[PDF] Chapitre I : Pour notre analyse empirique et

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Université MOULOUD MAMMERI

Tizi-Ouzou

Faculté des Sciences Économiques, Commerciales et des Sciences de Gestion

DEPARTEMENT DES SCIENCES ECONOMIQUES

MEMOIRE

en vue de soutenance du mémoire de magister en sciences économiques

Option : Économie et Finance Internationales

THEME Partenariat industriel et transfert de technologie :

CCondor Electronics

Réalisé par Dirigé par MR. RECHAM LYES PR. GUENDOUZI BRAHIM

Devant le jury composé de:

Président : AIT TALEB Abdelhamid, Maître de conférences A, UMMTO Rapporteur : GUENDOUZI Brahim, Professeur, UMMTO Examinateurs : OUALIKENE Selim, Maître de conférences A, UMMTO BELKHAMSA Ouardia, Maître de conférences B, UMMTO

SOMMAIRE

2

Sommaire

Introduction générale ------------------------------------------------------------------------------7

Première partie : Approche théorique de la technologie et du transfert de

technologie par le partenariat-------------------------------------------------------------------- 14

Chapitre I : La ique---------17

Section I : L--------------------------------19

Section II ---33

Section III : Analyse des tentatives de rattrapage technologique des pays en voie de

développement -------------------------------------------------------------------------------------------41

Section IV : L ------------------------47

Section I : T ---------------------------------------------------71

Section II : L ------------------------83

Section III : Le partenariat, une stratégie de transfert de technologie pour les entreprises ----99

Deuxième partie : Le transfert de technologie à travers le partenariat pour

Electronics --------------------------------------------------------------------------------------------118

Chapitre III: l

connaissance en ---------------------------------------------------------------------------121

Section II : La mesure du développement en Algérie ---------------------------------------------124

Section III économie fondée sur la connaissance en Algérie---------------------------------140

SOMMAIRE

3 Chapitre IV : Le partenariat, un moyen efficace pour le transfert de technologie, cas de

Section I ----------------------------- 165

Section II: L -------------------173

---183

Conclusion générale -----------------------------------------------------------------------------205

Bibliographie -------------------------------------------------------------------------------------- 210

Liste des abréviations

Liste des abréviations

ANCL :

ANDI: ARTP : Autorité de régulation des postes et des télécommunications

C E N : Commissariat aux énergies nouvelles

CKD: Completely Knocked Down

EC : économie de la connaissance

EFC : économie fondée sur la connaissance

FMN : firme multinationale

H C R : Haut commissariat à la recherche

ICG: Indice global de compétitivité

IDC: International Data Corporation

IDE : investissement direct étrangers

IDH : Indice de développement humain

KEI: knowledge economy index

LCD: Liquid crystal display

LED: Light-Emitting Diode

M E S R S : eur et de la recherche Scientifique

MENA: Middle East and North Africa

N T I C :

O N R S : Office national de la recherche scientifique O N R S : Office national de la recherche scientifique OCDE : Organisation de coopération et du développement économiques

OMC : Organisation Mondiale du Commerce

PDG : Président directeur général

PED : Pays en voie de développement

PIB : Produit intérieur brut

Première Partie

5 PME /PMI : Petite et moyenne entreprise / Petite et moyenne industrie PNUD : Programme des nations unies pour le développement

R & D : Recherche et développement

SKD: Semi knocked down

TIC :

TT : transfert de technologie

UIMM : Union des industries et des métiers de métallurgie

UNATRANTEC

WEF : World economic forum

Première Partie

6

Introduction générale

Première Partie

7

Introduction générale

La production et la ,

actuellement, comme les fondamentaux

économies, les transformations politiques, et la mondialisation des échanges ont facilité

production (mobilités de facteurs de production) et spécifiquement , qui étaient, longtemps travaux sur les déterminants de la mise en pla économique. Les économ-classique les considèrent, en plus du capital et du travail, comme les facteurs dont dépend la croissance économique (Solow 1956)1. révèle que les économies dépourvues de ressources naturelles connaissent une croissance relativement plus importante

que celle des pays abondement dotés (comparaison japon-Algérie). Une relation négative

entre la dotation en ressources naturelles et le niveau de croissance est mise en exergue par

J.Sachs et A.Warner , ainsi, démontré que

19892.

