TD dexercices type brevet. PGCD
http://www.math93.com/gestclasse/classes/troisieme.htm 3) Donner la fraction irréductible égale à ... 1°) Calculer le PGCD des nombres 675 et 375.
Programme du cycle 4
30 juil. 2020 Volet1:Lesspécificitésducycledesapprofondissements(cycle4). Le cycle 3 de la scolarité s'est achevé avec la première année du collège.
Algèbre - Cours de première année
Les calculs de cryptage se feront modulo n. • Le décodage fonctionne grâce à une variante du petit théorème de Fermat. 1. Division euclidienne et pgcd. 1.1.
Lenseignement de larithmétique en France au collège et à la
6 juin 2011 On peut constater que à l'issu de la troisième une large majorité d'élèves maitrisent un algorithme de calcul du PGCD de deux nombres
fiche de revision 1 : thales
On donne AB = 5 cm AD = 35 cm
Mathématiques Annales 2000
pédagogiques sur l'enseignement des mathématiques à l'école. ) troisième année du cycle des approfondissements. 1) Relever et analyser les erreurs des ...
Bulletin officiel spécial n° 1 du 11 février 2021
11 févr. 2021 compter de la rentrée de l'année scolaire 2021 pour les classes de ... mathématiques `a bon escient être capable de mener des calculs de ...
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partenariat que nous tissons année après année
DES PROGRAMMES DE MATHÉMATIQUES
chaque cas il s'agissait d'une première année d'application du programme. Calculer la somme de nombres relatifs en écriture fractionnaire (4N217).
Lenseignement de larithmétique en France au collège et à la
11 juil. 2013 On peut constater que à l'issu de la troisième une large majorité d'élèves maitrisent un algorithme de calcul du PGCD de deux nombres
![Lenseignement de larithmétique en France au collège et à la Lenseignement de larithmétique en France au collège et à la](https://pdfprof.com/Listes/16/35438-16document.pdf.jpg)
Année 2011
THESE DE L'UNIVERSITE DE LYON
L'UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON 1
DIPLOME DE DOCTORAT
Spécialité : Didactique des MathématiquesMaha MAJAJ
L'enseignement de l'arithmétique en France au collège et à la transition collège / lycée.ASSUDE Teresa
BATTIE Véronique
DURAND-GUERRIER Viviane
GRUGEON Brigitte
HABSIEGER Laurent
OUVRIER-BUFFET Cécile
REMERCIEMENTS
Table des matières
PARTIE 1 : ................................................................................. CHAPITRE I- Travaux didactiques sur l'arithmétique .................................. CHAPITRE II- Cadre théorique et méthodologie de la recherche..................... CHAPITRE III - Organisations mathématiques et définitions en arithmétique.... PARTIE 2 ............................................................................ CHAPITRE IV - analyse écologique des programmes de collège et de Seconde depuis 1902 jusqu'à nos jours.................................................................. CHAPITRE V- analyse écologique de manuels de 1969- 2010........................ 170PARTIE 3 ................................................................................. CHAPITRE VI- Analyse des rapports personnels des enseignants de la classe de 197
CHAPITRE VII- Analyse des rapports personnels des élèves de la classe de 263
Conclusion et perspectives ............................................................ 351
Bibliographie ............................................................................. ㌩㔩㔩
Annexes ................................................................................... ㌩㘩㔩
Introduction et problématique de la recherche
PARTIE 1
CHAPITRE I
Travaux didactiques sur l'arithmétique
" Théorie des nombres »Dans ce chapitre, nous présentons un aperçu des travaux existant sur l'arithmétique, au sens
" théorie élémentaire des nombres ». D'une manière générale, les recherches en didactique
concernant l'arithmétique sont assez peu nombreuses, en particulier en France ; on trouve cependant un ensemble assez conséquent de travaux anglo-saxons concernant essentiellement la formation des professeurs de l'école primaire. Le faible nombre de travaux français surl'arithmétique peut être justifié par le fait que l'arithmétique a été absente des programmes de
