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LA SAINTE FOY DU TRÉSOR DE CONQUES ET LA STATUAIRE

AVANT L'AN MILLE. La célèbre statue de sainte Foy au Trésor de Conques est le plus ancien exemple conservé de la sculpture chrétienne française. Parmi.



LART DES ORFÈVRES À CONQUES (1)

Le trésor de Conques renferme un ensemble exceptionnel de reliquaires exécutés entre le Xe et le XIIe siècles : la statue reliquaire de sainte Foy (dite 



Sainte Foy : vierge et martyre

Sainte Foy et son époqUe; Conques son abbaye et son trésor incomparable; la déesse ; une statue suffisait pour ce sacrifice



MASARYKOVA UNIVERZITA FILOZOFICKÁ FAKULTA Seminá?

Subsequently I will discuss the cult of the saint Foy in Conques and its ritual The first to mention the reliquary statue of Sainte Foy was a scholar ...



LEglise et le tresor de Conques

Les principaux reliquaires et en particulier



An Unsentimental View of Ritual in the Middle Ages Or Sainte Foy

materials from the eleventh-century cult of Sainte Foy of Conques in saint into the reliquary-statue they controlled and to use the statue.



AP® ART HISTORY 2016 SCORING GUIDELINES - Question 5

Sainte-Foy reinforces its association with relics. Conques in the 9th century and the head of the statue is widely believed to be a repurposed imperial.



Le culte de Sainte Foy à Sélestat et à Conques: étude comparative

ne d'un intérêt considérable ainsi que des objets de culte uniques (une statue-reliquaire de Foy à Conques et un ensemble très complet de textes du culte à 



Abbaye romane Sainte-Foy / Conques Aveyron

porche sont remarquables et son trésor



document telecargeable

L'histoire de sainte Foy. Découvre cette énigme grâce aux mots manquants. -. Brûlée - Conques - crâne - décapitée - reliques - statue - chrétienne - bûcher.



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SAINTE-FOY DE CONQUES sa place dans l'histoire de l'art et les églises de pélerinage L'abbatiale Sainte-Foy de Conques en Rouergue est un monument daté



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Les principaux reliquaires et en particulier la statue d'or de sainte Foy avaient été sur ces entrefaites l'objet de res- taurations intelligentes et 



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SAINTE-FOY DE CONQUES sa place dans l'histoire de l'art et les églises de pélerinage L'abbatiale Sainte-Foy de Conques en Rouergue est un monument daté



[PDF] DOSSIER PÉDAGOGIQUE

La Majesté de sainte Foy en est la pièce maîtresse abritant la relique (un morceau du crâne) de la jeune martyre Cette statue est ornée d'or de pierres 



[PDF] relecture de lenfer du tympan de léglise abbatiale Sainte-Foy de

La sculpture 1946; Louis Bousquet Le Jugement dernier au tympan de l'église Sainte-Foy de Conques 1948; Jean-Claude Bonne L'art roman de face



du trésor de conques - et la statuaire sacrée - JSTOR

La célèbre statue de sainte Foy au Trésor de Conques est le plus ancien exemple conservé de la sculpture chrétienne française Parmi



Labbatiale Sainte-Foy de Conques (XIe-XIIe siècles) - Vol1: texte

View PDF Études aveyronnaises Recueil des travaux de la Société des lettres MOTS-CLÉS Sainte-Foy de Conques architecture romane sculpture romane 



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Le trésor de Conques renferme un ensemble exceptionnel de reliquaires exécutés entre le Xe et le XIIe siècles : la statue reliquaire de sainte Foy (dite 



[PDF] randonnee-1-chapelle-de-conquespdf

LA CHAPELLE SAINTE-FOY DE CONQUES Chapelle Sainte Foy L'abbatiale et tympan du Jugement dernier chef d'œuvre de la sculpture romane

  • Quelle est l'objet le plus important du trésor de l'église de Conques ?

