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ISRINE ZAMMAR N
Préparée à l'EA 3207
Etablissement de rattachement :
Université Rennes 2 THESE / UNIVERSIT2 RENNES 2 sous le sceau de l'Université européenne de Bretagne pour obtenir le titre deDOCTEUR DE (L'Université Rennes 2)
Mention : Sciences de l'Information et de la
Communication
Ecole doctorale Sciences humaines et sociales
Intitulé de la thèse : Réseaux Sociaux Numériques : Essai de catégorisation et de cartographie des controverses
Thèse soutenue le (6 janvier 2012)
d evant le jury composé de :Catherine Loneux Professeur à l'Université européenne de Bretagne/ examinatrice Gino Grammacia Professeur à l'Université de Bordeaux/ rapporteur Michel Durampart Professeur à l'Université de Toulon / rapporteur Antoine Matta Professeur à l'Université Libanaise / examinateur Walid Arbid, P rofesseur à l'Université Libanaise/ examinateur
Christian LE MOENNE Directeur de thèse
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Université Européenne de Bretagne, Rennes 2
UFR Arts, Lettres et Communication Ecole Doctorale Sciences Humaines et Sociales TitreRéseaux Sociaux numériques:
Essai de catégorisation et cartographie des controversesPrésentée par Nisrine ZAMMAR
Directeur de thèse : Christian LE MOËNNE
Soutenue le 6 janvier 2012
Jury :
Université Européenne de
Bretagne.
Université Européenne de Bretagne.
Université de Bordeaux (Rapporteur)
Université de Toulon (Rapporteur)
Pr. Antoine MATTA, Sociologie Politique ormation et de laDocumentation, Section II
Pr. Walid ARBID, Sciences Politiques Université Libanaise, ormation et de laDocumentation, Section II
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Université Européenne de Bretagne, Rennes 2
UFR Arts, Lettres et Communication Ecole Doctorale Sciences Humaines et Sociales TitreRéseaux Sociaux numériques:
Essai de catégorisation et cartographie des controversesPrésentée par Nisrine ZAMMAR
Directeur de thèse : Christian LE MOËNNE
Soutenue le 6 janvier 2012
Jury :
Pr. Christian Le Université Européenne deBretagne.
Université Européenne de Bretagne.
Communication Université de Bordeaux (Rapporteur)Université de Toulon (Rapporteur)
Pr. Antoine MATTA, Sociologie Politique ormation et de laDocumentation, Section II
Pr. Walid ARBID, Sciences Politiques Université Libanaise, ormation et de laDocumentation, Section II
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Paul Claudel
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A la mémoire de mon grand-père
A la mémoire de mon père.
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REMERCIEMENTS
Une thèse est, avant tout, une aventure intellectuelle. Celle-Cette aventure ne à remercier Christian Le Moenne, mon directeur de thèse, qui a su e et parfois aussi pour ses éclairages épistémologiques et le souci dont il a témoigné pparfois difficile à suivre. Votre rigueur, votre patience et passion pour notre discipline sont
remarquables et sont une grande source ements chaleureux aux professeurs Yves Hélias, Alain Calmès, CatherineLoneux,
pour moi ma deuxième famille Un tel voyage, aussi solitaire soit-ble sans le soutien patient et indéfectible des proches. Jacqueline, mon ange gardien et ma mère Colette, qu Que mon entourage, familial, amical et , soitégalement remercié ici.
