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Les chambres froides et les camions réfrigérés

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Ainsi nous sommes amenés à concevoir plusieurs chambres froides avec un système de une chambre froide pour stocker tous les types de fruits et légumes.



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conserver les fruits et légumes d'une façon innovante l'air est conçu pour être capable de fonctionner chambre froide durant toute la période

Pour une chambre froide modulable, le prix moyen s'élève à partir de 3000 euros tandis que pour une chambre froide préfabriquée le prix est compris entre 2000 et 3000 euros. Quant à la chambre froide traditionnelle, le prix est compris entre 3000 et 7000 euros.
  • Quel est le coût d'une chambre froide ?

    Le prix d'une chambre froide est de 9 400€ en moyenne, avec une fourchette comprise entre 7 000€ et 15 000€ installation comprise. On peut différencier le tarif d'une chambre froide préfabriquée qui va de 7 000€ à 9 000€ de celui d'un modèle traditionnel qui va de 8 000€ à 15 000€.9 mar. 2023
  • Comment calculer une chambre froide ?

    Bilan chambre froide positive

    1Le bilan frigorifique d'une chambre froide permet de quantifier la somme des apports de chaleur qu'il faudra combattre pour maintenir une enceinte réfrigérée et ce qu'elle contient à température. 2Pour effectuer ce calcul, on utilise comme base une formule bien connue: K x S x ?T.
  • Quelle est la matière à éviter dans les chambres froides ?

    - Ne pas disposer de carton ni de cageot dans les frigos en cuisine. - Si vous avez une chambre froide (fruits et légumes) en zone réserve, vous pouvez stocker les cageots et cartons à condition qu'il n'y ai pas contact avec d'autres produits (viande, charcuterie…).
  • Il existe trois types de chambres froides :

    la chambre froide compacte,la chambre froide modulable, démontable,la chambre froide bâtie.
ETUDE DE FAISABILITE TECHNIQUE ET FINANCIERE DUNE CIRAD

ETUDE DE FAISABILITE

TECHNIQUE ET FINANCIERE

D'UNE UNITE DE SECHAGE DE MANGUES

au Mali

A.THEMELIN N.MONKAM

Rapport final - Décembre 2000

SOMMAIRE

page

RESUME 1

I. CONTEXTE ET TERMES DE REFERENCE DE LA MISSION 4

IL ENVIRONNEMENT DU PROJET 5

IL1. Les marchés des fruits transformés déshydratés 5

11.2. L'explosion des marchés des produits biologiques 6

11.3. Perspectives pour la mangue déshydratée 7

11.4. Le marché local des fruits déshydratés et autres fruits transformés 9

11.5. La sous-filière mangues au Mali 10

II. 5.1. La production 10

11.5.2. Les opérateurs 12

11.6. Les autres fruits et légumes envisagés 14

11.7. Les atouts et contraintes du Mali 14

III. PLAN DE DEVELOPPEMENT DU PROJET 16

111.1. Stratégie de mise en oeuvre du projet 16

111.2. Gamme des produits à transformer 17

111.3. Choix de la localisation de l'unité 18

111.4. Stratégie d'approvisionnement 19

l

111.5. Capacité de production et dimensionnement de l'unité

111.6. Perspectives de diversification

111.7. Choix de l'entrepreneur porteur du projet21

2219
k%I lCèClRDèk'Rk'éD' RDlASk'éD' ,D â0éSkRD s4 IV.l. Implantation de l'unité de transformation 23

IV.2. Aménagement des ateliers 23

IV.2.1 Aire de réception, de tri et de conditionnement des fruits frais 24 IV.2.2. Cellules de mûrissage et de stockage des fruits frais 24 IV.2.3. Ateliers de conditionnement des produits 25

IV.2.4 Atelier de séchage 25

IV.2.5. Atelier de conditionnement et d'emballage des produits finis 26 IV.2.6. Laboratoire de contrôle de qualité et atelier de diversification 26

IV.2.7. Locaux divers 27

IV.3. Traitement des déchets et des effluents 27 IV.4. Composition, conditionnement et emballage des produits finis 27 IV.5. Contraintes spécifiques aux produits biologiques 29

