La Cicatrice de Bruce Lowery
La Cicatrice de Bruce Lowery. 5 e. : Avec autrui : famille amis
DEVOIR COMMUN
QUESTIONS (15 points). 1. D'après vous dans quel pays (ou dans quelle zone Bruce LOWERY
La Cicatrice
questions métaphysiques. Présentation. 6. Page 7. 7. Bruce Lowery. La Cicatrice Bruce Lowery La Cicatrice. Pourquoi Dieu a-t-il permis que Jeff naisse avec ...
Malformation faciale congénitale à ladolescence: les enjeux
30 avr. 2018 2 – Questionnaire d'Image Corporelle (QIC) ... Dans La cicatrice Bruce Lowery fait tenir à Jeff les propos ...
CERTIFICAT DAPTITUDE PROFESSIONNELLE FRANÇAIS
Il m'aimait simplement et sincèrement comme un garçon aime son grand frère. Bruce Lowery
TEXTES ECRIVAINS AEE5
18 juin 2013 questionnaire préparé s'oriente sur le sens et la nécessité de mon travail. ... Lorsque j'ai mentionné le livre La Cicatrice de Bruce Lowery je ...
la cicatrice - senprof
À l'école j'étais mauvais par vengeance et
Admettre la différence Dans la nouvelle école La sonnerie électrique
Aux questions qu'on me posait je répondais en toute innocence : - Je suis tombé sur un Bruce Lowery La Cicatrice
Plaisir de Lire
23 nov. 2020 LOWERY BRUCE. CICATRICE (LA). LOWRY LOIS. ANASTASIA AVEC CONVICTION ... MES 80 QUESTIONS AUX ANIMAUX DE LA. FERME. BARDI CARLA. GLACES & SORBETS.
DEVOIR COMMUN
QUESTIONS (15 points). 1. D'après vous dans quel pays (ou dans quelle zone Bruce LOWERY
La Cicatrice
Présentation notes
Admettre la différence Dans la nouvelle école La sonnerie électrique
Bruce Lowery La Cicatrice
Numéro 53
09?/09?/2004 questionnaire permettant de recenser les opinions des enseignants sur ... La Cicatrice de Bruce Lowery Plan de séquence 3e (non détaillé) ...
CERTIFICAT DAPTITUDE PROFESSIONNELLE FRANÇAIS
Bruce Lowery La cicatrice
Untitled
Questions (15 points) et réécriture (5 points) Première partie - Questions - Réécriture - Dictée ... Monsieur Sandt Bruce Lowery
Untitled
978-2-210-75474-4 n° 64 l 208 p. l 460 €. 978-2-210-75450-8 n° 46 l 208 p. l 5
Malformation faciale congénitale à ladolescence: les enjeux
30?/04?/2018 VIII – Résultats aux différents questionnaires . ... Dans La cicatrice Bruce Lowery fait tenir à Jeff les propos suivants : « En voyant mon ...
LE VECU DES ADOLESCENTS VICTIMES DE
01?/12?/2016 en posant des questions précises de manière systématique. ... La cicatrice 1960
La question du harcèlement en milieu scolaire ?
