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- Critères de calculs (débits requis durée de la réserve
Etude hydraulique du réseau deau potable du Syndicat Mixte de
Cependant l'année 2003 peut être. Page 11. 6 intéressante pour calculer le débit journalier de pointe car il s'agit de l'année de la canicule. Cette donnée
ALIMENTATION EN EAU POTABLE
Le point d'eau assurant l'alimentation de ces continuité pour le calcul des débits dans les tronçons et la formule de Hazen Williams pour le calcul.
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(débit de pointe / débit moyen) ou sous la forme d'un surplus de consommation ... destinés à fournir une alimentation en eau potable et dont le débit moyen d' ...
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25 oct. 1989 6.1.2 Débits unitaires pour le calcul du débit des eaux parasites. Le ... 6.1.3 Facteurs de pointe appliqués aux débits des eaux usées. Une ...
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de l'eau non potable et quels sont ceux qui distribuent de l'eau potable. Dans les = débit de pointe pouvant passer dans le réservoir (L/min). Vu. = volume ...
Léconomie deau potable et les municipalités - - Volume 2
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APPROVISIONNEMENT EN EAU POTABLE DES ZONES RURALES Le coefficient de pointe journalière (Cp) retenu dans le calcul des besoins pour le cas du.
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la distribution. Le réseau de distribution est dimensionné sur la base du débit de pointe horaire. Suivant son rôle le stockage sert de tampon entre la
LE DIMENSIONNEMENT DES RESEAUX DASSAINISSEMENT
réseaux d'eau potable. En effet ce réseau « maillé » permet dans Le calcul des débits de pointe en différents points d'un réseau d'eaux pluviales pour.
GUIDE DE PROJETS HYDRAULIQUES
Pour chaque collecteur on délimite la zone qui y est drainée. 1.8 CALCUL DES DEBITS. 1.8.1 Consommation spécifique en eau potable (Cs). La meilleure
Etude de lassainissement liquide dun cas de la résidence de la
Calcul du débit de pointe journalière des eaux usées produites Planification » de la RADEEMA qui assure la distribution de l'eau potable et la gestion ...
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25 juil. 2013 La détermination des débits et des caractéristiques des eaux usées ... sur le calcul des facteurs de pointe applicables aux débits véhiculés.
Cours :HYDROGEOCHIMIE EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT
Chapitre I- Introduction à l'alimentation en eau potable (AEP) 9- CALCULS DES DÉBITS ... d'où la notion de Débit de pointe ou débit maximum de.
Mémento technique 2017 - Conception et dimensionnement des
Principes de calcul du débit de pointe . III.8 Calcul des débits d'eaux usées . ... protection des captages d'alimentation en eau potable.
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2 mai 2012 5.2.2 Calcul des débits de pointe. ... 6.1 Maîtrise quantitative des eaux pluviales. ... 6.2 Maîtrise qualitative des eaux pluviales .
ALIMENTATION EN EAU POTABLE
consommation de pointe ressources en eau
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Le dimensionnement du réseau a été réalisé en utilisant le modèle « LOOP' » qui utilise l'équation de continuité pour le calcul des débits dans les tronçons et
[PDF] ALIMENTATION EN EAU POTABLE
Les conduites doivent être dimensionnées de manière à garantir le débit maximal demandé aux heures de pointe - Les canalisations doivent être au minimum
[PDF] Dimensionnement des réseaux dalimentation en eau potable et d
que le débit de pointe servira d'hypothèse de calcul Cependant pour des raisons économiques on doit tenir compte du nombre d'appareils susceptibles de
[PDF] Cours dapprovisionnement en eau potable
3 5 3 la distribution Le réseau de distribution est dimensionné sur la base du débit de pointe horaire Suivant son rôle le stockage sert de tampon
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Chapitre I- Introduction à l'alimentation en eau potable (AEP) 9- CALCULS DES DÉBITS d'où la notion de Débit de pointe ou débit maximum de
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Le débit moyen représente le besoin en eau journalier abstraction faite sur le moment de sa demande ó Débit Qmoy (l/ s) = Population * Dotation ?4d-Calcul
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6 2 Calcul des réseaux ramifiés: Pour un réseau de distribution on connaît donc les débits de pointe de la consommation (par analyse des besoins en eau) On
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Il est recommandé sur la base du débit de pointe de déterminer la dimension du filtre puisque celle-ci peut varier par rapport à la dimension de la nourrice
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E 2 1 Exemple de calcul no1 : mise en place d'une adduction d'eau potable Un écoulement dans un tube de section dS et à vitesse u a un débit dQ = u
[PDF] Ch 5 : Réseaux de distribution de leau - opsuniv-batna2dz
Le calcul hydraulique des canalisations se fait donc avec le débit de pointe (pendant l'heure de pointe) Qmaxh = Kmax h * Qmoyh (l/s) ou (m 3 /s)
Quelle est la formule pour calculer le débit d'eau ?
