Notion : La consommation
Définition de la consommation. La consommation au sens économique du terme
OECD OCDE
consommation effective n'était pas encore explicite et ces experts craignaient que de et de la définition des subventions à la consommation n'ayant.
pour lélaboration et le suivi des documents de planification
Cette multiplicité de définitions et de méthodes pourrait facilement conduire à des La consommation d'espaces naturels agricoles et forestiers.
Présentation
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La valeur de la consommation finale effective des ménages est obtenue par la somme de trois composantes : a) la valeur des dépenses des ménages en biens et en services de consommation, y compris les dépenses en biens et en services non marchands vendus à des prix économiquement non significatifs; b) la valeur desQuels sont les trois types de consommation ?
Sommaire
La consommation finale des ménages. La consommation marchande. La consommation non marchande.La consommation finale des administrations publiques et privées.Consommations élargie et socialisée. La consommation élargie de la population. La consommation socialisée.Quels sont types de consommation ?
On distingue généralement : ? la consommation individuelle et la consommation collective : - dans la consommation individuelle, le bien ou le service consommé ne l'est que par un seul individu, excluant tout autre individu du même usage en même temps (une paire de lunettes).- La consommation effective des ménages inclut tous les biens et les services acquis par les ménages résidents pour la satisfaction de leurs besoins, que ces acquisitions aient fait, ou non, l'objet d'une dépense de leur part.5 nov. 2019
élevé qu'en 1960. La France est pourtant passée des Trente Glorieuses, caractérisées par le
développement d'une consommation de masse, à une période beaucoup moins dynamique en termes de gains de pouvoir d'achat et de consommation à partir du milieu des années1970. Cette progression globale recouvre de profonds changements dans la répartition du
tion et à l'habillement se sont réduites, au profit notamment du logement et des transports, de la santé, de la communication et des loisirs. Globalement, les services prennent1960 : les loyers tiennent une place croissante,et les prix des autres services ont progressé
plus rapidement que ceux des biens. Ce déplacement des dépenses en valeur au profit des services recouvre des évolutions plus complexes sur les volumes consommés. Les Trente Glorieuses se sont d'abord traduites par le développement des achats de biens matériels ;depuis, l'écart de croissance avec les services s'est certes resserré, mais ne s'est pas inversé
pour autant.celle affectée à la santé sont principalement le reflet de la progression du niveau de vie tout
processus de convergence est à l'oeuvre. Ce processus est sans doute lié à celui du niveau de
lation des biens et des technologies. Aussi, bien qu'ils aient des niveaux de PIB par habitant derniers pays entrant dans l'Union européenne se rapproche de celle des Français d'aujourd'hui pour nombre de postes budgétaires. En outre, cette analyse en termes de convergence, au cours du temps ou entre pays, trouve aussi ses limites : par exemple, parmi les pays fondateurs de l'Union européenne, certaines spécificités nationales demeurent.deux grandes périodes. Dans un premier temps, après la période de pénurie de l'après-guerre
et jusqu'au milieu des années 1970, les Trente Glorieuses sont caractérisées par un cercle " vertueux»alliantfortecroissancedesrevenusdistribuésetavènementd'uneconsommation de masse. De 1960 à 1974, le revenu disponible des ménages (RDB) a progressé de façon continue, de 11,2%enmoyenne par an. Lesprix de la consommationont augmenté de 5,2% en moyenne, le pouvoir d'achat du revenu disponible de l'ensemble des ménages a donc Dossier - La consommation des ménages depuis cinquante ans13*MaryseFesseauest àladivisionSynthèsegénéraledes comptes del'Insee; Georges Consales et VladimirPasseronsont
à la division Synthèse des biens et services de l'Insee.1Dossier 1.ps N:\H256\STE\zf3njy Pierre\_donnees\Consommation\Dossier 1\Dossier 1.vp mardi 18 aoßt 2009 11:25:48Profil couleur : Profil d'imprimante CMJN gØnØriqueComposite 150 lpp 45 degrØs
et de leur composition, cette croissance correspond à une progression moyenne du pouvoir d'achat au niveau individuel 1 de 4,6 %. La consommation de masse s'est traduite dans le4,1% par an.
Le premier choc pétrolier en 1974 a marqué unerupture dans le rythme de croissancetendanciel de l'économie française. Le pouvoir d'achat des ménages a depuis lors progressé
moins vite : + 2,1 % par an en moyenne entre 1975 et 2008, soit, compte tenu de la hausse tendancielle de la population, + 1,3 % au niveau individuel. La consommation est demeuréediminué sur la même période leur taux d'épargne (de 21 % à 15 %). Dans un premier temps,
entre 1975 et 1987, le pouvoir d'achat a nettement décéléré (+ 0,9 % par an au niveau indivi
duel), avec le ralentissement du PIB. Malgré cela, les ménages ont maintenu un rythme de a perdu 10 points, passant de 21 % en 1975 à 11 % en 1987(figure 1). Revenu au début desannées 1990 à 15 %, le taux d'épargne s'est ensuite stabilisé, la croissance des dépenses de
de consommation ont progressé à un rythme assez régulier, de 1,8 % par an au niveau indivi duel, quasi indépendant desfluctuationsdupouvoir d'achat. Toutefois, en2008, sousle coup le pas (+ 0,3 % après +1,8 %).14Cinquante ans de consommation en France
-505101520251960 1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995
2000 2005en %
Dépenses de consommation (évolution en volume)Pouvoir d'achat du revenu disponible brut Déflateur de la consommation des ménagesTaux d'épargneSource : Insee, comptes nationaux, base 2000.
