[PDF] 1 Schopenhauer Le Monde comme volonté et comme





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COMMENTAIRE DUN EXTRAIT DE SCHOPENHAUER

Tout vouloir procède d'un besoin c'est-à-dire d'une privation



COMMENTAIRE DUN EXTRAIT DE SCHOPENHAUER

Tout vouloir procède d'un besoin c'est-à-dire d'une privation



Schopenhauer Le monde comme volonté et comme représentation

Désir et bonheur. Livre III §38. « Tout vouloir procède d'un besoin



Le désir est-il par nature illimité

recherche de la satisfaction de désirs qui seraient par avance condamnés à Dans Le monde comme volonté et comme représentation Arthur Schopenhauer.



1 Schopenhauer Le Monde comme volonté et comme

Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine. Le désir de sa nature



La souffrance est le fond de toute vie1. - Une théorie métaphysique

ou plutôt qui définit le désir condition de possibilité de la satisfaction elle-même. 1 Arthur Schopenhauer



La souffrance est le fond de toute vie1. - Une théorie métaphysique

ou plutôt qui définit le désir condition de possibilité de la satisfaction elle-même. 1 Arthur Schopenhauer



Quest-ce que la philosophie ? Introduction au cours de philosophie

Pour expliquer le mécanisme du désir Schopenhauer fait une analogie entre la satisfaction du désir et la consommation d'un aliment.



Le bonheur - Le désir le plaisir

http://pedagogie.ac-guadeloupe.fr/files/File/philosophie/2014_conference_bedminster_bonheur_pdf_542ac23197.pdf



P H IL O SO P H IE

Pour Schopenhauer le bonheur est précisément ce dont nous ne pouvons jamais jouir



Schopenhauer - Le bonheur entre le désir - Major-Prépa

Schopenhauer 1 Karsten Harries Schopenhauer's The World as Will and Representation Fall Semester 2014 Yale University Copyright Karsten Harries Schopenhauer 2 Contents 1 Introduction 3 2 Perception and Understanding 18 3 Power and Impotence of Reason 31 4



« Il n’y a pas de satisfaction qui d’elle-même et comme de

Schopenhauer – Le Monde comme volonté et comme représentation (1819) « Il n’y a pas de satisfaction qui d’elle-même et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu’elle soit la satisfaction d’un désir Le désir en effet la privation sont la condition préliminaire de toute jouissance

Quel est l’intérêt de la question de Schopenhauer ?

Pour bien comprendre l’intérêt de la question, il faut saisir ses enjeux : la philosophie de Schopenhauer nie que le bonheur soit véritablement accessible ; elle considère que le désir est inextinguible et s’assimile toujours à la souffrance.

Quelle est là théorie du cycle du désir de Schopenhauer ?

Nous avons là un résumé très ramassé de la théorie du cycle du désir de Schopenhauer : d’abord, le désir est assimilé à la souffrance, raison pour laquelle on cherche à s’en libérer par la satisfaction.

Comment la satisfaction de nos désirs permet-elle d’atteindre le bonheur ?

Schopenhauer pose la question suivante : la satisfaction de nos désirs permet-elle d’atteindre le bonheur ? Pour bien comprendre l’intérêt de la question, il faut saisir ses enjeux : c’est la question fondamentale de l’accessibilité du bonheur qui est ici posée par Schopenhauer.

Pourquoi Schopenhauer a-t-il dit que le bonheur est la bonne solution ?

Le texte consiste à montrer qu’en réalité cette solution n’est pas la bonne. La thèse défendue par Schopenhauer est que le « bonheur » se trouve dans un juste milieu temporel : entre la naissance du désir et sa satisfaction doit s’écouler une durée moyenne, qui évite les extrêmes (durée trop longue ou durée trop courte).

Schopenhauer, Le monde, IV, §57

1

Schopenhauer

Le Monde comme volonté et comme représentation,

Livre IV, §57

effort continu, sans but, sans repos ; vérité éclate bien vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur

prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et les voilà tombés dans un vide

La vie donc

: ce sont là les deux

souffrance ; la satisfaction engendre bien vite la satiété : le but était illusoire : la possession lui

enlève son attrait ; le désir renaît sous une forme nouvelle, et avec lui le besoin le besoin. Quand le désir et la satisfaction

se suivent à des intervalles qui ne sont ni trop longs, ni trop courts, la souffrance, résultat commun

Structure de l'argumentation :

Désirer = Souffrance Ennui = ne plus désirer = souffrance rappel : définition de l'essence intime de la nature

brute : effort continu, sans but, sans repos. si / Hypothèse : la volonté vient à manquer d'objet

opposition : chez la bête et homme : la même vérité éclate bien plus évidemment. si / hypothèse : une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, affirmation : vouloir = s'efforcer = tout leur être ; comparaison : une soif inextinguible conséquence : ils tombent dans le vide épouvantable = dans l'ennui = leur nature, leur existence leur pèse d'un poids intolérable. Or : tout vouloir a pour principe un besoin = un manque = donc une douleur

Schopenhauer, Le monde, IV, §57

2 Conséquence / conclusion : c'est par nature, nécessairement, qu'ils doivent devenir la proie de la douleur.

Conclusion : la vie oscille de souffrance à ennui = comparaison un pendule qui oscille de droite à

gauche = les deux éléments dont la vie est faite en somme. Affirmation : Vie humaine s'écoule entre désir et réalisation le désir par nature SINON : l'ennui, souffrance le dégoût, la satisfaction engendre vite la satiété le vide le but était donc illusoire ennemis plus rudes que le besoin. la possession lui enlève l'attrait le désir renaît sous une forme nouvelle et avec lui le besoin.

La plus heureuse vie en conséquence =

quand le désir + la satisfaction se suivent à des intervalles qui ne sont ni trop longs ni trop courts

car la souffrance, résultat commun de l'un et de l'autre, descend à son minimum.

Thèse : Schopenhauer affirme, dans cet extrait du Monde comme volonté et comme représentation, que du

fait que la vie est une alternance incessante entre souffrance et ennui, la définition de la vie heureuse

consiste, en conséquence, en une alternance du désir et de la satisfaction à des intervalles ni trop courts ni

trop longs. Être heureux selon Schopenhauer c'est donc souffrir le moins possible. Question : quelle est l'essence de la vie et quelle définition du bonheur en découle ?

Problème : Tous les êtres humains recherche le bonheur et définissent celui-ci comme un état permanent

de pleine de satisfaction. Or dans les faits on observe l'omniprésence de la souffrance sous toutes ses formes. Le bonheur auquel on croit est-il réel ou illusoire ? Le bonheur est-il inaccessible ?

Enjeux : nécessité de savoir quelle est la vraie nature de la vie et du bonheur pour ne pas se tromper dans

le choix des actions à mener pour l'atteindre. Savoir s'il est utile de consacrer ses efforts à la recherche de

ce que l'on croit être le bonheur ou bien s'il faut réorienter sa vie en fonction de ce que la réflexion nous

donne à connaître de la véritable nature du bonheur.

Schopenhauer, Le monde, IV, §57

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