Pour calculer le débit (en m3) multipliez la vitesse moyenne de l'eau (en m/s) par la largeur moyenne (en m) et par la profondeur moyenne (en m). Le débit du cours d'eau est de: 0,425 m/s x 1 m x 0,6 m = 0.255 m3/s.Comment calculer le débit d'eau en m3 h ?
La vitesse moyenne étant donnée en m/s, il faut multiplier celle-ci par la section de passage libre, il suffit de multiplier ce résultat par 3600 pour obtenir le débit en m3/h.Comment calculer le débit d'eau d'un robinet ?
Le débit maximum peut être calculé par la formule suivante : Le débit maximum en m3 par seconde est égal à la surface de votre diamètre de canalisation en m2, multiplié par la vitesse silencieuse en mètre par seconde.
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1Dédicace
Ce mémoire est dédié à :
Nos chers parents AMQOR Farid, ELHATIMY Abd
Nabi, CHELLAKHI Najat et AIT OMADA Saida qui
nous ont supportés, soutenus, ont toujours crus en nous, et ont mis à notre disposition tous les moyens nécessaires pour que nous réussissions dans nosétudes.
que dieu les récompense pour tous leur bienfaits.A nos enseignants
A nos chers (es) amis (es) et collègues
2Remerciement
Nous remercions ௌ» le tout puissant et miséricordieux, qui Nous remercions les professeurs Madame Khadija ELHARIRI, et Monsieur JAFFAL Mohammed s ont apporté à notre stage, leurs conseils, leurs explications sans oublier leurs participations au cheminement de ce rapport. Nos remerciements sont également adressés à notre encadrant à la RADEEMA Monsieur Khalid FATHI Chef de Service de Département ʿEtude et Planification ʿ et les conseils du suivi de notre travail. On tient à remercier tout particulièrement et à témoigner toute notre reconnaissance à Monsieur Adil DAOUDI Chef de Département ʿEtude et Planification ʿ issante s nous ont fait vivre durant ce mois et pour s dès le début de stage. Nos vifs remerciements à tous nos professeur du département des Sciences de la Terre de la Faculté Science et Technique deMarrakech, ment
notre cursus. Nous tenons à remercier Monsieur KCHIKACH Azzouz, Professeur à la FSTG pour avoir accepter de juger ce travail. erons pas notre ami El Alaoui El Fels Abd El Hafid pour son soutien et ses différents conseils qui nous ont encouragés parfaitement pour atteindre nos objectifs.Sommaire
Introduction 6
Chapitre I
I. 8
1. Historique 8
2. Organigramme générale de la RADEEMA 8
3. ment liquide de la RADEEMA 9
II. Présentation du projet 9
1. 9
2. Données générales sur le projet 9
a. Situation géographique 9 b. Topographie du site 10 c. Données géologiques 10 d. Hydrologie et hydrogéologie 11 e. Climat 14 i. Précipitation et Hygrométrie 14 ii. Température 14 iii. Evaporation 15 iv. Vent 153. Données spécifiques au projet 15
a. Habitats 15 b. Infrastructures existantes 15 i. Voirie 15 ii. 16I. 18
II. 18
1. 18
2. 18
III. 21
IV. 21
1. Les branchements particuliers 21
2. Regards de visite 21
3. Regards borgnes 22
4. 22
V. Règles techniques à respecter 22
1. Implantation des ouvrages annexes 22
2. Implantation des collecteurs 23
Chapitre III
I. Calcul des débits des eaux usées 251. Calcul du débit moyen des eaux usées 25
2. Calcul du débit de pointe journalière des eaux usées produites 26
3. Calcul du débit de pointe horaire 26
II. Calcul des débits des eaux pluviales 261. Délimitation des sous bassins versants 27
