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Comment rédiger un compte rendu de conférence ? - Codexa
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Comment rédiger un compte rendu d'une conférence ?
?rire selon un plan
Il éclaire le public sur le thème qu'il va traiter et annonce comment il va le déve- lopper jusqu'à son terme. Le discours est donc préparé selon un plan ordonné. Un discours structuré et cohérent est compréhensible ; un discours imagé et rythmé est facile à retenir.Comment rédiger un texte de conférence ?
Le résumé doit indiquer sommairement l'objet de la recherche et son raisonnement, la démarche de l'étude, les principales conclusions et leur signification. Il est important d'être descriptif et de transmettre le sens du message avec le moins de mots possibles.Comment faire le résumé d'une conférence ?
Un résumé pour un colloque est très semblable à un résumé d'article de revue. En parcourant le résumé on voit si on a envie de lire le texte en entier ou pas, on veut avoir une idée du cadre de référence des auteurs, du contexte de leur travail mais surtout des conclusions auxquelles arrive le texte.
![Compte-Rendu de la Conférence - 27-28 juin 2006 Compte-Rendu de la Conférence - 27-28 juin 2006](https://pdfprof.com/Listes/17/42508-1720060627_MSC-NDB-Paris-Report-FR.pdf.pdf.jpg)
CONSULTATION REGIONALE
"REPENSER LE ROLE DES BANQUES NATIONALES DE DEVELOPPEMENT" Le rôle des banques nationales et régionales de développement en AfriqueParis, 27-28 juin 2006
CCOOMMPPTTEE--RREENNDDUU
Cette consultation s"inscrit dans le cadre d"une série de consultations lancées par les Nations
Unies (Ffd Office, UN-DESA) en décembre 2005, en collaboration avec les partenaires concernés :
banques nationales de développement (BND), Institutions financières internationales (IFI), Banques
régionales de Développement, Commissions régionales des NU, et autres organismes du secteur public
ou privé, de la société civile ou du milieu universitaire). Ces consultations régionales visent à discuter
des moyens de faire en sorte que le rôle qui avait été, ou qui est encore, assigné aux Banques
nationales de Développement dans la promotion du développement économique et social soit mieux
rempli dans le contexte actuel des pays en développement.PROPOS INTRODUCTIFS
M. Pierre Jacquet (AFD) a rappelé que la plupart des expériences de BND se sont soldées pardes échecs, qui ont coûté cher aux IFIs telles que l"AFD. Cependant, l"idéologie du " tout privé » a aussi
montré ses limites et il est bon de se demander aujourd"hui comment articuler les interventions publiques
et privées pour combler les lacunes du marché. Il a évoqué le partenariat privilégié qui lie l"AFD, la BEI et
la KfW, au titre duquel les trois institutions ont organisé conjointement cette conférence. M. Jomo Kwame Sundaram (UN-DESA) a tout d"abord évoqué le Consensus de Monterrey. Ila ensuite indiqué que les BND, telles que définies dans le document de fond préparé par le Bureau du
financement du développement sur ce thème, avaient un rôle à jouer dans la poursuite des ODM,
notamment en tant qu"IFD pour le développement social et le financement des projets. Lors de la
consultation de Lima, les participants ont reconnu aux BDD trois principaux rôles : (1) combler les
manques des marchés ; (2) orienter le développement en privilégiant l"appui aux PME ; (3) améliorer le
marché en agissant comme des catalyseurs et en investissant de manière contra-cyclique. Selon lui, les
BND peuvent dans cette optique contribuer à renforcer la croissance et mettre fin aux périodes de
stagnation économique souvent longues qu"ont connus de nombreux pays en développement.M. Daniel Ottolenghi (BEI) a insisté sur le besoin d"une analyse critique des BND, de leur passé
et des défaillances de marché ou institutionnelles qu"elles ont connu. Il est revenu sur les relations de la
