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Quels sont les rapports entre la philosophie et les autres sciences ?

La philosophie étant reconnue pour une science, quels sont les rapports avec les autres sciences? A l'origine de la spéculation, les philosophes, par excès de confiance, ont cru que cette science comprenait toutes les autres, que la philosophie, à elle seule, menait à la connaissance universelle.

Quelle est la différence entre la science et la philosophie ?

Existence d'un objet propre. Il faut que cet objet soit soumis, ou à la loi d'identité, ou à celle de causalité Existence d'une méthode. La philosophie remplit ces trois conditions. Rapports entre la science et la philosophie. La science n'est pas une partie de la philosophie. La philosophie n'est pas une partie de la science.

Comment développer les rapports entre science et philosophie ?

C’est à partir d’un tel croisement de compétences sérieuses et spécialisées que les rapports entre science et philosophie pourront peut-être se développer. Aujourd’hui, on commence à aller dans cette direction grâce à un sujet culturellement et médiatiquement « chaud » comme la théorie de l’évolution.

Quels sont les rapports particuliers de la philosophie ?

Passons au rapports particuliers. Ils sont de deux sortes: la philosophie reçoit des autres sciences et leur donne. La philosophie emprunte aux autres sciences un grand nombre de faits sur lesquels elle réfléchit et qui servent à faciliter l'explication de son objet.

COMPTESRENDUS

SCIENCEETPHILOSOPHIE

TheCambridgeCompaniontoPlotinus.Ed.by LloydP.GERSON.Cambridge,Cam bridgeUniversityPress, 1996. 15 x 22,8, xIII-462p.,bibliogr.,index (Cam bridge

Companionstophilosophy).

Dansce gros volumedestine,commetous ceux de lacollection,avant tout aux etudiantsenphilosophieet auxamateurseclairesquiveulentfairele pointsurl'etat actueldelarecherchesurun et des debarsinterpretatifssur soneeuvresonteffectivementpresentes.Lloyd P.

Gerson,

responsableduvolumeet qui signel'introduction,a marque le volume desonempreinteen faisantensortequechaqueauteur,enpresentantunaspectde la Platonetala genese duneo-platonisme.Gersonlui-meme,dans sonintroduction, interrogece concept deneo-platonisme,sasignificationet sapertinence puisqu'aussi bien Plotin ne s'est pas considere commeneo-platonicienmais bien commelecontinuateuret l'exegetede Platon.Or,se direplatonicien,c'estaccepter commeeternellementvraiscertainsprincipesde laphilosophieplatonicienne,par exemplel'anteriorite fondatricede l'un sur lemultiple,l'existence de veriteseter neIlesportantelles-memessurdesentitesetemelles,le caractereparadigmatiquede ces realiteseternellesetintelligiblespar rapportaux etressensiblesou bienencore le caracterespiritueldu soiauthentiqueet le role de l'amour dansla remonteevers Dieu.Maisc'est aussiconsidererque Platonn'a pas dit le tout de tout, qu'on doit confronterlesdialoguesplatoniciensavecleurexegeseulterieure,y comprisce que ditAristotedel'enseignementoral; c'est, enfin,prolongerPlaton sur ce qu'il n'a faitqu'ebaucher,commeIefaitPlotinen III,7 sur l'eterniteet le temps.C'est d'ail leursunedesrichessesde ce volumeque d'articulersoigneusementl'originalitedes thesesplotiniennessur latraditionqui leur donne sens. Enrevanche,une plus grandereserves'imposesurlestentatives(parexemple,celledeSara Rappep. 250

274)qui,

ala suitedeRorty,veulentvoir dansPlotinunprecurseurdeDescarteset dansce Plotinuscartesianus,untheoriciende laconnaissancede soi et de la nais sancemodemedu sujet.

Unepremiereseried'etudesanalyseles divers

aspectsde lametaphysiqueploti nienne: sonenracinementdansIeplatonisme(MariaLuisaGatti),lametaphysique de l'Un (JohnBussanich),l'ordrehierarchiquedu reel(DominicO'Meara), Ie rap- Revuedesynthese:4' S.n°1,janv.-mars1999,p.175-222.

