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    Comprendre le lien entre la conscience et la connaissance de soi. La conscience permet la connaissance de soi car elle est certitude. Cependant, cette connaissance est subjective et conditionnée. L'inconscient a un rôle important dans la connaissance de soi, et s'en rendre compte nous rend plus lucide.
  • Est-ce que la conscience de soi est une connaissance de soi ?

    La conscience de soi ne suppose pas une connaissance de soi. Être conscient de faire quelque chose n'implique pas nécessairement de savoir pourquoi on le fait. Connaissance suppose non pas seulement un constat de fait mais un savoir suffisant pour donner une explication totale.
  • Comment définir la conscience de soi ?

    Conscience de soi interne : le degré de clarté avec lequel vous percevez vos propres valeurs, passions, aspirations, comment elles s'intègrent à votre environnement et interagissent avec les autres. Avantage : Vous développez une plus grande confiance en vous et une meilleure acceptation de vous-même.
  • La conscience de soi se distingue ici de la conscience qui renvoie à la perception immédiate du monde. La conscience de soi est fondamentalement réflexive ("pour soi"), elle est ce qui constitue à proprement parler la pensée.
Sujet : Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ? Suis : verbe Sujet : Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ? Suis : verbe être essence : la définition ou la nature, le " ce que je suis » existence : le fait d'être

Je : moi, sujet, identité personnelle

Dire " je » c'est être capable de rapporter à soi-même la diversité de ses représentations et de ses

vécus, s'approprier son identité, se saisir comme sujet, comme conscience, prendre conscience de soi-

même.

Le sujet est constitué de conscience (pensée, actions et désirs) mais aussi d'un inconscient ; ne peut se

constituer comme sujet que par et en face d'autrui Etre placé : Position, perspective, point de vue Etre le mieux placé : avoir la meilleure position, le meilleur point de vue

Le mieux : par rapport à qui ?

Alternative implicite : qui de moi ou de l'autre me connaît mieux ?

Pour : finalité, but

Savoir qui je suis : connaissance de soi, la vérité sur soi

Qui : identité

Je suis : essence, être т paraître

Qui peut me connaître mieux que moi-même ?

L'introspection est-elle le mode privilégié de la connaissance de soi ?

Introduction

Qui peut me connaître mieux que moi-même ? Il semblerait à première vue que nul ne soit plus

proche de moi que moi-même. Néanmoins une telle proximité de soi à soi est-elle la perspective idéale

pour accéder à mon identité ? La subjectivité du rapport direct à soi ne peut-elle pas fausser la

connaissance que je peux avoir de moi-même ? Dans ces conditions, qui d'autre que moi serait-il mieux

placé que moi pour me conduire à moi-même ? ne serait-ce pas l'autre, la médiation de l'altérité, qui

peut me donner une connaissance objective et plus fiable de moi ? qui de moi ou de l'autre me permet

d'accéder à une meilleure connaissance de moi-même ?

Plan détaillé

I- La connaissance de soi par soi

1) L'accès direct et immédiat à soi dans l'intuition comme certitude absolue de soi

Descartes : le cogito

A l'issue du doute radical, le sujet doutant et pensant se heurte à une certitude inébranlable : celle du

cogito, conscience de soi, saisie dans une intuition originelle qui exclut l'existence de toute autre chose.

En effet, le monde entier - y compris les autres et mon propre corps - peut cesser d'exister, ma propre

conscience n'en demeure pas moins certaine. Ainsi, nul autre que moi-même en tant que sujet pensant

ne peut savoir avec la certitude absolue de ma propre conscience qui je suis : sujet universel de la pensée.

2) Personne d'autre que moi ne peut éprouver ma conscience de l'intérieur : ce que je ressens,

pense, veux... demeure une expérience unique voire solitaire donc inaccessible et incommunicable aux autres Tout autre que moi ne peut que supposer ou deviner ce qui se passe en moi : mes sentiments, mes

intentions, ma représentation du monde et des choses demeurent irréductiblement miens. Ainsi, qui

d'autre que moi peut savoir mieux que moi qui je suis réellement, effectivement ? Les autres ne

saisissent de moi que l'apparence extérieure, mon intériorité leur échappe. Ainsi, ils ne peuvent que se

représenter ce que je ressens, qu'imaginer ma souffrance, tenter de s'y identifier et ne peuvent

qu'éprouver pitié ou sympathie à mon égard.

