[PDF] VOCABULAIRE UTILE À LANALYSE FILMIQUE PAR FRANCISCO





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LEXIQUE DE TERMES CINÉMATOGRAPHIQUES

Échelle des plans. Scale of camera-shots. PGE plan de grand ensemble. ELS extreme long shot plan rapproché (poitrine). CS close shot. GP gros plan.



Les caractéristiques fondamentales du plan

Plan rapproché poitrine. Plan rapproché taille. Plan américain. Plan italien. Plan moyen. • plan d'ensemble pour établir la position des personnages dans le 



Les différents plans (cadrages)

Plan général : Il montre l'environnement du ou des personnages : paysage Plan américain : Les personnages sont ... Plan rapproché (plan poitrine) :.



Analyse plan par plan Les raisins de la colère – John Ford Durée du

plan d'ensemble sur le départ du camion : le chauffeur laisse notre personnage monter sur le marche-pied fondu enchaîne. > plan poitrine du personnage et du 



Les images

Plan taille. Plan poitrine. Gros plan. Très gros plan. 1. Cavalcade. 2. Les Invisibles. 3. Les Choristes. 4. Le Promeneur du Champ de Mars. 5. Ze Film.



VOCABULAIRE UTILE À LANALYSE FILMIQUE PAR FRANCISCO

plan italien : il cadre le personnage au niveau des genoux (ce terme est ceinture (plan rapproché taille) de la poitrine (plan rapproché poitrine)



La composition dune image

Plan taille. Plan poitrine. Il place les acteurs à la même distance que celle qui sépare les interlocuteurs d'une conversation. Il accentue l'intimité 



Lexique danalyse de film

poitrine plan-poitrine) : Le plan américain : Cadre le personnage à mi-cuisses. Le gros plan : Cadre le personnage au visage. Le plan de détail.



Lexique danalyse de film

Le plan rapproché (plan-taille ou plan-poitrine) cadre le personnage à la ceinture ou à la poitrine. Le gros plan cadre le personnage au visage.



Techniques de la bande dessinée

Le plan rapproché poitrine ou taille : il cadre le personnage en buste. ? Le gros plan : il met en évidence un objet ou les sentiments d'un personnage.



9 WEEK BODYWEIGHT WORKOUT FOR STRENGTH & MUSCLE GAINS

Phase 1: Weeks 1 - 3 Exercise Sets Reps Week 1 Push-Ups 3 15 Inverted Rows 3 10 Diamond Push-Ups 3 10 Deep Squats (3 Secs Pause at Bottom) 3 15 Single Leg Calf Raises 3 15



UPPER/LOWER 4 DAY GYM BODYBUILDING SPLIT WORKOUT

Day 1 Exercise Sets Reps Upper Body Bench Press 3 6 - 12 Barbell Row 3 6 - 12 Seated Overhead Dumbbell Press 3 8 - 12 Pec Dec* 2 10 - 12 V-Bar Lat Pull Down* 2 10 - 12

  • Le Plan d’ensemble

    Le plan d’ensemble, très proche du plan général, est un cadrage dont l’environnement reste prépondérant. Le spot est cette fois-ci, plus ciblée et le sujet, en occupant une plus grande partie de l’image est devenu identifiable. En photographie de portrait, le plan d’ensemble consiste à photographier un modèle dans un environnement défini, comme une...

  • Le Plan Moyen Ou Plan en Pied

    Le plan moyen ou plan en pied est un cadrage plus resserré que le plan général et d’ensemble où l’environnement passe au second plan pour attirer l’attention du spectateur sur les personnages. En photographie de portrait, le plan moyen ou plan en pied consiste à photographier un modèle de la tête au pieden ne laissant que quelques éléments du décor...

  • Le Plan Américain et Le Plan Italien

    Le plan américain, également appelé plan 3/4 consiste à cadrer un personnage à mi-cuisse. Le décor est secondaire et le personnage mis en avant. Le plan italien, quant à lui, consiste à cadrer un personnage aux mollets. L’utilisation de ce cadrage est de plus en plus désuète en étant remplacée par le plan américain. En photographie de portrait, le ...