176REVUE DESYNTIfEsE, 4' S. N° 1,JANVIER-MARS1999

port entre l'ame etl'intellect(Henry Blumenthal),l'essenceetl'existence(Kevin Corrigan). Une serie suivante porte sur les questions dephysique:la nature de la realite physique (Michael Wagner), la matiere et Ie mal et subsequemment la theodi cee plotinienne (DenisO'Brien),I'eterniteet Ie temps (Andrew Smith), la connais sance et son objet (Eyjolfur Kjalar Emilsson). Enfin, un troisieme groupe d'etudes porte sur des questions qu'on pourrait appeler morales au sens large : la connais sance de soi et la subjectivite (Sara Rappe), Ie rapport del'ameet du corps (Stephen Clark), la liberte humaine (Georges Leroux), l'ethique plotinienne caracteristique d'uneethique pour un sage deI'antiquitetardive (John Dillon), la question du lan gage (Frederic Schroeder), la causalite du premier principe et la difficulte de deriver le multiple del'Unsans multiplier les mediations (Cristina d'Ancona Costa) et, enfin, une admirable etude de John Rist qui etudie la question controversee du neo platonisme chretien (ou del'influencespecifique de Plotin sur les auteurs chretiens des rv"etv"siecles) en adoptant sur ce sujet une position minimaliste. Le tout est suivi d'une bibliographie de vingt-deux pages mais ou manquent trop de travaux importants des dernieres annees, ecrits en francais il est vrai - ainsi, les articles de Jean-Louis Chretien (surl'analogiechez Plotin ou sur "Le bien donne ce qu'il n'apas»),le livre de Jerome Laurent surLesFondementsdeLanatureseLon Plotin,les articles de Jean-Marc Narbonne sur la question de lacausasui...;de meme que certains travaux evoques dans le cours des articles (I'etude d'Alain Eon sur les principes del'exegeseplotinienne ou Hadot 1994, probablement la traduc tion commentee publiee au Cerf du traite 9) sont absents de cette bibliographie. Viennent ensuite un index des passages cites (de Plotin oud'autresauteurs anti ques) et, enfin, un index des noms et des principaux themes traites, index qu'on sou haiterait plus complet notamment pour les themes (par exemple, pas de reference a immanence, un theme qui intervient pourtant a de nombreuses reprises dans la pre sentation de la metaphysique plotinienne). Cet ouvrage clair, remarquablement informe, precis sans etre pedant, est a recom mander largement au-dela du cercle des etudiants de philosophie anglophones.

Jacqueline

LAGREE

formationdefamecaniqueclassique.Paris, Albin Michel, 1996. 12,5 x 19,

511 p., index, bibIiogr. (Bibliotheque del'Evolutiondel'humanite,23).

Un ouvrage majeur connait enfin une nouvelle edition, dans un format dont la pagination respecte celIe de 1968, avec une bibliographie complete des etudes gali leennes contemporaines. Cette publication met un terme al'intolerablesituation de penurie qui touchait un authentique classique de I'histoire des sciences, voire de l'histoirede la philosophie. S'agissantd'unouvrage aussi connu, il sera moins question icid'enanalyser les contenus avec precision qued'indiquerles raisons de son actualite et de sa per tinence. Publier cet ouvrage en 1996 est deja en soi un acte dont il faut evaluer la

COMPTESRENDUS177

significationet lavaleurderesistanceoud'oppositionfaceala prise enchargede l'histoiredes sciencesparce quel'onnommera,engeneral,uneapprochesociolo gique.MauriceClavelinlui-memese charge depreciser,dans uneprefaceala secondeedition,le sensde cegeste,enrevenantauxsourcesde sa proprecompre hensionde l'histoiredessciences,"dontla tacheestderendreintelligiblel'inven tion et Ie voiesde cette inventionet decedeveloppement» (p.II).Lareferenceest iciaune reconstructioninternede l'acte d'inventer, ce demier etant pose comme l'objet proprede l'histoire dessciences,paroppositionaux"marges»OUsemouvraient developpementde lascience,c'est doneanouveaudemeurersursesmarges[nous soulignons];c'est en memetempsreveniraunusagepassablementobscur de l'explication causale,et pour finir diluer laconnaissancescientifiqueparmi les autres formesde l'activitehumaine»(ibid.).Clavelincite alorsen note l'ouvrage qu'il acodirigeavec RaymondBoudon,Le Relativisme est-ilresistible?(Paris, PressesuniversitairesdeFrance,1994),ouvragedanslequelil avait eu1'occasion grammefort» est,danscedemierouvrage,distingueeavecsoind'une"sociologie scientifiquede laconnaissance,celle qui sans seprendrepour lasciencede la sciences'efforce toutsimplementdeprocederalafacond'une science»(ibid., p.247). Onpeutregretterquecettedistinctionne soitpasaussibienmarqueedans la secondeeditiondeLa Philosophie naturelle de Galilee.Clavelinne justifiepas, enparticulier,la general,Or, ilfaudraitdistinguer,commecela est Ie cas dans I'ouvrage de1994, entredeuxfaconsdecomprendrel'activite de Iasociologiedessciences.Ainsi la "sociologiescientifique»(detypedurkheimien),quin'est pascondamneeparCla velin,travailleaI'elucidationde ce qui a pumotivertelleou telletheseportantsur un momenthistorique(parexempleIemythe dela"revolutionscientifique»). Son pointdevueest elaboreenconditionsdepossibilitedestheoriesscientifiques.En ce sens,sa pra tiqueestlegitimeet sedistinguedu "programme fort» de lasociologiedes sonsdesinterpretantsdel'histoirequevers l'histoireelle-meme,concuecommeun ensemblededonnees"objectives»,Lerelativismeproprementdit, celui du pro du contexteou ils seproduisent,nedispose,dansleproposdeClavelin,d'aucune legitimite: il est,litteralement,"dans» lesmarges,c'est-a-direqu'il se meutala peripheriede lascience.Lestenantsdeceprogramme(l'auteurviseessentiellement DavidBlooren1994)affirmentprecisementquelasciencetientsonprincipede ce quil'entoure, du tissu sociohistoriquequi ladetermineen luiimposantun typede discoursspecifique.Lascienceestagieparcequiestnommeicises "marges»,On saisit riequ'a occuperIeterrainde1'histoiredessciences,elleest lapromotion,enacte, d'unemethode.

