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3.3 Les conséquences des préjugés . officiel de pauvreté au Québec ou au Canada ni de ... conséquences peuvent à leur tour entraver la sortie.



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Nous ne pouvons pas ignorer l'importance de cette mesure et son impact sur l'amélioration des revenus des familles (y compris les monoparentales) avec les possi 



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L’état de situation 2016 du Centre d’étude sur la pauvreté et l’exclusion intitulé La pauvreté les inégalités et l’exclusion sociale au Québec rassemble les données les plus à jour sur la pauvreté et les inégalités au Québec Rappelons que la mesure du panier de consommation (MPC) a été recommandée par le CEPE comme

Comment combattre la pauvreté au Québec ?

Selon le Collectif pour un Québec sans pauvreté, l’envoi de chèques de 400 $ ou 600 $ pour contrer la hausse du coût de la vie ne permettra pas de combattre la pauvreté sur le long terme, créant juste une forme de pansement avec des mesures «insuffisantes et inéquitables».

Quels sont les consé-quences d’une pauvreté ?

Il subit les consé-quences d’une pauvreté sur laquelle il n’a pas de prise. La pauvreté ré-sulte d’un manque de ressources immédiates mais peut aussi hypo-théquer la capacité à évoluer, à se construire des ressources non moné-taires ultérieures (capital de connaissances et de savoirs, culturel, social, santé).

Quel est le taux de pauvreté au Québec ?

À la grandeur du pays, seules deux provinces, le Québec et l'Alberta, peuvent se targuer d'avoir un taux de pauvreté sous la barre des 10 %. La Belle Province affiche un taux de 9,7 % de la population qui peine à se payer le minimum pour vivre, soit environ 812 000 Québécois, contre un taux de 9,4 % pour la province de l'Ouest.

Est-ce que la pauvreté est une fatalité au Québec ?

La pauvreté n’est pas une fatalité au Québec. Les inégalités relativement basses et stables, un taux de pauvreté comparable à la moyenne canadienne et une bonne mobilité sociale permettent d’espérer que les personnes en situation de pauvreté puissent accéder à la classe moyenne ou supérieure.

Tous droits r€serv€s Les Presses de l'Universit€ de Montr€al, 2013 Ce document est prot€g€ par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. l'Universit€ de Montr€al, l'Universit€ Laval et l'Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche.

https://www.erudit.org/fr/Document g€n€r€ le 20 oct. 2023 16:53Sociologie et soci€t€s

Trajectoires de pauvret€ et monoparentalit€ : le Qu€bec dans

une perspective comparativeTrajectories of Poverty and Single Parenthood: Quebec in aComparative Perspective

Hicham Ra...q et Charles Plante

Ra...q, H. & Plante, C. (2013). Trajectoires de pauvret€ et monoparentalit€ : le

Qu€bec dans une perspective comparative.

Sociologie et soci€t€s

45
(1), 67†90. https://doi.org/10.7202/1016396ar

R€sum€ de l'article

Le Qu€bec a r€alis€ des progr‡s remarquables sur le plan de la lutte " la pauvret€ chez les familles et particuli‡rement les monoparentales. Sur la derni‡re d€cennie, ses taux de pauvret€ €taient souvent plus faibles que le reste du Canada. Le but de cet article est d'explorer une nouvelle approche longitudinale de la pauvret€ pour voir si le Qu€bec conserve toujours sa position de leader. Cette approche cherche " comprendre comment les familles qu€b€coises peuvent ˆtre confront€es " la pauvret€ dans leur parcours de vie. Nos r€sultats montrent que les familles monoparentales dans les autres principales provinces canadiennes ont €t€ plus souvent touch€es par des p€riodes de pauvret€ entre 2002 et 2007 comparativement au Qu€bec. Par contre, lorsque la pauvret€ frappe ces m€nages, le temps n€cessaire pour remonter la pente est presque le mˆme quelle que soit la province de r€sidence.

