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  • Quelles sont les limites usuelles ?

    En –?+?–?En 0 si x < 000En 0 si x > 000En +?+?+?
  • Comment déterminer les limites ?

    La limite d'une fonction, c'est en gros « vers quoi tend » la fonction. Le plus simple est de prendre un exemple : la fonction inverse : On voit bien que quand x tend vers +?, la fonction « tend » vers 0, c'est-à-dire qu'elle se rapproche de plus en plus de 0 sans jamais la toucher.
  • Quelles sont les limites des fonctions ?

    La limite de la fonction f au point a est notée [lim_{x rightarrow a}f(x)] Cela signifie que l'on prend x qui tend vers a, x le plus près possible du point a. On effectue souvent des limites quand x tend vers l'infini, c'est à dire qu'on prend x le plus grand possible et l'on cherche la valeur qu'atteint f(x).
  • Alors f admet une limite (à gauche) en b . Soit f:I?R f : I ? R une fonction et a?I a ? I . On dit que f est continue en a si f admet pour limite f(a) en a : ??>0, ??>0, ?x?I, x?a<??f(x)?f(a)<?.

Limite de champ moyen

Cours de DEA, 2001-2002

C´edric Villani

UMPA, ENSL

46 all´ee d"Italie

69364 Lyon Cedex 07

cvillani@umpa.ens-lyon.fr

2CHAPITRE 0

Ce document constitue le support ´ecrit pour un cours de DEA enseign´e `a l"ENS Lyon durant le premier semestre de l"ann´ee universitaire 2001-2002. Le th`eme en ´etait les limites de champ moyen, une des op´erations fondamentales en physique et en mod´elisation. Le probl`eme consiste `a passer d"une description microscopique d"un ph´enom`ene physique, `a une description macroscopique, dans un r´egime o`u chaque particule ressent l"influence de toutes les autres, aussi ´eloign´ees soient-elles. Les mod`eles de champ moyen interviennent dans la description d"un nombre consid´erable de situations physiques; l"un de leurs champs d"application les plus importants est certainement la physique des plasmas. Le style de ces notes est r´esolument math´ematique : je ne consacrerai que tr`es

peu de temps `a la mod´elisation. D"autre part, j"ai privil´egi´e l"aspect p´edagogique sur

la rigueur ou le caract`ere auto-contenu. Le style de ces notes est donc assez informel et les preuves seront souvent seulement esquiss´ees. J"ai ´egalement limit´e `a dessein la bibliographie; les quelques r´ef´erences que j"ai cit´eescontiennent infiniment plus sur le sujet. C.V.

Table des mati`eres

Chapitre 1. Position du probl`eme5

1. Mod`eles microscopiques5

2. Limite de champ moyen : discussion informelle 11

3. Quelques rappels sur les mesures13

4. Mesure empirique15

5. Mod`ele macroscopique16

6. Formulation pr´ecise de la limite macroscopique 19

7. Notes bibliographiques21

Chapitre 2. Equations de transport, avec ou sans diffusion 23

1. Terminologie23

2. Th´eor`eme des caract´eristiques24

3. Formule d"Itˆo et ses cons´equences27

4. Couplages non lin´eaires30

5. Statut math´ematique de ces ´equations 31

6. R´ef´erences bibliographiques32

Chapitre 3. Distances de transport35

Chapitre 4. Preuve de la limite de champ moyen 37

1. L"exemple des ´equations de Vlasov37

2. Un exemple al´eatoire : McKean-Vlasov 43

3. Remarques et r´ef´erences47

Chapitre 5. Propagation du chaos51

1. D´efinition et motivations historiques51

2. Propagation du chaos pour l"´equation de McKean-Vlasov 56

3. Commentaires et r´ef´erences58

4CHAPITRE 0

R´ef´erences principales

Spohn, H.Large scale dynamics of interacting particles, chap. 5, coll. Texts and monographs in physics, Springer-Verlag (1991). C"est un ouvrage de r´ef´erence sur le probl`eme du passage des ´equations microscopiques aux ´equations macroscopiques. Le chapitre 5 concerne l"´equation de Vlasov, un des exemples les plus importants d"´equation de champ moyen. Neunzert, H.An introduction to the nonlinear Boltzmann-Vlasov equation. In Kinetic theories and the Boltzmann equation, C. Cercignani, ed., p.60-110, Lecture notes in mathematics vol.1048, Springer (1984). Cet article de synth`ese est bien

´ecrit et int´eressant, mˆeme si certains passages ont ´et´e rendus obsol`etes par les progr`es

r´ealis´es depuis (la discussion sur le probl`eme de Cauchyen particulier). Sznitman, A.-S.Topics in propagation of chaos. Cours de l"Ecole d"´et´e de Saint-Flour, Lecture notes in mathematics vol.1464, Springer (1989). Un cours tr`es connu, tr`es ax´e sur des m´ethodes probabilistes.

