Le calcul des pluies moyennes mensuelles et annuelles sur bassin
- Écriture des données pluviométriques observées ou complétées. B. - LE CALCUL DE LA PLUIE MOYENNE. Cette partie comporte pour chaque bassin
Analyse fréquentielle régionale des précipitations journalières
des précipitations journalières maximales annuelles dans le bassin paramètres par analyse du diagramme des L-moments et/ou calcul de la.
19 Exercice 3 DETERMINATION DE LA PRECIPITATION
Calcul de Pmoy (Méthode de Thiessen). La précipitation moyenne annuelle sur l'ensemble du bassin versant est calculée selon la formule 3.1 et est égale à :.
55 Exercice 6 AJUSTEMENT DES PRECIPITATIONS ANNUELLES
- calculer la fréquence expérimentale par une formule empirique ; pour les lois à 2 paramètres cas de la loi de Gauss
Chapitre 3 - AlloSchool
Comment métriser les facteurs climatiques pour améliorer la production agricole? T=Températures moyennes en °C Pa=Précipitations annuelle en mm.
bassin sont indiquées au tableau A2.2.10 ce qui donne des
2.3.3 Précipitations annuelles maximales et intensité des pluies à calculer les volumes de crues sur les sites de barrages de chaque petit bassin. De.
Précipitations efficaces moyennes annuelles en France (1965 - 1994)
son estimation à deux autres paramètres : l'évapotranspiration potentielle (ETP) et la réserve en eau maximale du sol (R
Résumé - CHAPITRE 3 LES PRECIPITATIONS
Ces régimes sont définis à partir des précipitations moyennes annuelles ou méthode de la moyenne arithmétique (peu utilisé) le calcul de moyennes ...
1 Exercice 1 CALCUL DES CARACTERISTIQUES DE L
calculer : 1. La précipitation annuelle Pa et la précipitation interannuelle Po. Sachant que le coefficient d'écoulement Ce de ce bassin versant est de 25%.
Exemple de calcul du bilan hydrologique - Cas du bassin de Beni
Les stations sont bien reparties et notre relief du bassin est homogène donc la méthode est applicable. P moy. = La précipitation moyenne annuelle au niveau du
[PDF] Le calcul des pluies moyennes mensuelles et annuelles sur bassin
Le programme POH 106 destiné au calcul des pl uies moyennes mensuelles et annuelles sur un ou plusieurs bassins versants par la méthode de THIESSEN
[PDF] Résumé - CHAPITRE 3 LES PRECIPITATIONS
Ces régimes sont définis à partir des précipitations moyennes annuelles ou moyennes mensuelles Les précipitations sont un des processus hydrologiques les
[PDF] Module 1 - EPFL
La précipitation moyenne pondérée Pmoy pour le bassin se calcule en effectuant la somme des précipitations Pi de chaque station multipliées par leur facteur
[PDF] Guide dutilisation de lindice de précipitations normalisé
Il faut espérer que ce guide aidera les pays et les institutions à comprendre comment calculer l'indice SPI et à se servir de l'indice pour développer ou
[PDF] chapitre iii regime pluviometrique
Ii = ? (Pa / Pm) / n où ? est la somme des valeurs pour les stations de 1 à n Pa la pluie annuelle de l'année i à la station a Pm la moyenne de la série des
[PDF] Exemple de calcul du bilan hydrologique
On obtient L'évapotranspiration réelle ETR Par la différence entre hauteur moyenne annuelle des précipitations et la hauteur moyenne annuelle de la lame d'eau
[PDF] Les facteurs climatiques et leurs relations avec les êtres vivants
Les mesures journalières de la pluviosité permettent de calculer la pluviométrie mensuelle et la pluviométrie annuelle (Pa) La pluviométrie annuelle est
[PDF] bassin sont indiquées au tableau A2210 ce qui donne des
De plus les précipitations journalières maximum annuelles de Ouertzagh obtenues par le calcul de probabilité (1) indiqué ci-dessus sont des précipitations à
Analyse fréquentielle régionale des précipitations journalières - Érudit
La troisième étape consiste à déterminer localement les quantiles de pluie associés aux différentes périodes de retour par multiplication du L-coefficient de
Comment calculer les précipitations annuelle ?