Sociologie et sociétés, vol. xlv, n

o

1, printemps 2013, p. 67-90

Trajectoires de pauvreté et monoparentalité : le Québec dans une perspective comparative hicham raïq

Département de sociologie

Université de Montréal

C. P. 6128, succ. Centre-ville

Montréal (Québec) H3C 3J7

Courriel : hicham.raiq@umontreal.ca

charles plante

Département de sociologie

Université McGill

855, rue Sherbrooke Ouest

Montréal (Québec) H3A 2T7

Courriel : charles.plante@mail.mcgill.ca

M algré les programmes de lutte contre la pauvreté au Canada et les poli- tiques développées pour créer des sociétés égalitaires, il existe encore des groupes sociaux très défavorisés. Les familles monoparentales figurent parmi ces groupes sévèrement touchés par la pauvreté. Leur revenu représente généralement entre la moitié et les deux tiers du revenu moyen de la population en âge de travailler élevés que ceux de l"ensemble de la population. Au Canada, 42,3 % des familles mono- parentales étaient pauvres en 2004 alors que la pauvreté biparentale se situait autour de 9,7 % (Raïq, 2012 ; Raynault, 2010). Richard (2010) souligne que malgré la baisse de la pauvreté monoparentale entre 2005 et 2009, les écarts avec les familles biparen-

tales demeurent assez élevés. Ces taux de pauvreté très élevés chez les familles mono-

parentales posent un sérieux problème social, d"autant plus que la monoparentalité a connu une augmentation fulgurante entre le début des années 1970 et le milieu des années 2000. Au Canada, la proportion des familles monoparentales parmi les ménages avec enfants est passée de 8,9 % en 1979 à 25,6 % en 2004 (Raïq, 2012). Tout indique que le défi actuel est d"adapter les politiques aux transformations de

la structure familiale et la diversité des modes de résidence pour réduire les inégalités.

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sociologie et sociétés vol. xlv.1 La lutte à la pauvreté doit s"inscrire dans une conception " renouvelée » de la famille qui tient compte des nouveaux besoins face à de nouveaux risques (Beck, 1986 ; Giddens, 1990 ; Beck et Beck-Gernsheim, 2001 ; Jenson, 2004 ; Raïq, 2012). Toutefois, de nombreuses études montrent que les mesures d"adaptation et les situations dif- fèrent entre les sociétés. Au sein même du Canada, il existe des divergences entre les provinces. D"une part, le Québec semble présenter des résultats relativement meilleurs sur le plan de la lutte à la pauvreté particulièrement chez les familles monoparentales. D"autre part, les autres principales provinces canadiennes font face à une pauvreté monoparentale beaucoup plus problématique (Roy et al., 2008 ; Raynault, 2010 ;

Bernard et Raïq, 2011 ; Raïq, 2012).

Ces constats proviennent des résultats d"études s"appuyant sur des données trans- versales 1 relativement récentes. Les auteurs de ces études cherchent surtout à com- prendre les facteurs qui expliquent les différences entre le Québec et le reste du Canada (Imbeau et al., 2000 ; Bernard et Saint-Arnaud, 2004). Est-ce que la province dispose réellement d"une marge de manoeuvre dans sa lutte à la pauvreté et la protection des familles monoparentales ? Cette question légitime nous amène à l"inscrire dans un débat qui divise deux courants idéologiques. Le premier, à tendance libérale, évoque les effets d"une forte mondialisation ou encore plus directement la continentalisation économique de l"Amérique du Nord avec le traité de libre-échange. Cette situation pousserait le Québec à s"aligner sur ses voisins plus libéraux, y compris l"important

partenaire économique que sont les États-Unis, caractérisés par de fortes inégalités

sociales. De même, les autres provinces canadiennes avec lesquelles les échanges de main-d"oeuvre, de capitaux et de biens sont généralement plus simples et plus déve- loppés exercent une pression vers l"uniformisation des politiques sociales. Les travail-

leurs et entreprises auraient tendance à quitter les provinces où les taxes sont élevées,

rendant intenable la position de celles qui offrent des services sociaux et des transferts

généreux (Bernard et Raïq, 2011). La pression à la baisse sur la fiscalité conduirait à ce

qu"on appelle une " course vers l"abîme » (Brueckner, 2000 ; Volden, 2002 ; Berry et al.,