l'enseignement secondaire pendant une vingtaine d'années jusqu'à sa réintroduction en 1998.Si l'arithmétique est traitée dans les travaux anglais comme une véritable problématique dans
l'enseignement et l'apprentissage de l'arithmétique pour identifier les difficultés relatives à
ses objets, elle est, par contre, étudiée dans les travaux français pour examiner sa viabilité
dans l'enseignement lorsqu'elle était absente (Assude, 1998), et lorsqu'elle est réintroduite (Ravel, 2003). On trouve également un petit nombre de brochures publiées par les IREM qui sont consacrées à l'enseignement de l'arithmétique dans le secondaire. Dans ce qui suit, nous présentons les travaux que nous avons retenus sur l'enseignement et l'apprentissage de l'arithmétique dans les travaux anglo-saxons d'une part, et dans les travaux français d'autre part.I. Travaux anglo-saxons
Les recherches faites sur la théorie des nombres se divisent en trois catégories : - Recherches relatives à l'apprentissage et l'enseignement des concepts de la théorie des nombres tels que les nombres premiers et la divisibilité. - Recherches concernant des objets plus généraux comme la preuve et la généralisation ; ces travaux utilisent les concepts de la théorie des nombres comme un contexte. - Recherches utilisant la théorie des nombres comme moyen pour accéder au domaine affectif de l'apprenant. Nous ne présentons que la première catégorie des recherches qui sont consacréesspécifiquement à l'étude des principaux concepts de la théorie des nombres. Cette catégorie
de travaux correspond au coeur de notre étude.Chapitre I
Learning and teaching number theory: Research in cognition and instruction. » et le deuxième en 2006 sous le titre : Number theory in mathematics education ». Nous signalons que la plupart des travaux proposés ici se trouvent dans le premier ouvrage. Pour présenter cet ensemble de travaux, nous avons choisi de proposer les concepts de la théorie des nombres suivant l'organisation suivante : division euclidienne (I.1), divisibilité (I.2), Nombres premiers (I.3) , Décomposition en facteurs premiers (I.4). Ce choix de présentation ne signifie évidemment pas que nous considérons ces concepts demanière isolée. Nous allons trouver au contraire que la plupart de ces travaux mettent l'accent
sur l'articulation entre ces concepts et montrent que plusieurs difficultés rencontrées par les
enseignants en formation peuvent être mises en lien avec l'absence de connexion établie entre les concepts de la théorie des nombres. Enfin notons que le public de la plupart de ces travaux, notamment le travail de Zazkis, regroupe des enseignants en formation de l'écoleélémentaire. Nous avons choisi de les présenter, car ces recherches traitent des concepts de la
théorie élémentaire des nombres qui sont au programme de collège et de la classe de seconde
en France, et sont au coeur de notre travail de thèse.I.1 Travaux sur la division euclidienne
Nous avons retenu deux articles relatifs à la division euclidienne : Campbell (2002), Zazkis (1998). Les deux articles s'interrogent sur la compréhension de la division euclidienne chezles enseignants en formation de l'école élémentaire. Les concepts, les procédures et le langage
de la division euclidienne sont la préoccupation de Campbell, tandis que Zazkis s'estintéressée plus particulièrement à l'ambigüité lexicale de deux termes " diviseur » et
" quotient ». Dans ce qui suit, nous allons les présenter brièvement.I.1.1 Campbell (2002)
La problématique de Campbell, dans son article intitulé " Coming to Terms with Division: Preservice Teacher's Understanding »; concerne l'identification des phénomèneslinguistiques, conceptuels, et procéduraux associés à la compréhension par les enseignants en
formations du concept de la division euclidienne. Pour lui, la division est une notion à multiples facettes, elle est soumise à plusieursinterprétations étroitement liées en mathématiques. La division peut être vue comme un
Chapitre I
consacré à cette dernière notionLes données recueillies et les analyses des auteurs montrent que les participants ont rencontré
des difficultés pour traiter les problèmes proposés, difficultés que nous détaillons ci-dessous.