Je remercie également les rencontres fructueuses avec les collègues, embarqués dans de semblables
expéditions, me Anne-Marie Le Goaziou, Mme KarinChapin et M
meToutes mes considérations à ces personnes qui ont participé à faire de ces quatre ans de doctorat une
expérience inoubliable.Merci 10 fois pour votre patience
Merci 100 fois pour votre encouragement
Merci 1000 fois pour avoir fait de cette thèse une expérience inestimable !Page 7 of 375
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SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE 13 -37 PREMIERE PARTIE : :TENTATIVE DE DEFINITION, GENESE ET SPECIFICITES 38-83 Introduction à la première partie : réseau » et des réseaux sociaux
numériques ?40 I- 41-53
1- Le " réseau », un terme polysémique 41- 43
2- 43- 44
3- Emergence des réseaux techniques 44- 48
4- 48-53
II - Genèse et définition des Réseaux Sociaux Numériques 54-651- Une histoire naissante 54-57
2- Des tentatives de définitions des réseaux sociaux numériques 57-61
3- 61
4- Le Web 2.0 dans la dynamique des réseaux: définition et limites 62-65
III - Médias Sociaux : définitions, spécificités et positionnement 66-831- Spécificités des RSN 66-67
2- - 67-72
3- Distinction entre un wiki, un blog et un site web 73-75
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4- Définition et caractéristiques des forums 75-78
5- 79-83
DEUXIEME PARTIE : 83-153 Introduction à la deuxième partie 86-87 I- Médiations, intelligence et dispositif virtuel 88-1101- 88-101
2- 101-110
II - Le dispositif virtuel, entre médiation et savoir 111-1531- Le dispositif : concept polysémique dès son origine 111-120
2- Contre le déterminisme 120-129
3- : pour un autre regard 130-134
III - Le virtuel : une notion de " passerelle »135-153
1- La réalité virtuelle et la virtualité réelle 135-137
2- Histoire, Technique et Mémoire 143-150
3- Entre formes et normes 150-153
TROISIEME PARTIE : 154-194 Introduction à la troisième partie 156-157I- 158-179
1- 158-163
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2- La T-Réseau en expérimentation ......... 163-172
3- La Symétrie de Bloor 172-179
II - Quelle démarche, quelle méthodologie ? . 180-1941- Une approche ethnométhodologique 180-183
2- 184-186
3- Une démarche empirique 186-188
III - Cartographier les controverses : un champ aux conflits multiples 190-1951- Définition 190-191
2- Pourquoi faut-il cartographier les controverses? 192-195
QUATRIEME PARTIE: TYPOLOGIES, CARTOGRAPHIES ET CONTROVERSES... 197-313 Introduction à la quatrième partie 198-198
I- Tentatives de catégorisation et de typologisation 200-2461- Emergence des Réseaux Sociaux Numériques (RSN) 201-206
2- Tentative de catégorisation et de typologisation de la "réseausphère» 207-238
3- 238-248
II- La notion de " communauté virtuelle » .. 249-271 1- Caractéristiques des communautés virtuelles 251-253
2- Limite des communautés virtuelles 253-266
3- Communauté, public et réseau social : trois figures du collectif 268-272
III - Sur le chemin controversé des traces de la traçabilité ...... 273-283Page 11 of 375
1- Traçabilité, identité et cadres de communication ............ 273-278
2- La traçabilité 278-279
3- Le Traçage et les menaces à 280-283
VI- Le lien privé/public et les TIC : le champ de plusieurs controverses 284-3081- 288-297
2- Le privé et le public : deux notions en perpétuel actualisation. 297-303
3- Ce que dit la loi ............... 303-305
4- 305-307
5- Les RSN, un nouvel espace de débat? 307-308
V- Médias traditionnels, nouveaux médias : coalescence ou dichotomie? 309-3131- Témoignage du New York Time 310-311
2- La fiabilité des informations 311-313
CONCLUSION GENERALE . 314-327
TABLE DES MATIERES .. 329-336
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 337-372
TABLE DES SCHEMAS 373
ANNEXES Vol.2
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Informations aux lecteurs : * = mis en annexe
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INTRODUCTION GENERALE ________________________________________________________________________Page 14 of 375
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INTRODUCTION GENERALE
Quel éclairage original et
Communication (SIC) en général et notre travail en particulier offrent-ils aux réseaux sociaux
numériques?Les nombreux discours environnant le web 2.0 sont venus récemment rappeler que les prédictions de
transformations sociétales inférées de la technologie sont constamment réinitialisées. ? Est-elle un "
eux, avec leurs média et leur environnement »1, un idéal moderne (Wolton, 1997) ? Une caractéristique
? Une idéologie (Mucchielli, 2001), une utopie constitutive de notre société (P. Breton, 1992)? Suite à ces multiples interrogations, nous voudrions rappeler que toute définition de la communication
renvoie, plus ou moins explicitement, à une théorie de la communication qui est aussi, simultanément,
une théorie de la science et de la société (Attallah, 2000). En effet, la perc et le
: le symbolique. " Le symbolique est nde sa manière de comprendre le»2.
