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  • Quelle est la différence entre la couche d'ozone et l'effet de serre ?

    La couche d'ozone se trouve dans la stratosphère (les quantités maximales d'ozone sont situées entre 20 et 30 km d'altitude). Elle intervient dans l'effet de serre et joue un rôle important en absorbant une partie du rayonnement solaire ultraviolet.
  • Est-ce que la couche d'ozone est responsable de l'effet de serre ?

    Oui, à double titre : Comme l'ozone est un gaz à effet de serre, son augmentation près du sol va augmenter l'effet de serre, et cela va donc contribuer à un changement climatique accru.1 déc. 2003
  • Comment définir l'effet de serre ?

    C'est dans l'atmosphère qu'on retrouve l'air qu'on respire et les nuages. L'atmosphère agit comme les vitres d'une serre : elle laisse passer les rayons du soleil, mais elle ralentit la sortie de la chaleur. C'est pour cette raison qu'on appelle ce phénomène « l'effet de serre ».
  • Rôle de la couche d'ozone
    Celle-ci agit comme un filtre invisible qui protège toutes les formes de vie contre une surexposition aux rayons UV nocifs du Soleil. La plus grande partie du rayonnement UV est absorbée par l'ozone et ne peut ainsi atteindre la surface de la Terre.
polluants et ges

Page blanche

Observatoire Transport-Déplacements Pollution, gaz à effet de serre et transports page :

1

Introduction

Ce document a pour objet de présenter les principaux chiffres et évolutions concernant la pollution atmosphérique et les gaz à effet de serre au niveau

national entre 1990 et 2005. Il détaille la part attribuable aux transports, notamment routiers. Il s"appuie sur les productions du Centre Interprofessionnel

Technique d"Etudes de la pollution atmosphérique (CITEPA).

Le document comprend 3 parties : il traite, au niveau national, dans une première partie des divers polluants comme le dioxyde de soufre, les oxydes d"azote,

le monoxyde de carbone, les composés organiques volatils, les particules, dans une deuxième partie les différents gaz à l"origine de l"effet de serre avec le

dioxyde de carbone ainsi que les autres gaz (SF6, CH4, N2O, HFC..) et dans la dernière partie, le document aborde d"une manière partielle, la production de

gaz à effet de serre provenant uniquement de la consommation de produits énergétiques au niveau régional à partir des travaux de l"OREMIP. Le dioxyde

d"azote (NO2) figure dans chacune des 2 premières parties, étant à la fois un polluant et un gaz à effet de serre.

En effet, il faut bien distinguer polluant et gaz à effet de serre même si certains peuvent figurer dans les 2 catégories : les polluants ont des effets sur la santé

humaine (comme des irritations pulmonaires, des risques de cancer) ainsi que sur l"environnement (pluies acides) alors que les gaz à effet de serre

participent au réchauffement de la planète ; certains polluants participent, par des processus complexes, à la formation de gaz à effet de serre et du " trou

d"ozone ».

En France, la production de polluants régresse de façon générale sous l"effet combiné des progrès techniques (carburants, motorisation des véhicules) mais

aussi de la désindustrialisation progressive de la France. Ainsi, comme le rappelle le rapport 2006 de la commission des comptes des transports : " les

émissions de la plupart des polluants atmosphériques tendent à diminuer ou sont stables depuis quinze ans, et ce dans l"ensemble des secteurs. Le

développement d"une réglementation environnementale de plus en plus stricte, tant au niveau national qu"européen ou mondial, incite au développement et à

la mise en oeuvre de solutions techniques permettant de limiter les émissions liées aux activités humaines. Dans les transports, sur la route, en particulier, les

améliorations environnementales des moteurs et des carburants ont permis une diminution régulière des émissions polluantes, et ce malgré la croissance de

la circulation».

En revanche, la production de gaz à effets de serre ne connaît qu"une faible diminution (0.3% par an depuis 1990). Les gaz à effet de serre émis par le

secteur des transports sont en constante augmentation (+1,3 % par an depuis 1990) du fait de l"accroissement du trafic routier et du développement de la

climatisation des véhicules.

Avertissement : les résultats présentés dans cette étude proviennent des travaux du Citepa selon le format Secten (définitions en annexe)

Source : CITEPA - Les comptes des transports 2006 MEDAD-SESP http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/rubrique.php3?id_rubrique=410

Origine et effets des polluants sur la santé : ORAMIP

Observatoire Transport-Déplacements Pollution, gaz à effet de serre et transports page :

2

Les polluants en France

SO2 - Dioxyde de soufre : la part des transports dans les émissions de dioxyde de soufre est faible (3%) et en baisse constante depuis plus de 10

ans en raison de la suppression progressive du soufre dans les carburants automobiles.