VOCABULAIRE UTILE À L'ANALYSE FILMIQUE

PAR FRANCISCO FERREIRA

ANGLE DE PRISE DE VUE: l'angle de prise de vue correspond à la position de l'appareil par rapport au champ filmé. Il dépend de

deux coordonnées spatiales : l'angle formé par l'axe optique de l'objectif avec l'horizontale ; l'angle formé par les horizontales du cadre

avec l'horizon : -lorsque ces deux angles sont nuls, l'angle de prise de vue est dit normal ;

-lorsque l'axe optique est incliné vers le bas (caméra au-dessus du sujet qu'elle filme), on obtient une plongée ;

-lorsque l'axe optique est incliné vers le haut (caméra en-dessous du sujet qu'elle filme), on obtient une contre-plongée ;

-lorsque l'axe optique de la plongée est vertical, on a affaire à une plongée zénithale (ou encore, selon les manuels, une plongée

totale, ou simplement une plongée verticale) ;

-lorsque la caméra est retournée à 180° et que les personnages apparaissent la tête en bas, on obtient un cadre renversé ;

-lorsque les horizontales du cadre ne sont pas parallèles à l'horizon, il en résulte un cadre incliné.

CHAMP: c'est la portion d'espace imaginaire contenue dans les limites du cadre.

COUPE FRANCHEouCUT: deux plans se suivent en étant simplement juxtaposés : on passe de l'un à l'autre par simple collure.

ÉCHELLE DES GROSSEURS DE PLAN: chaque grosseur de plan correspond à un rapport de surface entre la dimension de l'image

et celle du principal motif inscrit dans le cadre. Ce rapport dépend de la distance entre ce motif principal (sur lequel se fait la mise au

point) et la caméra. L'échelle des plans est fixée soit en fonction du décor, soit en fonction des personnages inscrits dans le cadre.

EN RÉFÉRENCE AU DÉCOR:

-plan général ou plan de grand ensemble : il embrasse tout un paysage ou, du moins, une large étendue dans laquelle le décor est

situé (et où les personnages sont plus ou moins noyés) ;

-plan d'ensemble : il présente la totalité du décor ; la taille des personnages est toujours réduite, mais certains détails commencent

à se préciser ;

-plan de demi-ensemble : il retient une partie du décor et situe le héros dans son cadre. EN RÉFÉRENCE AUX PERSONNAGES(" l'étalon » étant un homme debout) :

-plan large : il montre le personnage en pied et un certain espace au-dessus et/ou en-dessous de lui ;

-plan moyen : il cadre le personnage en pied ;

-plan italien : il cadre le personnage au niveau des genoux (ce terme est relativement peu fréquent) ;

-plan américain : personnage cadré à mi-cuisses ;

-plan rapproché : personnage cadré à la hauteur de la ceinture (plan rapproché taille), de la poitrine (plan rapproché poitrine), ou

même des épaules (plan rapproché épaules) ; -gros plan : personnage cadré à la hauteur du cou (visage) ;

-très gros plan : il cadre une partie du visage ou un détail ; on parle d'insert pour désigner un plan de soulignement dramatique

(souvent un gros plan d'objet).

FORMAT: il s'agit d'un cadre rectangulaire, dont les dimensions sont déterminées par deux données techniques : la largeur de la

pellicule (16mm, 35mm, etc.) et les dimensions de la fenêtre de la caméra, qui déterminent un rapport (celui de la largeur sur la

hauteur : par exemple, 4/3=1,33). Ces deux données définissent ainsi ce qu'on appelle le format du film.

HORS-CHAMP: c'est l'espace diégétique exclu du champ par le cadrage etqui le prolonge imaginairement.

MOUVEMENTS DE CAMÉRA: il existe deux sortes de mouvements de caméra, le panoramique et le travelling : le panoramique est

obtenu par une rotation de l'appareil autour de son axe de fixation (la caméra pivote autour de son pied, qui reste fixe) ; le travelling est

un déplacement de l'appareil dans l'espace (la caméra se déplace sur son pied).

