[PDF] La construction en terre crue au Néolithique





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Caractérisation géotechnique du Complexe marno-calcaire du

15 sept. 2009 Les altérites sont des argiles (sol) au sens géotechnique du terme. Selon le banc analysé le flysch est un calcaire à calcaire marneux (roche) ...



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1 mars 2016 c. Microstratigraphie du sol construit : alternance de sols faits de limons argileux avec enduit de boue calcaire (lentilles claires).



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GDS61

Tout d'abord il faut connaître la résistivité du terrain selon sa composition. Nature du terrain. Résistivité moyenne Sol calcaire compact. 1000-5000.



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16 nov. 1977 2. GEOTECHNIQUE. 2.1. Caractères géotechniques des différents terrains. 2.2. Carte d'aptitude à la construction. 2.3. Carte des matériaux.



CONSTRUIRE EN PIERRE STRUCTURELLE 2018 EXPOSITION

La vallée du Loing présente un fort atout géologique : son sol calcaire offre d'importantes carrières de sable et de pierre. Les propriétés physiques de la 



CHAPITRE V : CHIMIE DU SOL

anions peuvent être retenus par le complexe adsorbant du sol Les sols calcaires ont souvent un taux de saturation supérieur à 80 %.



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D'autre part le marché spécialisé de la construction en terre s'organise et de fines argilo-calcaires actuellement inutilisées ! ... ESSAIS DE TERRAIN.



Bâti traditionnel et paysage

variété de calcaire allant du blanc au jaune La terre était extraite du sol après décapage de ... La pierre calcaire est une pierre de construction.



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construire une piscine sur ce type de terrain il est fortement conseillé de procéder à une étude de sol Les autres éléments du sol Les roches La présence de roches dans votre sol très fréquente en région montagneuse va considérablement alourdir votre facture puisqu'il faudra détruire cette roche à l'aide



Introduction à la construction en terre

La nature d’une terre repose sur la structure de la roche mère (calcaire granite) hydrologie le degré de transformation du sol par les humains (agriculture travaux publics) Dans la construction en terre la terre à bâtir est toujours prélevée sous la couche de terre arable en

Quels sont les terrains calcaires?

Les terrains calcaires sont ceux dévolus aux cultures céréalières et, accessoirement, à celle du maïs lorsqu'il existe à proximité des ressources en eaux suffisantes. Dans quelques endroits, le calcaire est plus massif, plus induré; ces terrains sont abandonnés à la forêt. Hormis les villes, l'habitatest de type dispersé.

Quels sont les différents types de calcaires?

Les données pétrographiques ont montré que les textures de ces calcaires sont de type grainstone et packstone dominant à Onigbolo, Fongba, Gbapodji et Djaglahoué. Le liant est essentiellement de la microsparite ou de la sparite, rarement de la micrite. Par contre à Massè, domine la texture wackstone dans un liant micritique.

Comment savoir si une terre est calcaire ?

Une terre est calcaire si le PH est supérieur à 7. Pour savoir si votre terre est calcaire ou acide, versez dessus un peu de vinaigre blanc. Selon la réaction vous pourrez identifier votre type de sol : Plus la réaction est effervescente, plus le sol est calcaire. Si la réaction est faible, le sol est neutre.

Quels légumes cultiver sur un terrain calcaire ?

Se plaisent sur un terrain calcaire le coquelicot, la matricaire (camomille sauvage), le chardon, la campanule et la chicorée sauvage. Les œillets et la Nigelle de Damas s’en accommodent également bien. Au potager, il sera nécessaire de bien amender la terre pour cultiver des légumes.

Archéopages

Archéologie et société

42 | 04-07/2015

Construire

en terre crue

La construction en terre crue au Néolithique

Un état de la question en France

Building with earth in the Neolithic in France: an overview La construcción en barro durante el Neolítico: en Francia

Ingrid

Sénépart,

Julia

Wattez,

Luc

Jallot,

Tony Hamon et

Marylise

Onfray

Édition

électronique

URL : https://journals.openedition.org/archeopages/1106

DOI : 10.4000/archeopages.1106

ISSN :

2269-9872

Éditeur

INRAP - Institut national de recherches archéologiques préventives

Édition

imprimée

Date de publication : 1 mars 2016

Pagination : 6-19

ISSN : 1622-8545

Référence

électronique

Ingrid Sénépart, Julia Wattez, Luc Jallot, Tony Hamon et Marylise Onfray, "

La construction en terre

crue au Néolithique

Archéopages

[En ligne], 42

04-07/2015, mis en ligne le 01 juillet 2017, consulté

le 02 juin 2021. URL : http://journals.openedition.org/archeopages/1106 ; DOI : https://doi.org/

