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  • Quel est l'étiologie de l'obésité ?

    Quelles sont les causes de l'obésité ? Cette maladie résulte de plusieurs facteurs – alimentaires, génétiques/épigénétiques et environnementaux – qui s'imbriquent les uns aux autres. Mais tous les mécanismes impliqués ne sont pas encore totalement élucidés en matière d'obésité.
  • Quelles sont les conséquences psychologiques de l'obésité ?

    Résumé Le profil psychologique de patients obèses ayant des troubles de la conduite alimentaire est souvent caractérisé par une diminution de l'estime de soi, une insatisfaction globale de la vie, de l'impulsivité, des phobies et de l'hostilité.
  • Quand le poids influence la santé mentale ?

    Dans la méta-analyse de Luppino et coll., il a été démontré que l'obésité augmente le risque de 55 % de développer une dépression sur une vie et que la dépression augmente de 58 % le risque d'être obèse. Certains mécanismes tant biochimiques que psychologiques sont communs à ces deux pathologies.
  • Concrètement, le stress chronique induit un dysfonctionnement du système nerveux sympathique et de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien qui favorise l'obésité, et inversement. De plus, le stress favorise des troubles du comportement alimentaire et une baisse de l'activité physique.24 mar. 2021
[PDF] Aspects psychologiques de lobésité infantile et de son traitement 29

Vol. 15 No. 6 2004

Fortbildung / Formation continue

Prévalence

La prévalence croissante de l"obésité chez l"enfant et l"adolescent représente, dans le monde entier, un problème social à prendre au sérieux 1)-4) . En Suisse, l"incidence de l"ex- cès pondéral s"élève à 16.6% pour les gar-

çons et 19.1% pour les filles

5) . La part d"en- fants obèses s"élevant à 3.8% et 3.9% respec- tivement. Ceci correspond à une augmen- tation de 50 à 100% du surpoids chez les enfants depuis les années 60 et 80 (voir aussi 6)

Conséquences de l"obésité

chez l"enfant

Les conséquences somatiques de l"obésité

infantile ressemblent, avec le temps, à cel- les de l"adulte (voir aussi7)

Outre les facteurs de risques physiques, les

enfants obèses sont touchés par les effets psychosociaux de l"obésité. Les enfants obè- ses sont précocement confrontés aux atti- tudes négatives face à leur apparence exté- rieure. A 6 ans déjà, les enfants jugent un en- fant obèse comme paresseux, sale, stupide et peu attractif 8) . Latner & Stunkard 9) reprirent une étude datant de 1961 dans laquelle des images d"enfants étaient évaluées: les des- sins montrant des enfants obèses étaient ju- gés très négativement, beaucoup plus en- core qu"il y a 40 ans 10) . Cela signifie que la stigmatisation des enfants obèses semble avoir augmenté en parallèle au développe- ment, au cours des dernières décennies, d"un idéal social de beauté extrêmement mince9) Cet étiquetage négatif peut inhiber le dé- veloppement d"un concept de soi positif ainsi que l"établissement des contacts so- ciaux

11), 12)

. L"estime de soi d"enfants avec un excès pondéral se distingue de celle d"en- fants avec un poids normal par rapport à l"apparence physique, à l"attractivité et à l"image corporelle

13), 14)

. Schwimmer, Burwin- kle & Varni 15) ont pu démontrer que, en com- paraison, seuls les enfants cancéreux soustraitement chimiothérapique présentent une qualité de vie aussi précaire que les enfants obèses.

La discrimination des jeunes ayant un sur-

poids a aussi des conséquences sur leur for- mation et leur vie professionnelle future

16), 17)

A capacité intellectuelle équivalente, les jeunes femmes avec surpoids accomplissent nettement moins d"années scolaires, se ma- rient nettement moins et disposent d"un re- venu par ménage plus bas. Des indices d"un désavantage social subi par les enfants obè- ses sont fournis, entre autres, par les auteurs

Sobal et Stunkard18)

. Ils constatent dans 40% de toutes les études évaluées dans leur travail récapitulatif une relation entre bas statut socio-économique et BMI élevé.