    La pi? maîtresse du trésor est la statue reliquaire de Sainte Foy.
  • Quel est le lien entre Sainte Foy et l'église de Conques ?

    Foy était une jeune chrétienne d'Agen d'environ douze ans. Elle fut victime de la persécution de Dioclétien. Son témoignage de courage, pour un si jeune âge, lui vaudra bientôt une admiration universelle. L'ermite Dadon se retire à Conques, dans les montagnes du Rouergue, au sud de l'Auvergne.
  • Qu'est-ce que le tympan de Conques ?

    Pour commencer, le tympan est la partie décorée en demi-cercle, placée au-dessus de la porte de l'église de Sainte Foy. Il est en calcaire et son décor est peint. Il aurait été commandé par les moines de l'abbaye à un sculpteur anonyme. 124 personnages sont représentés sur cette fa?e du Jugement dernier.
  • Le pèlerinage de Compostelle
    Enjambant le Dourdou par le pont des « romieus », ils quittaient Conques pour gagner Aubin, et passaient par Villefranche-de-Rouergue et Gaillac. Au départ de Conques, deux itinéraires s'offraient aux pèlerins pour rejoindre le Quercy et l'abbaye de Moissac.

S 1cL 20

L'éGLISE ET LE TRéSOR

DE CONQUES(AVE Y 't ON

NOTICE DESCRIPTIVE

PAR

M. L'And A. I3OUILLET,Associé correspondant de la Sociéténationale des Antiquaires de Franco,Membre de la Société Çr:uiçaise darelléoloRie.

OUVRAGE ILLUSTRé

d'un pion deune vignette en photogravure et de 25 dessins de M. A. O'CALLAOHAN, d'après les photographies do M. P. CLÉMENT, orelsitecte.

Duc ses quo resides . inelyta Virgo F sues

MAC ONPilOTÂT FIIflES, IMPHII'iIEIIRS

1892
S -Document

éO I i l l HHill 101V

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é-J

A SA GRANDE-111R

MONSEIGNEUR J.-C.-E. BOURRET

éVQUE 0E RODEZ ET DE VAI!ItES

HOMMAGE TRéS RESPECTUEUX

1892

ÇVçCHÇRodez, le 8 mai 1892.DE RODEZ

"I di

VAlISES

Curu il ON SI EUlI L'A B DÉ

Vous étes Ç la veille de, publier un nouveau Guide des pÇlerinsç Conques. Vous ne pouviez faire une oeuvre qui me fèt plus agrÉable. Aussi je lui donne toutes mes bÉnÉdictions et je lui souhaite toute prospÉritÉ. La cÉlÇbre abbaye de Coliques, avec son j nenni- parithle trÉsor, a .ktÉ une des plus chÇres prÉoc- cupations de mon Épiscopat, et je bÉnis le bon Dieu (l'avoir fÉcondÉ les eflbrts que j'ai faits pour lui redonner le lustre des anciens jours et faire affluer de nouveau vers elle Je flot des pÇle ri

Votre Guide sel apour moi, dans le but que je

poursuis, un puissant auxiliaire. Vous y avez mis tout votre talent d'archÉologue, et l'amour de sainte 171,v a clÉ inspirer votre plume pour que vous avez p u raconter d'une miniÇre aussi atta- chante les merveilles de soit abbaye.

Veuillez agrÉer, avec tous mes remeicienients,

l'expression (le mon affectueux dÉvouement. -j- ERnsT, .-!véqIfe de Rodez et de ITabres.

