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Algorithmes pour la synthèse d'images et l'animation 3D Warin Bruno. 005/00078/1 ... turbo pascal 7



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13 janv. 2002 En 1995 les pronostics don- naient Edouard Balladur comme favori avant d'attribuer à Jacques. Chirac



Les organisateurs de lassassinat du préfet Erignac ont avoué

24 mai 2021 dit d'ailleurs que l'auteur de l'immortel « Yes- ... ment la réapparition de turbo- ... poursuivre l'exercice pour que nous allions.



Le temps des vérités par Henri Hadjenberg

16 juil. 1997 d'époque. Jacques Chirac président de la République



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 18/02/02

17 févr. 2002 L'immunité des hommes d'Etat en exercice ne cède que devant des tribunaux ... s La montée des pouvoir locaux par Bruno Rémond.



Valéry Giscard dEstaing au « Monde » : leuro ne dépend plus que

12 juil. 1997 rages tenus par les militaires ou les milicens zoulous du président Pascal Lissouba. Il faut alors rebrousser chemin et changer d'itiné-.



Erignac : la police pense tenir les responsables

23 mai 2021 Après l'assassinat d'un haut fonction- naire le gouvernement italien ... soumettant pas à une correction ... partisans de Bruno Mégret ont.

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e

DANIEL JULIEN

L"ÉRUDITpublie son qua-

trième roman,Baudolino,et s"inquiète du manque de réflexion sur" le cas ita- lien ». Lire page 28LA JUGEfrançaise de patinage en couple, Marie-Reine Le Gougne, soupçonnée de collusion, a été suspendue, vendredi 15 février à Salt Lake City. L"épreuve de danse sur glace commence dans une atmo- sphère tendue par le scandale. Les Français Anissina-Peizerat(photo) sont en tête à l"issue des figures imposées. Lire pages 20 et 21

Umberto Eco :le plaisirdu roman

Le scandale du patinage :

la juge française suspendue

Tension entre Paris et Washington

Divergences sur l"" axe du Mal » dénoncé par Bush, convocation de l"ambassadeur de France

International.............. 2

France-Société........... 5

Carnet......................... 9

Abonnements........... 9

Entreprises............... 10Horizons .................... 11

Aujourd"hui............. 20

Météorologie-Jeux. 24

Culture...................... 25

Radio-Télévision..... 29

portrait

AIGREUR,irritation, tension pas-

sagère ? Il ne se passe plus guère de jour depuis le discours du président

George W. Bush sur l"état de l"Union,

le 29 janvier, sans qu"Américains et

Européens n"étalent publiquement

certaines de leurs divergences d"ap- préciation. Le différend est multiple, mais porte essentiellement sur la manière dont le président républi- cain a présenté ce qui paraît devoir

être la priorité de la politique étran-

gère et de défense américaine : la lut- te contre un" axe du Mal »que com- poseraient trois pays développant des armes de destruction massive - l"Iran, l"Irak et la Corée du Nord - qui pourraient tomber dans les mains du terrorisme islamiste. Au ser- vice de cette priorité, M. Bush n"ex- clut pas de faire la guerre - contre l"Irak, notamment -, et de la faire seul si ses alliés européens manifes- tent une quelconque divergence avec Washington.

Démarche inhabituelle entre alliés,

le département d"Etat a pris soin de faire savoir, vendredi 15 février, quel"ambassadeur de France aux Etats-

Unis, François Bujon de l"Estang,

avait été convoqué par une adjointe de Colin Powell pour discuter des positions de Paris. Le ministre des affaires étrangères, Hubert Védrine, avait qualifié de" simpliste »l"appro- che américaine de la lutte contre le terrorisme. Son collègue allemand,

Joschka Fischer, a estimé que des

"alliés ne devaient pas être des satelli- tes ». Le commissaire européen char- gé des affaires extérieures, le Britan- nique Christopher Patten, a, lui aus- si, dénoncé l"unilatéralisme de Wash- ington, estimant que de" vrais amis ne sont pas des lèche-bottes ». A Paris comme à Berlin, il n"est pas exclu que ce débat public avec les Etats-

Unis refléte des considérations élec-

torales. Il témoigne aussi de l"inquié- tude des Européens devant une dou- ble évolution : la perspective d"une guerre avec l"Irak en pleine tension israélo-palestinienne.