Pour mesurer les hauteurs de précipitations (on parle aussi de "lames de précipitations"), on utilise un pluviomètre dont le principe consiste tout simplement à canaliser les précipitations pour en mesurer le volume ou la masse (manuellement ou automatiquement). L'unité utilisée est le mm (millimètre) ou L/m².Comment calculer la pluviosité annuelle et la pluviosité estivale ?
Les mesures sont données par le nombre d'heures d'ensoleillement total de la journée. Les mesures journalières de la pluviosité permettent de calculer la pluviométrie mensuelle et la pluviométrie annuelle (Pa) La pluviométrie annuelle est calculée en additionnant l'ensemble des précipitations mensuelles.Comment calculer la précipitation efficace ?
Les précipitations efficaces sont calculées par soustraction de l'évapotranspiration aux précipitations totales. Alors que ces dernières peuvent être mesurées avec un pluviomètre, l'évapotranspiration doit être estimée à partir de paramètres climatiques - insolation, rayonnement, température, etc.- Additionnez les températures mensuelles moyennes pour les mois de l'année civile, de janvier à décembre, ensemble, puis divisez par 12. Ce sera la température annuelle moyenne.
Résumé - CHAPITRE 3
LES PRECIPITATIONS
TABLE DES MATIERES
Définition des précipitations ___________________________________________________________1 Mesure des précipitations _____________________________________________________________1 Mesure de la hauteur d'eau précipitée ___________________________________________________1 Le réseau d'observation_______________________________________________________________1 Notion d'averses et d'intensités_________________________________________________________2 Analyse ponctuelle ___________________________________________________________________3 Evaluation régionale des précipitations __________________________________________________4 Notion d'abattement des pluies ________________________________________________________5 Les précipitations et les régimes hydrologique1DEFINITION DES PRECIPITATIONS
Les précipitations constituent la principale " entrée » des principaux systèmes hydrologiques
continentaux que sont les bassins versants.Ce sont l'ensemble des eaux météoriques qui tombent sur la surface de la terre, tant sous forme
liquide (bruine, pluie, averse) que sous forme solide (neige, grésil, grêle) et les précipitations
déposées ou occultes (rosée, gelée blanche, givre,...). Elles sont provoquées par un changement de
température ou de pression.Les précipitations peuvent être classées en trois principaux types : les précipitations convectives,
les précipitations orographiques et les précipitations frontales. Elles correspondent à différents
mécanismes d'ascendance (formation des nuages) et présentent des caractéristiques d'intensité et de
durée diverses.A l'échelle mondiale, on peut classer les précipitations en plusieurs régimes pluviométriques.
Ces régimes sont définis à partir des précipitations moyennes annuelles ou moyennes mensuelles.