10.4000/archeopages.1106

© Inrap

En France, pendant longtemps, l'usage de

la terre dans l'archite?ure néolithique a été uniquement attesté par des débris de torchis. Ces fragments, souvent brûlés, incrustés d'empreintes de clayonnage, signalent, dès le Néolithique ancien, la présence de bâtiments à ossature de bois, remplie par un mélange de terre et de végétaux. Or, depuis une vingtaine d'années, les recherches menées dans le cadre d'opérations préventives et programmées dans le sud de la France, puis dans le nord, ont conduit à réviser ce constat. Elles ont montré en effet que la terre crue est aussi employée dans la constru?ion de murs où elle assume un rôle porteur, et dans l'aménagement de sols d'habitat, dès le Néolithique ancien (Jallot, ???? ; Sénépart, ???? et ???? ; Wattez, ????). À partir du Néolithique moyen, son usage est récurrent, des rives de la Méditerranée au littoral de la Manche. Les premières découvertes en Provence et en Languedoc, dès les années ????, ont ainsi modifié le schéma d'apparition des techniques constru?ives en terre crue, jusque-là attribuées au Bronze final (Billaud, ???? ; Chazelles, ???? ; Jallot, ???? ; Wattez, ????).

Néanmoins, la déte?ion et la fouille de ces

vestiges ne vont pas de soi. Même dans les tells proche-orientaux où la constru?ion en terre crue est pourtant un fait, son dégagement reste un exercice difficile (Goldberg et Macphail, ????). Les recherches menées à partir des années ???? sur les sites protohistoriques et antiques méridionaux et sur le tell néolithique de Kovačevo, en Bulgarie, montrent que les difficultés de déte?ion dépendent de plusieurs fa?eurs : la nature des matériaux employés dans la constru?ion, le plus souvent extraits des formations sédimentaires et pédologiques du site ou des sols d'occupation, la méconnaissance des cara?éristiques des

techniques de constru?ion, la fragilité du matériau terre, dont l'érosion au cours de l'occupation puis après son abandon conduit à la formation de couches " anonymes », souvent analogues à des formations d'origine naturelle ou à des remblais (Chazelles et Poupet, ???? ; Brochier, ????).

Suivant une trame diachronique, cet article

propose un état de la recherche sur les types de stru?ures de terre crue et sur les techniques constru?ives du Néolithique français. Le propos s'appuie pour cela sur un partage d'expériences acquises à partir des problèmes soulevés par leur déte?ion et les solutions adoptées pour y remédier. L'identification et l'interprétation des structures de terre crue néolithiques : une lecture interdisciplinaire Des vestiges de constru?ions en terre ont été identifiés dans des sites dont la stratification est parfois indigente ou peu différenciée ou encore dans des stru?ures en creux. Les formes reconnues sont variables, depuis les stru?ures

évidentes, comme des segments de murs ou des

sols construits, jusqu'aux témoins plus fugaces comme des agrégats, mottes ou boulettes de sédiments distribués dans les couches massives ou non différenciées, dites " anonymes ». Leur identification et leur interprétation sont le fruit d'une réflexion interdisciplinaire, élaborée dès la mise au jour des premières stru?ures dans le Midi et consolidée au fur et à mesure de la découverte de nouveaux vestiges dans le nord de la France. Elle conjugue les méthodes de l'archéologie et de la géoarchéologie, en particulier la micromorphologie des sols.

Au cours de la fouille, la déte?ion repose sur

le repérage, en plan et en coupe, d'anomalies sédimentaires (sédiments issus de formations plus anciennes, substrat, concentrations d'éléments 6

La construction en terre crue

au Néolithique

Un état de la question en France

Ingrid Sénépart

Ville de Marseille, UMR 7264, " CEPAM »

Julia Wattez

Inrap, UMR 5140, " Archéologie des Sociétés Méditerranéennes »

Luc Jallot

université Montpellier 3, UMR 5140, " Archéologie des Sociétés Méditerranéennes »

Tony Hamon Inrap, UMR 8215, " Trajectoires »

Marylise Onfray UMR 8215, " Trajectoires »

DOSSIER7ARCHÉOPAGES 42 AVRIL - JUILLET 2015

1. Le Baratin à Courthézon

(Vaucluse) ; a. Zone sud - vue générale de la structure d"habitat ; b. les foyers (ST 8) et leur sol blanc carbonaté associé ; c. la dalle de molasse aménagée et ses sols blancs ; d. détails des trous de piquets et des placages et revêtements carbonatés.1.a b c d 8