Quelques articles de recherche r´ecents

Benachour, S., Roynette, B., Talay, D., et Vallois, P.Nonlinear self- stabilizing processes I : Existence, invariant probability, propagation of chaos (sec- tion 5).Stoch. Processes and their Appl. 75(1998), 173-201. Ben Arous, G., et Zeitouni, O.Increasing propagation of chaos for mean- field models.Ann. IHP 35, 1 (1999), 85-102. Malrieu, F.Logarithmic Sobolev inequalities for some nonlinear PDE"s. Pr´epublication, Laboratoire de Statistiques et Probabilit´es de l"Universit´e Paul-Sabatier, Toulouse (2001). Ces trois articles reposent sur un formalisme probabiliste, `a des degr´es divers, le traitement le plus analytique en nature ´etant certainement celui de Malrieu, que nous expliquerons assez en d´etail dans ce cours.

CHAPITRE 1

Position du probl`eme

Dans ce chapitre, on va introduire les objets les plus importants et d´egager une probl´ematique pr´ecise. On pr´esentera de nombreux exemples de mod`eles dont le traitement rentre dans le cadre de la limite de champ moyen.

1. Mod`eles microscopiques

Dans ce cours, un mod`ele microscopique est un mod`ele math´ematique pour un syst`eme deNparticules, o`uNest grand mais fini, et o`u l"inconnue est l"´etat de chaque particule. Exemple :Si l"on d´ecide que l"´etat d"une particule est tout entier d´etermin´e par sa position, disonsx?Rd, alors l"espace des phases naturel pour le syst`eme deN particules est (Rd)N. Un point de cet espace permet de d´ecrire compl`etement l"´etat du syst`eme form´e de toutes les particules! Si en revanche l"´etat d"une particule fait intervenir position et vitesse (x?Rd,v?Rd), alors l"espace des phases naturel pour une particule est (Rd×Rd)N. Terminologie :On qualifie decin´etiqueun mod`ele qui prend en compte les vitesses des particules. Dans ce cours on s"int´eresse uniquement `a des mod`eles donn´es sous forme d"´equa- tions d"´evolution :des ´equations qui d´eterminent l"´etat du syst`eme `a un temps t >0 si on le connaˆıt `a l"instant initial,t= 0. On adjoindra toujours une donn´ee

initiale `a ces ´equations d"´evolution. Il existe d"autres cat´egories de mod`eles, en par-

ticulier variationnels, selon lesquels l"´etat du syst`eme est solution d"un probl`eme de maximisation ou de minimisation. Les ´equations d"´evolution microscopique peuvent ˆetre de nature assez vari´ee. Certaines sont issus des axiomes g´en´eraux de la physique (principe de Newton, etc.) alors que d"autres sont ph´enom´enologiques, ou encore obtenues comme limites d"autres mod`eles microscopiques. Les mod`eles sont parfois stochastiques (faisant intervenir des param`etres al´eatoires), parfois d´eterministes. Al´eatoire :Un mod`ele est dital´eatoires"il d´epend de la valeur d"un param`etreω?

Ω, espace des al´eas, que l"on n"aime pas trop d´ecrire avec pr´ecision. Cet espace Ω est

muni d"une mesure de probabilit´eP, c"est-`a-dire une fonctionσ-additive d"ensembles

de Ω, d´efini sur uneσ-alg`ebre (famille de parties de Ω, stable par union d´enombrable

et passage au compl´ementaire)Ade l"ensemble des parties de Ω, et satisfaisant aux axiomes ?A? A,P(A)≥0;P(Ω) = 1;

P(?i?NAi) =?

i?NP(Ai) si lesAisont deux `a deux disjoints.