Emissions de SO2

02004006008001 0001 2001 4001 600

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en milliers de tonnes

Aérien*Maritime*FluvialFerRouteAutresAgriculture etsylvicultureRésidentiel ettertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie

2005

Part des transports

dans le total : 3%

Part de la route

dans les transports 27%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -6,8% secteur des transports : -14,4%

Evolution des émissions de SO

2

020406080100120140

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004

2005base 100 en 1990

Transformation

d"énergieIndustriemanufacturièreRésidentiel ettertiaireAgriculture etsylvicultureAutresTransportsRouteFerFluvialMaritime*Aérien*Ensemble

Le dioxyde de soufre est émis lors de la combustion des matières fossiles telles que charbons et fiouls. Les sources principales sont les centrales

thermiques, les grosses installations de combustion industrielles et les unités de chauffage individuel et collectif. La part des transports (diesel) baisse

avec la suppression progressive du soufre dans les carburants. Depuis une quinzaine d"années, les émissions de SO2 sont en forte baisse, du fait des

mesures techniques et réglementaires qui ont été prises, de la diminution de la consommation des fiouls et charbons fortement soufrés et de

l"importance prise par l"énergie nucléaire.

Les effets

- sur la santé : le SO2 est un irritant des muqueuses, de la peau, et des voies respiratoires supérieures (toux, gène respiratoire). Il agit en synergie

avec d"autres substances, notamment avec les fines particules. Comme tous les polluants, ses effets sont amplifiés par le tabagisme.

- sur l"environnement : le SO2 se transforme en acide sulfurique au contact de l"humidité de l"air et participe au phénomène des pluies acides. Il

contribue également à la dégradation de la pierre et des matériaux de nombreux monuments. (source : ORAMIP)

Source: CITEPA / CORALIE / format SECTEN, mise à jour février 2007

* selon les définitions de l"UNECE : les émissions répertoriées hors total ne sont pas incluses, à savoir les émissions maritimes et aériennes internationales, ainsi que les émissions des sources biotiques des

forêts et les émissions des sources non anthropiques.

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3

NOx - Les oxydes d"azote : la part des transports dans les émissions d"oxydes d"azote atteint 51% ; les transports routiers en sont responsables pour

88%. Néanmoins, les émissions de NOx reculent régulièrement et les émissions dues aux transports baissent 2 fois plus vite (pots catalytiques,

norme Euro III pour les poids lourds en 2002 et norme Euro IV en 2005 pour les voitures particulières).

Emissions de NOx

02004006008001 0001 2001 4001 6001 8002 000

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en milliers de tonnes

Aérien*Maritime*FluvialFerRouteAutresAgriculture etsylvicultureRésidentiel ettertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie

2005

Part des transports

dans le total 51%

Part de la route

dans les transports 88%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -2,8% secteur des transports : -4,1%

Evolution des émissions de NOx

406080100120140160180

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
base 100 en 1990

Transformation

d"énergieIndustriemanufacturièreRésidentiel ettertiaireAgriculture etsylvicultureTransportsRouteFluvialMaritime*Ensemble

Les oxydes d"azote proviennent essentiellement de la combustion des combustibles fossiles et de quelques procédés industriels (fabrication

d"engrais, traitement de surfaces, etc.). Le NO se transforme en présence d"oxygène en NO2. Cette réaction se poursuit lentement dans l"atmosphère

et explique la couleur brunâtre des basses couches d"air pollué des grandes villes. Les principaux émetteurs sont les grandes installations de

combustion et surtout les véhicules automobiles.

La combinaison de l"azote et de l"oxygène de l"air conduit à des composés de formules chimiques diverses regroupés sous le terme NOx. Le NO2 est

issu de l"oxydation du NO. Les sources principales sont les transports (50%), l"industrie (20%), l"agriculture (15%) et la transformation d"énergie (10%).

Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicules, mais l"effet est contrebalancé par l"augmentation forte du trafic.

Le traitement des fumées par le pot catalytique produit de l"ammoniac (NH3), autre polluant, dont les émissions dues au transport routier augmentent

depuis 1995 ; cependant le transport routier représente moins de 2% des émissions de ce gaz. Le NO2 se rencontre également à l"intérieur des locaux

où fonctionnent des appareils au gaz tels que gazinières, chauffe-eau....

Les effets

- sur la santé : le NO2 est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises ; chez l"enfant, il

favorise les infections pulmonaires.

- sur l"environnement : le NO2 participe aux phénomènes des pluies acides, à la formation de l"ozone troposphérique, dont il est l"un des précurseurs,

à l"atteinte de la couche d"ozone stratosphérique et à l"effet de serre (source : Oramip).

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4

N2O - Protoxyde d"azote : la part des transports dans les émissions de protoxyde d"azote se monte à 6% ; les transports routiers en sont responsables

pour 98%. Les émissions de protoxyde d"azote reculent régulièrement mais celles imputables aux transports augmentent d"environ 7% par an en raison

des réactions chimiques se produisant dans les pots catalytiques.

Emissions de N2O

050100150200250300350

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en milliers de tonnes

RouteAutresAgriculture etsylvicultureRésidentiel et tertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie

2005

Part des transports

dans le total 6%

Part de la route

dans les transports 98%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -1,9% secteur des transports : +6,7% Evolution des émissions de N2O050100150200250300 1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002

2004base 100 en 1990

Industrie

manufacturièreAgriculture etsylvicultureTransportsdont routeEnsemble

Le protoxyde d"azote, bien que non traditionnellement inclus dans les NOx, le N2O participe aussi à l"accroissement de l"effet de serre.