Les précipitations sont un des processus hydrologiques les plus variables. D'une part, elles sont caractérisées par une grande variabilité dans l'espace et ceci quelle que soit l'échelle spatiale prise en compte (régionale, locale, etc.). D'autre part, elles sont caractérisées par une grande variabilité dans le temps, aussi bien à l'échelle annuelle qu'à celle d'un événement pluvieuxMESURE DES PRECIPITATIONS
Mesure de la hauteur d'eau précipitée
Quelle que soit la forme de la précipitation, liquide ou solide, on mesure la quantité d'eau tombée
durant un certain laps de temps. On l'exprime généralement en hauteur d'eau tombée horizontale
(mm) ou en intensité (mm/h). Les principaux instruments de mesures des précipitations sont le pluviomètre et le pluviographe.Le pluviomètre : instrument de base de
la mesure des liquides ou solides. Il indique la quantité d'eau totale précipitée et recueillie à l'intérieur d'une surface calibrée dans un intervalle de temps séparant deux relevés.Le pluviographe : instrument captant
la précipitation de la même manière que le pluviographe. Son dispositif permet de connaître, outre la hauteur d'eau totale, leur répartition dans le temps, autrement dit les intensités.Le réseau d'observation
On appelle réseau d'observation le réseau formé par l'ensemble des stations pluviométriques
pour un bassin versant ou une région donnés. Ils fournissent des mesures ponctuelles publiées,
généralement par les services publiques, dans des annuaires pluviométriques.2Hydrologie générale - Résumé
NOTION D'AVERSES ET D'INTENSITES
On définit une averse comme un épisode pluvieux continu, dont la durée peut varier de quelques
minutes à une centaine d'heures et intéresser une superficie allant de quelques kilomètres carrés
(orages) à quelques milliers (pluies cycloniques). Elle est caractérisée à la fois par sa hauteur et sa
durée, i.e. son intensité. L'intensité des précipitations varie à chaque instant au cours d'une même
averse suivant les caractéristiques météorologiques de celle-ci. Plusieurs pointes d'intensité peuvent
avoir lieu au cours d'une même averse.L'intensité moyenne i
m d'une averse s'exprime par le rapport entre la hauteur de pluie totale observée durant la durée t de l'averse.On peut aussi s'intéresser aux intensités
observées sur des intervalles de temps au cours desquels on aura enregistré la plus grande hauteur de pluie. On parle alors d'intensité maximale. ih t m = où i m : intensité moyenne de la pluie [mm/h, mm/min] ou intensité spécifique en prenant en compte la surface [l/s.ha], h : hauteur de pluie de l'averse [mm], t : durée de l'averse [h ou min]. A partir des enregistrements d'un pluviographe, deux types de représentation graphiques permettent d'analyser les averses d'une station : La courbe des hauteurs de
pluie cumulées représente en ordonnée, pour chaque instant t, l'intégrale de la hauteur de pluie tombée depuis le début de l'averse.0200400600800100012001400
janv-98 févr-98
m ars-98 a vr-98 m ai-98 j uin-98 j uil-98 a oût-98 s ept-98 o ct-98 n ov-98 déc-98
Préciptations cumulées [mm]
Exemple de courbe des pluies cumulées
Le hyétogramme est la
représentation, sous la forme d'un histogramme, de l'intensité de la pluie en fonction du temps05101520253035404550
janv-98 févr-98
m ars-98 a vr-98 m ai-98 j uin-98 j uil-98 a oût-98 s ept-98 o ct-98 n ov-98 déc-98
Préciptations [mm/j]
Exemple de hyétogramme.
Les précipitations et les régimes hydrologique3ANALYSE PONCTUELLE
Les mesures ponctuelles acquises au niveau des pluviomètres ou des pluviographes sont analysées
et soumises à différents traitements statistiques, à savoir : Statistique descriptive des séries de données (moyenne, médiane, écart-type, variance, quantiles, moments centrés, distribution , etc.) Les courbes IDF (intensité-durée-fréquence)Les courbes IDF représentent les relations
entre les intensités, la durée et la fréquence d'apparition des pluies.Elles permettent d'une part de synthétiser
l'information pluviométrique au droit d'une station donnée et, d'autre part de calculer grossièrement des débits de projet, d'estimer des débits de crue, et aussi de déterminer des pluies de projet.Elles sont établies de manière analytique
