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Trou dans la couche dozone

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Fiche n°7 Lozone et la couche dozone

Les causes et les conséquences de la destruction de la couche d'ozone le trou se serait réduit de 4 millions de kilomètres.



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2002; Assessment of the Environmental Impacts of Ozone. Depletion 2002; et Bilan 2001 bable qu'un trou d'ozone semblable à celui que l'on observe sur.



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La superficie du «trou d'ozone» antarc- Le trou dans la couche d'ozone résulte de mécanismes complexes ... conséquences de l'augmentation des doses.



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Les conséquences furent une diminution de la couche d'ozone en particulier dans les années 80 (voir figure 1)



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FIGURE 3 TROU DANS LA COUCHE D'OZONE AU-DESSUS DE L'ANTARCTIQUE financements du FEM et des cofinancements calculés à la date du Rapport sur l'impact

12 déc. 2019 · Les principales causes de trou dans la couche d'Ozone sont les activités de l'Homme. Ces activités tendent vers la rupture entre la production  Autres questions
  • Quels sont les conséquences du trou dans la couche d'ozone ?

    L'appauvrissement de l'ozone stratosphérique entraîne une augmentation des UV -B qui atteignent la surface de la Terre, où ce type de rayonnement peut perturber les processus biologiques et endommager divers matériaux.
  • Pourquoi le trou dans la couche d'ozone présente un risque pour la vie ?

    La dégradation de la couche d'ozone implique une moindre filtration des rayons ultraviolets les plus nocifs et une élévation des risques pour la vie terrestre : brûlures superficielles, conjonctivites, cataractes. augmentation des cancers et viellissement de la peau. maladies du système immunitaire.
  • Quels sont les rayons qui peuvent passer à cause du trou dans la couche d'ozone ?

    La couche d'ozone filtre les rayons UV-B solaires (rayonnement solaire compris entre 280 et 320 nm), qui sont les plus dangereux. Les UV-A (320-400 nm) sont peu absorbés par la couche d'ozone. Les UV-B ont un effet néfaste sur tous les organismes vivants, terrestres et aquatiques, car ils altèrent l'ADN des cellules.
  • D'après de nouvelles données scientifiques, le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique est en train de se refermer. Après trois décennies d'observation, des scientifiques ont enfin découvert les premiers signes de restauration du tristement cél?re trou de la couche d'ozone situé dans l'hémisphère sud.
Protocole de Montréal: conséquences pour la couche dozone et le www.sparc-climate.org SPARC

Fiche élaborée

par le 2013

Staehelin

1 , J., S. Reimann 2 und C. Arndt 1

Protocole de Montréal: conséquences pour

la couche d'ozone et le climat 1 SPARC Office, EPF Zurich, johannes.staehelin@env.ethz.ch, et carolin.arndt@sparc-climate.org, 2

Empa, section Polluants atmosphér-

iques/Technique de l'environnement, stefan.reimann@empa.ch Depuis le début des années 70 les substances

anthropiques qui appauvrissent la couche d'ozone (en anglais ozone depleting substances, voir tableau 1)

ont atteint la stratosphère, c'est-à-dire, aux latitudes moyennes, la couche atmosphérique située entre 10 et 50 km d'altitude. Les conséquences furent une diminution de la couche d'ozone, en particulier dans

les années 80 (voir ), et une augmentation du trou de la couche d'ozone au pôle sud. La couche

d'ozone est vitale pour la protection des êtres vivants terrestres contre les dangers du rayonnement solaire. Les substances qui appauvrissent la couche d'ozone sont des hydrocarbures halogénés présentant diverses propriétés physiques et chimiques (voir tableau 1 et se dispersent d'abord dans la basse atmosphère, sans toutefois se décomposer. Elles parviennent ensuite dans la stratosphère, où le rayonnement solaire à ondes courtes (rayonnement ultraviolet) les transforme à haute altitude. Le processus libère les atomes de chlore et de brome, qui détruisent l'ozone stratosphérique. Le Protocole de Montréal, entré en vigueur en 1987, se

fonde sur la Convention de Vienne de 1985 et constitue le premier accord international visant à protéger la couche

d'ozone. Il réglemente la production et utilisation des substances qui appauvrissent la couche d'ozone dans le monde entier. montre l'évolution temporelle de l'ensemble des substances appauvrissant la couche d'ozone sur l'échelle EESC (en anglais Equivalent Tableau 1: Substances appauvrissant la couche d'ozone et substituts, de la famille des hydrocarbures halogénés (en anglais halocarbons). Toutes les substances mentionnées sont des gaz à effet de serre.

