« Les théories de lénonciation au cinéma : le mot limage et les
Ocularisation / auricularisation : zéro / interne / externe. Ocularisation interne primaire (indices internes au plan) / secondaire (montage)
point de vue » : différentes acceptions du terme. Niveaux danalyse II
Ocularisation au sens de Jost. ? Monstration au sens de Gaudreault. Construction de l'univers diégétique : gestion de la transmission.
modèle Word thèse et mémoire - Université de Montréal
26 août 2016 l'ocularisation plus aboutie dans les études vidéoludiques. Mots-clés : Point de vue caméra virtuelle
La FAVR vidéoludique : une structure danalyse de la forme des
et leurs 4 paramètres: la composition l'ocularisation
Études littéraires - François Jost Une monde à notre image
l'ocularisation et l'auricularisation (celle-ci n'apparaissant curieusement plus dans son dernier ouvrage). Et encore
Le spectateur qui en savait trop
l'ocularisation pour désigner le point de vue visuel
2 2019:1 CRI Lícia Publication
21 juin 2020 d'ocularisation (JOST 1983
4. Approche narratologique des combinaisons audio-visuelles
25 oct. 2016 proposé de parler d ' ocularisation (= point de vue visuel) et d' auricularisation (= « point de vue » sonore). Je parle « d'auri-.
The cinematic mode in fiction
out the narrative; ocularisation and auricularisation in film determine what is provided by the cinematic narrator and conveyed to spectators.
Définition du thriller contemporain: enjeux esthétiques et narratifs du
17 janv. 2017 L'ocularisation interne primaire et la suggestion d'un regardeur invisible. Photogramme 15 : Les traces d'un point de vue subjectif. En ...
Comprehensive Adult Eye and Vision Examination
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Description of Oxford Handbook of Ophthalmology Pdf 4th Edition
Oxford Handbook of Opthalmology PDF 4th edition is the known worldwide for its coverage and description of the contents regarding the subject of ophthalmology. Any Health professional or student who wishes to become a specialist ophthalmologist in the future should have this book in their pockets whenever they get the time to read. Download it now.
The Author
Alastair Denniston is Consultant Ophthalmologist/Honorary Professor specialising in Uveitis and Medical Retina based at University Hospitals Birmingham NHS Foundation Trust, University of Birmingham and the NIHR Biomedical Research Centre at Moorfields Eye Hospital and UCL Institute of Ophthalmology. He is also Honorary Professor at the University ...
Editorial Review
This particular book is now in its 3rd edition and now updated, it is an impressive production… There is a lot of depth of detail and coverage and despite its thickness (which I think is a positive attribute) it is still very portable and can easily be carried in a case or take up a small amount of space in a desk… Special mention should be made of...
User Reviews
Overall good – essential book Odd that there is now an error concerning corneal embryology that wasn’t present in the previous edition
Table of Contents
Oxford Handbook of Ophthalmology PDF 4th Edition includes the Following Units: 1: Clinical Skills 2: Investigations and their interpretation 3: Ocular trauma 4: Lids 5: Lacrimal 6: Conjunctiva 7: Cornea 8: Sclera 9: Lens 10: Glaucoma 11: Uveitis 12: Vitreoretinal 13: Medical retina 14: Orbit 15: Intraocular tumours 16: Neuro-ophthalmology 17: Strab...
Dimensions and Characters of Oxford Handbook of Ophthalmology Pdf 4th Edition
1248 Pages
What is ocularization in comics?
Like the cognitive facet, one can also consider ocularization as internal or external, with some extra variations. External ocularization includes the most conventional of comics imagery, where the focalizing character is seen from the outside, with no attempt at recreating their particular visual field.
What is ocular neovascularization?
Ocular neovascularization is a comprehensive process involved in retinal vascular development and several blinding diseases such as age-related macular degeneration and retinopathy of prematurity, with vascular endothelial growth factor (VEGF) regarded as the master regulator.
Why does Boilet use ocularization and focalization?
They do serve to distance the reader from too much identification with the character. Perhaps this is purposeful by Boilet. In comparison with Hernandez’s work in “Life Between Whispers,” Boilet’s use of ocularization and focalization shifts the focus from the character to the gaze.
What is ocularis & how does it work?
Ocularis is helping business owners, facility managers, and security professionals all over the world sleep better at night. The three models of Ocularis are designed to handle all types of security demands.