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5

CO - Le monoxyde de carbone : la part des transports dans les émissions de monoxyde de carbone se monte à 31% ; les transports routiers en sont

responsables pour 92%. Les émissions de monoxyde de carbone reculent régulièrement et les émissions dues aux transports baissent 2 fois plus vite

grâce à la mise en place en 1993 de pots catalytiques.

Emissions de CO

02 0004 0006 0008 00010 00012 000

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en milliers de tonnes

Aérien*Maritime*FluvialFerRouteAutresAgriculture etsylvicultureRésidentiel ettertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie

2005

Part des transports

dans le total 31%

Part de la route dans

les transports 92%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -4,5% secteur des transports : -8,1% Evolution des émissions de CO 020406080100120140160180200 1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004

2005base 100 en 1990

Transformation

d"énergieIndustriemanufacturièreRésidentiel ettertiaireAgriculture etsylvicultureTransportsRouteFluvialEnsemble

Le monoxyde de carbone se forme lors de la combustion incomplète de matières organiques (gaz, charbon, fioul, carburants, bois). Une source

importante est le trafic automobile. Des taux importants de CO peuvent être rencontrés quand un moteur tourne au ralenti dans un espace clos ou en

cas d"embouteillage dans des espaces couverts. En cas de mauvais fonctionnement d"un appareil de chauffage domestique, des teneurs élevées en

CO peuvent être relevées dans les habitations. Il est aussi présent dans les rejets de certains procédés industriels (incinération de déchets).

Les effets :

- sur la santé : le CO se fixe à la place de l"oxygène sur l"hémoglobine du sang, conduisant à un manque d"oxygénation de l"organisme (coeur,

cerveau). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s"aggravent avec l"augmentation de la concentration de CO

(nausée, vomissements...) et peuvent, en cas d"exposition prolongée, aller jusqu"au coma et à la mort.

- sur l"environnement : le CO participe aux mécanismes de formation de l"ozone troposphérique. Dans l"atmosphère, il se transforme en dioxyde de

carbone CO2 et contribue à l"effet de serre.

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6

COV - Composés organiques volatils : la part des transports dans les émissions de composés organiques volatils se monte à 21% ; les transports

routiers en sont responsables pour 85%. Les émissions de composés organiques volatils reculent régulièrement et les émissions dues aux transports

baissent 2 fois plus vite.

Emissions de COVNM

050010001500200025003000

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en milliers de tonnes

Aérien*Maritime*FluvialFerRouteAutresAgriculture etsylvicultureRésidentiel ettertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie

2005

Part des transports

dans le total 21%

Part de la route

dans les transports 85%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -4,3% secteur des transports : -8,1%

Evolution des émissions de COVNM

020406080100120140160180200

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004

2005base 100 en 1990

Transformation

d"énergieIndustriemanufacturièreRésidentiel ettertiaireAgriculture etsylvicultureTransportsRouteFluvialEnsemble

Les COV regroupent une multitude de substances et ne correspondent pas à une définition très rigoureuse. Les hydrocarbures appartiennent aux COV. On

distingue le méthane (CH4) des autres COV pour lesquels on emploie alors la notation COVNM (Composés Organiques Volatils Non Méthaniques).

Pour les COV, seul le benzène est actuellement réglementé. Les Composés Organiques Volatils (COV) entrent dans la composition des carburants mais

aussi de nombreux produits courants : peintures, encres, colles, détachants, cosmétiques, solvants... pour des usages ménagers, professionnels ou

industriels (pour ces raisons, leur présence dans l"air intérieur peut aussi être importante). Ils sont émis lors de la combustion de carburants (notamment

dans les gaz d"échappement), ou par évaporation lors de leur fabrication, de leur stockage ou de leur utilisation. Des COV sont émis également par le

milieu naturel (végétation méditerranéenne, forêts) et certaines aires cultivées.

Les effets :

- sur la santé : les effets des COV sont très variables selon la nature du polluant envisagé. Ils vont d"une certaine gène olfactive à des effets mutagènes et

cancérigènes (Benzène, certains HAP-Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), en passant par des irritations diverses et une diminution de la capacité

respiratoire.

sur l"environnement : Les COV jouent un rôle majeur dans les mécanismes complexes de formation de l"ozone dans la basse atmosphère

(troposphère). Ils interviennent également dans les processus conduisant à la formation des gaz à effet de serre et du "trou d"ozone".

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HAP - Hydrocarbures aromatiques polycycliques : la part des transports dans les émissions de HAP se monte à 18% ; les transports routiers en sont

responsables pour la totalité, en particulier les véhicules diesel. Les émissions de HAP baissent régulièrement mais celles imputables aux transports

augmentent d"environ 3,8% par an.

Emissions de HAP

051015202530354045

1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
en tonnes RouteRésidentiel ettertiaireIndustriemanufacturièreTransformationd"énergie 2005

Part des transports

dans le total 18%

Part de la route

dans les transports 100%

Evolution annuelle

1990-2005

tous secteurs : -3,6% secteur des transports : +3,8% Evolution des émissions de HAP020406080100120140160180200 1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
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