2 Fiche SPARC 2013

: Moyenne annuelle de l'ozone total à Arosa (Suisse). Ces mesures sont effectuées depuis 1926 - ce qui fait de cette série la plus

longue au monde -, et depuis 1988 par MétéoSuisse. Etant donné le recours à plusieurs types de spectrophotomètres Dobson, il s' est avéré nécessaire d'homogénéiser la série avec minutie (Staehel in et al. de mesure de l'ozone sur l'ensemble de la colonne atmosphérique . La quantité d'ozone de basse altitude (sur les dix premiers ki lomètres,

où l'ozone est un polluant contribuant au smog estival) est faible par rapport à l'ensemble de la colonne atmosphérique, raison pour laquelle

les variations de l'ozone total représentent presque exclusivement la situation de l'ozone stratosphérique. Effective Stratospheric Chlorine), qui tient compte des effets du chlore et du brome sur la couche d'ozone stratosphérique. Le respect des quantités d'émissions prévues par les premières conventions du Protocole de Montréal et par son premier amendement (Londres,

1990) aurait ralenti et retardé la destruction croissante

de l'ozone, mais ne l'aurait pas empêchée. Seuls les accords négociés à partir de 1992 à Copenhague visant à durcir les précédents accords garantirent le rétablissement (lent et) durable de la couche d'ozone dans son ensemble. Les etats signataires se sont engagés à renoncer complètement à l'utilisation des élaboré un calendrier visant aussi une interdiction totale des HCFC ces prochaines années. Les CFCs ont servi d'agents réfrigérants, extincteurs, et moussants ainsi que, jadis, de solvants et propulseurs dans les aérosols. Pour remplacer les CFCs, le Protocole de Montréal (1987) a autorisé pour un certain temps les HCFCs comme agents réfrigérants; leur atteinte à l'ozone stratosphérique est plus faible par rapport aux

CFCs (tableau 1).

Les concentrations de la plupart des CFCs dans

l'atmosphère baissent lentement en raison de leur longue durée de vie dans l'atmosphère. Les mesures au

Jungfraujoch () documentent, par exemple, la

diminution de CFC-11. Parallèlement, les concentra- blement augmenté au cours des années 1990 en tant que substituts des CFCs, puis progressivement depuis le début du nouveau millénaire. A l'heure actuelle, le recours aux HCFC est pratiquement interdit dans les res (tant partiellement qu'entièrement halogénés, HFCs et PFCs) vise à remplacer les HCFCs et leurs concen- couche d'ozone et leur utilisation n'est pas réglementée par le Protocole de Montréal. Ils sont néanmoins des

Protocole de Kyoto.

Les mesures continues de la couche d'ozone effectuées à Arosa révèlent que la diminution de la couche d'ozone d'une année à l'autre de la couche d'ozone aux latitudes moyennes. Elles s'expliquent par la variabilité météorologique considérable dans ces régions. En raison de la très lente baisse des concentrations stratosphériques des substances qui appauvrissent la couche d'ozone, il faudra encore plusieurs décennies pour que la couche d'ozone se reconstitue entièrement et que le " trou d'ozone » se referme au-dessus du pôle sud.