2. Choix du modèle de calcul 27
a. Définition de la méthode superficielle 28 b. Définition et influence des divers paramètres 29 de la formule superficielle i. Coefficient de Montana 29 ii. Coefficient de ruissellement 31 iii. La pente moyenne 31 iv. La longueur du bassin 32 v. 32 vi. 32 vii. Débit corrigé 34III. Dimensionnement des canalisations 34
1. 35
2. Calcul des diamètres des canalisations 35
3. Calcul de débit et de vitesse à pleine section 36
4. Calcul de la charge 36
5. Vér 36
6. Type de canalisation 37
IV. Le montage des profils en long 37
V. Résultat de calculs 38
VI. Description du réseau du collecteur 381. Dimensionnement de la station de refoulement 39
a. Débit des eaux usées 39 b. Calcul du diamètre de la conduite de refoulement 39 c. Détermination du HMT 39 d. Calcul de volume de la bâche 40 e. Calcul de la puissance de la station 412. Dimensionnement des puits absorbants 41
3. Dimensionnement de dessableur 42
Chapitre IV : Analyse et interprétation des résultats1. Délimitation des sous bassins versants 44
2. Dimensionnement du réseau des eaux pluviales 44
3. Dimensionnement de la station de refoulement 44
4. Analys 44
Conclusion 50
3Abréviations
R.A.D.E.E.M.A: Régie Autonome de Distribution Eau et Electricité MarrakechS.M.D : Société Marocaine de Distribution
M.N.T : Modèle Numérique du Terrain
Hab : Habitant
ADG : Assistante de direction générale
BV: Bassin versant
ABHT: Agence du Bassin Hydraulique Tensift
SDAL :
Coll : Collecteur
ONEP :
RR : Route Régionale
ECH : Echelle
Ha : Hectare
PVC : Polychlorure de Vinyle non plastifié
PEHD : Polyéthylène haute densité
STEP 4Liste des figures
Figure 1 : Organigramme générale de la R.A.D.E.E.M.A 8 Figure 2 : Localisation géographique de la résidence de la vallée 10Figure 3 11
Figure 4 : 12
Figure 5 : Carte du niveau piézométrique de la nappe du Haouz 13 (Abourida 2007) Figure6 : Localisation du lotissement par rapport au réseau 16 existant(RADEEMA.2011) Figure 7: Schéma du réseau unitaire 19 Figure 8 : Schéma du réseau séparatif 19 Figure 9 : Schéma du réseau pseudo-séparatif 20Figure 10 34
Figure 11 : 37
Figure 12 : Découpage en sous bassins versant de la résidence de la vallée 5Liste des tableaux
Tableau1 : Température maximales minimales et moyennes mensuelles 14 en °C (1990-2006) Tableau 2 : Evaporations moyenne en mm (1990-2006) 15Tableau 3 : 20
Tableau 4 : Les dotations unitaire en eau potable en l/j/hab 25 Tableau 5 : Les formules des coefficients caractéristiques de la formule de Caquot 29 Tableau 6 : Les paramètres a et b de la ville de Marrakech fournis par 30 la direction de météorologie nationalesTableau 7 : 31
Tableau 8 : Formules des assemblages des bassins versants dans le modèle de Caquot 33 6Introduction générale :
Lors des dernières décennies, le Maroc a connu un développement très significatif touchant différents secteurs socio-économiques. Les aspects environnementaux liés à ce développement ne sont pas souvent pris sérieusement en considération et se retrouvent aggravés parallèlement au développement incessant de la Comme la plupart de ces villes, Marrakech est confrontée à des problèmes de ce genre, liés notamment à l'insuffisance ou l'inexistence du réseau d'assainissement, ce qui engendre des rejets directs des eaux usées dans le milieu naturel. Ces rejetsproviennent essentiellement des fuites, des réseaux d'égouts qui est parfois inadapté à la