BEI avec les banques de développement en Afrique. Au milieu des années 70, le soutien et les prêts de
la BEI aux BND visaient à combler deux imperfections spécifiques du marché : le manque d"accès au
crédit pour les PME et le manque de crédit à LT. Suite aux défaillances des BND à partir des années 80,
la stratégie de la BEI a évolué vers un soutien accru aux banques commerciales et banques régionales
de développement. Même si les résultats de cette stratégie sont prometteurs, les bénéficiaires restent
principalement les grandes entreprises et le problème de l"accès des PME aux ressources financières à
LT demeure. L"expérience a montré que le succès des opérations financières des BDD reposait sur un
certain nombre de conditions (politique financière adaptée, capacités institutionnelles, bonne
gouvernance, compétences managériales) qui ont été jusque là sous-estimées. La BEI privilégie une
approche pragmatique et empirique visant à identifier au cas par cas - plutôt que des recommandations
générales jugées ni pratiques, ni réalisables - les principaux enjeux et obstacles, et peut amener à
2choisir des options très différentes d"un pays à l"autre. Avec pragmatisme, la BEI peut être amenée à
soutenir la mise en place de nouvelles BND dans certains pays africains.M. Bruno Wenn (KfW) a indiqué que, des échecs des années 80 et de sa propre expérience, la
KfW a tiré principalement trois enseignements relatifs à l"importance (i) d"avoir une mission claire et
notamment d"accompagner le développement des systèmes financiers et non de les concurrencer, (ii) de
la bonne gouvernance et notamment que l"Etat respecte l"indépendance de la banque publique, (iii) du
professionnalisme et de la capacité d"innover pour approfondir le marché. L"expérience a montré qu"un
environnement favorable et un système incitatif sont des éléments clés pour que les BND puissent jouer
leur rôle de manière durable. Depuis quelques années, la KfW a réorienté son activité vers le soutien
aux institutions de micro-finance et le financement des petites entreprises. Mais la microfinance ne
résout pas tous les problèmes. Certains secteurs tels que les PME, le logement social et l"agriculture
sont largement sous-financés. Les discussions du séminaire ne devraient pas seulement se focaliser sur
les BND en tant que telles, mais plutôt considérer l"enjeu plus large du développement du secteur
financier dans la mobilisation de la finance développementale et du rôle des BDD parmi les autres
acteurs.PRESENTATIONS DES INTERVENANTS
► Session I : Bilan et évolution des banques nationales et régionales de développement en
Afrique. Présentation du rapport de BRED Gestion (M. José Garson) " Repenser le rôle des banques et
institutions nationales et sous-régionales de financement du développement en Afrique »
1 et commentaires de M. de Boissieu. M. Garson a conclu sa présentation en formulant une série de propositions d"actions concernant : - L"appui à apporter aux banques commerciales à vocation développementales, - L"appui à fournir aux Institutions financières de développement (IFD), - L"élaboration de politiques nationales et régionales de financement du développement.M. de Boissieu a souligné, d"une part, l"excès de liquidités des banques et, d"autre part, le
manque de financement de l"économie pour le développement. Une situation due (1) au comportement
de certaines banques ; (2) à l"insuffisance de projets bancables ou rentables ; (3) à la difficulté d"évaluer
et de tarifer certains risques. Selon la théorie du rationnement des banques (Modigliani, 1969), on
rationne plutôt que de prendre des risques. L"absence de marché serait due à une mauvaise
gouvernance (interférences politiques), une mauvaise gestion des risques (contrôle interne insuffisant),
une spécialisation des banques (crise des Savings & Loans aux Etats-Unis dans les années 90), etc.