Le panoramique peut être :

-horizontal : la caméra pivote vers la droite ou vers la gauche et découvre ainsi une portion d'espace (panoramique gauche/droite ou

panoramique droite/gauche) ; -vertical : la caméra pivote de haut en bas ou de bas en haut ; -diagonal : la caméra pivote à la fois horizontalement et verticalement. -Le travelling peut être : -avant : la caméra se rapproche de l'objetfilmé ; -arrière : c'est l'inverse, elle s'en éloigne en reculant ;

-latéral : la caméra se déplace vers la droite ou vers la gauche (l'axe optique estplus ou moins perpendiculaire au déplacement) ;

-vertical : la caméra se déplace vers le haut ou vers le bas ;

-circulaire : la caméra contourne un personnage, un objet ou un élément de décor, ou bien elle suit les déplacements " complexes »

d'un personnage.

-On parle de travelling d'accompagnement lorsque le déplacement de la caméra est simultané et parallèle à celui d'un personnage

ou d'un objet en mouvement.

Le travelling optique ou zoom s'obtient grâce à un objectif à focale variable (le terme de " zoom » définit d'ailleurs aussi bien ce type

d'objectif que l'effet qu'il produit) : il relève d'un principe différent du travelling réel puisqu'il n'y a pas de déplacement de la caméra ; les

effets d'avancée ou de recul sont obtenus par des moyens optiques qui modifient la profondeur de champ, par variation de la focale et

donc de l'ouverture angulaire.

Il faut encore ajouter qu'il existe une infinité de combinaisons entre le panoramique et le travelling : on parle alors de pano-travelling.

PLAN-SÉQUENCE: c'est un plan suffisamment long pour contenir l'équivalent événementiel d'une séquence, c'est-à-dire un

enchaînement de plusieurs événements distincts. PROFONDEUR DE CHAMP: c'est la portion d'espace qui apparaît nette dans le champ.

RACCORDS: les raccords sont un ensemble de figures spécifiques qui permettent de créer une continuité entre deux plans

enchaînés.

Typologie des raccords les plus courants :

-le raccord de direction : c'est l'une des règles primordiales du montage classique ; elle s'est mise en place dès les années dix pour

faciliter l'orientation du spectateur et la construction d'un espace diégétique cohérent : tout déplacement qui a lieu dans un plan doit

se poursuivre dans la même direction sur l'écran dans le plan suivant pour être perçu comme continu ;

-sur le principe du raccord de direction s'est fondé un raccord plus spécifique : le raccord de mouvement, qui assure la continuité,

d'un plan à un autre, d'un mouvement de caméra d'une vitesse et d'une direction données ;

-le raccord sur un geste produit l'effet de continuité désiré en présentant le début d'un geste dans un plan et sa fin dans le suivant,

qui peut correspondre à un changement d'axe de prise de vue, ou alors à un effet de rapprochement ou d'éloignement par rapport

au sujet filmé ; dans ce deuxième cas, le raccord sur le geste est combiné avec un raccord dans l'axe ;

-le raccord dans l'axe lie donc deux plans de grosseurs différentes filmés selon le même axe de prise de vue ;

-le raccord sur le regard lie, quant à lui, un plan d'un personnage qui regarde à un plan de ce que ce personnage regarde ; notons

que lorsque le point de vue de la caméra semble coïncider dans l'espace avec celui du personnage qui regarde, on parle de plan

subjectif ou de caméra subjective ; par ailleurs, les raccords sur le regard régissent une figure de montage particulièrement

fréquente : le champ-contrechamp,c'est-à-dire l'alternance d'un champ donné avec le champ spatialement opposé.

UnFAUX RACCORDest une discontinuité notable des éléments visuels ou sonores entre deux plans successifs qui sont censés être

contigus dans le temps et/ou dans l'espace. Il peut être involontaire (et il relève alors d'une erreur de scripte ou d'une " faute » de

montage), mais il peut également être motivé et produire un effet de sens.