Dans toute société,
théories, leurs sens, leurs applications. Une construction théorique se caractérise par les batailles sur le
sens des mots et des théories puisque ce sont les mots qui nous aident à donner sens à la société, voire à
notre monde.Les mots : communication, réseaux sociaux numériques, traçabilité, public/privé, web (pour ne citer que
quelques mots qui entrent dans notre travail) ne font pas exception à la règle. Pour le dire autrement,
nous rejoignons Feyerabend qui pense que toute théorie est un choix normatif qui doit justement pour
1 CLOUTIER, J. Emerec, " homo communicans », Télécommunications, n°33 octobre 1973, p.35 2 DACHEUX, E., " Utopie et SIC. Pour une approche plurielle des démocraties contemporaines », Communication [En
ligne], Vol. 26/2 | 2008, mis en ligne le 09 octobre 2009, Consulté le 06 juillet 2011. URL :
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respecter la liberté critique du lecteur et éviter ainsi de devenir une idéologie (au sens marxiste du terme)
rquoi nous allons, tour à tour, notre conception des SIC qui extrait théories, méthodes ou conceptsDans un contexte comme celui des RSN, chaque individu semble être un Emerec (Cloutier, 1979)
constituant un sous-système ouvert de communication dans lequel divers élément de son activité
communicationnelles sont en interaction entre eux, avec les éléments des autres sous-sysèmes et avec
leur environnement. immédiate, de " véritable révolcomme le courrier électronique, les bibliothèques en ligne, le téléchargement de musique ou de films, les
forums et les blogs, vint les réseaux sociaux numériques et av offertes et sans doute les nouveaux risques encourus.dépendaient du lieu et du moment sont désormais déterritorialisées et détemporalisées. Avec Internet
ès à l
délai, hors du lieu et hors du temps.La montée en puissance du phénomène est rapide : que ce soient les journaux, les entreprises, les
ar rapport à ces nouveauxvirtuelles, etc.), la politique (Obama et Facebook lors de la campagne électorale aux USA), le droit (la
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loi Hadopi)3, les amours, les amis, les ennemis, bref, notre vie personnelle. Avec les réseaux " onsidérable. Au croisement de la production personnelle et les échanges collectifs, pouvons- " uneintelligence collective » au sens de Pierre Lévy ? e cette reprise du réel dans le virtuel qui modifie le réel en
du ce que nous avions de plus précieux de la traçabilité des informations et des échanges, etc., ptionA ce titre, Bary Wellma et Bernie Hogan nous rappellent à juste titre que la nature technologique
possibilités de réalisation tout en les contraignant. Selon eux, Internet es désormais étroitement lié à un
changement de paradigme élargi qui touche actuellement le rapport des individus entre eux. -il alors des réseaux sociaux numériques ?Guillaume Latzko-Toch et Serge Proulx nous rappelle que, la notion de communauté virtuelle fait
itifs techniques et coconstruisent. De plus, la multiplication et la diversification des interactions et3 : Le projet de loi "Création et Internet", ou " loi Hadopi", a été adopté le 12 mai 2009 et censuré par le
Conseil Constitutionnel le 10 juin 2009. Le 15 septembre, Hadopi 2 est à son tour adopté. "Riposte graduée", "Haute
autorité": il est semé de plusieurs termes plus ou moins obscurs. La loi vise à enrayer le téléchargement illégal de musique
et/ou de films. Pour ce faire, le texte institue un mécanisme de "riposte graduée ", sous la houlette de la Haute autorité
sera rappelé à l'ordre, d'abord par l'envoi de mails d'avertissement puis, en cas de récidive, d'une lettre recommandée, et enfin
par la suspension, voire la résiliation de son abonnement Internet. Http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/la-
loi -hadopi-qu-est-ce-que-c-est_512898.html, consulté le 30 juin 2011.Page 18 of 375
des liens que permettent les dispositifs de communication en réseau apparaissent comme le
alité sociale et collective.De cette coconstruction, se décline une interaction et une interactivité, dans lesquels Lucia Santaella-
Braga repère une dimension cognitive fondamentale qui se manifeste en deux temps dans le couplagedialogique par laquelle, comme dans la parole, on assiste à une relance continue et dynamique de
par la propulsion créative du locuteur » qui doit, pour comprendre et Cette fonction dialogique qui semble conditionnelle à tout échangecognitive propre aux technologies, en particulier à travers le Web, puisque les opérations réalisées sur
Internet " externaliseraient » les opérations de la pensée. " électronique " externaliseraient du dialogisme »4.Nouvel outil de communication ou vecteur et
public spécifique, ses usages ou encore un nouvel espace communicationnel, induisant une culture
suscitent un grand intérêt de la part des médias et des individus et des chercheurs. marchandisation »5 émerge où
Ceci se produit dans une organisation
collective de prise de parole, phénomène participatif encouragé par le développement du Web 2.0. Les
nous qualifierons la place de la vie privée. Pour Jeudy6 en tant que telle projection de la forme " narcissique » des membres des RSN, comme par exemple, sur MySpace et4 POISSANT, L., et SENECAL, M., " Communautés virtuelles, penser et agir en réseau », sous la dir. de Serge Proulx, PUL
2006, p. 4 5 " Les communautés virtuelles », Université Grenoble 3, 2003. 6 JEUDY, H-P., " », éditions CIRCE, 2007.