" An emerging market is a market out of which you cannot emerge in case of emergency », du fait de
l"insuffisance de liquidité. Il faudrait envisager le financement du développement par d"autres voies que
la création de nouvelles institutions, et plutôt privilégier de nouvelles fonctions, comme l"a souligné Mr
Garson. L"Etat a un rôle à jouer, il peut mettre en place les procédures nécessaires et être incitateur :
usage du levier fiscal, mise en place de produits financiers adaptés, etc. L"important est d"assurer une
concurrence loyale, un " level playing field » dans lequel on n"ait plus la dichotomie actuelle où certaines
institutions sont soumises à la loi bancaire et pas d"autres : il faut couper le cordon entre les IFD et l"Etat
et soumettre tous les établissements financiers à la même loi bancaire. M de Boissieu constate d"ailleurs
avec regret que la préparation de Bâle II ne se fait qu"avec des représentants des pays du nord, alors
que le monde entier va devoir appliquer ces nouvelles règles.► Session II : Etudes de cas : quelles réponses pour combler les lacunes du marché ?
Interventions de la Banque africaine de Développement (BAfD), de la Banque nationale de
Développement agricole du Mali (BNDA), de la Caisse de Dépôt et de Gestion du Maroc (CDG), de la
Banque gabonaise de Développement (BGD) (voir présentations ppt) et du Groupe Tuninvest. M. Abdelkefi a fait un bref historique des banques de développement tunisiennes. La premièrecréée, la Banque de développement économique de Tunisie (BDET), a d"abord rempli ses missions avec
succès. Puis l"Etat tunisien s"est mis à créer une dizaine de banques de développement, chacune avec
un Etat arabe partenaire. Ces banques étaient doublement publiques (deux Etats actionnaires),
administrées par des fonctionnaires et mal gérées. Elles avaient pour objectif la création d"emplois mais
1 Le rapport ainsi que toutes les présentations évoquées dans le compte-rendu sont disponibles à l"adresse suivante :
3non la rentabilité. Des batteries de critères d"éligibilité ont été établies qu"il suffisait de remplir pour
obtenir un crédit. Leurs difficultés ont été accentuées du fait qu"elles exerçaient deux métiers totalement
différents, celui de prêteur et celui d"investisseur en capital. Aujourd"hui, on a compris que cette dernière
activité devait être confiée à des équipes spécialisées sur le modèle des fonds d"investissement.
M. Borin (Banque Africaine de développement) est également intervenu pour faire un bref
rappel des différentes activités de la BAD et pour insister sur l"importance, d"une part, de la gouvernance
et, d"autre part, de l"assistance technique aux banques commerciales pour les inciter notamment à entrer
dans des PPP.► Session III : Les institutions financières de développement à l"oeuvre dans leurs domaines
d"intervention : missions et instruments financiers. Présentations de la Banque de Développement
d"Afrique du Sud (DBSA), de la Banque Ouest-africaine de Développement (BOAD), de la Société
financière de Développement d"Ouganda (DFCU) (voir présentations ppt) et de l"AFD (Département des
Financements).
M. Genevey, après avoir exposé les produits et principes d"intervention de l"AFD, a insisté sur
l"importance du principe de subsidiarité qui est " au coeur » des actions de l"Agence et sur la recherche
de l"innovation, tant au niveau des produits (souvent élaborés au contact de ses clients) qu"au niveau
des ressources, pour qu"elles soient le mieux possible adaptées aux projets (par ex. la levée de
ressources en monnaie locale, aujourd"hui envisagée).► Session IV : Outils, gouvernance, mesure et suivi des résultats. Interventions de l"agence de
notation Fitchratings, de l"Industrial Development Corporation (IDC) (voir présentations PPT) et point du
vue de M. Lebègue, Président de l"Institut du Développement durable et des Relations internationales
(IDDRI) et de l"Institut français des Administrateurs (IFA).M. Lebègue a dressé un bilan plutôt positif de la situation en Afrique. Des efforts ont été faits en
matière d"assainissement et de crédibilité du système bancaire (ex. groupe pour la réforme de
l"UEMOA). Les banques commerciales assurent le financement des grandes entreprises, du commerceextérieur et des Trésors Nationaux, mais ne financent pas le logement, les PME, l"agriculture ou les
infrastructures. Deux réponses sont possibles : (1) par des institutions avec des banques spécialisées ;
(2) par des outils, avec la mise en place d"un environnement permettant au système financier privé
d"intervenir (financement des PME, microcrédit, mutualisation des risques). Aucune des deux solutions
n"est à négliger, il faut savoir trouver le bon dosage, au cas par cas. Pour réussir et éviter les mauvais
risques ou l"intervention du gouvernement, il est absolument essentiel de professionnaliser les conseils
d"administration des BND. Celles-ci de doivent pas être conçues comme étant au service du
gouvernement, et ainsi leurs administrateurs doivent être des professionnels à la personnalité forte,
indépendants, pouvant résister aux pressions politiques.► Session VI : Quel rôle pour l"aide au développement ? Au travers de quels partenariats ?