Section d'Histoire et esthétique du cinéma
Introduction aux études cinématographiques
» (A.Boillat)
Le point de vue
1I. Le "
point de vue : différentes acceptions du terme. Niveaux d'analyse Optique matérialiste : la technologie comme produit d'une certaine idéologie de la représentation
La place du spectateur dans le dispositif ; phénomènes d'immersion / d'identification Le film comme vecteur de jugements de valeur (" point de vue » au sens d'" opinion ») : G analyse
des représentations filmiques G inférence par le spectateur d'une figure d'énonciateur Dimension visuelle : emplacement de la caméraG Ocularisation au sens de Jost
G Monstration au sens de Gaudreault
Construction de l'univers diégétique : gestion de la transmission des informations (narratives) au spectateurThéories de la focalisation (Genette, Jost)
Questions d'énonciation :Optique d'inspiration linguistique
: la " subjectivité dans le langage G Conception déictique de l'énonciation filmique ;G La réflexivité du film ;
G Niveaux de marquage matériel de l'énonciation filmique.II. La "
focalisation au cinéma (d'après Gérard Genette, Figures III, Paris, Seuil, 1972, chapitre IV, " Le mode " )Rapport de savoirTypes de focalisation
(Exemples de films) spectateur>personnagefocalisation zéro non focalisé, " omniscience (North by Nortwest dès la discussion des agents à l'USIA) spectateur=personnagefocalisation interne -fixe (sur 1 seul pers.) -variable (passage de l'un à l'autre) (une séquence dans Naked Lunch) -multiple (événement identique) (Rashômon) spectateurIntroduction aux études cinématographiques
» (A.Boillat)
Le point de vue
2Altérations
-paralipse : omission latérale (In the Mood for love) -paralepse : excès d'information (plan sur l'arme dans The Big Sleep) III : Définition de la notion de " point de vue (Alain Boillat in Laurent Gervereau (dir.), Dictionnaire mondial de images, Paris, Editions NouveauMonde, 2006, pp.
834-837).
À la fois capitale et fortement polysémique, la notion de " point de vue » s'applique en fait à trois
aspects de la représentation qui interagissent sans nécessairement se confondre. Elle a trait respectivement : - à la dimension spatiale (d'où voit-on ?), sur laquelle nous mettrons l'accent icipuisqu'elle touche à tout type d'images ; - aux questions narratologiques, principalement soulevées
par les media " séquentiels » comme la bande dessinée, le roman photo et le cinéma ; - à l'expression
d'une subjectivité, dans le sens courant - et considérablement moins intéressant dans le domaine de
l'analyse de l'image - du terme " point de vue» (synonyme d'"
opinionL'oeil virtuel dans l'image
Dans un guide touristique, la mention " point de vue » renvoie à un lieu particulièrement adapté à la
contemplation d'un paysage. On peut par conséquent établir une analogie entre cette acception commune du terme et la réception des images figuratives, puisque ces dernières construisentgénéralement " en creux » une place privilégiée que le spectateur viendra occuper en investissant
mentalement l'espace du représenté. Ainsi certaines stratégies de composition favorisent-elles cette
immersion. Par exemple, lorsque l'image présente un caractère perspectif marqué ou exhibe la
présence d'un avant-plan qui entrave partiellement la vue, la représentation s'affiche comme la visée
d'un regard dont l'origine virtuelle s'actualise dans la lecture de l'image. Dans Partie de bateau (vers
1877-1878) de Gustave Caillebotte, l'exacerbation du premier plan qui excède le bord inférieur du
cadre donne au spectateur l'impression d'être présent dans le canot avec le rameur, de se tenir à la
place supposément occupée par le peintre de plein air - premier spectateur de l'action représentée - au
moment de la réalisation de l'oeuvre. L'image (ciné)photographique joue quant à elle sur certains
paramètres techniques (le flou, le " bougé », le zoom, les variations de profondeur de champ) qui, par
convention, constituent des indices de subjectivité. Comparativement à ce que l'on constate dans le
champ des études sur le cinéma, où les procédés consistant à parer l'image d'un coefficient de
subjectivité ont été inventoriés et discutés par de nombreux auteurs (notamment Edward Branigan), les
historiens de l'art se sont peu attelés à cette question, la dimension optique n'étant pas aussi
étroitement liée au " point de vue » narratif qu'elle l'est au cinéma. N'oublions toutefois pas que la
simple action de cadrer, inhérente à la genèse de la grande majorité des images, est le fruit d'une
sélection, et donc d'un fait " subjectif » ; s'ajoutent à cette orientation fondamentale du regard d'autres
caractéristiques comme l'angle de prise de vue et la distance à l'objet. Peter Greenaway, en plaçant
l'objectif de la caméra dans l'axe du dispositif optique utilisé par le dessinateur du film The
Draughtsman's Contract (1982) - système de " cadrage topographique » destiné à faciliter la
représentation en perspective - , nous incite à épouser la vision partielle du personnage et à en saisir
les limites. Or, dans ce film où la logique perspectiviste est ouvertement " projetée » sur une nature
elle-même apprêtée (il s'agit de " jardins anglais »), on demande au dessinateur (inconscient des
intrigues qui se trament autour de lui) s'il est plutôt du côté du voir ou du savoir : Greenaway convertit
en potentiel narratif des interrogations issues du sens purement spatial de la notion de point de vue.