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Pierre Lévy note " a de plus en plus dans les listes de discussions, forums, t la force : la libération de la parole (t donc particulièrement favorable à un »7. Ainsi, avec les RSN sommes-nous en présence de? Selon Pierre Rosanvallon, il existe un courant actuel de " contre-pouvoir » qui trouve sa source dans une
que Rosanvallon8 qualifie de " non-conventionnelle » individu temps où les médias disaientaux gens de quoi ils devaient débattre à un temps où les gens inspirent aux médias, les sujets à traiter.
Nouvel espace de débat, quelle légitimité, quel pouvoir ? soi. La connaissance, y compris scientifique, " satisfaction récommunauté des chercheurs et constitution de connaissances relatives qui deviennent de plus en plus
vraies par addition des significations et des vérifications. (Gauchotte, 1992)7 LEVY, P., " Cyberdémocratie », Jacob, 2002, p. 58 et 62. 8 ROSANVALLON, P., " La contre-démocratie »
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Dans cette section, il nous a semblé important de rappeler notre ancrage dans le champ des Sciences de
Notre objet de recherche dans sa globalité mobilise à la fois leschamps économique, politique, psychologique, sociologique, mais aussi épistémologique,
informationnel et communicationnel et de la Communication étudient des acteurs sociaux, leurs pratiquescommunicationnelles et leurs discours. Ces pratiques sont ainsi autant de traces et de marques de notre
nnelles sont complexes parcelieu de convergence entre pratiques sociales, techniques mais aussi entre logiques institutionnelles,
méso » si déterminismes macro- ommunicationnel complexe, qui nécessite le questionnement de la traçabilité enligne, dans un espace aux frontières floues entre sphère privée et sphère publique et professionnelle, des
médias dits traditionnels, typologiser et cartographier les RSN suivant une approche empirique,
Nous questionnons alors le brouillage entre espace public/privé/professionnel dans cetInternet et plus précisément dans le cadre des RSN. Notre analyse sera centrée sur la façon dont les sites
de réseaux sociaux sont appréhendés comme des espaces publics/privés, construits par la technologie
teurs, de groupes ou de communautés qui émergent comme le résultat publique/privée estompent les frontières, déjà fragiles. RSN à cette notion. " » comme la qualifie Tissero " explosion de soi sur Internet -delà du paraitre caractérise notre société " médiatiquePage 21 of 375
" publicisation » de nos données personnelles, la traçabilité permise par les RSN,
réseaux sur les médias dits traditionnels, autant de controverses qui ont attiré notre attention.
Selon la définition du Larousse, un réseau est " un entrelacement de fils, de lignes, etc. Ensemble de
voies, de canalisations, dequi concourent au même but, qui sont en relation pour agir ensemble ». Ainsi, cette définition laisse
penser à la connexion, au lien, à ce qui constitue le réseau et à ce qui le forme. Le Larousse définit le terme " social » comme : "du travail, aux conditions de vie des travailleurs, des citoyens ». Ainsi, un réseau social comprend des
individus ancrés dans une société donnée, dans un contexte spécifique et interagissent en
but précisPour David Fayon, " liens qui sont »9 .
de valeLes médias sociaux sont, partechnologiques, virales et sociales, permettant de créer et de diffuser tout type de contenu dans un réseau
numérique ouvert ou fermé. Ils peuvent pren -forme collaborative comme Wikipédia »10.La notoriété actuelle du terme " réseau social numérique » et la multiplication des recherches dans ce
domaine, est probablement9 FAYON, D., " Web 2.0 et au-delà, nouveaux internautes : du surfeur à l », Ed Economia, 2008 10 REGUER, D., " Blogs, médias sociaux et politique ». Editions les 2 Encres, 2009 P. 9-10
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" web 2.0 », un terme qui suscite le débat, et qui définit une certaine évolution technique et sociale sur la
toile. Cette évolution les rapports que nous entretenons" On parle de services web. Les applications ne sont pas limités à une plateforme spécifique mais
techn »11. Danscette perspective, il est possible de considérer ces réseaux comme des services et non comme des
produits. web 1.012, à la participation et interaction massive desquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] Probabilités : tableaux `a double entrée
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