[PDF] Quelques aspects du cycle continental de leau





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Le cycle de leau

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LE PETIT CYCLE DE LEAU

l'eau suit tout un parcours avant d'être traitée consommée et finalement rendue à la nature. C'est le petit cycle de l'eau. BOIRE



Le cycle de l'eau - fondation-lamaporg

le cycle de l’eau Ghislain de Marsily Introduction Le cycle de l’eau est aujourd’hui bien compris : évaporation tant sur les océans que sur les continents transport dans l’atmosphère par le vent et les nuages retombée sous forme de pluie et de neige écoulement sur les continents et retour aux



LE CYCLE DE L'EAU - Lucia de Medrano

différentes étapes du cycle de l'eau Sur les traits: vent fleuve pluie mer glacier rivière neige Dans les étiquettes: infiltration condensation ruissellement fusion évaporation



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exacte que nous avons aujourd'hui du cycle de l'eau (Léonard de Vinci) Au débutdu 19èmesiècletousles éléments du cyclede l'eau(pluie ruissellement infiltration évaporation) ont été appréhendés et décrits Ouelques-uns ont mêmefaitl'objetde quantifications dontles ordres de grandeurssontassez exacts

Comment fonctionne le cycle de l'eau ?

Lorsque le glacier fond (on appelle cela la fusion) sous l'effet de la chaleur, cette eau alimente les rivières. Ensuite, les rivières se jettent dans les fleuves et les fleuves dans la mer. La mer s'évapore... Et le cycle de l'eau recommence. 5 .

Quel est le temps de séjour de l'eau dans les différents compartiments du cycle ?

De façon globale, le temps de séjour de l’eau dans les différents compartiments du cycle est estimé de la façon suivante : – océans : 3 000 ans, – nuages dans l’atmosphère : 9,5 jours, 150La planète Terre le cycle de l'eau 151

Quel est le cycle de l'eau de la surface libre ?

le cycle de l'eau 147 de la surface libre, ne coulent pas: seuls les premiers trous, en dessous de la surface libre, laissent s’écouler l’eau horizontalement.

Comment la température de la Terre affecte-t-elle le cycle global de l’eau ?

L’élévation de la température de la Terre due à l’effet de serre aura, dit-on, une influence notable sur le cycle global de l’eau: il pleuvra en moyenne sur le globe plus qu’aujourd’hui.

Quelquesaspectsducyclecontinentaldel'eau

JoëlNoihlan,

Météo-France,CNRM,Toulouse

1•INTRODUCTION

etdanslesol.

Denombreuxprocessuschimiquessontmis

en atmosphériquecorrespondautransportde l'eau,engrànde partiesousformedevapeuravec untempsdeséjourdans entraînantlepassagede l'eaudelaphasevapeuràlaphase rosée),elleestsoumise

àdesmécanismesphysiquescom

àla

giqueducyclede l'eaudanslesolsedérouleessentielle l'eaudu solestenmouvementparrapport

àl'importantstockagede

rique,lesmouvementsde l'eaudanslesolsontrelativement lentsetlestempsdeséjour peuventêtredeplusieursmois. sibleparlesplantes,cequiconduit

àlanotionderéserve

[2].L'eauestsoumise

àdesmécanismesderétentionau

àla

cyclecontinentaldel'eau tiondeséchanges riqueethydrologiquedu cycledel'eau.Leparagraphe2 masse tionde

àmoyenneéchelle

etenévoquant hydrologieappliquée

àungrandbassinversant.

II•LAMODÉLISATIONDEL'INTERFACE

SOL-PLANTE-ATMOSPHERE

chaleur àpartirdu biland'énergieetdubilanhydrique.Lebilan

àla

l'atmosphèreetlesol)etconductiondans lesol.Lebilan hydrique.exprimelaconservationde l'eaudanslesolàpar tirdeséchanges (longueursderugositédynamiqueet thermique).Enfin,la partitionde conductiondanslesolestcontrôléepar lecontenueneaudu grandediversitédesschémasdesurface

àvocationopération

taux.Les un de ratureetl'humidité,

10mpourlavitesseduvent).Enmodé

estrugueuseetquelegradientthermiquedans lacouche ilsdéterminent détaillésrésolventletransfert

radiatifdanslavégétationArticle published by SHF and available at http://www.shf-lhb.org or http://dx.doi.org/10.1051/lhb/1997003