Lire page 4

et notre éditorial page 19

DAVID GRAY/REUTERSPIERRE-FRANCK COLOMBIER/AFP

POURla première fois, Didier

Schuller, ancien conseiller général

(RPR) de Clichy-la-Garenne, a été entendu, vendredi 15 février, sur le fond du dossier instruit par le juge de Créteil, Philippe Vandingenen, qui enquête sur les malversations qui auraient été commises en marge de la passation des marchés publics de l"Office public d"HLM des Hauts- de-Seine. Au cours de son audition qui a duré neuf heures, M. Schuller a reconnu avoir bénéficié d"" aides financières »de la part d"" entrepri- ses amies »attributaires de marchésde l"OPHLM dont il fut le directeur général de 1986 à 1994. Il a notam- ment affirmé avoir perçu, entre 1992 et 1994, des entreprises

Bouygues et SAE, environ 6 millions

de francs sur un compte en Suisse.

Ces fonds auraient ensuite servi à

financer ses activités politiques.

Dans une allusion en forme de

clin d"oeil à Jacques Chirac, l"ancien

élu a repris mot pour mot les pro-

pos tenus par le président de la

République sur TF 1, le 11 février, le

jour de l"annonce de sa candidature. Interrogé sur le financement occul-te des partis politiques, M. Chirac avait déclaré : "C"est tous les partis sans exception qui vivaient de cette manière. »

M. Schuller a aussi confirmé que

des entreprises du bâtiment avaient " aidé » Le Clichois, son journal élec- toral.Le Mondea retrouvé la collec- tion de ce mensuel, où figurent notamment plusieurs photogra- phies de l"élu en compagnie de diri- geants gaullistes, dont l"une avec

Jacques Chirac, en 1992.

Lire page 5

PR²SIDENTIELLE

Lionel Jospin pourrait

se déclarer candidat dimanche 24 février p. 6

JUSTICE

Alègre face à sa seule

victime survivante p.7

DAHER/GAMMA

SCIENCES

Hubert Reeves, conteur

infatigable de l"histoire de l"Univers p. 23

AUTOMOBILE

La petite Jazz réveille

la gamme Honda p. 22

MUSIQUES

Où va le hip-hop

français ? L"avis expert de DJ Mehdi et Rocé p. 25

3 000... 3 200... 3 275... 3 350...

Adjugé pour 3 350 euros !

Non, il ne s"agit pas d"un autogra- phe de John Lennon, mais d"un billet de 500 euros !

Au moment où le franc finit

sa vie à la trouilloteuse (pho- to) et quitte définitivement la scène dans la nuit du dimanche 17 au lundi 18 février, l"euro joue déjà les vedettes dans les salles de ventes. Une coupure finlan- daise de 500 euros sur laquelle il manquait l"hologramme a ainsi été vendue aux enchè- res pour 3 350 euros par la société Holmasto.

D"autres billets comportant le même défaut,

authentiques mais erronés, ont été décou- verts en Finlande depuis le lancement de la monnaie européenne.

Les erreurs du contrôle de qualité des nou-

velles pièces et des billets en euros font le bon- heur des collectionneurs et spécialistes desenchères. Des pièces et des billets dits" fautés »ont fait leur apparition dans tous les pays de l"Union européenne. Défectueux, ils peuvent paraître faux dans la mesure où la plupart ne présentent pas la totalité des signes de sécurité, mais ce sont pourtant de vérita- bles euros. Dans chaque pays, les banques nationa- les sont chargées de les rapatrier afin qu"ils ne perturbent pas la bon- ne circulation de la monnaie.