La perspective comme construction
Le respect des lois de la perspective fournit un instrument de capture du regard (via le " point de fuite ») qu'il faut se garder de naturaliser. Dans La Perspective comme forme symbolique, ErwinPanofsky relève combien la perspectiva artificialis codifiée par Alberti sur le modèle de la pyramide
Section d'Histoire et esthétique du cinéma
Introduction aux études cinématographiques
» (A.Boillat)
Le point de vue
3visuelle (dont l'oeil de l'observateur constitue le sommet, opposé au plan pictural) procède elle-même
de choix, de ce que l'on pourrait appeler une certaine " idéologie » de la représentation. D'ailleurs,
Jean-Louis Comolli examinera sur des bases " matérialistes » cette question en remettant en cause,
dans une série d'articles parus dans les Cahiers du cinéma (1969-1971), le caractère " naturel » des
lois optiques qui président à l'élaboration de toute image cinématographique. Même dans son
acception la plus concrète (spatiale), le " point de vue » doit donc être appréhendé comme une
construction déterminée par des facteurs techniques, esthétiques, idéologiques, etc., dont les principes
sont soumis à des variations diachroniques.Spectateur et dispositif
De nos jours, ce sont les dispositifs visuels (" installations » d'artistes, lieux d'exposition, jeux vidéo)
qui favorisent l'examen d'éléments susceptibles de contraindre le regard du spectateur à l'intérieur de
l'espace physique occupé par ce dernier. Cette problématique est traitée dans le cadre de recherches
récentes qui, dans la filiation des travaux de Jonathan Crary, visent à élaborer une archéologie du
regard et une épistémologie des media en prenant la mesure des bouleversements introduits au XIXe
siècle par l'émergence d'un nouveau régime scopique. Dans ce contexte, l'étude de jouets optiques
(phénakistiscope, praxinoscope, etc.) et de dispositifs de vision (diorama, panorama, fantasmagorie,
Hale's Tour, etc.) engage une réflexion sur la place accordée à l'observateur dans ses interactions avec
la " machinerie » qui produit la représentation. Si l'intérêt pour ces phénomènes de réception doit
probablement beaucoup aux développements contemporains des médiations technologiques, il fautdire que n'importe quelle image exige de s'interroger sur la place du spectateur. Michael Fried a par
exemple montré que la question de l'absorption du spectateur constitue une préoccupation centrale des
peintres français à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.Focalisation et ocularisation
Ce recouvrement des significations nous mène à la seconde acception du terme " point de vue » que
l'on trouve chez les théoriciens de la littérature. Pour rendre compte de la façon dont un récit gère la
transmission des informations narratives au lecteur, deux options principales semblent s'être imposées
depuis le XIXe siècle : soit un narrateur " omniscient » nous permet d'en savoir plus que lespersonnages, soit le savoir est filtré par la conscience d'un protagoniste dont le lecteur occupe la
place». Dans une optique structuraliste, Gérard Genette a systématisé dans Figures III l'approche de
ce qu'il a appelé la " focalisation » en proposant une typologie des régimes cognitifs résultant des
interactions entre trois instances (le personnage, le narrateur et le lecteur). Cependant, il est évident
que, dans le cas du texte scriptural, les termes renvoyant à la dimension spatiale et à l'optique ne
peuvent être compris qu'à un niveau métaphorique. C'est pourquoi François Jost, effectuant un aller-
retour entre littérature et cinéma, propose d'autonomiser le pan spécifiquement visuel (l'ocularisation)
de ce qui touche au savoir narratif (la focalisation proprement dite). En outre, il évacue la notion de
narrateur » pour introduire le destinataire du film : la focalisation spectatorielle correspond à lasituation où le spectateur se trouve en position de supériorité par rapport au savoir du personnage
principal. Il se peut que la focalisation et l'ocularisation soient liées (la première s'appuyant sur la
seconde : on sait parce que l'on a vu), mais ce lien n'est pas systématique. Car non seulement leséléments de l'image ne véhiculent pas toujours des informations pertinentes sur le plan narratif, mais
d'autres canaux (comme le langage verbal, écrit et oral) sont susceptibles de convoyer ce savoir. De
plus, grâce au montage, le spectateur de cinéma acquiert dans la plupart des films un pouvoirubiquitaire qui oblitère tout point d'ancrage défini dans l'espace imaginaire du monde filmique.