V. MISE EN OEUVRE DU PROJET 30

V.l. Planification et organisation de la production 30

V.2. Besoin en personnel et qualification 33

V.3. Services d'appui 33

V.4. Planification de la mise en oeuvre du projet 341 VI. EVALUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE DU PROJET 35 VI.l. Scénarios et hypothèses d'analyse 35

VL2. Programme d'investissement 36

VI.3. Les besoins en fonds de roulement (BFR) 44

VL4. Schéma de financement 45

VL5. Analyse des coûts directs et des marges sur les produits 47

VL6. Analyse de l'activité et des ventes 58

VI.7. Analyse des autres charges d'exploitation (coûts fixes) 61 VL8. Les besoins en ressources humaines permanentes 62

VI.9. Analyse des résultats des projets 63

VI.9.1 Résultats d'analyse sur les trois scénarios de projet 63 VI.9.2. Analyse des résultats sur le scénario UPS-MF-AS 65

VI.10. Etude de sensibilité 69

VII. SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS 74

ANNEXES

Annexe 1 : Calendrier de la mission

Annexe 2 : Bibliographie signalée

Annexe 3 : Analyse des importations européennes de fruits déshydratés, du contexte international de la sous-filière mangues et des produits biologiques Annexe 4 : Références d'importateurs et/ou conditionneurs européens de fruits déshydratés Annexe 5 : Schémas d'implantation de l'unité, d'aménagement des ateliers et d'une cellule de mûrissage Annexe 6 : Documentation de constructeurs de séchoirs pour fruits tropicaux Annexe 7 : Tableaux de résultats d'analyse économique et financière Annexe 8 : Fiches descriptives des promoteurs identifiés Annexe 9 : Termes de référence de la mission 1

RESUME

La demande en fruits déshydratés est en pleine croissance sur les marchés européens et

les variétés abondantes de mangue au Mali se prêtent bien à la transformation par séchage.

Les exportations mondiales de fruits tropicaux déshydratés, dominées par l'Asie, sont très

ciblées sur le marché européen, principalement au Royaume Uni, suivi de loin par les USA, la

France et le Canada et l'Allemagne. La mangue est peu représentée du fait de l'apprentissage

plus tardif du fruit frais par les consommateurs européens ; peu imprégnée en sucre, elle est

importée en tranches ou en dés depuis la Thaïlande, l'Inde, les Philippines, la Chine (Taïwan),

la Malaisie et plus dernièrement d'Afrique. Les utilisateurs finaux se disent prêts à acheter de

bien plus grandes quantités si les prix étaient plus bas : les cours de la mangue sont presque le

double de ceux de l'ananas et de la papaye. Les conclusions des observateurs, des importateurs et des grossistes européens sont

convergentes : la demande en produits déshydratés dits " naturels » (sans additifs, colorants,

conservateurs, agents de sapidité et sucres rapportés) est en pleine expansion, avec des

alternatives recherchées dans les pays ACP. La mangue déshydratée a un avenir certain pour

un produit répondant aux exigences des marchés européens, notamment anglais, allemand,

français et des pays nordiques, sans oublier le marché biologique. La demande en produits

déshydratés sera d'autant plus élevée que les industriels pourront l'entretenir avec des fruits

de qualité. La régularité de l'approvisionnement reste un élément majeur de fidélisation de la

clientèle potentielle que représentent les importateurs européens, facteur qui a déjà pénalisé

ponctuellement les fruits tropicaux au profit des fruits secs locaux. Une unité de transformation apparaît souvent intéressante comme solution

complémentaire à un atelier de conditionnement pour l'export, permettant de valoriser les