2. Le site de la rue Bernard-

du-Bois à Marseille (Bouches- du-Rhône). a. Relevé du niveau du Néolithique ancien ; b. Le sol blanc associé au niveau du Néolithique ancien ; c. Microstratigraphie du sol construit : alternance de sols faits de limons argileux avec enduit de boue calcaire (lentilles claires). 2.a

Zones de micro-galets

Galets

Trous de poteau

Lithique

Céramique

Coquillages

Colorants et argile

Pierres rubéfiées

0 1m 0 5m bc

DOSSIER9ARCHÉOPAGES 42 AVRIL - JUILLET 2015

grossiers ou plus fins, compa?ion, cimentation ou couleur limitée dans l'e?ace, effets de parois). Elle relève de la méthode des ethno-faciès élaborée pour la le?ure des stratifications complexes du tell de Kovačevo (Brochier, ????). Elle propose une cartographie des anomalies, qui conduit à délimiter des stru?ures latentes, au sens de Leroi- Gourhan et Brézillon (Leroi-Gourhan et Brézillon, ????), et à établir les relations stratigraphiques entre les stru?ures évidentes, les sols qui leurs sont associés et leurs couches d'effondrement.

L'application de cette méthode a ainsi

remarquablement fait ses preuves sur le site de Laprade (Lamotte-du-Rhône, Vaucluse)¹, où plusieurs bâtiments en terre du Bronze final ont pu être mis en évidence (Billaud, ????). Pour cara?ériser la nature des stru?ures latentes et déterminer l'identité des couches " anonymes », l'étude est prolongée par une analyse microstratigraphique, selon les méthodes de détermination de la micromorphologie des sols (Wattez, ????). Par la suite, la compréhension des procédés constru?ifs repose sur les méthodes conventionnelles de l'archéologie du bâti (relevés, description archite?urale, étude du format et de l'assemblage des éléments) puis sur une étude technologique pour préciser la nature et l'origine des matériaux employés, leur mode de préparation, de façonnage et de mise en oeuvre. Cette approche s'appuie sur les modèles micromorphologiques

établis pour les stru?ures protohistoriques et

historiques (Cammas, ???? ; Roux et Cammas, ????). Elle est également alimentée par les référentiels proche-orientaux (Stordeur et Wattez, ????).

Les recherches fondées sur cette le?ure

interdisciplinaire montrent que le façonnage dire?, relevant le plus souvent de la terre massive comme la bauge, était le procédé constru?if communément employé au cours du Néolithique (Wattez, ???? ;

Gutherz et al., ???? ; Chazelles, ????). Les

matériaux, prélevés sur le site, sont parfois amendés par des ajouts végétaux, par de petits fragments de roche concassée ou par du mobilier. Les études soulignent également qu'à l'instar des tells de milieux arides ou plus tempérés, la stratification, même peu dilatée, résulte très souvent de l'usage de la terre crue (Wattez, ???? ;

Wattez et Onfray, ????).

Des vestiges ténus mais tangibles au Néolithique ancien en Provence et en Languedoc En l'état des connaissances, l'usage de la terre crue apparaît dès le Néolithique ancien, au e millénaire avant notre ère. Il est attesté dans le Midi de la France, où les rares habitats de plein air connus ont livré des restes d'élévations et des sols construits. La matérialité des murs est déduite des anomalies sédimentaires repérées par la fouille en planimétrie. Cette démarche, employée au milieu des années

???? sur le site du Baratin (Courthézon, Vaucluse), a permis la mise au jour d'un bâtiment à plan semi-absidial délimité par un cordon de fragments de molasse et de micro-galets, pouvant corre?ondre à une arase de mur (Sénépart, ????). Cet établissement demeure, à l'heure a?uelle, l'un des rares habitats stru?urés par des bâtiments associés à des sols d'occupation et à des aménagements domestiques (fosses, foyers, fours). Il doit sa notoriété à une grande stru?ure constituée par

des galets chauffés, bordée de trous de piquet. Cet empierrement a longtemps été assimilé à un di?ositif de combustion. Remanié à deux occasions, il est interprété aujourd'hui comme le vestige d'un bâtiment circulaire, dont la fon?ion n'est pas déterminée. Le bâtiment semi-absidial, aux murs arasés, se situe à proximité immédiate de cette stru?ure, mais leur contemporanéité n'est pas encore assurée (Sénépart, ????) [ill. 1]. C'est également à partir de cette méthode que des arases d'une paroi interne d'un bâtiment ellipsoïdal du Néolithique impressa ont été identifiées sur le site de Peiro Signado (Portiragnes, Hérault) (Briois et Manen, ????). Elles se présentaient sous la forme d'un linéament de petits galets de quartz. De grandes fosses, en partie sous-jacentes au bâtiment, témoignent d'une acquisition de la terre in situ.