Les multiples stigmatisations peuvent ame-

ner déjà les jeunes enfants à se fixer sur les aspects négatifs de leur propre apparence physique et à développer, par conséquence, des comportements diététiques

19), 20)

. La "peur de la prise de poids» est désormais de- venue une "maladie» à part entière dans no- tre société et une souffrance psychique pour un grand nombre de personnes 21)
. Ceci est valable, depuis peu, tout particulièrement aussi les enfants: les enfants avec surpoids développent plus souvent un comportement alimentaire restrictif, un mécontentement quant à l"image de leur propre corps, ils ont peur de prendre du poids22), 23) . Les enfants avec surpoids développent aussi plus sou- vent que les enfants à poids normal une image corporelle plus négative

24)-26)

. Ce sont des résultats inquiétants, puisque les fac- teurs ci-dessus peuvent devenir des facteurs de risque pour des troubles alimentaires. Et justement, un comportement alimentaire ri- gide et restrictif amène souvent à une perte de contrôle du type "attaques de faim» ("bin- ges»), lesquelles peuvent provoquer, outre une prise de poids, des séquelles psycholo- giques graves. De plus, l"expérience répétée d"inefficacité face au problème qu"est l"obé- sité s"avère négative, à long terme, pour l"es- time de la propre capacité à résoudre des problèmes; cette estime négative peut se gé- néraliser et favoriser des troubles de l"hu- meur durables27)-29)

Excès pondéral et maladies

psychiques associées

Autant chez les adultes que chez les enfants

atteints d"un surpoids, les données montrent de plus en plus que les troubles affectifs et d"anxiété sont significativement plus fré- quents chez les jeunes femmes adultes obè- ses que chez les femmes témoins d"un poids normal 30)
. Chez des enfants obèses on a trou- vé, outre ces troubles affectifs, surtout des troubles du comportement externalisants comme le THADA (syndrome de déficit d"attention avec hyperactivité)

31), 32)

. De plus, les enfants obèses présentent plus fré- quemment des troubles alimentaires au sens d"un Binge Eating Disorder (BED)

33)-36)

. Dans les populations obèses suivies clinique- ment (personnes qui se présentent pour un traitement), on a trouvé clairement plus d"en- fants avec des troubles psychiques que dans la population obèse non suivie37), 38) . Le nom- bre d"enfants souffrant de troubles psychi- ques dans la population obèse est significa- tivement plus élevé que dans la population normale, mais comparativement trop bas pour pouvoir parler d"une règle générale tou- chant les enfants avec surpoids. Ceci laisse supposer que dans le collectif hétérogène des enfants obèses, certains sous-groupes sont particulièrement à risque de développer des symptômes psychopathologiques.

Le surpoids n"est pas classifié comme trou-

ble psychique chez les enfants. Cependant, les enfants obèses, souvent objets de raille- ries et d"exclusions, semblent souffrir massi- vement de leur poids et de leur apparence (voir plus haut). Ils développent fréquemment des symptômes psychiques secondaires et essaient de corriger leur poids par un com- portement alimentaire inapproprié et per- turbé. Ce n"est peut-être pas la présence d"un trouble psychique qui justifie la classification en tant que trouble du comportement ainsi que son traitement psychologique, mais bien l"étendue de la souffrance psychique, en tant que réaction à un état physique et une situation sociale vécus subjectivement comme désagréables et immuables.Etiologie

En ce qui concerne l"étiologie et la persis-

tance de l"obésité, des facteurs multiples,

Aspects psychologiques de l"obésité

infantile et de son traitement Binia Roth, Leitende Psychologin, Kinder- und Jugendpsychiatrischer Dienst Baselland E. Isler, Chefarzt, Kinder- und Jugendpsychiatrischer Dienst Baselland, Bruderholz, Basel

Fortbildung / Formation continue

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Vol. 15 No. 6 2004

biologiques, psychologiques et sociocultu- rels sont aujourd"hui discutés. Un surpoids résulte bien, à la base, d"un déséquilibre entre apport et dépense caloriques, mais les causes de ce déséquilibre sont aussi de na- ture génétique. Des études sur des jumeaux et des enfants adoptés ont révélé une vari- abilité du BMI de 60-80% due à une prédis- position génétique ou familiale

39), 40)

Le bilan énergétique positif s"explique par un surplus d"apport énergétique, c.-à-d. des quantités de nourriture trop importantes et trop riches en graisses, et par un manque de dépense d"énergie, c.-à-d. un manque d"exer- cice. Plus généralement, avec l"apparition de l"industrie du fast-food, on remarque, simul- tanément à l"augmentation de la prévalence de l"obésité, non seulement une consom- mation élevée de graisses et d"aliments raf- finés, mais aussi une tendance aux portions plus grandes et aux repas plus fréquents