écarts de tri des variétés exportables en frais. La liaison transformation-exportation incite à la

fidélisation des planteurs qui tirent bénéfice de l'achat de toute leur récolte par l'utilisateur ; la

mise en oeuvre du projet doit alors s'accompagner d'une stratégie d'alliance avec les producteurs et leurs structures d'encadrement lorsqu'elles existent. En aval, un portefeuille de

clientèle diversifiée doit être constitué et entretenu par des contacts réguliers auprès des

interlocuteurs directement concernés dans les pays importateurs. Une unité de transformation semi-industrielle ou industrielle se devant de fonctionner

un nombre maximum de jours dans l'année, une palette de produits à traiter doit être

envisagée. La gamme des fruits et légumes envisagés tient compte de la demande des

différents marchés (international, sous-régional et local), de la disponibilité et de la

mobilisation des produits dans un rayon de 50 km autour de l'unité et de l'étalement de leurs périodes de récolte. La mangue constitue le produit leader pour le conditionnement en frais et le séchage

de mars à août. Destinés préférentiellement aux marchés d'exportation (européen voire

américain), les produits déshydratés seront conditionnés en vrac à destination des

importateurs, conditionneurs ou entreprises de seconde transformation ; voire en unité de 50 ou 250 g pour les importateurs grossistes de produits de consommation finale. Produit faisant l'objet d'importantes transactions commerciales en Afrique soudano-

sahélienne, l'oignon frais peut être traité par curing ou séchage des tuniques externes du

2

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I. CONTEXTE ET TERMES DE REFERENCE DE LA MISSION

Dans un contexte de réformes libéralisatrices de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de liens de plus en plus intenses entre pays membres de l'Union Economique et Monétaire de l'Organisation Africaine (UEMOA, 1994), l'identification des

intérêts nationaux doit contribuer à l'élaboration de positions communes à l'ensemble de la

sous-région ouest-africaine, tout en contribuant à favoriser les échanges et les

complémentarités entre pays voisins. Malgré l'ouverture des échanges avec une diminution

des barrières tarifaires, l'insuffisance des marchés d'exportation du Mali peut s'expliquer par

une déficience des infrastructures, l'inadaptation du cadre législatif et réglementaire, la

faiblesse des institutions d'appui aux exportations, l'insuffisance des organisations professionnelles et le manque de compétences (PLUNKETT et al., 2000). La stratégie actuellement retenue par les acteurs gouvernementaux comprend entre autres une politique

générale pour tirer la croissance économique par les exportations en renforçant l'appareil

productif, en accompagnant l'expansion du secteur privé et en favorisant les transferts de

technologies. Le CAE (Centre Agro-Entreprise) ou Mali SEG (Sustainable Economic Growth) est le

contrat d'assistance technique de l'Objectif Stratégique de la mission de l'USAID au Mali

pour rehausser la croissance économique durable (OS2). Parmi les opportunités soutenues par

le CAE dans le secteur agro-alimentaire, la filière fruits et légumes est une filière cible, dont

la sous-filière mangues reste une préoccupation des acteurs économiques malieas, intéressés à

la recherche de moyens pouvant favoriser la croissance nationale. L'assistance contribue à

nouer des relations avec les services d'inspection et les opérateurs économiques des

principaux marchés à l'étranger en vue de revaloriser la production nationale au travers d'une

image de haute qualité. En effet, si le Mali a été le pionnier des exportations de mangues vers l'Europe à la fin des années 60, une part importante de sa production actuelle n'est pas mise en valeur du fait d'une adaptation insuffisante de son économie aux demandes des marchés (plus de cueillette

que de production) et des capacités limitées des exportateurs à financer des envois réguliers.

Le CAE apporte son soutien aux opérateurs de la filière, notamment pour faciliter l'accès des

exportateurs aux marchés : diversification des marchés, amélioration du conditionnement,

développement du fret maritime et diversification des produits. La transformation de la

mangue reste actuellement une activité uniquement artisanale, concernant le séchage du fruit, la fabrication de nectars et de confitures vendus localement.

Une étude de pré-faisabilité réalisée en 1999 par le CIRAD à la demande du CAE

concluait qu'il existe des opportunités intéressantes pour la production et l'exportation de

mangues séchées. La demande est en pleine croissance sur les marchés européens et les

variétés abondantes au Mali se prêtent bien à cette transformation. La mise en place d'une

unité semi-industrielle ou industrielle demande un investissement relativement modeste et ne

requiert pas un degré élevé de technicité, avec des contraintes gérables en matière de

conditionnement et d'emballage.

L'objectif de la présente consultation est de déterminer la faisabilité technique et

financière de la mise en place et de l'exploitation d'une unité de séchage de mangues au Mali.