(formule de Montana ou de Talbot) ou statistique (analyse fréquentielle).Durée
Intensité
T= 5 ansT= 50 ans
T= 10 ansTemps de retour
Exemple de courbe IDF
La structure des pluies
La structure d'une averse est définie
comme la répartition de la hauteur de pluie dans le temps.Suivant le type d'averse on observera des
courbes de répartition différentes (pourcentage de la pluie totale en fonction du pourcentage de la durée totale).Exemples de courbes de répartition
0102030405060708090100
0 102030405060708090100
fraction cumulée du temps [%] fraction cumulée des précipitations [%] 1 2Notion de temps de retour
La notion de temps de retour est
essentielle en hydrologie. On définit le temps de retour T d'un événement comme étant l'inverse de la fréquence d'apparition de l'événement. 1 1TF=- oùF : probabilité de
dépassement d'unévénement
(1-F ): probabilité de non dépassement4Hydrologie générale - Résumé
EVALUATION REGIONALE DES PRECIPITATIONS
Suivant la longueur de la série de données dont on dispose, la densité du réseau de mesure, et la
variation du champ pluviométrique, on utilisera préférentiellement l'une des trois méthodes : la
méthode de la moyenne arithmétique (peu utilisé), le calcul de moyennes pondérées avec
l'utilisation, par exemple, de la méthode des polygones de Thiessen, et finalement les méthodes
d'interpolation comme l'utilisation d'isohyètes ou le krigeage. Les méthodes les plus simples et les
plus couramment utilisées pour calculer la pluie moyenne sur le bassin sont les méthodesd'interpolation des données pluviométriques collectées sur le bassin ou à proximité de celui-ci.
La méthode des polygones de Thiessen
Elle convient notamment quand le
réseau pluviométrique n'est pas homogène spatialement (pluviomètres distribués irrégulièrement)Elle affecte à chaque pluviomètre une
zone d'influence dont l'aire, exprimée en %, représente le facteur de pondération de la valeur de l'enregistrement. PAP A moyii avec P moy : précipitation moyenne sur le bassin,A : aire totale du bassin (=∑A
i P i : précipitation enregistrée à la station i, A i : superficie d'influence du polygone associée à la station i.La méthode des isohyètes (isovaleurs)
Les isohyètes sont des lignes de même
pluviosité (isovaleurs de pluies annuelles, journalières, etc.) tracées grâce aux valeurs pluviométriques acquises aux stations du bassin et aux autres stations avoisinantes.Lorsque les courbes isohyètes sont
tracées, la pluie moyenne peut être calculée de la manière suivante : 11 ,2 K ii iii moy iAPhhP avec PA
Avec :
Pmoy : précipitation moyenne sur le bassin,
A : surface totale du bassin et Ai : surface entre deux isohyètes i et i+1,K : nombre total d'isohyètes,
Ces méthodes permettent aussi le calcul des lames d'eau moyennes à l'échelle du bassin, la cartographie des précipitations, et le calcul de hyétogrammes moyens.Le calcul du hyétogramme moyen
permet de connaître la quantité mais surtout la distribution temporelle de la précipitation pour un événement pluvieux sur un bassin versant donné, même s'il est dépourvu d'enregistrements pluviographiques. Le calcul du hyétogramme moyen se fait selon les étapes suivantes : Recueil des données des pluviomètres situés sur et autour du bassin. Etablissement des hyétogrammes ponctuels à un pas de temps donné (régulier et identique pour tous). Pour chaque pas de temps, calcul de la moyenne (arithmétique ou pondérée), puis reconstitution du hyétogramme moyen pour le bassin versant considéré. Les précipitations et les régimes hydrologique5Notion d'abattement des pluies
La hauteur des précipitations tombant sur une surface diminue lorsqu'on s'éloigne du centre del'averse. Il est possible de tracer les courbes donnant la répartition des hauteurs de précipitation en
fonction de la surface considérée dans l'emprise d'une averse et ainsi de préciser le taux de
décroissance, autrement dit le rapport de la hauteur de la lame d'eau moyenne à la hauteur de lame
d'eau maximale. On peut également tracer des courbes donnant la valeur de ce rapport, appelécoefficient d'abattement, en fonction de la surface considérée et de la durée ou de la hauteur de
précipitation.quotesdbs_dbs45.pdfusesText_45[PDF] exercices et corriges sur le bassin versant
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