REEDUCATION DE LENTORSE EXTERNE DE LA CHEVILLE
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reeducation de lentorse - externe de la cheville janvier 2000
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10 exercices kiné - Tout pour ma santé
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En France, des séances de rééducation délivrées par un(e) kiné sont souvent prescrites par les médecins qui diagnostiquent une entorse de cheville.
Comment soigner une entorse de la cheville chez un kiné ?
Des séances de rééducation chez un kiné peuvent être proposées par votre médecin. Pour une entorse de la cheville récente, 10 séances de rééducation sont recommandées. Le plus souvent, le traitement doit être prolongé, en ajoutant d’autres séances supplémentaires. À LIRE: Traitement pour soigner l’entorse de cheville
Comment soigner une entorse chez un kiné ?
Massez votre cheville avec une huile essentielle de gaulthérie. Réalisez des petits mouvements simples de la cheville, comme ceux que l’exercice 1 et 2 de cet article. Cela va vous permettre de soulager rapidement votre entorse et de diminuer votre douleur. Des séances de rééducation chez un kiné peuvent être proposées par votre médecin.
Comment renforcer sa cheville après une entorse ?
Pour renforcer votre cheville après votre entorse, vous devez pratiquer des exercices de renforcement, d’équilibre, de stabilité, de pliométrie et d’étirements. Ils permettent de reprendre l’activité sportive, notamment la course à pied, dans des conditions optimales. Ils préviennent également la récidive d’entorse.
Combien de temps la cheville reste-t-elle enflée après une entorse ?
Bonjour, Oui c’est fréquent après une entorse, la cheville reste “un peu enflée” quelque temps. Si la cheville est peu ou pas douloureuse, et relativement mobile, c’est le principal. Christian25 avril 2020 à 11 h 56 min
Alexis ROCHER EAP3-2015-1
Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers : Analyse, prévention et suivi par le Groupe Technique etPédagogique des Activités Physiques
F2SMH 1 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-SOMMAIRE
Remerciements ......................................................................................................................... 3
Introduction .............................................................................................................................. 4
I/Données préala .................................................................... 5 ............................................................................... 5I.1.1. Le département de la Vendée ................................................................................................................. 5
I.1.2. Le SDIS de la Vendée .................................................................................................................................. 5
...................................................................................................... 7
1.2.1. Objectif 1 : Développer et structurer la filière EAP ...................................................................... 8
1.2.2. Objectif 2 : Développer une politique santé sécurité dans les activités physiques ....... 12
1.2.3. ǯ - "-"ǥ .............................................................................................................................. 17
1.2.4. Inspection de la DGSCGC en 2013 ..................................................................................................... 17
I.3. ...................................................................................... 18I.3.3. Réglementer la pratique des activités physiques au sein du SDIS 85.................................. 19
I.3.4. Mesurer la condition physique des agents du SDIS de la Vendée ......................................... 21
I.3.5. Adapter les équipements et matériels .............................................................................................. 22
II/ Matériels et méthodes ....................................................................................................... 23
.............................................................................................. 23II.1.2. Matériel : le chausson MYOLUX ......................................................................................................... 23
...................................................................................................... 25
II.2.1. Tests des chevilles ................................................................................................................................... 25
II.2.2. Comparaisons des données ................................................................................................................. 27
III/ Propositions ...................................................................................................................... 30
III.1. Protocole de prise en charge et de prévention des entorses de cheville. .............. 30III.1.1. Description de la démarche ............................................................................................................... 31
III.1.2. Détecter ...................................................................................................................................................... 31
III.1.3. Proposer ..................................................................................................................................................... 32
III.1.4. Evaluer ........................................................................................................................................................ 34
III.1.5. Logigrammedu protocole .................................................................................................................... 35
III.1.6. Synthèse ..................................................................................................................................................... 36
2 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-III.2. Définitions des besoins pour la réalisation du projet ............................................ 36
III.2.1. Sur le plan humain ................................................................................................................................. 36
III.2.2. Sur le plan organisationnel................................................................................................................. 37
III.2.3. Sur le plan matériel et structurel ..................................................................................................... 38
III.3. Planification .............................................................................................................. 39
Conclusion ............................................................................................................................... 40
Références bibliographiques ................................................................................................. 41
Annexes ................................................................................................................................... 42
ANNEXE 1 : Organigramme du GTPAP ............................................................................ 43
ANNEXE 2: Note de service APS dans les centres mixtes ................................................. 44
ANNEXE 3 ..................................................... 48 ANNEXE 4 : Projection budget investissement activité physique 2015-2016 ................... 57ANNEXE 5 : ................................................................................................... 59
ANNEXE 6 : Planification des objectifs .............................................................................. 62
ANNEXE 7 : Les accidents du travail liés aux activités physiques du SDIS 85 ................. 66
ANNEXE 8 : Généralités sur les entorses des chevilles ...................................................... 72
ANNEXE 9 : Le chausson MYOLUX ................................................................................. 75
ANNEXE 10 : Protocole SDIS du chausson MYOLUX ..................................................... 77
ANNEXE 11 : Protocole MYOLUX SOFT ......................................................................... 83
ANNEXE 12 : Fiche de renseignements .............................................................................. 88
ANNEXE 13 ................................................................... 89 ANNEXE 14 ............................................................. 92ANNEXE 15 : Nouvelle fiche de renseignements ............................................................... 94
ANNEXE 16 .............................................................................. 96ANNEXE 17 : Lettre de commande .................................................................................. 100
ANNEXE 18 : Publication dans la presse .......................................................................... 102
Résumé ................................................................................................................................... 110
3 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-Remerciements
à un projet commun.