QUELQUESASPECTSDUCYCLECONTINENTALDEL'EAU

(pour (concept

àl'aide

pouruneforêttropicale). L'eauretenueparlavégétationest sansatteindrelasurface dusol.Lorsquelacapacitémaximale du directement. (del'ordre l'évapotranspirationdelaforêttropicaleest constituéepar l'atmosphèrepouvantentraîner unrenforcementdesprécipita tions [3]danscertainscas. un sontprisen lecontenu cycleannuel.Enraisonde lagrandediversitédufonctionne mentdesplantes, iln'yapaspourl'instantdeconsensus pluscompliquésfontappelà uncalculdupotentielfoliaire qu'àune deçàduquell'eau n'estplusaccessibleparlesplantesetla capacitéauchampaudelàdelaquelle lesoln'exerceaucune tales l'eau delasurface.Danslecas parconductionthennique.Ainsi,leflux dechaleurconductif peut

Larugo

sitéthermiqùe En rapportauxéchangesthermiques[6]. lecontenuen quidépendentdelatexturedusoletsurtout ducontenuen eaudusol.Laconductivitéhydraulique d'unsolvariede plusieursordresdegrandeurlorsqu'onpasse d'unsolsecà tialedanslesol, auxlimitessupérieureetinférieure. danslesolest lesol. tion),del'extraction d'eausuiteàlatranspirationdela végétationetdes

écoulementsdel'eauverslesystème

facepermetdereprésenterleséchanges d'eauetd'énergie pourunecouchesuperficielledequelquesmm.

Lamodélisa

coefficientsdecalibration permettantdereprésenterlestrans

Laprofondeur

duschémacar elledéterminelevolumetotal d'eaudisponiblepourles plantes.

Enfin,

Lapriseen

lazonetropicale.

Leruissellementpeutfaireluiaussil'objet

proposéeparDümeniletTodini [9]pennettantdesimuler unequantité dureliefdans dubilan hydriquedesurfacedanscertainsmodèles duclimat. solpeutêtreschématiséepardeux approches:soitlecalcul soitonestimedesparamètreseffectifset unseulfluxeffectif pourtoutelamaille. les pardiversesméthodes

1101.Ilfautensuiteconnaîtrelespro

thermohydriques tation(longueur indicefoliaire.paramètresde larésistancedesurface dépen etdecontenuen sionveutespé rerréaliserunebonnecalibrationde larelationeaudusol/éva sphérique) schémasur

Amazonie.Deuxbelles

de ron700W/m 2

àmidi).Danslecasdusolnuetsec.lesflux

rationdesurfacerestefaible surlajournée.Enrevanche.le flux

ABRACOSenAmazonie)

etsurunsitedesolnu(Expé de longs).Lessimulations sontréaliséesparleschémaISBA (Interactions entreleSol,la Biosphèreetl'Atmosphère)

BILAND'ENERGIEOBSERVE

2•••10 121_'1l'~~

BILAND'ENERGIECALCULE

DOSSIER

chaleurlatentecorrespondantàlatranspiration desplantes. zonie tation expérimentaledeséchanges d'eauetdechaleuràl'interface terme.Or.certainsaspectsdubilanhydrique nesontacces siblesque

équilibrésparlespertes

d'eauparévapotranspiration.drai

Undesobjec

tifsduprogramme d'intercomparaisondesschémasdesur face, qui 1ise identiques.Cettedispersionestdueà l'absencedeformula tionunifiéedes processushydriques.Parexemple,ily a d'un jeuxdedonnées surunelongueduréeavecunedocumenta tionaussi deprairieauxPaysBas,ayantservi deréférencedansune 1151.

III•LAMODÉLISATIONDEL'EAU

ÀMOYENNEÉCHELLE

tifs majeurs: lesmodèlesdecirculationclimatique. l'eau surface. De

QUELQUESASPECTSDUCYCLECONTINENTALDEL'EAU

tifsdelazone broussetigréeauNigerdanslecadre d'Hapex-Sahel,pâtu rage permettant

énergétiqueethydriquedelasurface,

àl'eaudanslesoletau

dansl'atmosphèresuivant unplandevolprédéterminéparles

àdiverses

danslespectresolaire) etd'estimercertainsparamètresde donnéescollectées.Partant deconditionsauxlimitesbien prisdansla cadred'Hapex-Mobilhy, d'EFEDAetd'Hapex-Sahel.Ona derecyclage de lés

Ainsiaudébut

forêt

Cettecirculationtransportede

l'airhumideverslaforêtpou certainesconditions.Grâce

àunebonnedescriptiondespro

ilaété beautempsfréquemmentobservés surlaforêtLandaise[16].

D'autresétudes

rugosité eneaudusol[29]. spatialesrelativementfaibles.Eneffet, ilexisteunfortcou plageentrelesprécipitationset l'évapotranspirationliésà tudes.L'interdépendancedescultureset ducycledel'eau spatialesontau coeurdesrecherchesmenéessurleSahel.La mesuré norddelazoneexpérimentaleHapex-Sahel [171.Cettecarte 2quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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