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21?/10?/2019 concerne les déchets inertes du BTP les véhicules hors d'usage
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21?/10?/2019 concerne les déchets inertes du BTP les véhicules hors d'usage
tyPoLogie des PoLitiques PubLiques de restauration coLLectiVe
4 Cf. Guide pratique de Terre de Liens « Agir sur le foncier agricole » 2015. tion des pesticides sur les terres de la collectivité
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En effet en achetant un logiciel l'EPLE n'acquiert pas une « fourniture »
TYPOLOGIE DES POLITIQUES PUBLIQUES DE RESTAURATION
4 Cf. Guide pratique de Terre de Liens « Agir sur le foncier agricole » 2015. tion des pesticides sur les terres de la collectivité
Plan_juin_2018 Aquitaine après CCES (3)
01?/11?/2018 concerne les déchets inertes du BTP les véhicules hors d'usage
Cantines en Mouvement
*Utiliser la voix d'experts passionnés et persuasifs comme Yassir Yebba astuces
TYPOLOGIE DES POLITIQUES PUBLIQUES
DE RESTAURATION COLLECTIVE LOCALE ET DURABLE
DesOUTILS
pour les collectivits territoriales www.observatoire-restoco-durable.org 23IntroductionP. 4-10
Tableau des leviers dÕactionP. 11-15
P. 20-23Politique Agricole
P. 24-29Politique dÕAchat
P. 30-39
Politique
dÕApprovisionnementP. 40-42
Politique
Environnementale
P. 43-46
Politique
de Ressources humainesP. 47-49Politique dÕducation
P. 50-52 Politique Sociale
P. 53-56
Objectifs Culinaires,
Nutritionnels et de Sant
P. 62-63Gouvernance
P. 57-61
Politique Budgtaire
SOMMAIRE
Ce recue il est lÕune des deux pr oductions d u projet Ç Typolog ie des politiques publiques de restauration collective locale et durable È, laurat du Programme National pour lÕAlimentation 2014 (avril 2015 - mars 2016). Ce projet sÕinscrit dans les travaux mens par le programme de recherche Lascaux de lÕuniversit de Nantes, (www.programmelascaux.eu). Il a t Fort et par la rgion des Pays de la Loire. La seconde production du projet est un site internet : lÕObservatoire de la restauration collective locale et durable (www.observatoire-restoco-durable.org). de pilotage du projet pour leur collaboration, leurs conseils et leur aide, les tablissements et les collectivits qui ont particip notre enqute, et toutes les personnes qui ont bien voulu nous accorder des entretiens au cours du projet, et dont les clairages ont t prcieux pour la ralisation de ce rec ueil. Mer ci galement Maria Teres a Terrenzio, stag iaire duProgramme Lascaux.
Direction scientiÞ que : Franois Collart DutilleulRdaction : Sarah Turbeaux
Relecture : Thomas Brger, Galle Bouchon (DRAAF Pays de la Loire)Ont galement particip la relecture : Luc Bodiguel (Universit de Nantes), Katell Jaouannet (Un
Plus Bio), Julien Le Guvel (Ville de Lorient), Julie Portier (FNAB), Diane Hardy (Ligue de lÕEnseignement),
Michel Le Jeune (Ligue de lÕEnseignement), Lucile Leclair (CERAS), Gilles Prole (Mouans Sartoux).
Conception graphique et maquettage : Colette&Co.
Les images sans crdits sont des images libres de droit Thinkstock, Shutterstock, Pexels, Pixabay,
Wikimedia.
Date de publication : novembre 2016
Introduction
taires, climatiques et environnementaux auxquels nos socits sont confrontes, il appara"t de plus en
La rponse ces dÞs est juridique, conomique, technique, mais aussi politique. Or si des stratgies
sont mises en place aux chelles nationale et internationale, les initiatives portes par des citoyens, des
associations, des professionnels, des lusÉ se multiplient sur les territoires. Les collectivits locales
dtiennent une partie essentielle de la solution, car lÕun des enjeux de la relocalisation de mme de prserver les ressources naturelles tout en rpondant mieux aux besoins des citoyens et des acteurs conomiques (en particulier des agriculteurs), comme leurs attentes.Dans ce contexte, diffrentes expriences dmontrent que la restauration collective constitue un puis-
sant levier pour reconnecter les politiques agricoles et les politiques alimentaires, pour retisser les
liens entre les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivits territoriales et les
consommateurs, au sens des Ç Projets Alimentaires Territoriaux È mentionns dans la Loi dÕavenir pour
lÕagriculture de 2014.La restauration collective est ainsi une porte dÕentre pour les collectivits qui souhaitent
mener sur leur territoire des politiques transversales qui, au-del de lÕapprovisionnementlocal, durable et de qualit, sÕaccompagnent dÕactions en faveur de la prservation des terres
agricoles, de la protection de lÕenvironnement, de la sant, de la formation professionnelle, de lÕducationÉPour autant, la difÞcult mesurer les approvisionnements en produits locaux, les rsistances aux
changements de pratiques, le cadre juridique contraignant de la commande publique, lÕexistence decircuits logistiques inadapts lÕapprovisionnement local, les restrictions budgtaires dans les collec-
tivitsÉ , sont autant de freins au dveloppement de politiques publiques de restauration collective
locale et durable. Ë ces obstacles viennent sÕajouter la grande diversit des contextes dans lesquels
voluent les porteurs de projets, et avec lesquels ils se doivent de composer : contextes administratifs
agricoles quand dÕautres ont pas ou peu dÕagriculture), ou contextes socio-conomiques (en fonction
de la prsence ou non de PME agroalimentaires, de la vitalit du tissu socio-conomique).POURQUOI UNE TYPOLOGIE ?