Je tiens donc à remercier toutes les personnes suivantes : Commandant Fabrice TREVIEN - Chef du Groupe Technique et Pédagogique enActivité Physique (GTPAP)
Les membres du GTPAP
Lieutenant Dominique DEMENGEOT - Responsable Ressources Humaines, Soutien au Volontariat et Formation Sport de la Compagnie Centre Mme Laëtitia MIGNON - Adjointe administrative Commandant Odilon Gallant - Chef du Service Formation et Sport M. Sébastien MAINGOT Ȃ Chef du Service Hygiène et Sécurité du SDIS85 Colonel Claude TREDANIEL Ȃ Médecin Chef du GSSM du SDIS 85 Commandant Yann LE BIAVANT Ȃ Médecin Chef Adjoint du GSSM du SDIS 85 Infirmier Chef François GAUTIER Ȃ Infirmier du GSSM du SDIS 85 Lieutenant-Colonel David LE GOUALHER Ȃ Chef du Groupement Territorial Capitaine Pascal PRAT Ȃ EAP3 SDIS 28
4 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-Introduction
proprioceptifs et/ou musculaires des chevilles afin de proposer une prise en charge adaptée et des solutions pour prévenir les entorses, éviter les rechutes et accompagner appropriée. En effet, les entorses de chevilles sont le traumatisme le plus fréquemment rencontré chez les sapeurs-pompiers. On en dénombre 30 par an et par Service DépartementalǯIncendie et de Secours, ce qui représente un coût moyen par an supérieur à 100 000
en est la première cause. La profession fait face à deux phénomènes inquiétants :U ...-±" ǯ- ""-ique une activité physique et sportive régulière pour
système musculo-squelettique. physique insuffisante pour réaliser des missions efficientes et en sécurité.sportive - ǯ-" ""- notions de sécurité que le métier cultive.
Dans ce contexte, une réforme des comportements liés aux pratiques et au management physique des sapeurs-pompiers ainsi que la prévention des troubles musculo- Pour cela, une réflexion a été menée au sein du Groupe Technique et Pédagogique des définir une démarche de prévention et de prise en charge des agents présentant des déficits au niveau des chevilles. problématique et de proposer des solutions novatrices, en adéquation avec les travaux réalisés sur le plan national, et surtout applicables au sein du Service Départemental Dans un premier temps, nous détaillerons toutes les informations préalables à laréalisation de cette étude avec la présentation de la structure, un état des lieux de
résultats. Enfin, des mesures seront développées pour prévenir les entorses et accompagner 5 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- I/I.1.1. Le département de la Vendée
Situé dans la région des Pays de la Loire et dans la province282 communes représentent une population de 648 901
préfecture est la Roche-Sur-Yon, surnommée la ville de Napoléon. Le département est connu pour son tourisme notamment son littoral atlantique mais aussi pour son parc du Puy du Fou. La Vendée est malheureusement marquée par la tempête Xynthia de février 2010 qui a dévasté le littoral du département et a coûté la vie à 35 personnes.I.1.2. Le SDIS de la Vendée
corps départemental est organisé de façon pyramidale et comporte trois niveaux ǣ ǯ---major, les groupements et les centres de secours. est dirigée par le Directeur Départemental, le Colonel Noël STOCK. Le SDIS de la Vendée se compose de huit groupements fonctionnels et un groupement territorial. Le groupement territorial est organisé en 5 compagnies autour des centres d'incendie et de secours ayant la plus forte activité. Chaque compagnie couvre une partie du territoire départemental et s'appuie sur plusieurs centres de secours. Les centres de secours supports de compagnies sont :Ȉ Challans pour la compagnie Nord,
Ȉ La Roche-sur-Yon pour la compagnie Centre,
Ȉ Les Sables d'Olonne pour la compagnie Ouest,
Ȉ Les Herbiers pour la compagnie Est,
Ȉ Fontenay-le-Comte pour la compagnie Sud.
