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Mein Kampf - (Mon combat)

Jul 3 1972 À la fin de « Mein Kampf »



Mon Combat - Mein Kampf

j'obéis à une voix intérieure qui me poussa à acheter cette fois le journal et à le lire complètement. J'y consacrai ma soirée malgré la violente colère 



Mon Combat - Mein Kampf

j'obéis à une voix intérieure qui me poussa à acheter cette fois le journal et à le lire complètement. J'y consacrai ma soirée malgré la violente colère 



FRANCIA

Sep 22 1972 »Mein Kampf«



Mein Kampf - (Mon combat)

Mein Kampf. (Mon combat). BeQ qu'on peut acheter dans toutes les drogueries et même ... pas s'acheter



Francia. Forschungen zur westeuropäischen Geschichte

»Mein Kampf« l'ouvrage d'Adolf Hitler



Francia. Forschungen zur westeuropäischen Geschichte

la projection et la lecture publique de l'ouvrage ›Mein Kampf‹ d'Adolf Hitler«. l'achat de droits étrangers il a par exemple l'habitude de travailler ...



Les desseins de Hitler et la politique britannique dans les années

D'autre part il avait écrit dans Mein Kampf que l'Angleterre pourrait exportations vers l'Angleterre pour acheter des produits de la métropole ou.



www.ssoar.info Holodomor the Ukrainian Holocaust?

Similar words were used by Hitler in his autobiographical work Mein Kampf in order to describe the Jews: ”Jews were the maggots feeding on a rotting corpse 



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Mein Kampf d'Adolph Hitler de se reporter à la version non expurgée de Mein Kampf ... l'Angleterre parce que la Russie était plus facile à acheter.

Adolf Hitler

Mein KampfMein Kampf

(Mon combat)(Mon combat) BeQ

Adolf Hitler

Mein KampfMein Kampf(Mon combat)(Mon combat)

traduction intégrale par J. Gaudefroy-Demombynes et A. Calmettes (Paris : Nouvelles éditions latines, 192_?)

Tome deuxième

La Bibliothèque électronique du Québec

Collection Polémique et propagande

Volume 3 : version 1.2

2

Mon combat

(Mein Kampf) II 3

Tome II

Le mouvement national-socialiste

4

Chapitre premier

Opinion philosophique et parti.

Le 24 février 1920 eut lieu le premier grand meeting de notre jeune mouvement. Dans la salle des fêtes du Hofbraühaus, à Munich, les vingt-cinq points de notre programme furent exposés à une foule de près de deux mille hommes, et chacun de ces points reçut une approbation enthousiaste. Ainsi furent livrés au public, pour la première fois, les principes et les directives du combat qui devait nous débarrasser d'un véritable fatras d'idées et d'opinions périmées de tendances obscures ou même nuisibles. Il fallait qu'une puissance nouvelle se manifestât dans le paresseux et lâche monde bourgeois, comme devant la triomphante vague marxiste, pour arrêter au dernier moment le char du destin. Il était évident que le nouveau mouvement ne pouvait espérer acquérir l'importance et la force nécessaires à cette lutte gigantesque, que s'il réussissait dès le premier jour à éveiller dans le coeur de ses adhérents la conviction sacrée que la vie politique n'en 5 recevrait pas simplement une formule électorale nouvelle, mais qu'elle se trouverait en présence d'une conception philosophique nouvelle d'une importance fondamentale. Il faut se représenter le misérable ramassis d'idées qui sert normalement à bâcler ce qu'on appelle le " programme d'un parti », puis comment, de temps en temps, celui-ci est fignolé et léché. On doit surtout regarder à la loupe les mobiles des commissions de programme bourgeoises, pour pouvoir estimer à leur valeur ces accouchements programmatiques : Un souci unique détermine immanquablement, soit l'établissement d'un programme nouveau, soit la modification du précédent : le souci du résultat des prochaines élections. Aussitôt que commence à poindre dans la cervelle de ces artistes de la politique parlementaire le soupçon que le bon peuple veut se révolter et s'échapper des harnais du vieux char des partis, voici qu'ils se mettent à en repeindre le timon. Alors surviennent les observateurs d'étoiles et astrologues des partis, les " gens expérimentés » et les " experts », le plus souvent de vieux parlementaires susceptibles de se remémorer des cas analogues du " temps riche en enseignements de leur apprentissage politique », des cas où la patience de la masse avait rompu les traits ; ils sentent à nouveau se rapprocher de 6 son attelage une menace analogue. Alors ils ont recours aux vieilles recettes, ils constituent une " commission », écoutent partout dans le bon peuple, flairent les articles de presse et reniflent longtemps pour savoir ce qu'aimerait le cher grand public, ce qui lui déplaît et ce qu'il espère. On étudie avec le plus grand soin tout groupe professionnel, toute classe d'employés et on scrute leurs désirs les plus intimes. Alors aussi les " formules » de la dangereuse opposition deviennent d'un coup mûres pour un sérieux examen, et le plus souvent d'ailleurs cette parcelle du trésor de science des vieux partis se révèle tout à fait pitoyable, au grand étonnement de ceux qui l'ont découverte et propagée. Et les commissions se réunissent, procèdent à la révision de l'ancien programme (et ces messieurs changent de convictions tout à fait comme les soldats en campagne changent leurs chemises, quand la précédente est partie en morceaux). Ils en créent un nouveau dans lequel on donne à chacun ce qui lui revient. Au paysan, on garantit la protection de son agriculture ; à l'industriel, la protection de ses produits ; au consommateur, la protection de ce qu'il achète ; les traitements des instituteurs sont augmentés, les pensions des fonctionnaires sont améliorées, l'État doit faire dans une large mesure des situations aux veuves et orphelins, le trafic doit être favorisé, les tarifs abaissés et même 7 les impôts doivent être, sinon totalement, du moins en grande partie supprimés. Souvent il arrive que l'on a oublié une corporation ou que l'on n'a pas eu connaissance d'une exigence ayant cours dans le peuple. Alors, en toute hâte, on rajoute encore des pièces jusqu'à ce que l'on puisse à bon droit espérer que l'on a de nouveau calmé et pleinement contenté l'armée des petits bourgeois " moyens » et de leurs épouses. Ainsi réconforté, on peut commencer, confiant en Dieu et en l'inébranlable sottise du citoyen électeur, la lutte pour la " réforme » de l'État, comme on dit. Quand le jour des élections est passé et que les parlementaires ont tenu la dernière de leurs réunions populaires pour cinq ans, de ce dressage de la plèbe ils passent à l'accomplissement de leurs devoirs plus