La typologie des politiques publiques de restauration collective locale et durable, labore par
le programme Lascaux et ses partenaires, nÕentend pas apporter de Ç rponse miracle È ces difÞcults
de gestion, mais surtout partir de diffrents domaines de lÕaction publique, un certain nombre de
leviers, de points dÕappui, dÕexpriences et dÕexemples.Ë QUI SÕADRESSE CE RECUEIL ?
Vous tes lu, agent, professionnel, associatif, citoyen, et vous avez un projet autour de larestauration collective locale et durable ? Que votre projet en soit ses prmices ou quÕil soit
dj bien avanc, ce recueil sÕadresse vous. Il pourra vous servir dÕappui pour rßchir votre
dmarche et identiÞer une porte dÕentre votre projet. Vous y trouverez galement des exemples
collective qui vous correspond le mieux, en fonction des objectifs que vous souhaitez atteindre et des
contraintes qui sont les vtres.Si vous souhaitez aller plus loin et partager votre exprience, rendez-vous sur le site internet de lÕObser-
vatoire de la restauration collective locale et durable (www.observatoire-restoco-durable.org)QUÕENTEND-ON PAR RESTAURATION COLLECTIVE ?
La restauration collective publique se divise en diffrents secteurs (scolaire, mdico-social, du travail,
pnitentiaireÉ). La responsabilit de ce service public incombe des institutions varies (tat, col-
lectivits, conseils dÕadministration des tablissements). La gestion de la restauration collective, qui
implique les achats, lÕlaboration, la livraison des repas et le service en salle, peut prendre de multiples
formes. Elle peut tre directe (par lÕtablissement), concde un prestataire, ou mixte. EnÞn les
achats (qui peuvent incomber un tablissement, une association de gestion, un groupement de
commandes, une centrale dÕachats), ou pour lÕlaboration des repas (cuisines prparant les repas
sur place, cuisines centrales prparant des repas ensuite livrs des restaurants satellites ou domicile,
QUÕENTEND-ON PAR Ç POLITIQUE DE RESTAURATION COLLECTIVE LOCALEET DURABLE È ?
Quand on voque la restauration collective Ç locale È, on a tout de suite en tte les approvisionne-
ments des tablissements en produits alimentaires issus de circuits courts et de circuits de proximit.
CIRCUITS COURTS ET CIRCUITS DE PROXIMIT : DE QUOI PARLE-T-ON? Les circuits courts sont dÞnis comme un mode de commercialisation des produits agricoles quisÕexerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte, condi-
tion quÕil nÕy ait quÕun seul intermdiaire entre lÕexploitant et le consommateur 1 . Il nÕexiste pas deconsensus en revanche sur la dÞnition du circuit de proximit, qui implique une distance maximale
entre le lieu de production et le lieu de consommation dÕun produit.le Ç local È faisant rfrence une distance kilomtrique ou un territoire administratif (gnrale-
ment la rgion ou le dpartement). Pour dterminer si un produit est local ou non, des collectivits se
transforms, certaines dÕentre elles vont conditionner lÕappellation Ç produit local È la prsence de
de consensus, dlimiter un territoire dÕapprovisionnement semble tre plus porteur que de chercher dÞnir le Ç local È.Au-del de la seule question des approvisionnements, ce projet sÕest intress galement et plus glo-
balement aux politiques agricoles et alimentaires promues lÕchelle des collectivits terri-
la restauration collective en tant que service public identiÞ, constitue une porte dÕentre pour la
politiques autour de la restauration collective, en fonction de leurs comptences, mais aussi enfonction de territoires administratifs, de territoires dÕaction et de territoires dÕapprovisionnement qui ne
concident pas toujours entre eux mais quÕil faut pouvoir grer en mme temps.Le terme Ç durable È renvoie au dveloppement durable et ses trois piliers : conomique, environ-
lesquels reposent les politiques publiques de restauration collective. 451 Source : http://agriculture.gouv.fr/consommation-manger-local-partout-en-france. V. aussi, indirectement, lÕart. L. 611-8 du Code rural.