Interventions de la South African Development Corporation (SADC), de la BEI et de la KfW (voir
présentations ppt). M. Debrat a introduit la session en se demandant si la présence d"institutions du nord au capitaldes BdD du sud était un anachronisme ou encore une solution d"avenir. Pour la BNDA, un partenariat
N/S est essentiel : si les partenaires extérieurs sortent, ils sont remplacés par des nationaux, ce qui met
en péril l"indépendance de la BDD. D"autres participants considèrent que les bailleurs doivent se retirer
(DFCU, Banque de Développement du Burundi) et qu"il faut privilégier la présence d"administrateurs
indépendants (SADC). Quoiqu"il en soit, la vocation des Institutions financières d"aide internationales ou
bilatérales n"est pas de rester éternellement au capital ou au conseil d"administration des BND et le jour
où elles laissent le terrain, il faut considérer que c"est une réussite (AFD, KfW).POINTS DEBATTUS
━ Sur la cause de disparition des BDD La présentation de M. Garson suggère que le problème des BDD vient de la mise en place delois bancaires ne connaissant qu"un modèle unique, la banque commerciale universelle. Or, la plupart
des participants s"accordent à dire que d"autres raisons prédominent : qualité du portefeuille, mauvaise
4 gestion, mauvaise gouvernance et absence de transparence (notamment les rapports annuels), ingérence de l"Etat etc. ━ Sur le rôle de l"EtatDe nombreux participants ont plaidé pour un retrait de l"Etat des conseils d"administration
(BNDA, BEI) et pour une professionnalisation du secteur (DBSA comme exemple de " self-regulatedinstitution »). La présence d"actionnaires et d"administrateurs issus de la société civile peut apporter une
valeur ajoutée en matière de professionnalisme et de gouvernance (KfW). D"autres ont toutefois souligné
le rôle incontournable de l"Etat dans certains secteurs, consistant à mettre en place des systèmes
incitatifs (Ministère égyptien de l"Investissement, M. de Boissieu) ou à aménager l"environnement
(infrastructure notamment) afin que les activités financées par les BDD puissent être rentables (BNDA).
━ Sur l"utilité et l"usage des subventions Il faut des subventions pour permettre aux banques ou au IFD de couvrir certains marchés ousecteurs sans mettre en péril leur viabilité financière (BEI). La question est de déterminer la nature et le
niveau de l"intervention publique. Par exemple dans le cas de DFCU, il n"y a pas de bonification duproduit financier mais apport gratuit d"assistance technique (par des prestataires spécialisés).
━ Sur les rôles respectifs des BDD et des banques commercialesLes banques commerciales ont le savoir faire en matière d"analyse mais n"ont pas d"appétit pour
le financement du développement et les banques de développement manquent de moyens (CDC).