11?/04?/2018 mes questions et qui ont porté de l'intérêt à ma recherche : Monsieur ... publié en 1912 La Cicatrice de Bruce Lowery
TEXTE INTÉGRAL
Bruce Lowery
La Cicatrice
Classiques
Contemporains
COLLÈGE
2JEANNEDUPUY
CARLOSHORCAJO
professeurs de LettresCollection anime par
Jean-Paul Brighelli etMichel Dobransky
ClassiquesContemporains
Bruce Lowery
La Cicatrice
Bruce Lowery: un Amricain si franais . . . . . . . . . . . . . . . 5 LACICATRICE
Texte intgral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7Après-texte
POUR COMPRENDRE
GROUPEMENT DE TEXTES
Le monde cruel de lÕenfance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 211 INFORMATION/ DOCUMENTATION
Bibliographie, filmographie, Internet . . . . . . . . . . . . . . . 219Sommaire
Bruce Lowery est un crivain tonnant : n en 1931 dans le son premier roman,La Cicatrice
, en 1960 en franais. Il faut dire que lÕcrivain conna"t bien la langue et la culture franaise car il fait de brillantes tudes en France : il obtient de nombreux Henry James : une confrontation È ˆ lÕUniversit de la Sorbonne (Sciences-Po) de 1968 ˆ 1975. front : celle dÕcrivain avec la publication dePorc-Žpic (1963), Le
Loup-garou(1969), Revanches(1970), Le Philatosexuel(1977) et Qui cherche le mal(1978) et celle de traducteur. Passionn de cul- ture europenne, il ma"trise parfaitement, outre le franais, lÕita- lien, lÕespagnol et lÕallemand. Il traduit son premier roman La Londres et ˆ New York. Il signe galement lÕadaptation anglaisePrsentation
5 de nombreux films europens et les sous-titres en anglais et en franais de nombreux longs mtrages. Il meurt en 1988.La publication de
Prix Rivarol Ð Prix de lÕuniversalit de langue franaise Ð dcern par un jury dÕacadmiciens, et le prix du Meilleur livre de lÕan- un petit garon de treize ans rejet uniquement parce quÕil non seulement celui des jeunes gens qui ont, un jour, fait face au prennent la souffrance ˆ laquelle peut tre confront un enfant. sion, le vol, le mensonge, Dieu, la mort. Subtilement, lÕenferme- quÕil labore, touche aux questions fondamentales du rapport de questions mtaphysiques.Prsentation
6 7Bruce Lowery
La Cicatrice
1 JÕtais, sans le savoir, un enfant heureux, relativement heu- reux, il est vrai. Mais ce nÕtait quÕune impression dÕensemble. Car ma vie, mme alors, ne manquait pas de petits malheurs auxquels je nÕarrivais pas ˆ mÕhabituer. Il faut remonter ˆ novembre 1944. JÕavais treize ans. mdecins disaient, sans cruaut, en triturant 1 mon visage et en poulain, que cÕtait Çun bon travail de raccommodageÈ. JÕaurais pu, jÕaurais d deviner que cÕtait en ralit un petit 2 . Mais il tait tellement bien rpar quÕon parlait toujours de ÇcicatriceÈ. aimait. CÕest pourquoi lÕhistoire quÕelle me racontait nÕtait jamais tout ˆ fait semblable. Tant™t, il sÕagissait dÕun accident, sur le ciment, quand je faisais mes premiers pas. Je sentais tou- jours que, gne, elle cherchait vite ˆ dtourner la conversation. Et comme, moi aussi, jÕavais peur dÕune chose ˆ peine devine, je nÕinsistais jamais, comme je nÕaurais pas manqu de faire pour tout autre chose.La Cicatrice
9 5 10 15 201. Tordant dans tous les sens.
2. Malformation de naissance de la lèvre supérieure.
Je ne le savais pas alors, mais ce quÕelle me cachait lˆ, cÕtait un des plus grands chagrins de sa vie. Ce nÕest que bien des vrit sur cette ÇcicatriceÈ. Elle lui avait fait, je crois, plus de mal quÕˆ moi-mme. Sans cela, elle pouvait aimer mes yeux, trop grands, aux cils trop longs peut-tre, mais dont la p‰leur surprenait ˆ cause du trait noir qui cernait lÕiris 1 . Ils ressemblaient dÕailleurs ˆ ses propres yeux Ð dÕun bleu-vert dlav, celui des Frisons 2 , ses anctres. Ë ma naissance, elle sÕtait rpt mille fois la mme question quÕelle adressait ˆ Dieu: ÇQuÕest-ce que je Vous ai fait pour mriter cela? Pourquoi cette tare 3 , dans cet tre amoureuse- jamais pu concilier le Dieu dÕavant ma naissance, quÕelle avait dcouvrir quelque chose dÕinjuste et de malfaisant. La vue de la ÇcicatriceÈ lui donnait un dsarroi, un tonnement chaque jour renaissants. accept le fait avec une srnit 4 quÕelle lui enviait et lui repro- chait. Il devait penser ce quÕil disait souvent dans dÕautres cas:ÇCe sont des choses qui arrivent...È