élevés et plus agréables.

La commission du programme se dissout et la lutte

pour la forme nouvelle des choses reprend la forme de la lutte pour le bon pain quotidien : c'est-à-dire, pour un député, l'indemnité parlementaire. Tous les matins, M. le représentant du peuple se rend dans la grande maison et, sinon tout à fait dans l'intérieur, tout au moins dans l'antichambre où se trouvent les listes de présence. Au service du peuple, il y porte son nom, et il reçoit le juste salaire d'une petite indemnité pour ces continuels et harassants efforts. 8

Après quatre ans, ou bien au cours de semaines

critiques, lorsque la dissolution des corporations parlementaires devient de plus en plus menaçante, une irrépressible et impétueuse tendance se manifeste chez ces messieurs. De même que le ver blanc ne peut que se changer en hanneton, de même ces chrysalides parlementaires abandonnent leur grand phalanstère et s'envolent sur leurs ailes neuves vers le bon peuple. Ils parlent de nouveau à leurs électeurs, leur racontent leurs énormes travaux et l'obstination mal intentionnée des autres ; souvent l'inintelligente masse, au lieu d'une reconnaissante approbation, leur lance à la figure des paroles hostiles. Lorsque cette ingratitude du peuple arrive à un certain degré, un seul moyen peut y remédier : il faut raviver le brillant du parti, le programme a besoin d'être amélioré. La commission renaît et la duperie recommence comme précédemment. Vu la bêtise aussi dure que le granit de notre humanité, il n'y a pas à s'étonner du résultat. Sous la conduite de sa presse, ébloui par le nouveau et séduisant programme, le bétail à voter " bourgeois », aussi bien que prolétarien, revient à l'étable commune et élit à nouveau celui qui l'a déjà trompé.

Ainsi l'homme populaire et candidat des classes

laborieuses redevient la chenille parlementaire. Il 9 continue à manger sur la branche de la vie publique, y devient gros et gras, et, quatre ans après, se transforme de nouveau en un brillant papillon. Il n'y a rien de plus déprimant que d'observer tous ces agissements dans la prosaïque vérité et d'être obligé d'assister à cette tromperie perpétuellement renouvelée. Avec un pareil fond de pourriture intellectuelle, on ne peut vraiment pas trouver, dans le camp bourgeois, la force nécessaire pour mener le combat contre la puissance organisée du marxisme. D'ailleurs, ces messieurs n'y songent pas sérieusement. Si bornés et si imbéciles que l'on doive reconnaître ces médicastres parlementaires de la race blanche, on ne peut admettre qu'ils songent sérieusement à entrer en lutte, par le moyen d'une démocratie occidentale, contre les théories marxistes. Pour cette théorie en effet, tout le système démocratique n'est, en mettant les choses au mieux, qu'un moyen d'arriver à ses fins : elle l'utilise pour paralyser l'adversaire et se faire le champ libre. Et lorsqu'une partie du marxisme tente présentement, d'ailleurs fort adroitement, de donner l'illusion de son indissoluble attachement aux principes de la démocratie, il convient de ne pas oublier qu'à l'heure critique, ces messieurs ne se souciaient pas plus que d'un fifrelin d'une décision de la majorité selon la 10 conception occidentale de la démocratie. Aux jours où les parlementaires bourgeois voyaient la garantie de la sécurité du pays dans la monumentale inintelligence du nombre prépondérant, le marxisme, avec une troupe de rôdeurs de bas quartiers, de déserteurs, de bonzes de partis et de littérateurs juifs, s'empara en un tour de main du pouvoir, donnant un soufflet retentissant à cette même démocratie. C'est pourquoi il faut la crédulité d'un des chamanes parlementaires de notre démocratie bourgeoise pour s'imaginer que jamais la brutale résolution des profiteurs ou des suppôts de cette peste mondiale puisse être conjurée par les formules d'exorcisme du parlementarisme occidental.