INTRODUCTION

Il serait aujourd'hui bien difficile de se faire une idée, même approximative, de la vogue du pèlerinage au sanctuaire de Sainte Foy, au moyen âge. Onpeut cependant, en lisant les rticits merveilleux de l'Eeolâtre d'Angers dans sou Livre des Miracles; les actes des donations inspirées par la piété et la recon- naissance, et consignées dans le Liber ,nirahilis ; le

carlulaire de Conques et le récit des munificences dequelques abbés; surtout en contemplant les restes du

trésor unique accumulé autour de la statue d'or et des

reliques de la sainte; ou - peut, jusqu'à un certainpoint, se représenter l'entrarne,nent qui portait les

foules ii Conques et qu'accroissait chaque jour le bruit des merveilles qui s'y opéraient. Peut-être, s'il. fallait un terme de cojn narI 15011 , pourrait-on, dans une certaine mesure, rapprocher ce mouvement reli- gieux de celui qui, durant tant de siècles, conduisit les multitudes au tombeau de saint Mania, 1e grand thaumaturge des Gaules.La vallée de Conques, - l'ancienne vallée rocheuse, vous lapidosa, - sauvage alors et couverte dé

forêts, était, au témoignage de la chronique rédi-gée au xr siÇcle, peuplée, vers le milieta du IV-,

INTRODUCTION

par des cénobites qui en avaient fait une vraie thé- baïde, lorsque les paiens vinrent les assaillir et les massacrer. Le roi Clovis aurait rétabli, vers l'an 500, le monastère de la vallée rocheuse que les Sarrazins, h leur tour, auraient anéantij au viii, siècle, mettant à mort, avec les ermites du lieu, une foule de chrétiens qui seraient venus leur demander asile. Entre les années 790 et 795, Dadon, (k guerrier devenu ermite, fonda l'abbaye, qui fut l'objet dela pré- dilection de nos rois carolingienset snbsisla, à travers (les phises diverses, jusqu'à la Révolution. Elle avait été sécularisée sous François let, après avoir été mise en commende quelques années auparavant.l'avant. Parmi ses abbés, je signalerai surtout ()dolric qui, et, 1035. ('0 nimença la cou, struetioit du tnonistèt'e et de t'église actuelle, et Bégon III, sous lequel l'atelier d'orfèvrerie et d 'ém,mi Ilerie , alois florissant dans l'abbaye, créa bout nombre des pièces que possède le trésor et non les moins importantes.

Cependant, au temps de l'empereur Dioclétien,

une jeu ne vierge d'Agen , nommée Fov, avait subi, dans celle ville, le martyre en nième temps que sa sieur A Iberie et l'évêque Caprais. Les reliques de la jeune sainte, que Dieu avait honorées de ses firveuirs les plus signalées, excitèrent la convoitise des moines de Conques (liii résolurent de s'en emparer. L'un d'eux se rendit à Agen, demanda à être admis Parmi les religieux qui loss édaieitt le corps de sainte Foy, et gagna si bien leur confiance qu'on finit pal' lui en confier la garde. Ce n'est qu'au bout de dix ans qu'il avait obtenu ce résultat. Enfin, un l'eau jour, il par- vint à se trouver seul, brisa le tombeau,, enleva les reliques et les emporta à Coliques. Il Faut lire, dans

INTRODUCTIONsi

les Bollandistes, le double rÉcit de ce r;,1it dont les exemples sont frÉquents ç cette Époque. Le fait sd passait Ç la fui (lit ix siÇcle, sous le gouvernement des abbÉs l3Égon 1er ou Gibert,- BientÊt les merveilles opÉrÉes par la protection (le la jeune sainte donnÇrent naissance au pÇlerinage. De toutes paris, non seulement de l'Aquitaine, mais de la France et de l'Europe entiÇre, accouraient les pÇlerins, qui s'arrêtaient sur leur routete pour prier dans les sanctuaires alors cÉlÇbres. On leurâ don- liai t, comme d'ailleurs aux autres pÉlerins le nom de Rom ins, appli qitÉ d'abord exclusive ruent ç ceux qui faisaient le pÇlerinage (le Borne, Les pieux voyageurs se revêtaient des insignes du pelerin, l'escarcelle et le bourdon. ArrivÉs h Conques, ils assistaient pendant la nuit il l'office solennel chantÉ par les moines, et se prÉparaient aux fêtes du leude- main par mie sainte veille consacrÉe à prier (levant la statue d'or qui contentait le chef de sainte 'Foy et devant les antres reliques. Nous voyons, tIans le Livre des Miracles, qu'on brèlait alors un nombre considÉrable de cierges. Parfois, le lendemain, on portait en procession, ail 500 de l'oliphant et au chant (les cantiques, la statue vÉnÉrÉe, et lit sepr'esa sait sur soit Pendant la sainte veille et au passage (jeâ la statue s'accomplissaient desprodiges de toute sorte, -en faveur du corps et de l'çme, ils Étaient si-nombreux qu'on les appelait les Jeux de sainte Foy. -On pense involontairement, en lisant ceux que rapportÉ Air-- nard d'Angers, ait dÉlicieux des Pioretti, 'o - sont rapportÉes les merveilles opÉrÉes par: saint