" SIGNES DE PONCTUATION »: expression métaphorique empruntée à Christian Metz qui désigne le fait que deux plans sont

séparés ou liés par un effet optique. Les " signes de ponctuation » les plus fréquents sont :

-le volet : mode de transition entre deux plans dans lequel une ligne horizontale ou verticale, voire oblique, traverse le champ, "

effaçant » la première image et découvrant la seconde au fil de son avancée ; on peut également utiliser un volet noir ;

-le chassé : mode de transition entre deux plans dans lequel la deuxième image semble pousser la première, horizontalement ou

verticalement, et prendre sa place ;

-l'iris : c'est un cercle entouré de noir qui s'ouvre ou se referme ; on parle donc d'ouverture à l'iris et de fermeture à l'iris ;

-le fondu : avec le fondu au noir, l'image s'obscurcit progressivement jusqu'au noir complet ; le fondu d'ouverture est l'inverse du

fondu au noir : l'image apparaît progressivement à partir du noir complet ; enfin, avec le fondu enchaîné, une image apparaît en

surimpression fugitive d'une image qui disparaît ; il est important de noter que la surimpression, c'est-à-dire la superposition de

deux images, n'a pas forcément une valeur de ponctuation : c'est seulement le cas lors d'un fondu enchaîné ;

-le filé : c'est un mouvement panoramique très rapide qui rend l'image momentanément indéchiffrable et permet alors d'en introduire

une autre ;

-le flou peut également servir de " signe de ponctuation » lorsque le défaut de mise au point apparaît délibéré.

SON: on peut distinguer, en suivant Michel Chion, trois catégories de sons, en fonction de la situation des sources sonores par rapport

à l'image :

-le son in : la source est visible à l'écran ;

-le son hors-champ : la source n'estpas visible à l'image mais peut être imaginairement située dans l'espace-temps diégétique ;

-le son off : le son émane d'une source invisible située dans un espace-temps autre que celui qui est représenté à l'écran. Les sons

off les plus fréquents sont la voix off et la musique non diégétique. -Notons également trois cas particuliers étudiés par Michel Chion :

-un son émane de " l'intérieur » d'un personnage que l'on voit à l'écran : sons physiologiques (des battements de cur, par

exemple) ou voix intérieure ; Chion propose d'appeler ces sons : " sons internes » ;

-les sons d'ambiance globale, à la fois in et hors-champ, qui baignent tout l'espace diégétique (chants d'oiseaux, bruit du vent) : son

ambiant ou ambiance sonore ;

-les sons " on the air » ou " sur les ondes » : sons présents dans une scène mais supposés être retransmis électriquement, par

radio, par téléphone, télévision, interphone, amplification, etc., donc échappant aux lois mécaniques dites " naturelles » de

propagation du son.

SON ASYNCHRONEouASYNCHRONISME: le son diffère de ce que montre l'image : soit le son est temporellement décalé par

rapport à l'image ; soit on voit quelque chose et on entend carrément autre chose. SON SYNCHRONEouSYNCHRONISME: le son accompagne étroitement l'image.

Effets de sens dus au synchronisme :

-la ponctuation : un aboiement de chien hors-champ, une pendule ou encore un téléphone qui sonne, sont des moyens discrets

pour souligner un mot, scander un dialogue ou fermer une scène. De même, la musique peut être utilisée dans ce sens : ouverture

ou fermeture des séquences par une " phrase » musicale récurrente ; apparition des personnages chez Leone (avec parfois un

effet d'anticipation) ;

-la redondance : musique qui redouble, accentue les effets visuels (musique angoissante pour une séquence de terreur) ;

-le mimétisme : le son permet de coller au " réel » (coïncidence mimétique entre le son et l'image, notamment grâce au bruitage :

grincement de porte, bruits de pas,d'un briquet, etc.) ;

-le mickeymousing : commentaire musical qui ponctue et accompagne très étroitement " les actions et les mouvements survenant

dans les images du film par des figures et des actions musicales exactement synchrones, qui peuvent réaliser en même temps le

bruitage, stylisé et transposé en notes musicales » (Michel Chion, Le Son au cinéma). L'expression, comme son nom l'indique,

vient du dessin animé ;

-le contrepoint : écart entre l'image et le son, au niveau du sens et de l'effet provoqué (lorsqu'on voit une tuerie sur fond de musique

douce, par exemple).quotesdbs_dbs16.pdfusesText_22
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