- Concernant les termes de la division, l'auteur a identifié deux difficultés principales Pour certains participants, le reste de la division est la partie décimale du quotient rationnel, tandis que d'autres participants ne prennent pas en compte le fait que le reste doit êtreinférieur strictement au diviseur, dans le cas où on leur propose l'écriture 21 = 2 × 9 + 3.
Chapitre I
Concernant la division euclidienne comme division théorème, l'auteur montre quetrès peu des participants ont pu identifier le couple (q, r) correspondant à la forme donnée
tandis que la relation entre la divisibilité et la division euclidienne était évidente pour les
participants. De nombreux participants répondent correctement en utilisant une méthode consistant à calculer explicitement le nombre donné, puis à effectuer la division. Dans la question proposant d'identifier le reste et le quotient de la division de A par 2 et par 6où A = 6 ×147 + 1, le reste de la division de A par 6 a été identifié par certains participants
comme une addition du quotient après avoir calculé (6 ×147)| 6 du reste (càd : le reste=147 +
1). De même, le quotient est identifié par d'autres participants dans la division de A par 2
comme une addition du quotient après avoir calculé (6 ×146) | 2 et du reste (càd : le quotient
= 3 ×147 + 1). L'auteur en conclut que ces résultats montrent que la relation entre la technique de la divisioneuclidienne et le théorème de la division euclidienne n'était pas évidente pour la plupart des
participants. - Concernant la différence entre la division des entiers et la division des rationnels,cette étude a montré que les enseignants en formation n'ont pas une compréhension adéquate
en ce qui concerne cette différence. Il met en évidence que l'usage du terme " quotient » peut
induire une confusion du fait qu'il peut avoir des sens formels différents selon que l'onconsidère ce terme par rapport à la division des entiers ou à la division des rationnels, ceci
devant être croisé avec le fait que ce terme a également différents sens conceptuels, selon que
l'on considère la division partition ou la division quotition.Chapitre I
Il n'y a pas une familiarité avec la relation entre les nombres entiers, les nombres rationnels et leurs expressions symboliques. - Il y a une tendance forte pour interpréter les expressions de la division en utilisant un langage informel. - On observe un manque de distinction entre la division des entiers et la division des rationnels. Nous soulignons que Campbell dans cette étude a mis l'accent sur le théorème de la division euclidienne, par le fait que dans le couple (q, r), q et r doivent être des nombres entiersnaturels et que le reste doit être inférieur strictement au diviseur, et par la nécessité de mettre
en place ce théorème pour conclure après avoir effectué la division euclidienne. Notons cependant que, dans cette étude, il n'a pas mis en évidence l'unicité du couple (q, r).L'ambiguïté des expressions de la division euclidienne, en particulier le terme " quotient »,
mise en évidence par Campbell, est l'objet d'étude du travail de Zazkis que nous présentons ci-dessous.I.1.2 Zazkis (1998)
Zazkis, dans son article : " Divisors and Quotients : Acknowledging Polysemy », est amenéeà étudier le langage de la division euclidienne. Elle s'intéresse plus spécifiquement à étudier la
polysémie 4 des deux termes " diviseur » et " quotient » c'est-à-dire les différentes significations associées à ces deux termes.Pour elle, la polysémie de " diviseur » et " quotient » présente une ambigüité lexicale et cette
ambiguïté ne relève pas de la différence entre l'usage familier et l'usage mathématique ; elle
est interne au contexte mathématique lui-même. Elle explique que le diviseur a deux sens dans le contexte mathématique de la division : I. Premier sens : parmi les termes de la division, c'est le nombre par lequel on divise.Chapitre I
" For any two whole numbers a and b, where b is non-zero, bis a divisor (or factor) of a if and only if there exists a whole number c such that b c = a. » (P.27)
(a) En termes de division: " b is divisor of a in this sense if and only if the division of a by b results in a whole number, with no remainder. » (p.27)Nous ajoutons que la définition ci-dessus est en fait celle de la relation " être un diviseur de »
qui est la relation réciproque de la relation " être divisible par ». De ce fait, l'ambigüité
lexicale renvoie également ici à une ambiguïté sur le statut logique des termes.De la même manière, le mot " quotient » a deux sens, selon que l'on considère la division