Franïais d'Assise.- - -

XIIINTRODUCTION

Et puis, en action de grôces de tant de faveurs, on donnait ç sainte Foy de nombreux prÉsents, de riches offrandes qui enrichissaient le trÉsor ou sub- venaient aux frais du culte.

Nous voyous encore, au Livre des Miracles, que la

puissance de sainte Foy se manifestait surtout ç l'Égard (les prisonniers qu'elle dÉlivrait de leur cap- tivitÉ. Ceux-ci, ç peine libres, offraient ç leur libÉ- ratrice leurs chaùnes et leurs entraves. Nous trouve- rons, dans les sculptures du portail de l'Église, un souvenir de ce pieux usage. Nous regardons comme parfaitement acceptable la tradition en vertu de laquelle ces fers auraient servi ç fabriquer les incomparables grilles qui, aujourd'hui encore, entourent le sanctuaire de l'Église. A en juger par la liste qui nous a ÉtÉ conservÉe et qui date du xvri siÇcle I, le nombre des reliques con- servÉes ç Conques Était fort considÉrable. NÉan- moins, aprÇs les vicissitudes de toute sorte traver- sÉes par l'abbaye, en particulier aprÇs les violents assauts de la RÉforme et de la RÉvolution, il Était nÉcessaire de faire de ces reliques une reconnais- sance officielle et d'en reconstituer le catalogue exact, aprÇs les avoir replacÉes avec honneur dans les reliquaires du trÉsor.

La dÉcouverte du corps de sainte Foy, faite en

1875, dans des circonstances que nous raconterons

plus loin 2, fut l'occasion toute providentielle de faire ce travail. Lorsqu'il fut terminÉ, on rÉsolut de rap- porter tous ces prÉcieux restes (le Rodez, o - ils

1.V_ eau appendices, page 107.

2.Page 111.

INTRODUCTIONxiii

avaient ÉtÉ soumis ç une enquête sÉvÇre, ç Conques, o - ils devaient reposer de nouveau. Les principaux reliquaires et, en particulier, la statue d'or de sainte Foy avaient ÉtÉ, sur ces entrefaites, l'objet de res- taurations intelligentes et discrÇtes, devenues indis- pensables. Enfin, le 5 octobre 1878, les reliquaires et la sta- tue furent solennellement transportÉs de l'ÉvêchÉ ç la cathÉdrale de Rodez cii, pendant huit jours, de nombreux pÇlerinages vinrent vÉnÉrer les reliques, au milieu de fêtes d'un Éclat incomparable. Puis, le 12, elles furent transportÉes processionnelleinent ç Conques, distant de Rodez de 40 kilomÇtres. La marche de cette procession fut vraiment triomphale. Elle traversa successivement les territoires ou les localitÉs dOnet-]e-ChSteau, de Souyri, d'Onet- l'Eglise, de Salles-la-Source, de Saint-Austremoine, de Cougousse, de Marcillac, de Combret, de Nau- viale, et arriva assez tard dans la nuit il oh les chôsses furent dÉposÉes dans l'Église. Chacune des paroisses que l'on traversait avait formÉ

8011 tour le cortÇge d'honneur de sainte Foy et

tenait ç lui exprimer, par ses dÉmonstrations de piÉtÉ et de religion, sa vÉnÉration et son enthousiasme. Le