Le résultat attendu est l'élaboration d'un document complet qui analyse les conditions

nécessaires sur le plan des équipements, des infrastructures, des investissements, de la

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IL ENVIRONNEMENT DU PROJET

ILL Les marchés des fruits transformés déshydratés Le marché international des fruits secs et séchés est en mutation depuis les années 80.

Les échanges mondiaux des fruits à coque se sont déprimés et leur consommation dans

certains pays européens comme la France stagne depuis 20 ans. Les " graines » ont été

délaissées au profit de produits plus élaborés, tels que les biscuits et les extrudés consommés

en apéritif. Cette désaffection a profité, tant dans le monde qu'en France, aux fruits séchés à

pépins ou noyaux, tels que les raisins et les pruneaux, qui ont tiré d'autres fruits aussi bien de

consommation élevée, tels que les abricots, les figues et les dattes, que des fruits tropicaux

séchés importés à faible tonnage.

L'Europe représente le marché le plus important pour les fruits secs, séchés et

déshydratés, loin devant les Etats Unis et le Japon. Les importations européennes de fruits

déshydratés (5 % des importations de fruits transformés) n'ont cessé d'augmenter en valeur

depuis 1988, pour atteindre 0,9 milliards d'Euros en 1999. Les volumes concernés , après

avoir stagné jusqu'en 1992, ont augmenté régulièrement jusqu'en 1997 pour stagner depuis à

614 000 T (annexe 3). Plus de 70 % proviennent de l'extérieur de l'Europe (Turquie et USA)

et 80 à 120 000 T en provenance de pays en développement (Iran, Tunisie et Chili). Les

raisins secs puis les bananes, les prunes et les dattes constituent 80 % des volumes importés (CBI, 1997). La faible contribution des pays ACP (13 000 T en 1997) est représentée par la banane, l'ananas, la papaye et la mangue. Cinq pays européens se sont toujours démarqués de par l'importance de leurs importations : le Royaume Uni (132 000 T en 1999), l'Allemagne (103 000 T), la France et

l'Italie (55 000 T) et les Pays-Bas (40 000 T). Ces derniers ont toujours joué un rôle important

dans le commerce des fruits tropicaux déshydratés, important de grandes quantités par voie

maritime et réexportant jusqu'à 50 % par un réseau routier très développé sur l'extérieur.

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II.2. L'explosion des marchés des produits biologiques Parallèlement, l'expansion du commerce des produits biologiques attire dernièrement

tout spécialement l'attention des observateurs par son énorme potentiel : il passerait de 1 % à

plus de 10 % des ventes de détail des produits alimentaires sur les principaux marchés ces

prochaines années, avec un montant prévisionnel de 20 milliards de dollars en 2000 (ITC,

1999). Il y aurait de très fortes opportunités pour les pays en développement sur les1

7

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de labellisation diminuera avec la délocalisation des expertises, il doit répondre à des marchés

exigeants mais reconnaissant ces critères de qualité.

11.3. Perspectives pour la mangue déshydratée

La mangue offre d'importantes possibilités au travers de dérivés de moyenne à forte

valeur ajoutée, telle que la mangue déshydratée de label certifié (produit biologique), la pulpe

pour l'industrie des nectars, les arômes pour l'industrie des additifs, l'amande pour l'industrie cosmétique.

Profitant de l'entraînement des fruits à pépins et noyaux déshydratés aux dépends des

fruits secs à coques, les fruits tropicaux déshydratés ont abordé significativement les marchés

européens au début des années 80. Parallèlement à l'émergence des produits exotiques de

qualité destinés à des marchés de consommation finale, voire très spécifiques (marché

ethnique, marché solidaire, marché biologique), le déferlement des fruits semi-confits d'Asie

puis d'Amérique latine s'est adressé aux marchés de consommation finale et de seconde

transformation, avec des produits à prix très compétitifs. La forte imprégnation de sucre

(produit industriel à très bas prix) dans une matière première de prix aléatoire (produit

agricole de qualité variable, saisonnier et dispersé) a en effet orienté préférentiellement ces

fruits imprégnés vers des marchés de masse, avec une confusion plus ou moins entretenue auquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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