Inversement, la " caméra subjective » (procédé significativement nommé " Point of View-Shot » en
anglais) n'est pas la garante de la focalisation interne et de l'identification au personnage, lavisualisation du jeu d'acteur semblant indispensable à l'expression de l'intériorité (ainsi que le montre
a contrario un film comme Lady in the Lake de Robert Montgomery, 1947). Il importe donc dedistinguer focalisation et ocularisation au cinéma tout en examinant concurremment ces deux notions
afin de dégager des régimes (scopiques et narratifs) dominants, et de rendre compte de changements
significatifs affectant la transmission (ou la rétention) d'informations relatives à l'intrigue.
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Introduction aux études cinématographiques
» (A.Boillat)
Le point de vue
4 Une subjectivité extérieure au monde représenté : le marquage de l'énonciationPar ailleurs, les questions propres au fonctionnement de la diégèse filmique ont parfois des incidences
sur un niveau supérieur d'organisation du film, celui de l'énonciation narrative (on passe alors du
mode» à la " voix » au sens genettien). En effet, lorsque le recours à certains angles de prise de vue
inhabituels et non motivés dans le monde du film est systématique ou appuyé, c'est l'acte de
monstration » proprement dit (qu'André Gaudreault distingue de la " narration » dans Du littéraireau filmique) qui est affiché, rompant la " transparence » des opérations de production de la
représentation. Par exemple, un montage en champ/contrechamp qui associe l'objet du regard à un
observateur permet de rapporter une contre-plongée à un personnage. Si tel n'est pas le cas, cette vue
sera imputée au " narrateur », voire, en l'absence d'une élaboration de ce dernier (via une voix-over,
un récit-cadre, etc.), au caractère proprement discursif du film. Ainsi, chez Orson Welles, les plans
ostensiblement recherchés fonctionnent au bénéfice d'un effet stylistique qui participe à la
construction, par le public, de la figure de l'auteur. Lorsque l'ocularisation fait office de marquage
énonciatif en renvoyant à l'origine du discours (et non plus seulement à celle du regard), la
narratologie croise le troisième sens, courant, du terme " point de vue » : une instance affiche sur le
plan de l'image la posture (symbolique, ironique, d'adhésion, distante, etc.) qu'elle adopte par rapport
au contenu de l'histoire racontée.IV. Bibliographie sélective
Jacques AUMONT
Le point de vue
», Communications n°38 (Enonciation et cinéma), Paris,Seuil, 1983.
David BORDWELL et Kristin THOMPSON, L'art du film. Une introduction, Paris, De Boeck,2000, chapitre IV
narration, le flot de l'information narrative», pp.131-137.
Edward BRANIGAN, Point of View in the Cinema, Berlin/New York/Amsterdam, Mouton Publishers, 1984.Francesco CASETTI
: D'un regard l'autre, Lyon, PUL, 1990.Gérard GENETTE, "
Discours du récit. Essais de méthode
» in Figures III, Paris, Seuil, 1972, chapitre IV.François JOST:
- L'oeil-caméra. Entre film et roman, Lyon, PUL, 1989. - Le récit cinématographique, Paris, Nathan, 1990, chap.VI.Christian METZ
: L'énonciation impersonnelle ou le site du film, Paris, Méridiens Klincksieck, 1991, chapitre II
images subjectives», pp.113-135.
Jean-Paul SIMON
Enonciation et narration
», Communications n°38 (Enonciation et cinéma),Paris, Seuil, 1983.
Marc VERNET
: Figures de l'absence, Paris, Cahiers du cinéma, 1988, chap.III : " L'en-deçà ou le regard de la caméraquotesdbs_dbs45.pdfusesText_45[PDF] lulu et la grande guerre pdf
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