13 au matin, la procession se reformait, plus brillante

et plus nombreuse que jamais, gravissait bientÊt la colline de Conques, et entrait triomphalement dans l'Église, o - les reliques furent encore, pendant neuf jours, le but d'un nombreux concours de fidÇles dÉsi- reux de les vÉnÉrer et de se mettre sous la protec- tion de la glorieuse sainte. Plusieurs prÉlats avaient pris part ç ces fêtes, et tinrent ç honneur d'en rehausser l'Éclat par celui des cÉrÉmonies pontifi-

XivINTRODUCTION

cales; l'Éloquent Évêque de Rodez, et avec lui des prÉdicateurs renommÉs, cÉlÉbrÇrent les gloires de la jeune sainte. Sainte Foy elle-même voulut affirmer par de nombreux prodiges que sa puissance n'est pas 'diminuÉe auprÇs du Dieu pour lequel elle a versÉ son sang. Elle semblait heureuse de reprendre pos- session du sanctuaire o - , pendant tant de siÇcles, elle avait reïu les hommages des multitudes et rÉpandu tant (le grôces et de faveurs spirituelles et corpo- relles: Puissent ceux qui vont contempler 1e trÉsor de Conques ne pas oublier qu'aux yeux de la foi et qu'ail regard de Dieu, les merveilles de l'art, si magnifiques et si admirables qu'elles soient, ne sont rien auprÇs des restes sans Échu qu'elles renferment! Un jour viendra o - ces derniers, ressuscitÉs et gb- 'ieux, appara5li'ont aux yeux de l'univers revêtus de robes brillantes et fornueromit le triomphal cortÇge de l'Agneau sans tacite:

L'éGLISE ET LE TRéSOR

CONQUES

L'éGLISE

Vôu"tal IV Cou qu os,

Clouquié ICt llou,lez.

CIII.I11 .IlÊ ]llo,itlf,

Glei,.o .I'AIIJy.

La rouie qui conduit de Ma tillac t ç Conqueses traverse des paysages d'aspect trÇs variÉ. Elle suit d'abord la 'vallÉe dit dominÉe par 4es mame- lons dont plusieurs sont: coiui'oiiitÇs de chapelles ou de, chôteaux en ruines. C'est ainsi qu'on'on aperïoit les sanctuaires de N-D. de Foncotn'ieu, de Saint-Jean- le-Froid,. 'et qu'on passe au dessous des ruines encore imposantes du chôteau de Belcaire. La val-

16e, qui s'est rÉtrÉcie insensiblement depuis Mardil-

lac, s'Élargit aprÇs Nauviale jusqu'ç $aint-Cyprien C'est alors une plaine d'une grande fertilitÉ, sur laquelle s'ouvrent tic tous cÊtÉs âde riantes vallÉes.

1. C'est ç Mii rciiiuie.. u,, lis ligne du eh cmi r, sic fer de C iqi donneç Rodez, que se trou ve iii station In plus rapprochÉe do

Co nos. U ne voitu 'e pu hi iq - e quotidienne relie les deux localitÉs.

18L'ÉGLISE ET LE TI1ÉOR DE CONQUES

Le Créneau, que nous avons toujours aperçu depuis notre départ, se perd dans le Dourdou, dont nous allons maintenant suivre le cours. Encore un ou deux kilomètres à travers une nature luxuriante, et puis c'est le contraste le plus complet. Autant la val- lée du Créneau était jolie et agréable, autant celle du Dourdou est sauvage et grandiose. Il n'y n place, entre les roches dénudées qui surplombent à droite et à gauche, que pour la route et le lit où la rivière roule avec fracas ses eaux rougeâtres. La légende l'apporte qu'à l'endroit oie trouve un moulin, les moines de Conques durent, au prix de travaux con- sidérables, s'ouvrir un passage à travers la chaus- sée naturelle qui retenait les eaux de la rivière et enquotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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