Une quinzaine de billets de 5 euros mal

façonnés, sur lesquels il manquait la bande iri- descente, l"un des signes de sécurité, ont ainsi été découverts en France au début du mois de janvier. La Banque de France a alors voulu les récupérer auprès de la banque qui avait consta- té le problème... mais sa valeur numismatique

était telle que la banque chanceuse n"a pas vou-lu les rendre ! Tout s"est mieux passé pour récu-

pérer les deux billets de 100 euros identifiés en Grèce et en Bulgarie, qui avaient été fabriqués aux Pays-Bas sans l"hologramme de sécurité.

Dans les pièces, quelques erreurs se sont

aussi glissées au cours de la production. En France, une pièce de 20 centimes a été frappée sur l"anneau central de la pièce de 2 euros. S"ils font quelques heureux, les euros défectueux restent rares. La proportion de ceux-ci est infé- rieure à 1 sur 500 millions pour les pièces et à 1 sur 200 millions pour les billets.

Autre souci de fabrication, les billets de

10 euros contiendraient, selon une étude alle-

mande, des pigments toxiques. Saisie de ce dossier, la Banque centrale européenne a fait réaliser une batterie de tests. Les résultats ont montré que cela pouvait en effet être toxique,

à condition d"en manger plus de quatre cents !

Cécile Prudhomme

Lire nos informations page 10

IL PLANEdéjà comme un air de

lassitude sur les campagnes électo- rales futures. Il se peut certes que ce sentiment ne reflète que le calme avant la tempête des idées, et que les semaines à venir bruissent de vifs débats. Il est pourtant une autre hypothèse qui vaut d"être considé- rée, ne serait-ce que pour vraiment l"écarter. Les candidats et les partis disposent-ils de libertés suffisantes pour former un projet ? Quels peu- vent être, en effet, les enjeux en ter- mes de choix sociaux d"élections nationales dans le cadre européen ?

Le pessimiste dira que si l"on s"en

tient aux règles complexes et opa- ques de fonctionnement de l"Union

économique et monétaire, les

enjeux sont faibles. Un entrelacs de traités, de directives, de modalités diverses de partage des compéten- ces contraint l"action des Etats-nations. Les gouvernements ne dis- posent plus de l"instrument moné- taire ni de celui du change. Le tinta- marre fait en Europe autour du " dérapage » des déficits publics montre que dans le cadre du pacte de stabilité (et de croissance ?) les politiques budgétaires et fiscales sont trop contraintes pour être mobilisées au secours d"un projet.

La politique de la concurrence

conduite par la Commission rend virtuellement impossible toute poli- tique industrielle. Reste, dira-t-on, la réforme structurelle, et il en est d"importantes à accomplir : la réfor- me de l"Etat, celle des régimes de retraite, celles de la justice, du systè- me de santé, de la fiscalité, de l"édu- cation, de la protection de l"environ- nement, de l"organisation des servi- ces publics, etc. Il convient aussi de continuer encore et toujours lescombats que l"on n"a pas encore gagnés : la lutte contre le chômage, la pauvreté, la précarisation du tra- vail, l"incivilité, etc.

Sur tous ces sujets, il existe des

rapports, des propositions alter- natives dont on a longtemps débat- tu. Mais il est au moins un frein et une borne supérieure à la mise en oeuvre des réformes. Le frein est qu"il est difficile d"envisager une réforme ambitieuse à périmètre constant, c"est-à-dire sans ressour- ces budgétaires. Une réforme est un investissement sur l"avenir, cer- tes intangible, mais que l"on met en oeuvre parce que l"on en attend un rendement important.