2003), où toutes les provinces devraient s"ajuster au plus bas dénominateur commun

de générosité sociale. Le deuxième courant adopte une explication plus favorable à la générosité sociale pour montrer que les choses ne sont pas si simples sur le plan de la convergence entre les provinces. Il existe des différences persistantes même aujourd"hui entre les régimes sociaux. Les provinces détiennent la plus grande partie des pouvoirs dans les domaines qui affectent directement les inégalités sociales et la pauvreté. On peut citer l"éduca- tion, la santé, l"assistance sociale, l"emploi, la famille, le logement et autre. Cela leur donne malgré tout une certaine marge de manoeuvre. La plupart du temps, le Québec a poursuivi, depuis la Révolution tranquille, des politiques qui visaient un idéal de justice sociale (Bernard et Raïq, 2011). Cette orientation s"appuie d"ailleurs souvent

1. Les données transversales permettent de mesurer un phénomène par rapport à un point fixe

dans le temps (l"année par exemple). Elles diffèrent des données longitudinales qui permettent de suivre la

situation des mêmes individus par rapport à un phénomène sur une plus longue période.

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Trajectoires de pauvreté et monoparentalité

sur l"affirmation d"un modèle québécois, d"une identité différente de l"identité cana-

dienne (Jenson, 2002, 2005). L"adoption de la politique des garderies à sept dollars, par exemple, a eu un effet très favorable sur le plan de l"égalité (Lefebvre et Merrigan,

2008). Nous ne pouvons pas ignorer l"importance de cette mesure et son impact sur

l"amélioration des revenus des familles (y compris les monoparentales) avec les possi- bilités qu"elle leur offre pour gagner un salaire sur le marché.

Entre l"explication libérale et l"explication favorable à la générosité sociale, il est

parfois difficile de savoir dans quelle mesure le Québec peut poursuivre des orienta-

tions politiques généreuses et trouver les moyens de les appliquer. L"intérêt de relancer

la réflexion sur cette question nous amène à suggérer des perspectives différentes par

rapport aux méthodes actuelles afin de mieux saisir ce qui caractérise le Québec com- paré aux autres provinces sur le plan de la pauvreté des familles. Même si les travaux basés sur des données transversales confirment jusqu"à un certain point " l"exceptionnalisme » québécois (Proulx et al., 2011 ; Brochu et al., 2011), il est possible que la dimension longitudinale nous livre un autre portait. L"approche longitudinale explore de nouvelles façons de mesurer la pauvreté et permet de saisir,

au-delà des taux de pauvreté, les risques liés à la persistance en pauvreté. Il s"agit par

exemple de savoir quelle est la proportion des familles qui demeurent plus longtemps dans une situation de pauvreté. Les besoins des familles diffèrent selon la nature de la pauvreté qui peut être permanente ou intermittente. Les familles qui vivent le cauche- mar de la pauvreté sur une plus longue période sans améliorer leur situation peuvent être amenées à tomber dans un cycle vicieux où chaque année supplémentaire de pauvreté peut augmenter encore les chances de rester en pauvreté. Il existe un effet cumulatif des expériences de pauvreté qui peut peser lourdement sur la capacité des familles à pouvoir s"en sortir et contrôler leur situation (Bane et Ellwood, 1986 ; Mayer,

2004). Dans leur conception des parcours de vie, Bernard et al. (2011) expliquent que

plus la pauvreté perdure, plus d"autres problèmes viennent s"ajouter sur le plan de la santé, de l"isolement, de la délinquance, de l"exclusion sociale et autres. Il devient alors plus saisissant de comprendre ce qui distingue le Québec des autres provinces à cet égard. Est-ce que l"exceptionnalisme québécois se confirme lorsque nous examinons cette dimension longitudinale de la pauvreté ? La baisse des taux de pauvreté mono- parentale enregistrée au Québec s"accompagne-t-elle d"une pauvreté moins persistante chez ces ménages ? Pour répondre à ces questions, nous allons procéder en trois étapes. Nous allons présenter dans un premier temps une revue de littérature sur l"évolution de la pauvreté selon les méthodes actuelles qui se basent sur des données transversales. Nous met- trons l"accent particulièrement sur la pauvreté monoparentale comparée à celle des familles biparentales au Québec et dans les principales provinces canadiennes que sont l"Ontario, l"Alberta et la Colombie-Britannique. Il est possible à travers cette revue de

littérature de présenter un portrait sur une période relativement récente se situant entre

2000 et 2009. Dans un deuxième temps, nous introduirons notre perspective longitu-

dinale et expliquerons notre méthode d"analyse. La troisième partie sera consacrée à

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sociologie et sociétés vol. xlv.1 la présentation et l"interprétation des résultats en soulignant ce que nous apporte cette approche dynamique de la pauvreté comme nouvelles connaissances.