6CHAPITRE 1

Les ´el´ements deAsont dits mesurables. On ne se pr´eoccupera pas dans ce cours des questions de mesurabilit´e, qui peuvent par ailleurs ˆetre tr`es importantes dans d"autres sujets li´es (´etude fine de processus stochastiques...). Dans une description al´eatoire, on ne cherche jamais `a expliciterωo`u `a faire des hypoth`eses sur sa forme, mais on tente de tout exprimer en fonction deP. Par exemple, on cherchera `a estimer la probabilit´e pour que ladynamique v´erifie telle ou telle relation `aεpr`es... ATTENTION!Comme nous allons le voir sur des exemples, le caract`ere al´eatoire peut se situer `a deux niveaux distincts : - dans les ´equations d"´evolution : il influence alors la dynamique des particules; - dans les donn´ees initiales, qui peuvent ˆetre non connuesavec certitude. Dans le deuxi`eme cas, on a donc un al´ea mˆeme si les ´equations d"´evolution elles- mˆeme sont d´eterministes. La suite de ce chapitre est consacr´ee `a une galerie d"exemples. Exemple 1 : Equations de Newton pour des particules classiques en in- teraction : Dans ce mod`ele, chaque particule exerce une force sur les autres. La force qu"une particule exerce sur une autre d´epend des positions relatives de ces deux particules. L"acc´el´eration d"une particule est (`a un facteur pr`es)´egale `a la somme des forces qui s"exercent sur elles. On s"int´eresse seulement `a d´ecrire les positions des particules, la position de la particule num´eroiau tempst≥0. On a donc l"´equation d"´evolution d 2 o`uF(x) est la force ressentie au pointx?Rd. Supposons que la force exerc´ee au pointxpar une particule situ´ee au pointyest de la formeF(x-y), o`uF:Rd→ R dest une fonction donn´ee (on utilisera dans ce cours la convention de noter en caract`eres gras les param`etres essentiels qui interviennent dans un mod`ele). On a alors (1)d2 dt2Xit=N? j=1F(Xit-Xj Il est naturel de r´e´ecrire ce syst`eme deN´equations diff´erentielles du second ordre, sous la forme d"un syst`eme de 2N´equations diff´erentielles du premier ordre, en introduisant la vitesse des particules. Cela conduit donc `a ´elargir l"espace des phases en introduisant les vitesses (V1t,...,VNt) desNparticules. On trouve dtXit=Vit, d dtVit=N? j=1F(Xit-Xj t). On ajoute `a cette ´equation d"´evolution les conditions initiales : (X10,...,XN0) les positions initiales, et (V10,...,VN0) les vitesses initiales.

CHAPITRE 17

SiF?C1(Rd,Rd), le th´eor`eme de Cauchy-Lipschitz assure l"existence etl"unicit´e de la solution maximale de (2), l"intervalle de temps sur lequel cette solution est d´efinie d´ependant a priori de la donn´ee initiale. Dans de nombreux cas, on peut prouver l"existence d"une solution globale (d´efinie pour tout temps positif). Attention :Dans de nombreux cas int´eressants,Fn"est pasde classeC1. Ainsi, dans la mod´elisation de l"interaction Coulombienne entreparticules charg´ees, il est naturel de choisirF(x) =x/|x|3,x?R3. La force pr´esente donc une singularit´e `a l"origine, et une solution classique des ´equations de Newton n"est d´efinie que dans le cas o`u les positions de deux particules quelconques ne co¨ıncident jamais. On ne discutera pas de ce probl`eme ici... Cas particulier important de l"exemple 1 :il s"agit du cas o`u la forceF"d´erive d"un potentiel", au sens o`u il existe une fonctionV:Rd→Rtelle queF=-?V. Ainsi, dans le cas Coulombien, on choisiraV(x) = 1/|x|.

Op´erateur gradient :On notera

∂x1,...,∂∂xd? l"op´erateur gradient dansRd. Indices :Attention aux notations :x1,...xdd´esignent les coordonn´ees du vecteur x?Rd, alors que les indices en haut feront r´ef´erence aux num´eros des particules : x

1= (x11,...,x1d) est un vecteur deRdqui vit dans l"espace des phases associ´e `a la

particule num´ero 1. Par ailleurs, on noteraX= (X1,...,XN) etV= (V1,...,VN). Syst`emes hamiltoniens :Dans le cas o`ula forceFd´erive d"un potentiel, l"´equation (2) se r´e´ecrit dtXit=Vit d dtVit=-N? j=1?V(Xit-Xj t); il s"agit d"un cas particulier de syst`eme hamiltonien, i.e. de la forme dtXit=∂H∂vi(Xt,Vt) d dtVit=-∂H∂xi(Xt,Vt). La fonctionH: (Rd×Rd)N→Rest appel´ee Hamiltonien du syst`eme; dans notre cas elle prend la forme simple

H(x1,v1,...,xN,vN) =N?

i=1|vi|2 2+12? o`u l"on note|x|la norme euclidienne du vecteurx?Rd. Le Hamiltonien est une certaine ´energie associ´ee au syst`eme : les termes en|vi|2/2 s"interpr`etent comme des termes d"´energie cin´etique, ceux enV(xi-xj) comme des

8CHAPITRE 1

termes d"´energie d"interaction. On pourra v´erifier que lavaleur du Hamiltonien est pr´eserv´ee par l"´evolution (4), i.e. (d/dt)H(Xt,Vt) = 0. Exemple 2 : mod`ele de Newton avec condition initiale al´eatoire : Il s"agit des mˆemes ´equations (2) que pr´ec´edemment, mais avec une donn´ee ini- tiale al´eatoire : (X10,V10,...,XN0,VN0) n"est plus un ´el´ement de (R2d)Nque l"on se donne au d´epart, mais unevariable al´eatoire, c"est-`a-dire une application (mesu- rable) de l"espace des al´eas Ω dans (R2d)N. Ce qui compte dans cette description, ce n"est pas la forme explicite de cette application, mais saloiL(X10,V10,...,XN0,VN0). Dans le cadre de la limite de champ moyen, on suppose toujoursque cette loi estquotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
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