Transition

Dans ces conditions, la connaissance directe de soi à soi m'enfermerait dans la solitude et rendrait mon

expérience incommunicable, inaccessible aux autres ; par ailleurs, si je suis seul à savoir qui je suis et

que les autres ne peuvent saisir de moi que le paraître, alors les rapports aux autres seront toujours

menacés d'hypocrisie, d'inauthenticité à cause du décalage constant entre l'être et le paraître1. Enfin, la

subjectivité de ma connaissance directe de moi-même peut m'induire en erreur, me donner l'illusion

d'être ce que je ne suis pas. Dans ces conditions, l'introspection peut-elle encore être considérée

comme une voie privilégiée de la connaissance de soi ? II- La médiation de l'altérité dans l'accès à mon identité

1) Hegel : c'est précisément parce que je crains que les autres me saisissent de l'extérieur seulement

comme choséité et non tel que je m'éprouve de l'intérieur c'est-à-dire comme subjectivité / esprit /

conscience, que je lutte pour être reconnu pour qui / ce que je suis, comme pour soi. La

reconnaissance de l'autre me fait accéder à la certitude objective de mon être pour soi.

1 Puisque je suis sinon le seul du moins le mieux placé pour savoir qui je suis, je peux faire croire aux autres que je

suis ce que je ne suis pas réellement

2) Sartre : la structure duelle du cogito

Autrui est la condition de mon existence (sur le mode du pour soi) et de la conscience / connaissance

que j'ai de moi-même. La présence de l'altérité au sein même de l'identité exclut la possibilité pour le

moi de se connaître seul.

3) Freud : le psychanalyste comme médiateur entre moi et moi-même

Selon Freud, je (moi, sujet) ne suis pas le mieux placé pour savoir qui je suis à double titre : d'abord

parce qu'il y a en moi une instance autonome qui échappe au contrôle de ma conscience : l'inconscient ;

ainsi, Freud a-t-il montré au sujet qu'il n'était pas maître dans sa propre maison et que, s'il se définit

exclusivement comme sujet conscient, il risque d'avoir l'illusion de l'entière souveraineté sur soi. Le

" je » ne peut avoir la meilleure perspective sur lui-même.

Par ailleurs, si le moi veut restituer son identité menacée par l'inconscient, il doit passer par la

médiation du psychanalyste : interprète de la parole du patient, il lui permet de se réconcilier avec lui-

même et lui donne accès à sa propre intimité.

4) La maïeutique socratique

Grâce à son interrogation, Socrate amène son interlocuteur à prendre conscience de son ignorance et de

son illusion du savoir ; désormais, il peut cheminer avec lui sur la voie de la vérité.

Ainsi, tout homme qui croit savoir ce qu'il ne sait pas (chacun d'entre nous) n'est pas le mieux placé

pour savoir qui il est et doit passer par la médiation d'un autre (en l'occurrence un maître socratique)

pour se connaître lui-même.

5) Aristote : la communauté, notamment politique, constitutive de l'identité citoyenne de l'homme.

Transition

Si l'accès à l'identité personnelle doit passer par la médiation de l'altérité c'est qu'elle est une

construction à laquelle moi et l'autre apportons chacun sa pièce. Mais les autres ne risquent-ils pas de

me faire perdre mon identité ?

III- La perte de l'identité dans l'anonymat

1) Il ne peut s'agir du " On » : ce n'est pas dans l'anonymat de la foule, de la masse, dans le

mimétisme et le conformisme social que le moi peut accéder à son identité ; bien au contraire,

sur ce terrain, celui de l'inauthenticité, il risque de la perdre.

Analyse de la société de consommation

2) Sartre : par son regard, l'autre risque de me figer, de me réduire à ce qu'il voit de moi à un

moment donné, de me coller une étiquette et ainsi de m'aliéner en transformant le " pour soi »

que je suis fondamentalement en " en soi ». Ainsi, même s'il est vrai que pour Sartre l'autre est

la condition de mon être pour soi, il peut, par l'omniprésence infernale de son regard, devenir

une menace pour cet existant absolument libre que je suis.

Conclusion

Autrui est certes une pièce maîtresse dans la construction de mon identité personnelle. Néanmoins, la

construction et le maintien de mon identité ne peuvent se passer de l'affirmation et de l'assomption (le

fait d'assumer) de mon individualité, de ma singularité et de ma liberté. L'homme est ainsi sans cesse

appelé, par souci d'authenticité, à être soi-même : c'est un acte de courage voire d'héroïsme.

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