Introduction
QUI A PRODUIT CE RECUEIL ?
Ce recueil est le rsultat dÕun projet laurat du PNA 22014, pilot par le programme de recherche
Lascaux
3, qui sÕest appuy sur des partenaires et sur un comit de pilotage rassemblant des chercheurs,
des associations, des reprsentants dÕagriculteurs, des acteurs conomiques, des collectivits et la
Direction Rgionale de lÕAlimentation, de lÕAgriculture et de la Fort des Pays de la Loire.
Direction scientiÞ que : Franois Collart Dutilleul Coordination et animation du comit de pilotage : Sarah TurbeauxInstitutions prsentes dans le comit de pilotage : la Direction Rgionale de lÕAlimentation, de lÕAgricul-
ture et de la Fort des Pays de la Loire, la Maison des Sciences de lÕHomme Ange-Gupin, la rgion Pays
de la Loire, la ville de Nantes, la ville de Lorient, la ville de Mouans Sartoux, lÕAssociation des Rgions de
France, Coop de France Ouest, InterBio Pays de la Loire, la Chambre dÕagriculture des Pays de la Loire, le
Groupement des Agriculteurs Biologiques 44, la Fdration Nationale dÕAgriculture Biologique, Un Plus Bio,
Chercheurs prsents dans le comit de pilotage : Thomas Brger, Catherine Del Cont, Bertrand Faure, Marine
Friant Perrot, Valrie Pironon.
3 www.programmelascaux.eu
La composition du comit de pilotage :
CHERCHEURS
COLLECTIVITS
ASSOCIATIONS
AGRICULTEURS
ACTEURS CONOMIQUES
PROJET
67QUELLES ONT T LES TAPES ET LA MTHODOLOGIE DU PROJET ? Le projet sÕest droul en quatre phases. PHASE 1 : LABORATION DÕUN QUESTIONNAIRE EN LIGNE.
donnes a t mis en ligne, et diffus via diffrents rseaux dÕlus, de professionnels et dÕassociations.
LÕobjectif principal du questionnaire tait de voir comment les collectivits font, dans un contexte
conomique et rglementaire contraint, pour mettre en place des actions en faveur dÕune restauration
collective locale et durable.Ce questionnaire, prcd dÕune version test et valid par le comit de pilotage, a t labor sur la
et sur la lecture de publications et de ressources en ligne. Ces recherches pralables ont permis dÕiden-
ration collective, puisque lÕinnovation peut venir dÕun tablissement pour ensuite faire lÕobjet dÕune
rß exion au niveau des institutions locales. Les questions ont donc t formules dans le souci dÕtre
comprises et adaptes ces types dÕacteurs.Les questions portaient sur :
s le type de collectivit (commune, intercommunalit, dpartement, rgion) s le type de gestion (directe, concde, mixte)s la politique de restauration collective mene (les sources dÕinspiration, les approvisionnements en pro-
duits locaux et de qualit, les outils mis en place, les difÞ cults juridiques et techniques rencontres)
du territoire, dÕenvironnement, de formation, dÕducation, dÕaction sociale)s la gouvernance (pilotage, services associs en interne, participation des usagers, partenariats avec
dÕautres collectivits). PHASE 2 : CRATION DÕUNE BASE DE DONNES ET ANALYSE DES RPONSES AU QUESTIONNAIRE.Le questionnaire en ligne a permis de collecter 121 rponses, en provenance de divers acteurs (en majorit
des responsables de restauration collective) et de diffrents chelons de collectivits (en majorit des
communes).Introduction
PHASE 3 : ANALYSE DES OBSTACLES ET DES LEVIERS JURIDIQUES.considrs soit comme des freins, soit comme des moteurs pour le dploiement de politiques publiques
de restauration collective locale et durable. En particulier, les possibilits offertes par le le droit de la
commande publique pour favoriser les achats locaux et durables ont t tudies et sont prsentes
dans la Þche Ç Politique dÕachat È (voir p.24). La possibilit pour des agriculteurs et/ou des fournis-
seurs de se regrouper pour rpondre au march de la restauration collective sans enfreindre le droit
de la concurrence a aussi t tudie (voir la Þche Ç Politique agricole È p.20). EnÞn, la problmatique
de lÕenchevtrement des comptences et du millefeuille administratif a t analyse et a donn lieu
au tableau des leviers dÕaction (voir p.11). Ce tableau synthtique prsente plusieurs pistes dÕactions
dans diffrents domaines, en fonction des chelons de collectivits et des comptences qui leur sont
associes. Cette phase dÕanalyse juridique et politique sÕest acheve par lÕorganisation dÕun sminaire
lÕUniversit de Nantes en mai 2016, qui a permis de confronter les points de vue des chercheurs et des
acteurs de la restauration collective (pour plus de dtails, voir le site internet www.programmelascaux.eu).