collecte et au transport des eaux usées jusqu'à la station d'épuration, ou bien du
raccordement incomplet des habitations à l'égout ou l'inversement des branchements particuliers. Ces rejets dans le milieu naturel sans aucun traitement préalable, peuvent être à efficacement à minimiser les effets de ces problèmes en assurant la collecte des eaux 7Chapitre I
8 I. :1. Historique : [2]
en janvier 1971 après la disparition de la SMD : Société Marocaine de Distribution. La RADEEMA est un établissement public à vocation industrielle commerciale doté de la p2. Organigramme général de la RADEEMA :
Figure 1 : Organigramme général de la R.A.D.E.E.M.A 9 3. : A cause de l'augmentation de la densité de la population dans le milieu urbain, la villede Marrakech a connu des problèmes d'ordre sanitaire, liés aux déchets d'origine humaine, des
matières fécales et d'urine qui représentent les sources d'une multitude d'infections et de
maladies. de palier à ces problèprotéger l'environnement, les eaux superficielles et souterraines, à améliorer la situation des
espaces naturels, à minimiser les risques de contamination par les maladies transmissibles par s odeurs.II. Présentation du projet :
1. : La Régie Autonome de Distribution Eau et Electricité Marrakech (RADEEMA) a ojet " la Résidence de la valléetechniques et topographique " Atlas Géo Conseil ». Les résultats des investigations menées
constituer une imp La RADEEMA a aimablement mis à notre disposition cette base de données que nous avonsétudiée et analysée
partie sud de lotissement, de ration des eaux sol, etc.) et externes (climat, résea sera mis en place.2. Données générales sur le projet :
a. Situation géographique : [4]La présente étude concerne
lotissement " Les résidences de la vallée » qui se situe dans la commune de SAADA,
rattachée administrativement à la préfecture de Menara (Wilaya de Marrakech). Lelotissement sera réalisé sur un terrain de 73ha pour abriter une population de 38136 habitants.
Il est localisé à 5km au Sud-
10 Menara sur la route régionale RR212, entre Daour Soultan et Tameslohte (Fig. 2). Lescoordonnées géographiques du site qui abritera le projet " Les résidences de la vallée » sont
définies comme suit : Longitude : 8°4'12'' Ouest Latitude : 31°33'54''Nord X Lambert : 246200 m, Y Lambert : 11600 m et Z : 487 m Figure2 : Localisation géographique de la résidence de la vallée b. Topographie du site :La zone
Sud-ouest qui représente une dépression en monticule sur 9ha. qui varie de 1% à 3%. c. Données géologiques : massif des Jbilets au nord. Cette plaine correspond à une vaste dépression dans laquelle se 11 détritiques, résultant -Atlas mis atlasique (Ferrandini et Marrec, 1982). Ces formations reposent sur un substratumpaléozoïque essentiellement schisteux et imperméable. Elles sont caractérisées par
dance de dépôts alluviaux graveleux mis en place par un réseau hydrographique enrégime torrentiel. Ces dépôts détritiques sont englobés dans une matrice de nature
essentiellement argileuse, ils se caractérisent par leur extrême hétérogénéité. La géologie du site, destiné La résidence de la vallée », est dominée par ce type de recouvrement récent composé essentiellement limons (fig.3). Figure3 : Carte géologique simplifiée du 1/500000 de Marrakech) d. Hydrologie et hydrogéologie Hydrologie :