De nouvelles théories de la croissance économique se sont développées depuis ctivité économique. P.Romer (1986) a contribué à ne nouvelle vision, en introduisant l'innovation technologique endogène dans la construction de son modèle. Il stipule que les investissements de niveau technologique. Ils sont indispensables puisque les entreprises, seules, ne peuvent supporter les coûts de la recherche et développement. Et pour augmenter le niveau de bien- être social, le gouvernement aurait avantage à investir dans la R&D inciter les firmes à le faire en le rendant moins coûteux, . Les incitations à la recherche et . Elles contribuent à améliorer la productivité et engendrent une baisse des prix des produits et une augmentation du rapport qualité-prix.

1 Julie GINGRAS, " le rôle de l'abondance des Ressources naturelles Dans la croissance Économique »,

Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'université de l'université Laval, Octobre 1997 P31

2 Idem p39

Première Partie

8 La montée croissante des investissements dans la production des connaissances favorise de certain secteurs, intenses en technologie et en connaissances,

aux détriments de la disparition des activités à faible exigences techniques. Cette situation est

par la mécanisation des tâches. du secteur des TIC et celui des services, et leur intégration a ont des

effets très significatifs dans la mutation vers une nouvelle économie dite économie fondée sur

la connaissance.

Cette tendance, tangible dans les pays développés, est un défi à relevé pour les pays en

cette nouvelle donne (amél les PED peuvent rattraper le train du développement. Dans le cas des pays rentier, la situation

est plus complexe. Ils subissent la contrainte de la dépendance à la rente générée par les

énergies fossilesinexistence du tissu industriel. Ce rattachement

aux hydrocarbures, expose ces pays aux risques liés aux fluctuations des cours sur les

marchés.

Le syndrome hollandais " dutch disease

de la rente liée aux ressources naturelles, durant les années soixante-dix, suite à la découverte

, a mené vers des ressources naturelles augmente le , offrant les moyens financiers nécessaires pour mener une politique monétaire expansionniste. accroissement du revenu national et de la demande entraînent des pressions inflationnistes,

appréciation du taux de change réel. Or, une monnaie très forte réduit la compétitivité par les

prix des produits fabriqués par les entreprises locales et conduit dans son sillage à une

régression des exportations. voient, alors, leurs profits diminuer, ce qui renforce les incitations à investir dans . Au cours du boom de ressources premières, les agents court terme, négligeant ainsi la question de la croissance à long terme de l'économie. Un laxisme dans la gestion privée et publique . Une fois les ressources

Première Partie

9 naturelles épuiséesla contraction du secteur productif et la surévaluation du taux de change. La dotation en ressources naturelles ne peut se constituer en source de croissance coté, le stock de ressource est épuisable et la demande sur les facteurs est soumise aux exigences imposées par les grandes firmes. Le développement implique la

maitrise de la technologie, ce qui est difficilement réalisable dans le cas des pays en

probabilité du développement interne de la technologie. ures afin de bâtir une base technologique nécessaire pour amorcer une qui xploitation des ressources naturelles.

Objet de la recherche

internationale de développement. Les critiques sont particulièrement adressées au secteur

industriel qui peine à se constituer malgré la situation financière favorable sur durant la période 2000-2014 marquée par la hausse des cours du pétrole. Il faut souligner que la plus grande part le secteur des hydrocarbures. Les faibles résultats des autres secteurs de l font de la

économique nationale.

Dans une volonté de div

redirection vers de nouvelles stratégies, viables et en concordance avec les conditions

économiques locales.

Dans ce contexte, les expériences récentes de certaines entreprises algériennes s à opérer. En effet, lCondor Electronics inspire une réflexion

sur les moyens et la trajectoire suivie par cette entreprise pour se hisser au niveau où elle est.

Première Partie

10

Problématique

dynamique de croissance économique au niveau mondial impose aux pays en voie de développement, dans un ultime effort de rattrapage, de déterminer et de

maîtriser les variables, source du différentiel de développement avec les pays les plus

avancés. La maîtrise de la technologie, est sur lesquels de croissance. Cette situation est reflétée par de nombreux travaux de recherche sur de la technologie dans la croissance économique. L

rôle de la technologie dans une revue de la littérature économique portant sur la croissance

avalise et illustre clairement la montée prépondérante les aspects de la vie quotidienne des individus et redéfinie leur comportement et celui de la société, en conséquence. En effet individus les plus riches. Donc elle affecte la répartition des richesses dans le monde. à PED peine à accéder aux technologies nécessaires pour son développement. Les conditions locales ne permettent pas, à est, le développement de la technologie, par la mobilisation, uniquement, des moyens disponibles localement. Le recours aux technologies développées hors du territoire géographique du pays est une solution envisageable, et une alternative viable pour combler ce

îtrisable pour atteindre de cet

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