Bruce Lowery
10 2530
35
40
1. Partie colorée de loeil.
2. Habitants de la Frise, ancienne province des Pays-Bas.
3. Défaut physique ou moral.
4. Calme.
faisait partie de ma personne et nÕavait rien de plus extraordi- naire que mes oreilles ou mon nez. Il mÕaimait simplement et souffrir et mourir Ð serait-ce de ma faute? Je ne le saurai jamais Ð il me restera toujours ce doute... Bubby, qui avait toute la vie devant lui, ne viendra jamais plus vers moi, confiant et affec- revivre lÕamour que cet enfant me tmoignait. Je le lui dois. Tout ignorant donc que jÕtais des sentiments quÕprouvait triceÈ, moi aussi, jÕen voulais ˆ Dieu, un peu. Ð Dis, maman, lui demandais-je, Dieu est bon, nÕest-ce pas?Ð Oui, bien sr.
Ð Alors, si Dieu est bon, pourquoi mÕa-t-il fait ma cicatrice? Ð Mais, ce nÕest pas lui qui te lÕa faite, cÕest un accident... Ð Alors, pourquoi lÕa-t-il laiss arriver, cet accident?Maman, perplexe
1 , posait lÕassiette quÕelle venait dÕessuyer: Ð Oh!... Parce quÕil doit avoir trop de choses ˆ faire. Tu te rends compte? Avec tous les gens quÕil y a sur terre!Ð CÕest quÕil est dbord, alors?
Elle souriait:
Ð CÕest a, ÇdbordÈ.
La Cicatrice
11 4550
55
60
65
1. Embarrassée.
Ð a dpend...
Ð Parce que je lui ai souvent demand dÕenlever ma cicatrice, et il ne lÕa pas fait. Alors? Ð Peut-tre... peut-tre tu nÕas pas bien pri.Dimanche
1 , je cherchais en effet ˆ me persuader quÕen arrivant ˆ la maison, il me suffirait de regarder dans la glace: ÇelleÈ nÕy serait plus. Que de fois mÕy suis-je prcipit devant cette glace!Hlas, ÇelleÈ y tait toujours.
JÕallais mme Ð car malgr mes treize ans, jÕtais un enfant pensif, inquiet Ð jusquÕˆ faire des raisonnements compliqus, des marchandages 2 avec Dieu. Puisque lÕ‰ge des miracles est, aux yeux du monde actuel, rvolu 3 , me disais-je, il faudrait que jÕaie une faveur spciale. Or, jÕtais convaincu, sans me demander pourquoi, quÕil fal- lait que personne ne ft au courant de ce miracle. Sinon, Dieu ne me lÕaccorderait pas. Donc, je lui promettais perptuelle- ment que, sÕil me supprimait la cicatrice, je nÕen parlerais ˆ per- sonne. Naturellement, dans ce cas, mes parents allaient se rveiller un matin et tout le monde sauf moi, dans lÕoubli le plus total quÕelle et jamais exist. Un jour, je me sentais soudain fou de joie. Je venais deBruce Lowery