Le projet " La résidence de la vallée
12Ouest, prenant sa source à Ras-El-Aïn dans la nappe phréatique, et qui se jette dans la mer au
Sud de Safi. Il est alimenté toute l'année par la nappe phréatique, son apport est estimé à
Il reçoit
en hiver, l'apport de ses affluents prenant leur source dans le versant Nord du Haut Atlas : l'oued N'Fis, l'oued Bahja, oued Reraya, l'oued Issil, l'oued al Hier (constitué de la confluencedes oueds Ghmat, Zat et Imenzat). Le débit global apporté au Tensift par ces oueds est estimé
à environ 20 m3/s, dont 68 % sont prélevés par séguias (fig.4).Figure4
Hydrogéologie :
Le principal réservoir d'eau souterraine du bassin du Haouz est contenu dans les dépôts alluvionnaires du Plio-quaternaire. L'ensemble repose sur un substratum imperméable constitué essentiellement par des argiles et marnes du Miocène (Sinan, 1986). La nappe est exploitée pour l'alimentation en eau potable de la ville de Marrakech et des autres centres 13périmètres irrigués. L'écoulement général de la nappe se fait du sud (bordure atlasique) vers le
nord (l'oued Tensift), avec un fort gradient hydraulique (1.5 à 2 %) au niveau de la limite sud de la nappe. La recharge de la nappe se fait essentiellement à partir de l'infiltration des eaux superficielles (au niveau des lits des cours d'eau atlasiques) et à partir du retour des eaux d'irrigation au niveau des périmètres irrigués (63 % du volume total de l'alimentation).La productivité de la nappe varie entre moins de 0.5 l/s/m et plus de 5 l/s/m. Les secteurs les plus productiproductifs sont situés principalement le long de ses bordures nord et sud. La qualité globale de
l'eau de la nappe est généralement bonne dans la partie centrale et moyenne dans sa partieorientale (contenant un important périmètre irrigué). Cette qualité se dégrade au nord le long
de l'oued Tensift en raison de la faible profondeur de la surface de la nappe (favorisant
l'évaporation de l'eau et donc sa concentration en sels). (figure5) Les khattaras constituent des richesses hydrographiques de la plaine du Haouz, sont -Est du projet " La résidence de la vallée » (ONEM, 2007) Figure5 : Carte du niveau piézométrique de la nappe du Haouz (Abourida 2007) 14 e. Climat : Le climat de la plaine du Haouz est de caractère chaud et continental avec de fortscontrastes de température. La pluviométrie y est faible et de plus irrégulière dans le temps et
l'espace. La sécheresse n'est pas tempérée par l'humidité atmosphérique ni parla nébulosité,
comme en témoignent les données ci-dessous, recueillies au niveau de la stationmétéorologique de l'aéroport de Marrakech-Ménara, située à 3 km du centre-ville. (ONEM,
2007)i. Précipitation :
Les précipitations sur la région de Tensift sont faibles et caractérisées par une grande
variabilité spatio- mois, elle peut s'annuler lorsque soufflent des vents desséchants : chergui et sirocco. ii. Température : La température moyenne mensuelles, varient entre 12°C et 29°C les mois les plus chauds sont généralement Juillet et Aout avec des moyennes de 29°C. Le mois le plus froid est Janvier avec une moyenne de 12°c. Les températures maximales mensuelles moyennesvarient entre 18°C et 37°C alors que les températures minimales varient entre 6°C et 21°C.