178REVUE DE SYNTHESE : 4' S.N"1,JANVIER-MARS1999

Contre ce point de vue de ladeterminationsocialequimeconnaiten effet trop souvent laspecificitede I'objetscientifique,

Clavelinfait valoir lasingularitedes

doiventetre essentiellement comprisesal'interieur dusystemequ'elles contribuentafaconner. CetteperspectivesystematiqueconduitClavelinaminorer I'apport de ce qu'il considere comme laprincipaleinnovationdes etudesgalileennes: l'analyse des manuscritsrelatifs W.L.Wisan, P.Galluziou W.A.Wallacequigravitentautour de lanecessite d'ordonnerles manuscritsafinde restituerlachronologieexactede lanaissancedes conceptsgalileens,il rappellela nature"hypothetique»(p.v) de tellesrecherches, leur preferantI'ordre d'exposition " raisonne»,querepresenteIe texteachevedes Discorsi.C'est en effetdansIetextetel qu'il estimprimeoudanslesessaiscompo ses et coherentsquesontIesJuvenilia,queClavelinvoitse mettreenoeuvreIecceur dela penseeet delaphilosophiegalileennes.Neanmoins,il poseunefoisdeplus,en page IX,laquestiondeI'appartenancede cestravauxaI'histoire dessciences.La these deWallace,enparticulier,selonlaquelle

Galileen'aurait eu qu'acombiner

certainselementsd'une logique heritee de l'aristotelismezabareIlien(lamethode diteduregressusdemonstratif)avecIe"modelearchimedien»,ne semblepasper mettre,pour lui, detrancherdefinitivementIeconflitdesinterpretationsrelatives a la methodegalileenne,touratoursupposeeenruptureou en continuiteavecl'heri tagescolastique. Arguantde l'heterogeneite entre Iecontinuismed'unDuhemet celui d'unWallace, Clavelininsiste sur Ie fait que la continuiteetablie par Ie pre mierreposesur I'analysedesconceptset desproblematiquesinternes ala"science moderne», tandisquecelIequiest poseepar Iesecondnefait que"trouverhorsde

I'eeuvrela clefdela

tisee dans unedoctrineOUIe role de cesmathematiquesest nul. Sonargument ultimereposedonesur l'incoherenceconceptuelIe,I'irrationalitememede telspro jets, dont l'envergurehistoriquesedeploierait commeen vain dans unecontradic tion initialeinsoutenable. L'analyse internes'effectueen quatrepartiesquisontautantde mises al'epreuve de la methodede I'histoiredes sciencestelle queClavelinla conceit, soit "Tradi tions et travaux de jeunesse

»(p.17-178),"Lecopernicianismeet lasciencedu

mouvement »(p.179-276),"Naissance de lamecaniqueclassique»(p.277-385)et "Laraisonet Iereel» (p.387-459).Dansla premierepartie,la logiqueinternedela progressionarticulelanecessited'analyser les systemesconceptuelsqui se pre sentent aGalileepour parvenirin fineaexpliciteretadeplier les elementsde la methodegalileenne.On est conduitinsensiblementd'une logiquedu savoiraune autre,sans quesoitmiseen ceuvrelaproblematiquecontroverseede la "revolution scientifique»ou "intellectuelle

»,mais enrelevantachaque fois lesfiliationset

mutationsquiaffectentles methodesdontGalileeherite d'une antiquetradition, dont il ne modifiepas la logique (Iarecherchedeprincipesquiperrnettraientla deductiongeometriquedes lois etablies est conforrne,comme Clavelin Ie notea juste titre dansLe Relativisme est-it resistible, op. cit., art. cit.,p.234, aumodele deductifdesSeconds analytiques),maisIecontenuet lesprincipes.LechapitreIde la premierepartie est, en ce sens,remarquable,car en montrantnettementque la sciencearistoteliciennedumouvementse fond dans l'ordrecosmologiqueet enquotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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