1. évolution de la pauvreté entre 2000 et 2009 : les moments décisifs

au québec La décennie 2000 a été marquée dans la plupart des pays avancés par des changements importants sur le plan politique, économique et social avec des effets majeurs sur l"évolution de la pauvreté (Bernard et Raïq, 2011 ; Proulx et al., 2011 ; Gazier, 2003). Les discours qui prônent la réduction de certains programmes sociaux et une plus forte orientation vers le marché étaient particulièrement dominants (Gazier, 2003 ; Esping-Andersen, 2009). Les familles monoparentales figurent parmi les groupes

sociaux qui ont été largement touchés par ces mesures. Le Canada ne déroge pas à cette

règle (Richards, 2010). Sur le plan de la pauvreté, la situation a été particulièrement

alarmante durant la première moitié de la décennie 2000. Le taux de pauvreté des familles monoparentales a dépassé 40 % en 2002 avant de connaître une baisse pour se situer légèrement au-dessus de 30 % vers la fin de la décennie. Malgré cette baisse, les écarts de pauvreté entre les familles monoparentales et biparentales demeurent

élevés (Richards, 2010).

Toutefois, à l"intérieur du Canada, les provinces présentent des situations peu semblables quant à l"évolution de la pauvreté monoparentale et biparentale. Un rap- port réalisé dans le cadre d"une recherche au centre Léa Roback 2 fait ressortir les dif- férences entre les provinces canadiennes en les situant par rapport à un ensemble d'autres pays sur la période allant de 1990 à 2004. Un autre rapport sur la pauvreté au

Québec publié par le Centre d'étude sur la pauvreté et l'exclusion (2011) fournit éga-

lement des données détaillées et plus récentes sur la pauvreté monoparentale au Québec comparée au reste du Canada en montrant les points de divergence. Bernard et Raïq (2011) montrent également que la réduction de la pauvreté est en grande par- tie une question de juridiction provinciale 3 Les graphiques que nous avons produits sur la période allant de 2000 à 2009 montrent des différences à la fois entre le Québec et les autres principales provinces (Ontario, Alberta et Colombie-Britannique), et entre les familles monoparentales et biparentales sur le plan de la pauvreté 4 . Le graphique (1) illustre l'évolution des taux de pauvreté monoparentale. Le Québec présentait une situation presque similaire à la moyenne canadienne en 2000. Entre 2000 et 2004, des changements importants ont

2. Recherche dirigée par Marie-France Raynault dans le cadre d"une action concertée sur la pau-

vreté et l"exclusion sociale subventionnée par le FQRSC. Le rapport a été publié en 2010.

3. C"est ce qui est confirmé également par les résultats d"une étude réalisée à l"Université McGill

sous la direction du professeur Axel van den Berg. Les résultats de cette étude financée par le CRSH ont été

publiés dans les actes du colloque organisé par le CIQSS et intitulé Statistiques sociales, pauvreté et exclu-

sion sociale, perspectives québécoises, canadiennes et internationales.

4. Il s"agit des taux de pauvreté relative pour chaque province selon le seuil de 50 % de la médiane

des revenus.

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Trajectoires de pauvreté et monoparentalité

eu lieu. Les provinces canadiennes (à l"exception du Québec) ont connu une hausse des taux de pauvreté chez les familles monoparentales. Par contre, le Québec fait bande à part en maintenant ses taux à des niveaux contrôlables en réalisant même une baisse pour atteindre un niveau largement plus bas que le reste du Canada en 2004. Pour cette année, les taux de pauvreté monoparentale étaient aux alentours de 25 % auquotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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