PHASE 4 : LABORATION DE LA TYPOLOGIE.
Ë partir des lments rcolts, une typologie des diffrentes politiques publiques en lien avec la restau-
ration collective locale et durable a t tablie autour de onze politiques publiques et domaines
visionnement, la politique environnementale, la politique de ressources humaines, la poli-tique dÕducation, la politique sociale, les objectifs culinaires, nutritionnels et de sant, la
politique budgtaire, la gouvernance. Pour chacune des politiques publiques nous avons recensdes instruments et des leviers dÕactions, et opr une distinction entre les diffrents chelons de col-
lectivits qui nÕont pas les mmes contraintes ni les mmes possibilits. Une politique alimentaire
est un projet global, et cÕest la combinaison des actions, des instruments et des politiquescollective locale et durable È sÕarticulent donc autour des onze Ç Þches thmatiques È correspondant
aux onze politiques publiques et domaines dÕaction. QUELQUES CONSTATS Ë LÕISSUE DE NOTRE ANALYSELes expriences qui semblent donner des rsultats (augmentation de la part des approvisionnements
en produits de qualit et locaux, adhsion des agents et de la population, cohrence des actions mises
moment ou un autre dÕun portage politique fort, et pour lesquelles des moyens Þnanciers, techniques
et humains ont t allous.Alors que lÕalimentation dpend dÕune multitude de politiques publiques, ces expriences mettent en
exergue le rle que chacun des chelons administratifs, en fonction de ses comptences, peut jouer,
mais galement la ncessit de penser au-del des cadres administratifs existants.Notre enqute a permis de constater que certaines actions taient beaucoup plus rpandues que dÕautres.
de terres agricoles par exemple, demandent plus de temps et impliquent un plus grand nombre de parties
prenantes, ce qui peut expliquer que nous ayons eu peu de rponses dans ces domaines.Dans ces expriences, on observe que des acteurs qui ne se rencontraient pas, peu ou plus, les agriculteurs
et les agents de la restauration collective, retissent des liens, se rencontrent dans des groupes de travail.
torial de lÕalimentation fonctionne.dveloppe par les acteurs de lÕagriculture biologique, pour qui la restauration collective, malgr des
chiffres encore faibles, reprsente depuis plusieurs annes un secteur dvelopper.Pour autant, ces expriences reposent beaucoup sur des personnes volontaires et volontaristes. Et elles
89LOCALISATION DES EXPRIENCES COLLECTES Ë LÕISSUE DU QUESTIONNAIRE
Les rponses ont ensuite t soumises une grille de lecture comportant des lments sur le type de
collectivit, le type de gestion, la taille de la collectivit, les objectifs Þxs, les segments de politiques
dmarche, les obstacles juridiques et techniques rencontrs et les solutions apportes.Ë lÕissue de cette analyse, il nous est apparu que le questionnaire ne permettait pas dÕembrasser lÕen-
dÕautres lments dÕanalyse.dÕobjectifs (bien que la qualit de lÕalimentation soit lÕobjectif principal), dÕactions mises en place (tra-
vail sur lÕoffre ou sur la demande par exemple), dÕapproches (travail de gr gr avec les agriculteurs,
ou plus Ç co-efÞciente È avec la volont de massiÞer les achats de produits locaux, ou approche plus
axe sur des aspects environnementaux), mais aussi dÕavances des projets. Certaines politiques sont
menes depuis longtemps quand dÕautres en sont au stade de la rßexion sur la stratgie mener. Ces
constats nous ont conduits articuler notre typologie autour de domaines dÕaction, et non autour des expriences elles-mmes.RGION DE LA RUNION
GUADELOUPE
Communaut de communes
du Pays de LourdesIllkirch-Graffenstaden
Grande-Synthe
Amiens
Saint-tienne-du-Rouvray
Beauvais
Bois-Colombes
Aulnay-sous-Bois
Plaisir
HAUTS DE SEINE
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Lillebonne
Le Havre
Papillons Blancs
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