Comment faire en sorte que les deux systèmes soient plus complémentaires ? Pour la KfW, les BDD à
l"ancienne mode doivent être enterrées définitivement, et les décisions doivent se prendre institution par
institution (pas de plan d"ensemble). La SADC a fait remarquer que les banques qui font tout, le font
généralement mal (portefeuilles compromis). Il faudrait donc qu"elles se spécialisent pour être plus
efficaces. Pour DFCU, il faut encourager les IFD à se diversifier et à proposer d"autres produits. Pour
certains, les BDD devraient avoir une obligation de stimuler l"arrivée du secteur privé et des banques
commerciales dans le développement des secteurs financiers : une fois ceux-ci bien en place, les BDD
devraient se retirer pour respecter un principe de subsidiarité (Banque mondiale). Pour certains, ce
principe va jusqu"à la substitution progressive et inévitable d"une partie des activités des banques de
développement, remplacées par les marchés financiers (BNP-Paribas), un mouvement qui serait
profitable à tous à long terme. Il importe de développer en outre les marchés financiers. Les banques commerciales africainesy sont souvent réticentes (de Boissieu). Or, si la concurrence entre le marché bancaire et le marché
financier a pour effet de faire baisser les coûts d"intermédiation bancaire, les banques en tirent quand
même avantage car elles collectent en contrepartie davantage de commissions. ━ Sur les lois bancaires Les BDD et les IFD en Zone Franc sont soumises aux mêmes règles que les banquescommerciales. Les commissions bancaires ont parfois du mal à comprendre l"activité des banques de
développement, certains ratios ne sont pas adaptés à cette activité et imposent aux banques à vocation
développementale des contraintes excessives (BNDA). De même, on peut se demander dans quellemesure les lois sur l"usure sont ou non un frein au financement du développement. L"expérience de la
microfinance montre que la possibilité de pratiquer des taux élevés permet de couvrir des marchés
difficiles.CONCLUSIONS
Grandes lignes de réflexion dégagées
? Le financement du développement (FdD) est un domaine qui mérite une attention particulière.
L"approche à adopter devrait être holistique et fonctionnelle plutôt qu"institutionnelle (même si les
institutions ont leur importance).? La raison d"être du FdD est d"apporter des financements à des clients ou projets spécifiques qui
n"ont actuellement pas ou peu accès au crédit, notamment à MLT. Il faut combler à la fois les
défaillances du marché et celles de l"Etat (infrastructures). 5? Le FdD consiste à apporter des instruments financiers (dons, prêts, crédits-bails, garanties, etc.)
mais s"accompagne le plus souvent d"appuis non non-financiers (conseils, assistance technique,
développement des capacités, services techniques externes).? Des ressources sont nécessaires pour bâtir les instruments financiers du FdD. La liquidité existe
dans les systèmes bancaires en Afrique. Lorsque les IFD sont des banques, elles ont accès assez
facilement aux ressources via les dépôts des clients et des gouvernements, mais la transformation
est rendue difficile par les lois bancaires. A l"inverse, lorsque les IFD ne sont pas des banques, les
ressources sont plus difficiles à mobiliser, mais leur utilisation est laissée au choix des IFD faute de
régulation externe.? L"organisation des IFD est nécessairement complexe : ce doit être une organisation de
connaissance, capable d"assurer des fonctions multiples (finance, conseil, partenariat) et de jouer un
rôle de catalyseur/facilitateur. Comment coordonner les domaines commerciaux etdéveloppementaux (les fusionner en une seule organisation, les séparer, créer des entités séparées
pour chaque activité de développement) ? Différents modèles existent et paraissent viables (DFCU,
BNDA...)
? Les IFD doivent assurer leur propre pérennité et peuvent être rentables !? En tant qu"organisations généralement publiques, les IFD doivent être dotées d"un mode de
gouvernance spécifique et bénéficier d"un haut niveau de professionnalisation, principalement pour
éviter les risques d"interférence gouvernementale. Des discussions ont émergé cinq propositions d"actions : - Faire un inventaire des succès des IFD et des leçons retenues ; - Organiser des consultations subrégionales ; - Organiser l"échange des modèles et meilleures pratiques des IFD ; - Entrer en relation avec d"autres fora consacrés à la gouvernance d"entreprise ;- Mettre en place un groupe de travail sur la législation pour travailler sur les spécificités des IFD.
Après celle de Lima (juin 2006), la consultation de Paris sera suivie par les consultations de New
Delhi, du Caire (automne 2006) et de Johannesburg (début 2007). Une réunion finale aura lieu à
Cambridge, USA.
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