de 16 km par rapport à la surface terrestre (Voir figure. 1 ci-dessous).Figure. 1:
Nomenclature des couches atmosphériques dans la basse et moyenne atmosphère sur base du profil vertical de la température. L'ozone absorbe solaires comprises entre 200 et 290 nm pour atomique dans un état excité selon la réaction de photodissociation suivante: O3 + h2 + O(1D). Au laboratoire, O(1D) peutêtre obtenu par photodissociation de N
2O à 193 nm [23-25]. Sa réaction avec le méthane
(CH4) deuxième gaz responsable du réchauffement de la planète (après le dioxyde de carbone
Introduction générale
9 CO2) et la H2O) est relevée dans la chimie de la stratosphère et la troposphère,Le radical
OH est e des concentrations très faibles qui sont environ 5 ordres de grandeur plus petites que pourHO2, NO et NO2 et Cl et ClO, OH
participe à des cycles catalytiques actifs détruisant l'ozone stratosphérique. On peut écrire de
façon condensée : X + O 3 2O2 + X
Bilan net O
3 2 O2
Où X= OH, NO ou Cl.
Dans la troposphère, le radical OH hautement réactif est impliqué dans beaucoup deréactions en chaîne qui oxydent de nombreux composés atmosphériques. OH est un
NOx dans la troposphère (exemple: OH + NO HN + O2). Sa réactivitécontrôle la durée de vie de la plupart des composés organiques. Il peut tout aussi bien
inactives, ou au contraire parfois convertir des espèces inactives en espèces actives.
(OH+HCl H2O+Cl)/ (OH+CH4 H2O+CH3).La réaction O(
1D) + CH4 (X1A1) a été étudiée en utilisant plusieurs techniques
expérimentales [10-33] et approches théoriques [4-6,24, 34-37]. Les rapports de branchement à température ambiante sont disponibles pour les produits OH + CH3, CH3O ou CH2OH + H,
HCHO + H
2 et O (3P) + CH4 [10, 26-33]. A la température ambiante, 90 (+10, -20)% des
processus réactifs de O (1D) + CH4 (X1A1) conduisent à la formation de radicaux OH suivant
la voie de sortie CH3 (X2A2) + OH (X2) [10].
de collision.2OH ou de CH3O (H + CH2OH, H + CH3O) avec un pourcentage de
formation plus petit que 18% [13].Les taux de la réaction O(
1D) +CH4 (X1A1) ont été mesurés dans un intervalle de
Introduction générale
10 température de 200 K à 350 K -290 K). Ces grandeurs mesurées sont ensuite complètement faux aux basses températures. Heureusement, des méthodes théoriques peuvent donner des informations complémentaires à seules qui permettent de donner des informations fiables sur les processus chimiques difficilement mesurables ou non mesurables et de comprendre les mécanismes réactionnels élémentaires (arrachement, insertion, rôlesystèmes à plus de 3 atomes et notamment à plus de 4 atomes est un véritable défi: à la fois au
niveau de la dynamique (méthodes quasi-classiques et méthodes quantiques approchées). Lemodèle de la dimensionnalité réduite peut constituer une solution pour réduire la complexité
de ses problèmes. Ce modèle qui essaie de rester cohérent avec les observationsexpérimentales consiste à négliger certains degrés de libertés d'un système moléculaire [10,
13], c'est-à-dire les garder inactifs au cours du processus réactionnel.
Partant du fait que la voie O(
1D) + CH4(X1A1) OH(X2) + CH3(XA2) représente le
canal principal [10, 13] de la réaction O(1D) + CH4(X1A1), Miguel González et ses collègues
[4] ont considéré un modèle pseudo-triatomique qui consiste à prendre le fragment CH
3 comme un pseudo-atome de masse réduite 15 amu placé en son centre de masse. Ils ont déterminé par les méthodes de la chimie quantique la - dimensionnelles (3D-SEP) de plus basse énergie de O(1D) + CH4 reliant les réactifs avec les produits CH3 + OH et CH3O + H en passant par le minimum absolu (méthanol
CH3OH) ainsi que par le point stationnaire OHCH3. Par la suite ils ont utilisé la méthode de
trajectoire quasi-classique (quasi-classical trajectory, QCT) [36] pour étudier la dynamique de la voie réactionnelle O(1D) + CH4 3 + OH. Un très bon accord a été obtenu entre les
prédictions QCT et les résultats expérimentaux pour la distribution vibrationnelle du produit
et même pour les distributions rotationnelles pour >1, tandis que les distributions rotationnelles pour ( = 0 et 1) sont un peu plus chaudes . Pour certaines énergies de collision, les sections efficaces différentielles et la distribution en énergie de translation des produits sont correctement reproduites pour certains états ro-vibrationnels de OH(, ), alors que l'accord est un peu moins bon pour , l'énergie transférée au fragment CH3 ne pouvant pasIntroduction générale
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