12 7075
80
85
90
1. Lieu où lon enseigne la Bible aux enfants protestants.
2. Discussions pour obtenir quelque chose dans les meilleures conditions.
3. Qui nexiste plus.
dcouvrir un dfaut dans mon raisonnement. Je ne cessais de me rpter: ÇMais bien sr! Voilˆ pourquoi Dieu nÕa pas mar- ch, voilˆ pourquoi!È ... Parce que jÕavais eu la prtention dÕtre seul conscient du miracle. Je fis donc une nouvelle proposition ˆ Dieu. Je mÕen souviens maison, dans ma nouvelle chambre. Notre nouvelle maison nÕtait nouvelle que pour nous. En ralit, elle avait djˆ t habite par dÕautres. Une petite mai- rosiers. Deux chambres au rez-de-chausse, la plus grande occupe par mes parents, lÕautre par Bubby. Ë moi, on avait Sur trois c™ts, elle nÕavait que des fentres Ð dix fentres! Avant de monter me coucher, je restai longtemps dans la salle de bains. Une fois de plus, jÕexaminai la cicatrice dans la glace, que jÕatteignais en grimpant sur un petit tabouret blanc et en mettant un genou sur le rebord du lavabo. Une paisseur de tout le monde. Mais il y avait pis: quand je souriais, je voyais appara"tre un pli assez laid, horizontal, qui remontait un peu vers la droite.La Cicatrice
13 95100
105
110
115
120
Ð Pourquoi? Dites-moi, Dieu, pourquoi?
Une fois de plus, des larmes troublaient ma vue.
Ð Jeff! QuÕest-ce que tu fais lˆ-dedans depuis si longtemps? CÕtait la voix de maman que jÕentendais mÕappeler ˆ travers brosse ˆ dents (ˆ manche vert toujours, car nous avions chacun notre couleur).Ð Attends, je me brosse les dents.
Ð Allons, Jeff, dpche-toi, papa et moi nous voulons nous Ð Alors, cÕest promis, Dieu? murmurai-je. Demain je me Mme moi je ne le saurai pas, mme moi jÕaurai oubli!Promis? Jur?
Telle tait ma nouvelle proposition ˆ Dieu. Mme moi je devais ignorer que le miracle aurait eu lieu. Bien sr! Dieu nÕtait plus le mme quÕau temps o il avait fait les miracles dont on par- lÕexamen plus dur. Il ne voulait plus marchander la croyance des humains ˆ coup de miracles. Oh, Dieu en faisait toujours, mme hommes. Il fallait donc croire aveuglment. Tout tait clair! JÕtais tellement heureux que mon pied glissa sur le tabouret et que je faillis tomber sur le carreau. Au fond de mon esprit, quelques doutes cherchaient malgr tout ˆ pntrer, comme des insectes qui ne cessent de cognerBruce Lowery
14 125130
135
140
145
contre une vitre. Mais, contre lÕassaut de ces doutes, je gardai mon esprit bien ferm, persuad que, par-dessus tout, ce qui comptait, cÕtait la croyance aveugle. Ð Allons, Jeff, sors de lˆ, sinon tu vas voir. CÕtait la voix calme, sans mchancet, mais ferme de mon obis-je instantanment. rire dont le pli oblique, si dtest, demain aurait disparu. JÕen suad! que je ne reus point. Ð QuÕest-ce que tu as, Jeff? Tu ris? Alors, tu trouves que cÕest Ð Non, papa, cÕest pas pour a, dis-je. CÕest que je suis telle- ment, tellement heureux! Je mÕarrtai sur lÕescalier en mÕtirant les bras de contentement 1 as rpt que tu avais tant de chagrin de quitter la maison... Sans rpondre, je montai en courant les marches qui res- mer, sautai dans mon lit. En remontant les couvertures, chaudement, jusquÕˆ mon