41), 42)

En parallèle aux facteurs nutritionnels, le

comportement alimentaire est également as- socié au surpoids: les enfants avec surpoids mangent nettement plus vite que les enfants avec un poids normal et cette vitesse de con- sommation ne diminue pas au long du re- pas 43)
. Drucker, Hammer, Agras et Bryson 44)
ont constaté que l"attitude maternelle face à l"alimentation, c.-à-d. la fréquence de l"offre des aliments, ainsi que les encoura- gements verbaux à manger, ont une in- fluence décisive sur le comportement alimentaire d"un enfant. Comment, où et à quelle vitesse on mange à la maison, in- fluence de façon décisive le développement du style alimentaire. Un facteur important est la transmission du style alimentaire des ma- mans à leurs filles: des mamans ayant un comportement alimentaire effréné ont des filles avec du surpoids 45)

Le développement d"un surpoids peut aussi

être influencé par des facteurs psycholo-

giques. Une mauvaise estime de soi, un con- cept corporel négatif, l"anxiété et les troubles affectifs sont associés au surpoids, mais le rapport cause à effet n"a pas été clarifié.

Dans des études prospectives, on a pu iso-

ler des états dépressifs et des troubles du comportement social comme facteurs pré- dictifs

46)-48)

Autant la négligence des parents que le

manque de stimulation cognitive peuvent

être mis en rapport avec l"obésité

49), 50)

. Des travaux sur des patients obèses adultes ont révélé une présence beaucoup plus fré- quente de traumatismes sexuels pendant l"enfance 51)
.En résumé, on peut dire que la prédisposition à développer une obésité est héritée, mais le phénotype ne peut se manifester que dans un milieu correspondant. Pour l"enfant, le mi- lieu est surtout déterminé par sa famille, par ses parents. En plus des dispositions géné- tiques, le mode d"alimentation, les habitudes alimentaires et d"activité sont transmis comme modèle, les parents jouant un rôle décisif non seulement dans le développe- ment, mais aussi dans les changements en matière de comportement.

Traitement

Le but principal du traitement de l"obé-

sité consiste, après une réduction initiale du poids, à maintenir le poids acquis. Le pro-nostic est ici beaucoup plus favorable pour le traitement des enfants que pour les adul- tes: les modèles de comportement sont moins incrustés, la stabilisation du poids suf- fit à la réduction du BMI et le milieu peut être inclus dans le traitement. Les meilleurs suc- cès peuvent être obtenus grâce à la com- binaison d"une gestion de l"alimentation, d"activité physique et d"une thérapie com- portementale 52)

L"inclusion des parents dans le traitement s"est

montrée, à l"issue de celui-ci et lors de la ca- tamnèse, plus efficace que le traitement des enfants seuls

53)-56)

. On a démontré également que le traitement uniquement des parents est plus efficace que celui des enfants 57)

Dans la durée, le changement des habitudes

alimentaires et d"activité, ainsi que la for- (Training des enfants obèses et de leurs parents)

Un projet multidisciplinaire

TAKE - qu"est-ce que c"est?

Depuis deux ans, la coopération de l"Université de Bâle et le Service psychiatre de l"en- fant et de l"adolescent de Bâle-Campagne permet d"offrir le training TAKE dans la région de Bâle: parents et enfants sont pris en charge en groupes séparés par une approche comportementale, complétée par des leçons d"alimentation et de sport. En rapport avec les modifications de comportement souhaitées dans le domaine de l"alimentation et de l"exercice, nous abordons des thèmes psychologiques comme des objectifs de poids non réalistes, des attitudes négatives envers soi-même et envers son propre corps ainsi que les difficultés avec ses pairs. Des facteurs psychologiques importants qui maintiennent l"obésité, comme une adaptation sociale insuffisante, l"isolation et une image négative du propre corps chez les enfants,des stratégies d"éducation dysfonctionnelles chez les parents, deviennent ainsi objet de traitement. Le traitement est structuré en une première phase de 10 séances hebdomadaires, suivie de 6 séances mensuelles, et par par des séances de rafraîchissement pendant plu- sieurs années.

L"objectif de TAKE?