Le marxisme marchera avec la démocratie aussi

longtemps qu'il n'aura pas réussi à se gagner, poursuivant indirectement ses desseins destructeurs, la faveur de l'esprit national qu'il a voué à l'extermination. Mais si, il arrivait à la conviction que, dans le chaudron de sorcières de notre démocratie parlementaire, peut se cuisiner soudainement, quand ce ne serait que dans le corps législatif, une majorité qui s'attaque sérieusement au marxisme, alors le jeu de prestidigitation parlementaire serait bientôt fini. Les porte-drapeaux de l'internationale rouge adresseraient alors, au lieu d'une invocation à la conscience 11 démocratique, un appel enflammé aux masses prolétariennes, et le combat serait d'un seul coup transplanté, de l'atmosphère croupissante des salles de séances des parlements, dans les usines et dans la rue. Ainsi la démocratie serait immédiatement liquidée ; et ce que n'a pu réaliser dans les parlements la souplesse d'esprit de ces apôtres populaires, réussirait avec la rapidité de l'éclair aux pinces et marteaux de forge des masses prolétariennes surexcitées ; exactement comme en automne 1918, elles montreraient d'une façon frappante au monde bourgeois comme il est insensé de penser arrêter la conquête mondiale juive avec les moyens dont dispose la démocratie occidentale. Comme nous l'avons dit, il faut un esprit crédule pour se lier, en présence d'un tel partenaire, à des règles qui, pour le dernier, ne sont que bluffs, ou ne servent qu'à lui, et qui seront jetées par-dessus bord aussitôt qu'elles ne lui assureront plus d'avantages. Dans tous les partis bourgeois, la lutte politique se résume en fait à une dispute pour quelques sièges au Parlement, lutte où les principes sont, en cas de besoin, jetés par-dessus bord comme un sac de lest, et leurs programmes s'en ressentent, tout comme leur puissance propre. Il leur manque cette forte attraction magnétique qui ne peut s'exercer sur la masse que par l'emprise de grandes idées, cette force de conviction que donne, 12 seule, la foi absolue en ses principes et la résolution fanatique de les faire triompher. Mais au moment où l'un des partis, muni de toutes les armes d'une conception philosophique, fût-elle mille fois criminelle, marche à l'assaut contre un ordre établi, l'autre en est réduit à la résistance, s'il ne prend la forme d'un nouveau dogme, dogme politique dans le cas présent, et ne remplace les faibles et lâches paroles de défense par le cri de guerre d'une attaque courageuse et brutale. Aussi quand d'aucuns, tout particulièrement les ministres soi-disant nationaux des postes bourgeois, ou le centre bavarois, adressent à notre mouvement l'astucieux reproche de travailler pour une révolution, nous ne pouvons faire qu'une réponse à cette conception politique de quatre sous : certainement, nous tâchons de regagner ce que vous avez, dans votre criminelle bêtise, laissé échapper. Vous avez contribué, par votre maquignonnage parlementaire, à entraîner la nation vers l'abîme ; mais nous allons, par l'établissement d'une nouvelle conception philosophique et l'inébranlable et fanatique défense de ses principes, construire pour notre peuple les degrés par lesquels il pourra un jour s'élever de nouveau vers le temple de la liberté. Ainsi notre premier soin, au temps de la fondation de notre mouvement, devait être toujours de veiller qu'une troupe formée par les soldats d'une sublime 13 conviction ne devienne une association pour favoriser les intérêts parlementaires. La première des mesures préventives fut la création d'un programme qui, systématiquement, accusait des tendances de nature, par leur ampleur même, à tenir à distance les esprits débiles et mesquins de nos partis politiques d'aujourd'hui. Combien nous avions raison de juger nécessaires des buts aussi fortement marquésquotesdbs_dbs21.pdfusesText_27
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