Les sols construits restent les manifestations

les plus évidentes de l'emploi de la terre. L'e?ace interne du bâtiment ellipsoïdal du Baratin se distingue par une succession de trois sols, de couleur blanche, fortement cimentés. Couleur et cimentation résultent ici de l'aménagement de la surface des sols par un enduit composé de fines boues calcaires, épandues à l'état humide. Le petit bâtiment néolithique cardial, de forme absidiale, reconnu sur le site de Bernard du Bois² (colline

Saint-Charles - Marseille, Bouches-du-Rhône)

présente également un sol blanc et induré (Sénépart, ????) [ill. 2]. Ce sol a été préparé à partir de limons calcaires légèrement argileux, finement mélangés et déposés à l'état pâteux. Plusieurs réfe?ions ont été reconnues. Les vestiges de murs sont cependant fugaces, sans doute en raison des conditions taphonomiques, et rien ne permet de reconnaître les techniques constru?ives mises en oeuvre. En revanche, les modes d'aménagement des sols témoignent d'une séle?ion et d'une préparation particulière des matériaux. La fon?ion de ces bâtiments reste encore indéterminée, bien que le cara?ère domestique de celui du Baratin soit attesté par les foyers qui occupent sa partie nord (Sénépart, ????). C'est sur le site des Petites Bâties³ (Lamotte- du-Rhône, Vaucluse), que les premiers témoignages de la constru?ion par façonnage dire? ont été identifiés. Situé dans la vallée du Rhône, cet établissement du Néolithique ancien a livré de grandes excavations quadrangulaires, creusées dans une épaisse croûte carbonatée qui colmate en partie des paléochenaux tardiglaciaires (Binder et al., ????). Dans l'une de ces stru?ures, la base d'un pilier et un muret, édifiés par un ?. Fouille de Laprade,

à La Motte-du-Rhône

(Vaucluse), menée en ???? sous la dire?ion d'Yves

Billaud DRASSM.

?. Fouille de la rue Bernard- du-Bois à Marseille menée en ???? sous la dire?ion d'Ingrid Sénépart, Service archéologique de

Marseille/Inrap.

?. Fouille des Petites Bâties

à Lamotte-du-Rhône

(Vaucluse), menée en ???? sous la dire?ion de Didier

Binder (CNRS), Luc Jallot

(Afan) et Stéphanie ?iébaud (CNRS). 10

3. Le site de Jacques Cœur 2

à Montpellier (Hérault).

a. Plan des fouilles et localisation du mur en terre crue (ST4) ; b. Coupe transversale d"une briquette façonnée par modelage, fines rides de compression au contact d"un autre élément pré-formé ; c. Vue du mur en terre crue en cours de fouille à partir de l"ouest ; d. Mur en terre crue, plan et coupe longitudinale. 0 1m

Module de terre crue

Céramique

Terre crue fondue

0 20m

Limite de fouille

Silex

Céramique

Pierre

0 2m 0 2cm 3.a 3.b 3.c 3.d

DOSSIER11ARCHÉOPAGES 42 AVRIL - JUILLET 2015

mélange de sédiments et de petits blocs de carbonates, constituent les restes d'une constru?ion en terre crue (Jallot, ????). La terre à bâtir était composée de limons extraits des paléochenaux, lors du creusement des excavations. La nature des aménagements n'est pas déterminée, mais dans ce cas, l'hypothèse d'un grand bâtiment a été posée. Ces vestiges témoignent d'un concept archite?ural différent, qui n'a pas encore trouvé d'homologue

à ce jour.

La construction par façonnage direct au

Néolithique moyen : une mise en oeuvre pour

des fonctions différentes ? C'est au Néolithique moyen que sont attestés les premiers murs en bauge. Ils sont construits par façonnage dire?, au moyen d'éléments préformés, dire?ement entassés à l'état humide (Chazelles, ????). Ces restes archite?uraux ont d'abord été identifiés dans le Midi (en Languedoc, puis en Provence) et, plus récemment, dans le centre et l'ouest de la France.

En Languedoc, l'habitat chasséen de Jacques

Coeur II à Montpellier⁴ (Hérault) est établi sur les bords du Lez. Il a livré un segment de mur, de trois mètres de long et de cinquante à soixante centimètres de large, conservé sur une hauteurquotesdbs_dbs22.pdfusesText_28
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