L"objectif de ce projet de recherche est de présenter un programme de traitement effi-

cace centré sur la famille et d"évaluer l"efficacité à long terme du traitement des parents

et enfants ou des parents seuls.

Qui est-ce TAKE?

TAKE représente une collaboration multidisciplinaire entre l"Institut de psychologie, divi- sion clinique de psychologie et de psychothérapie de l"Université de Bâle (Dr. S. Munsch; Prof. J. Margraf), le Service de psychiatre de l"enfant et de l"adolescent de Bâle-Campagne (lic.phil. B. Roth, Dr. E. Isler), Clinique pédiatrique universitaire des deux Bâles (PD Dr. U. Zumsteg), une diéteticienne (A. Fischer), ainsi que l"Institut du sport de l"Univer- sitaire de Bâle (Prof. R. Ehrsam). Ce projet est soutenu par le Fonds National Suisse.

Comment atteindre TAKE?

Inscription et information: 061 267 06 67, Division clinique de psychologie et de psycho- thérapie de l"Université de Bâle (répondeur automatique, vous serez rappelés ou vous pouvez laisser votre adresse et nous vous enverrons des brochures d"informations). 31

Vol. 15 No. 6 2004

Fortbildung / Formation continue

mulation d"objectifs de poids modérés à long terme promettent plus de chances de suc- cès. Le changement vers une alimentation avec un taux lipidique normal et un accent sur les hydrates de carbone devrait s"effec- tuer à petits pas pour garantir les sentiments de succès à l"atteinte des objectifs et sous- objectifs. C"est seulement ainsi qu"on peut soutenir, chez les enfants et les adolescents comme chez les adultes, la motivation et la compliance nécessaire au long terme. Pour promouvoir l"autogestion des familles, on ne donne pas un plan alimentaire strict, c.-à-d. un régime proprement dit, mais on transmet et explique des règles générales d"alimen- tation, tout en laissant l"exécution au libre choix de la famille 55)

En parallèle aux comportements alimentai-

res, on accorde à l"activité physique une fonction décisive pour le traitement de l"obé- sité. L"exercice physique représente une forme d"occupation naturelle des gens et sur- tout des enfants. Une relation entre le style de vie sédentaire d"aujourd"hui, c.-à-d. le manque d"exercice général propre à notre société (télévision et ordinateur) et le sur- poids chez les enfants et les adultes a pu être clairement démontrée 58)
. La plupart des programmes de perte de poids pour les en- fants conseillent des activités sportives.

Dans la littérature anglo-saxone et alleman-

de existent différents programmes d"entraî- nement pour enfants obèses dont les effets ont été prouvés au moins partiellement et à court terme

55), 59)-63)

Les enfants obèses sont un groupe avec des

risques multiples: la probabilité, d"une part, de devenir des adultes obèses, avec toutes les complications somatiques associées, est grande. D"autre part, exposés très tôt à la dépréciation et affublés d"une étiquette, ils développent une image de soi négative, voir des troubles psychiques comme la dépres- sion et des troubles du comportement.

Ces enfants doivent être pris en charge le

plus tôt possible ensemble avec leurs pa- rents. En Suisse, des programmes contrôlés manquent jusqu"à ce jour. Avec TAKE (voir encadré) nous essayons de remédier à cette carence par un projet commun de l"Université de Bâle, du Service de psychia- trie pour enfants et adolescents de Bâle

Campagne et de la Clinique pédiatrique uni-

versitaire des deux Bâle.

Références

www

3/Dl//5sgbalgutl./3dthFsgbalgutl.gF

NdepüFmCFlmabB31u0

Correspondance:

Lic. phil. B. Roth

Leitende Psychologin

Kinder- und Jugendpsychiatrischer Dienst Baselland

4101 Bruderholz

Tél.061 425 56 56

Fax 061 425 56 00

binia.roth@kpd.c 1

Paediatrica 2004 vol 15 n°5

p 16-25: führung - Risiken / Alimentation enté- rale: indications - application pratique - risques

Bei der Auflistung der Produkte zur en-

haben sich zwei kleine Fehler einge- schuldigen:

Seite 18 / page 25:

Korrekte Telefonnummer / numéro

de téléphone de Nutricia SA ist /est:

0844 844 802

Der korrekte Name von Nutrini Ener-

gy Fibre ist / Le nom exact du produit est:"Nutrini Energy Multi Fibre»

Der Produkt Nutrini Energy fehlt auf

der Liste

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