euclidienne ou la division dans un anneau (Q) ou un corps (R) : I. Premier sens : il désigne le résultat de la division. II. Deuxième sens : ce terme concerne la division euclidienne ; il correspond à la partie entière du résultat dans Q ou R (au sens I). Les données de cette étude sont recueillies lors d'une discussion et d'entretiens avec des enseignants de l'école élémentaire en formation. Les résultats obtenus à l'issue de la discussion en classe indiquent que 19 participants interrogés sur le quotient et le reste de la division de 12 par 5 ont donné comme réponse 2 pour le quotient et 2 pour le reste tandis que 37 participants ont donné comme quotient 2.4 ou12| 5 ; ces réponses sont justifiées à l'aide des références qui étaient disponibles pour les
participants, dont les manuels et les dictionnaires. Les participants ayant donné le quotient 2,ont expliqué le quotient en donnant le sens (II) associé à la division euclidienne, tandis que les
participants ayant donné la réponse 2.4 et 12| 5 ont expliqué le quotient comme le résultat de
la division.Les résultats obtenus lors des entretiens montrent que le sens attribué au terme " quotient »
par les participants est différent de celui retenu par l'interviewer. Zazkis explique que le mot " quotient » apparaît souvent dans la classe avec " somme »," différence » et " produit » pour désigner le résultat de chacune des quatre opérations
arithmétiques. Contrairement au cas de l'opération de " addition » et " multiplication », la
signification de " quotient » est ambiguë lorsqu'il désigne le résultat de la division, car
l'ensemble des entiers est clos pour l'addition et la multiplication, alors qu'il n'est pas clos parrapport à la division. La signification de quotient dépend du contexte d'usage de ce terme, soit
dans la division des entiers où le résultat est le quotient et reste entiers, soit dans la division
des rationnels, dans laquelle le terme quotient désigne le résultat de l'opération. L'auteur
Chapitre I
I.2. Travaux sur la divisibilité
La divisibilité occupe une place privilégiée dans les recherches sur l'enseignement et l'apprentissage des concepts et des méthodes de la théorie élémentaire des nombres. Lestravaux que nous présentons ci-dessous sont des travaux consacrés à la divisibilité et la
structure multiplicative (Zazkis et Campbell, 1996), (Brown et al, 2002), des travaux relatifsChapitre I
I.2.1. Divisibility and multiplicative structure (Zaksis & Campbell, 1996) Nous présentons d'abord le travail de Zazkis et Campbell (1996) intitulé "Divisibility and Multiplicative Structure of Natural Numbers: Preservice teachers' understanding", car leur travail sera un outil dans le travail de Bown et al (2002) sur le concept de divisibilité.Dans ce texte, Zazkis et Campbell rapportent les résultats d'une étude sur la manière dont les
enseignants en formation comprennent les concepts de la théorie des nombres, et enparticulier le concept de la divisibilité et la structure multiplicative des nombres naturels, et ils
visent à analyser et décrire les stratégies cognitives utilisées dans la résolution des problèmes.
Pour conduire cette étude, ils se réfèrent à la théorie APOS, dont ils se proposent en outre
d'étudier dans quelle mesure elle permet de comprendre comment se construit le concept de divisibilité chez les apprenants.Ils présentent la théorie APOS (action, processus, objet et schéma) qui a été proposée par
Dubinsky (1991) pour analyser la construction des connaissances mathématiques de la manière suivante : l'action est une transformation des objets pour obtenir d'autres objets.Lorsque l'action totale peut se dérouler entièrement dans l'esprit d'un individu ou peut être
imaginée comme ayant lieu sans que la personne passe nécessairement par toutes les étapesspécifiques, l'action a été intériorisée pour devenir un processus. Les nouveaux processus
peuvent aussi être construits en inversant ou coordonnant les processus existants. Quand unprocessus peut être transformé par une action, alors on dit que le processus a été encapsulé
pour devenir un objet. La construction des connexions qui associent les actions, les processuset les schémas à un objet particulier est vue comme la thématisation du schéma associé à cet
objet. Chaque objet est ensuite repris comme un noyau d'un schéma.Les données de cette étude ont été recueillies lors d'entretiens conduits avec 21 enseignants
en formation de l'école élémentaire. L'analyse des réponses des participants est divisée en
trois parties : a) description du développement du concept de divisibilité suivant la théorie
d'APOS, (b) étude des relations conceptuelles et procédurales entre la divisibilité et la division, (c) étude des critères de divisibilité. Dans la première partie de l'analyse, Zazkis et Campbell ont examiné les réponses desparticipants pour deux problèmes, en s'appuyant sur la théorie d'APOS. Nous allons présenter
ici un de ces deux problèmes, puis nous indiquerons les étapes par lesquelles les participantssont passés pour construire le concept de divisibilité et qui ont été identifiées par les auteurs:
"Consider the number M = 3 3 2 5× 7.