CIE EST
CIE CENTRE
CIE OUEST CIE SUD
CIE NORD
6 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- Au total, la couverture opérationnelle en Vendée est assurée par 75 centres d'incendie et de secours. Le SDIS 85 compte dans ses rangs 2 724 sapeurs-pompiers. Parmi eux, on dénombre :Ȉ 278 sapeurs-pompiers professionnels (SPP),
Ȉ 2 347 sapeurs-pompiers volontaires (SPV),
Ȉ 99 personnels administratifs techniques et spécialisés (PATS),Répartition des agents par statut
En 2015, les sapeurs-pompiers de Vendée ont effectué 32 502 interventions. 76%10% 6% 0% 8%
Répartition des interventions en 2015
Secours à personnes
Secours routiers
Opérations diverses
Risques technologiques et naturels
Incendies
7 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- Depuis plusieurs années, le SDIS 85 affiche son ambition de développer une sécurité au travail. Afin de mettre en place cette nouvelle politique, les orientations fixées par le DDSIS sont les suivantes :Orientations :
Diminuer les facteurs de risques cardio-vasculaires et lutter contre la sédentarité que sont les interventions, les formations et les tâches technico- administratives physiques au sein des centres mixtes. Le Groupe Technique et Pédagogique des Activités Physiques (GTPAP) a alors défini 2 grands objectifs :Objectifs :
1. Développer et structurer la filière Encadrement des Activités Physiques (EAP).
2. Développer une politique de santé sécurité dans la pratique des activités
physiques. réalisation, sont relevés :Les éléments de satisfaction
Les éléments en développement
Les éléments perfectibles
8 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-1.2.1. Objectif 1 : Développer et structurer la filière EAP
La filière EA0 ǯ" -" ǯ "" Technique et Pédagogique des ActivitésPhysique composé :
ǯ Responsable désigné par le directeur départemental parmi les officiers du SDIS.40AP est de former un
conseiller technique EAP par compagnie. Le Groupe Technique et Pédagogique des Activités Physiques (GTPAP) a été mis en place à compter de 2011 sous la direction du Commandant Fabrice TREVIEN. Il comprend parmi ses membres (Organigramme en annexe n° 1): Le médecin chef du Groupement de Santé et de Secours Médical (GSSM), le Médecin Colonel Claude TREDANIEL ou son représentant Des sapeurs-pompiers de la filière EAP dont trois conseillers techniques en activités physiques (EAP3) et des responsables des activités physiques de chaque compagnie (EAP2). Le Chef du service Hygiène et Sécurité, Monsieur Sébastien MAINGOT. GTPAPGroupement des
Ressources Humaines
Service Formation
et SportGroupement
Territorial
Groupement de Santé
et de Secours MédicalRéférent EAP
Compagnie
OuestRéférent EAP
Compagnie
Centre
Référent EAP
Compagnie
SudRéférent EAP
Compagnie
NordRéférent EAP
Compagnie
EstService Hygiène
et Sécurité 9 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-¾ Réalisation 2 : Formation des EAP
En 2015, la filière Encadrement des Activités Physiques en service compte 84 EAP1, Participent au GTPAP : le Médecin Chef ou son représentant et le responsable Hygiène et Sécurité. Pas de représentant des SPV de la filière EAP dans le GTPAP Les référents de compagnie ne sont pas tous positionnés dans le centre siège de la compagnie. La compagnie ouest ne dispose pas de référent EAP de compagnie Absence de kinésithérapeute comme interlocuteur du GTPAP.A"... ǯ responsable des activités physiques au Service Formation et Sport de
ǯ---major.
10 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- physiques chez les sapeurs-pompiers. Deux formations EAP1 de 10 stagiaires SPV par an sont ainsi réalisées. détenteurs du stage animateurs sportifs en activité. Le Centre National de la Fonction Publique Territorial (CNFPT) organise, en partenariat avec le SDIS 85, des stages EAP 2. La politique du SDIS 85 est de former en interne les (4 en 2016) et EAP2 (5 en 2016) au CNFPT. La formation EAP3 est organisée par Des stages animateurs sportifs puis EAP1 dans le départementDes stages EAP1 non complets
Absence de session EAP1 en week-end
- A0ͳ ǯ- " """-± dans les centres
major. Les EAP2 sont tous SPP. La Filière EAP manque de reconnaissance (pas de conseiller technique au SFS, agents de la filière non intégrés au cross départemental, pas de tenue officielle pour la formation et les jurys) 11 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- ¾ Réalisation 3 : Participation et investissement des EAPLa FMPA des agents de la filière est réalisée tous les 3 ans. Celle-ci est dissociée pour
les EAP1 et EAP2. En 2015, un courrier a été transmis à tous les membres de la filière encadrement des activités physiques et sportives des JSP et PRAP en lien avec le CNFPTPays de la Loire.