Jean-Paul Fitoussi

pour0123

Lire la suite page 19

supplément 0123

ARGENT

Les fausses

promesses des fonds garantis L"euro s"envole aux enchères, le franc part à la trouilloteuse aanalyse Les premières électionsgénérales après l"euro fGuantanamo :la polÈmique entreEurope et Etats-Unis fEnquÍtes : retour‡ Mazar-e-Charif ;vies de prisonniers fDroits de líhommeet terrorisme

Lire notre dossier pages 11 à 18

jeux olympiques d"hiver

Ce que Didier Schuller a dit au juge

trois questions à...federico andreu

BRUXELLES

de notre correspondant " Douche froide »," mauvaise décision »," revanche des juges internationaux sur les juges natio- naux »: l"arrêt rendu, jeudi

14 février, par la Cour internationa-

le de justice (CIJ), a suscité une levée de boucliers parmi les parti- sans de la loi belge de compétence universelle. Au-delà, la reconnais- sance par la Cour d"une immunité au Congolais Abdoulaye Yerodia, ex-ministre des affaires étrangères, visé par une plainte déposée à

Bruxelles par des Tutsis rwandais, a

relancé le débat sur la possibilité de traduire dans les faits certains prin- cipes de la justice pénale internatio- nale.

La CIJ de La Haye, organe judi-

ciaire des Nations unies, avait à se prononcer sur le mandat d"arrêt international lancé en avril 2000 par le juge d"instruction bruxellois Damien Vandermeersch.

M. Yerodia était visé pour une" vio-

lation grave du droit humanitaire ».

En 1998, il avait lancé des appels à

la résistance de la population de

Kinshasa contre les troupes rwan-

daises qui menaçaient la capitale et

évoqué" des vermines »qu"il conve-

nait d"" éliminer ». La population de Kinshasa et d"autres villes était allée par la suite s"en prendre à des civils congolais d"origine tutsie.La CIJ a estimé que la délivrance du mandat d"arrêt était illégale.

Toutefois, le dénouement du bras

de fer qui a opposé, pendant près de deux ans, la Belgique et la Répu- blique démocratique du Congo n"aurait sans doute pas eu un tel retentissement si l"affaire s"étaitlimitée à cet aspect. C"est la possibi- lité de juger d"autres dirigeants sus- pectés de crimes qui risquait d"être déterminée par la décision des juges de La Haye.

La justice bruxelloise a, en effet,

ouvert une trentaine d"autres dos- siers pour crimes et génocidesvisant des dirigeants politiques de haut rang. Se fondant sur les lois de 1993 et 1999 qui octroient aux juges belges une compétence pour juger des crimes, quels que soient le lieu de l"infraction, la nationalité de l"auteur ou celle des victimes, les plaignants ont convergé vers

Bruxelles, où ont été également

jugés et condamnés quatre " géno- cidaires » rwandais.

La plupart des plaintes ont été

déclarées recevables par le par- quet. Elles visent, outre l"ancien dic- tateur chilien Augusto Pinochet, plusieurs dirigeants africains, Fidel

Castro, Saddam Hussein, l"ancien

président iranien Ali Hachemi Raf- sandjani, etc. C"est toutefois l"an- nonce, au printemps 2001, d"un dépôt de plainte contre le premier ministre israélien Ariel Sharon - sui- vie d"une autre, visant Yasser Ara- fat et déposée par des responsables juifs -, qui a focalisé toute l"atten- tion sur la loi belge et illustré les dif- ficultés de son application. M. Sha- ron était cité par des rescapés pales- tiniens pour son implication présu- mée dans les massacres de Sabra et

Chatila, commis en 1982 au Liban.

Les avocats belges de l"Etat d"Is-

raël et de son premier ministre allaient briser le consensus qui sem- blait régner dans les milieux politi- ques et judiciaires. Ils invoquaient une série d"objections qui, jusque-là, n"étaient jamais apparues dans le débat. Impossible, affirmaient- ils, de juger un dirigeant en exerci- ce sans trouver préalablement unquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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