Is M divisible by 7? Explain.
Chapitre I
Is M divisible by 5, 2, 9, 63, 11, 15? Explain." (P.542) Les auteurs ont trouvé que seuls six participants parmi les vingt-et-un ayant participé à l'expérimentation étaient capables de démontrer et de résoudre les problèmes avec unecompréhension de la divisibilité comme objet ; les quinze participants restants n'étaient pas
capables de donner dans certains cas la réponse sans effectuer la division ; parmi ceux-là huit
ont exclusivement effectué la division.Les stratégies cognitives par lesquelles les participants sont passés pour répondre à cette
question, sont décrites par Zazkis et Campbell selon les étapes suivantes :Action : Les participants ont pensé à la divisibilité comme une action, ils ont calculé M
et ont effectué ensuite la division par 7 pour décider si M est divisible par 7. - Intériorisation: De l'action au processus : les auteurs expliquent que l'intériorisation est caractérisée par le changement qui permet de passer de l'activité procédurale à la compréhension du processus. La distinction action / processus est utilisée pour distinguerl'activité procédurale de la compréhension du processus. Ils soulignent que les participants ici
ont pensé à l'activité de la division comme un processus, dans lequel la division est visée,
mais n'est pas réellement effectuée. Le participant a compris que le processus de la divisionpermet de décider si un nombre entier satisfait les critères de divisibilité. Il a pu identifier 7
comme un facteur sans effectuer la division, mais il a écrit M comme produit de deux facteurs M =× 7.
Les auteurs ont trouvé que les participants ont pensé à la divisibilité en termes de division ou
multiplication. Nouveaux processus : la coordination et l'inversion : Zazkis et Campbell soulignent que les nouveaux processus peuvent être obtenus par la coordination des processus existants ou l'inversion des processus existants. Le processus de la divisibilité par 15 est pris comme une coordination de la divisibilité par 3 et par 5, ainsi un nombre est divisible par 15 s'il est divisible par 5 et par 3. Les participants ont pu décider M est divisible par 63 car M est divisible par 9 = 3² et 7 (63 = 7 × 9). Nous soulignons 5 que la divisibilité par le produit (15) qui est vue comme une coordination de deux nombres faisant le produit (5 et 3) n'est correcte que dans le cas où ces deux nombres (5 et 3) sont premiers entre eux. Zazkis et Campbell ont trouvé que, dans cet exemple, plusieurs participants avaient desdifficultés pour répondre aux questions qui nécessitent une coordination : ces difficultés
apparaissent avec tous les facteurs de M qui ne sont pas explicitement dans la décomposition de M. a et b divisent un entier c, et si a et b sont premiers entre eux, alors ab divise c.Chapitre I
Encapsulation de processus à l'objet : selon les auteurs, l'encapsulation de ladivisibilité en tant qu'objet est avérée lorsque l'apprenant commence à distinguer le concept de
la divisibilité du processus de la division et/ou de la multiplication. Les participants ici expliquent la divisibilité de M par 7 et 5 en termes de facteurs dans la décomposition en nombres premiers de M. Cependant, ils n'ont pas reconnu directement la divisibilité de M par les nombres composés comme 81 ; comme le montre le fait que pour répondre à la question, ils effectuent la division de M par 81.quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] Contrôle de gestion et gestion budgétaire - 4
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