3 Fiche SPARC 2013

dements sur l'évolution effective et projetée de la concen- tration des substances qui appauvrissent la couche d'ozone dans la stratosphère jusqu'en 2100 (OMM, 2011, voir le texte). Dans le cas " No Protocol », les calculs se fondent des substances appauvrissant la couche d'ozone (scénario " business-as-usual »), les autres courbes se basent sur l'hypothèse d'une réduction totale des émissions autori- sées selon les amendements différents. : Mesures de

CFC-11, HCFC- 141b,

d'altitude) pour la pé- fectuées par l'EMPA (unités en ppt: parts per trillion, 1x10-12). Pour les abréviations, se ré- férer au tableau 1 (selon les données du rapport

HALCLIM-5, Reimann

et al. Les substances qui appauvrissent la couche d'ozone et les autres hydrocarbures halogénés sont également des gaz à effet de serre puissants. Le forçage radiatif (en an- glais radiative forcing) permet d'estimer le réchauffe- ment climatique due aux substances dans l'atmosphère cation de l'intensité du rayonnement solaire. Le for- çage radiatif des gaz à effet de serre tient compte de leurs propriétés physiques et chimiques (comme la du- rée de vie dans l'atmosphère) ainsi que de l'évolution temporelle de leurs émissions, depuis le début de l'industrialisation jusqu'à un moment donné. Le for- çage radiatif des gaz halogénés, qui appauvrissent sou- vent la couche d'ozone, ainsi que leur participation aux PPT

CFC-11

CH CCl

4 Fiche SPARC 2013

: Forçage radiatif (1750 à

2005) des gaz halogénés (substanc-

es appauvrissant la couche d'ozone et substances utilisées comme quels gaz sont réglementés dans quel accord international (OMM,

2011). Pour le dioxyde de carbone,

la valeur du forçage radiatif s'élève

à près de 1.62 W/m2 en 2005. Pour

les abréviations, se référer au tab- leau 1. changements climatiques sont représentés à la . Les contributions des différents gaz halogénés au ré- chauffement climatique sont très variables. Les émis- sions de dioxyde de carbone (CO 2 , non mentionné à la ments climatiques anthropiques; la participation des gaz halogénés au forçage radiatif global est considéra- carbone en 2005. compare les effets du Protocole de Montréal sur la couche d'ozone (à gauche) et le réchauffement climatique (à droite). La courbe bleue montre l'impact des gaz halogénés auquel on devrait s'attendre sans protocole (pour ce cas, l'hypothèse se fonde sur une la couche d'ozone). L'échelle ODP (en anglais Ozone Depletion Potential, en haut à gauche) décrit les effets différentes substances, les émissions ont été comparées gaz halogénés ont été convertis en équivalents de CO 2 (en anglais Global Warming Potential, en haut à droite) pour décrire le réchauffement climatique. L'échelle EESC (en anglais Equivalent Effective Stratospheric Chlorine, en bas à gauche) représente l'ensemble des conséquences des émissions anthropogènes passées sur l'ozone stratosphérique. L'échelle du forçage radiatif en équivalents de CO 2 (courbe verte) permet de représenter les atteintes au climat (en bas à droite); ce faisant, le forçage radiatif attendu est représenté pour deux scénarios. Si le Protocole de Kyoto (1997), qui réglemente les émissions de gaz à effet de serre, avait été mis en oeuvre dans le monde entier (certains pays, à il en aurait découlé une diminution des gaz à effet de serre de l'ordre de 2,5 gigatonnes d'équivalents-CO 2 par an pendant la période allant de 2008 à 2012. Suite à la réduction des gaz halogénés obtenue grâce au Protocole de Montréal, le forçage radiatif à travers le monde a diminué de 9 à 12,5 gigatonnes d'équivalents-CO 2 par an.

A présent, l'emploi des CFCs et des halons

(hydrocarbures bromés) sont interdits par le Protocole de Montréal (à l'exception de quelques applications des En outre, l'usage des HCFCs est pratiquement interdit dans les pays industrialisés et considérablement limité dans les pays en développement, avec pour objectif une des substances halogénées comprenant exclusivement du sont des gaz à effet de serre. Leur utilisation est alors réglementée dans le Protocole de Kyoto et non celui

Fiche SPARC 20135

: Effets du Protocole de

Montréal sur la

couche d'ozone (à gauche) et le climat (à droite).

La courbe bleue

montre commentquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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