JAN FEV MAR AVRI MAI JUIN JUIL AOUT SEP OCT NOV DECTempérature
Moyenne Maximale
18 21 23 25 29 33 37 37 32 28 23 20
Température
Moyenne minimale
6 8 11 12 15 18 21 21 19 15 11 7
Température
moyenne12 14 17 19 22 26 29 29 25 21 17 13
Tableau 1 : Température maximales minimales et moyennes mensuelles en °C (1990- 2006)15 iii. Evaporation : L'évaporation moyenne minimale enregistrée dans la station de Marrakech est de 125 mm observée pendant les mois de Janvier, alors que la moyenne maximale est atteinte durant le mois de juillet (362 mm).
Le tableau ci-
station de Marrakech durant la période 1990-2006 JAN FEV MARS AVR MAI JUIN JUIL AOUT SEP OCT NOV DECMoyenne
annuelleEvaporation
moyenne (mm)125 129 174 187 245 282 362 356 294 243 172 129 2690
Source : météorologie nationale
Tableau 2 : Evaporation moyenne en mm 1990-2006
iv. Vent : Les vents dominants sont calmes et originair-Ouest. Au contraire les vents desséchants de Chergui et de Sirocco (mesurés au mois de Juillet), soufflent umulée de 39 jours (ONEM.2007), la vitesse moyenne annuelle du vent observée est de 3m/s.1. Données spécifiques au projet : [4]
a. Habitats : b. Infrastructures existantes : i. Voirie : Le projet est accessible uniquement par le Nord via la route régionale RR212 reliant9mentre Douar Soultan et le pont sur Oued Al Bahja (Infrastructure hors site prévue dans le
cadre du projet Résidence de la vallée). 16 ii. : usées existant de la ville se trouve à 2,2 km au niveau du Projet Abraj Koutoubia. existant(RADEEMA.2011) 17Chapitre II : Les grands principes
18I. : [3]
: vient du verbe assainir qui veut dire rendre sain, un terme général qui couvre tous lesagglomération consiste à collecter, évacuer, transporter et épurer de manière hygiénique et
soient rejetées dans le milieu naturel. La qualité des eaux rejetées doit être compatible avec
les exigences relatives à la santé publique, à la protection du milieu récepteur et à la
préservation des ressources en eau. L'assainissement est un outil précieux de lutte contre la pollution et pour la sauvegarde de la salubrité du milieu.II. :
1. : ssainissement existent : Assainissement collectif : constitué par un réseau public de collecte et de transport desAssainissement
individuel :Tout système d'assainissement effectuant la collecte, le prétraitement, l'épuration,
l'infiltration, ou le rejet des eaux usées domestiques des immeubles non raccordés au réseau
public d'assainissement.2. sement :
Le système unitaire: les eaux usées et pluviales sont transportées par les mêmes
0 mm au milieu des voies (fig.7). 19Figure 7 : Schéma du réseau unitaire
Le système séparatif : les eaux usées domestiques et les eaux de pluie sont collectées et transportées par deux réseaux distincts (figure8).Figure 8: Schéma du réseau séparatif
Le système pseudo-séparatif (figure9) : Les eaux météoriques y sont divisées en
deux parties : conçues à cet effet : caniveaux, fossés, etc. toitures, cours, jardins qui déversent dans le réseau 20 Ce système est intéressant lorsque les surfaces imperméabilisées collectives (voiries, parking, etc.) représentent une superficie importante avec de fortes pentes. Figure 9 : Schéma du réseau pseudo-séparatifLes avantages et les inconvénients de chaque type sont présentés dans le tableau 3 suivant :
Système Avantages Inconvénients
Unitaire
- Un seul réseau à construire et à gérer. - Une exploitation plus économique et des curages moins fréquents. - Branchements particuliers plus simples et plus économiques. - Problème de dépôts en temps sec - retien plus élevé -Surdimensionnement de la STEPPseudo séparatif
- Simplification des raccordements des immeubles -STEP non surdimensionnée - Installation assez complexe - Déversoir à ciel ouvert - Réutilisation des eaux rejetées non contrôléeSéparatif
-Les eaux pluviales sont rejetéesquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] dimensionnement canalisation eau potable xls
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