La Cicatrice
15 150155
160
165
170
1. Satisfaction.
non encore dballes. La lune soulignait leurs planches de sapin blanc. Aux vitres, sa clart, capte dans le givre, inventait des plantes plus fabuleuses les unes que les autres, les clairait de sa blancheur froide, comme des images de verre dpoli dtaches sur le noir de la nuit. tus, cÕest lui qui fait pousser ces chardons 1 gants...ÈDes fourrs, des palmes
2 fantastiques, dont la pousse sau- vage mÕinquitait, grimpaient le long des vitres. Pendant que jÕattendais le sommeil, je les contemplais, mer- veill de ces beaux tours que Dieu savait faire. Tout ˆ coup, je me rappelai la boule de cristal renfermant un grain de moutarde, que quelques heures auparavant jÕavais moi- mme retire de son emballage et mise ˆ sa place sur le guri- don du salon. Je me levai doucement et descendis relire lÕins- cription sur le pied de bois qui tenait la boule. Pour me rassu- Si vous aviez de la foi gros comme un grain de moutarde, vous pourriez dire ˆ cette montagne: ÇTransporte-toi dÕici ˆ lˆÈ, et elle sÕy transporterait; rien ne vous serait impossible. Ð Demain je me rveillerai, ÇelleÈ sera partie, jÕaurai mme oubli quÕelle ait jamais exist!Bruce Lowery
16 175180
185
190
1. Plantes épineuses.
2. Feuilles de palmier.
BIEN LIRE
CHAPITRE 1
€ Jeff discute avec Dieu des conditions du miracle demandé : il sagit dune sorte de marchandage. Vous souvenez-vous des conditions posées par Jeff ? € Quelle est limportance de la description de la fenêtre (l. 174-183) ?POUR COMPRENDRE
de classe ...201 .................................................202 .........................................................203 et lÕaccusation publique .....................................204 ....................................205 .............................................206 .....207 .........................................208GROUPEMENT DE TEXTES
Le monde cruel de lÕenfance ...............................................................211INFORMATION / DOCUMENTATION
Bibliographie, filmographie, Internet ..........................................219Après-texte
POUR COMPRENDRE
Lire1Que nous apprennent les premières
pages de ce roman sur les person- nages, leur situation familiale, les lieux, et lépoque ?2Qui raconte lhistoire ?
3Relevez les éléments qui montrent
que lhistoire est racontée bien après quelle se soit produite.4Relevez les éléments annoncés
dans ces deux premiers chapitres et qui ne sont pas développés. À votre avis, pourquoi le narrateur fait-il une ellipse sur ces éléments ?5Pourquoi lenfant se doute-t-il que
sa mère lui ment lorsquelle lui explique lorigine de sa cicatrice (l. 13-26, pp. 9-10) ?6Quelles sont les différentes réac-
tions de la mère, du père et du frère face à la cicatrice du narrateur (l. 32-50, pp. 10-11) ?
7Comment le narrateur se décrit-illui-même ? Vous en donnerez un por-trait physique et moral.
Écrire
8Imaginez lune des histoires que
raconte la mère au narrateur pour expliquer lorigine de la cicatrice.9Le narrateur écrit à un ami pour lui
décrire sa nouvelle maison. Rédigez la lettre.Chercher
10Connaissez-vous dautres oeuvres
littéraires ou cinématographiques dans lesquelles lun des principaux personnages a un défaut physique ?11La mère du narrateur est " protes-
tante ». Cherchez dans une encyclo- pédie en quoi consiste cette religion.12Cherchez lorigine de lexpression
" bec-de-lièvre ». Connaissez-vous dautres expressions composées avec des noms danimaux ? 200CHAPITRES1 et2P
quotesdbs_dbs7.pdfusesText_13[PDF] la croissance démographique et ses effets chine
[PDF] la croissance démographique et ses effets evaluation
[PDF] interpréter graphiquement une intégrale
[PDF] résolution graphique d'un système de deux équations à deux inconnues
[PDF] interpreter graphiquement une equation
[PDF] discours de boule de neige dans la ferme des animaux
[PDF] la ferme des animaux cned corrigé
[PDF] j'écris une liste ce1
[PDF] production d écrit la liste cp
[PDF] lettre ce2
[PDF] écrire une affiche ce1
[PDF] la parole en spectacle le dictateur
[PDF] sequence 4eme la ville
[PDF] vision poétique de la ville facebook