En matière de jury, les membres de la filière assurent les épreuves sportives du Brevet National des Jeunes Sapeurs-Pompiers (BNJSP), le cross est géré intégralement par ǯDnion Départementale des Sapeurs-Pompiers (UDSP). les jurys La réforme de la filière EAP a permis un nouvel élan du BNJSP les formations EAP. Un arrêt de la spécialité pour 57 sapeurs-pompiersAbsence de règlement de la filière EAP
cross départemental qualificatif pour le championnat de France. 12 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP-1.2.2. Objectif 2 : Développer une politique santé sécurité dans les activités physiques
¾ Réalisation 4 : Encadrement des séances note de service 2013 DDSIS 03 du 24 Juillet 2013. (cf. annexe n°2). Dans les centresexclusivement volontaires la pratique des activités physiques - ± ǯ--ive des
chefs de centre avec une possibilité de 6h00 dans le cadre des Formations de Maintien des Acquis. La note de 2013 reprend certaines recommandations du Guide nationale de prévention des activités physiques éditées en septembre 2013 par laCNRACL associé à la DGSCGC.
le nombre de séances et le rôle hiérarchique des sous-officiers. Des tests expérimentaux du PAO ont été mis en place au CIS Fontenay leComte.
Des tests après recrutement ont été mis en place pour les SPV de la Roche sur Yon Le sport collectif est exclu des thèmes du matin département Certains centres SPV ne pratiquent aucune activité physique ou une activité physique non encadrée. agents et des encadrants Pas de prise en charge ni de suivi post-traumatique par la filière EAP Pas de séance de sport encadrée ǯ---major Inadéquation des chaussures, activités et lieux de pratique 13 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- physiques une rubrique spécifique activité physique existe au sein de ce document. Ces déclarations sont transmises au Service du Volontariat pour les SPV et au Service de laGestion des Personnels permanents pour les SPP.
Le GSSM et le Groupement des Ressources Humaines (GRH) organisent une réunion Le chef du Groupe Technique et Pédagogique des Activités Physique est informé pour chaque accident de travail lié aux activités physiques et imputable au service. Une base statistique est tenue à jour par le responsable du GTPAP après chaque arrêt de travail lié aux activités physiques. Pour chaque accident (SPP et SPV), une enquête pour analyse est diligentée par le Chef Cette enquête est transmise au Chef de Groupement Territorial et au responsableHygiène et Sécurité du SDIS.
Le responsable du GTPAP et le responsable Hygiène et Sécurité du SDIS réalisent une groupe activité physique. Une procédure en place depuis 2011 permettant une analyse précise des accidentsTous les accidents ne sont pas analysés
14 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- de la préservation du capital santé Un travail important de communication a été mis en place par le chef du service à la pratique des activités physiques, la prévention des Troubles Musculo-Squelettiques réunions de compagnie. Un bulletin périodique des accidents en service est diffusé dans tous les centres et à tous les agents de la filière hygiène et sécurité...." ǯ±""- -±""- "Ø de la hiérarchie de proximité lors
Le module " Préservation du potentiel physique » destiné aux FI SPV est peu développé. adapter les matériels sportifsTPAP sont les
suivants :Fonctionnement
Remplacement des matériels mis à disposition des CISInvestissement :
En tenant compte des matériels présents dans les centres, dont une partie appartient aux amicales, les membres du GTPAP ont donc déterminé la dotation de base par centre mixte à savoir :1 rameur
1 banc de développé couché
1 banc de musculation Multifonction
1 barre de traction
15 Les entorses des chevilles chez les sapeurs-pompiers -Analyse, prévention et suivi par le GTPAP- SDIS 85. La taille des CIS Mixtes du département étant variable, le GTPAP propose depuis 2015 les besoins complémentaires des centres disposant de garde conséquente prenant en compte le remplacement des matériels des amicales. Le GTPAP équipe depuis 2015 les CIS mixtes de Vélos Elliptiques en complément de la dotation de base. Vous trouverez en annexe n°4 les acquisitions pour la période 2015 - 2016 Evolution du Budget du GPTAP sur la période 2011 Ȃ 2016 : proportionnellement à leur effectif. Ces lots de base sont complétés chaque année au travers du budget de fonctionnement sur la base des demandes des référents de compagnie. volontaires, chaque compagnie dispose de matériels dénommés " lots Compagnie »ANNEEINVESTISSEMENTFONCTIONNEMENTTOTAL
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