1. L'expression " au niveau individuel » signifie ici que l'on neutralise dans l'évolution de la grandeur macro-écono-
tion(encadré 2). 2Dossier 1.psN:\H256\STE\zf3njy Pierre\_donnees\Consommation\Dossier 1\Dossier 1.vpmardi 18 aoßt 2009 11:25:48Profil couleur : Profil d'imprimante CMJN gØnØrique
Composite 150 lpp 45 degrØs
Les mutations du budget de consommation depuis cinquante ans Au-delà de la rupture de tendance survenue au milieu des années 1970, entre 1960 et2008, la hausse des dépenses de consommation des ménages a été quasi continue, et a suivi
celle de leur revenu : + 3,2 % par an en moyenne. Par habitant, la progression est de + 2,5 %, ce qui représente une multiplication par trois du volume de consommation en près dedes dépenses : les parts réservées à l'alimentation et à l'habillement se sont réduites, au profit
notamment du logement, des transports, de la santé, des dépenses de communication et de loisirs(figure 2). Cette transformation traduit des évolutions relatives des prix et des volumes par personne, les mutations du marché du travail (taux d'activité), la nette progression du temps libre disponible par personne en emploi, l'évolution des goûts et des modes de vie, les facteurs sociodémographiques (type d'emploi, urbanisation, structure familiale...) et les progrès techniques sont autant de facteurs explicatifs de ces changements. Ce déplacement relatif de la consommation depuis les postes d'alimentation et d'habille-ment vers d'autres postes recouvre un phénomène plus massif encore : les services qui repré-
sentaient 30 % des dépenses de consommation en 1960, dépassent 50 % depuis le milieu des années 2000. Plus de la moitié de cette hausse tient aux seuls services de logement (paiementde loyers, qu'ils soient réels, ou imputés aux ménages propriétaires occupant leur logement).
Le reste concerne l'ensemble des autres services(figure 3). Dossier - La consommation des ménages depuis cinquante ans 15Coefficients budgétairesÉvolution annuelle
1960-2007
1960 1975 1990 2007Volume par
habitantPrixAlimentation 38 30 27 25 1,4 4,8
Logement 16 20 18 19 2,8 4,6
Transport 11 15 18 18 3,0 5,1
Habillement et autres produits pour la personne 14 13 11 9 1,7 4,4Santé22344,73,5
Communication, loisirs et culture 10 12 13 16 4,6 3,6Services divers 7 8 9 11 2,1 5,9
Solde territorial 1 0 - 1 - 1 - -
Total 100 100 100 100 2,5 4,6
2. La structure de la dépense des ménages a profondément évolué en cinquante ans
en %Source : Insee, comptes nationaux, base 2000.
0102030405060
1959 1964 1969 1974 1979 1984 1989 1994 1999
2004coefficients budgétaires* (valeurs en % )
Services y c. loyers
Services hors loyers
Biens manufacturés
Alimentation à domicile
Énergie
3.Une part croissante des services
dans la dépense de consommation des ménages imputées(cf. encadré 4).Source : Insee, comptes nationaux, base 2000.
3Dossier 1.psN:\H256\STE\zf3njy Pierre\_donnees\Consommation\Dossier 1\Dossier 1.vpmardi 18 aoßt 2009 11:25:48Profil couleur : Profil d'imprimante CMJN gØnØrique
Composite 150 lpp 45 degrØs
En contrepartie, la part budgétaire dévolue aux dépenses alimentaires a diminué surl'ensemble de la période et celle affectée aux biens manufacturés a baissé à partir du milieu
desannées1980. Lespostesdépendant desproduitsde l'énergie (chauffage et carburants) ont quant à eux subi les effets des deux chocs pétroliers de 1974 et 1979, puis du contre-choc de1986. En 2007, leur part dans le budget de consommation des ménages est quasiment la
même que celle du début des années 1960. Ce déplacement relatif des dépenses des biens vers les services s'explique en premier lieu turés (+ 3,5 % par an), évolue nettement moins rapidement que celui des services (+ 5,9 % pour les services horsloyers). Cela tient au fait que les gains de productivité induits par leprogrès technique bénéficient surtout à la fabrication des biens manufacturés, alors même que
ture de consommation inchangée en volume, la simple augmentation relative du prix des servi ces par rapport à celui des biens tend à déformer la structure du budget des ménages. De fait, cette déformation de la structure des dépenses en valeur recouvre des évolutions plus complexes sur les volumes consommés(encadré 1). La consommation de masse, carac- téristique des Trente Glorieuses, s'est dans un premier temps traduite par la multiplication descommencé à atteindre une forme de saturation, les ménages ont pu chercher à satisfaire de
nouveaux besoins, plus immatériels, favorisant ainsi l'essor des services culturels et de loisirs,
Cette grille de lecture opposant les développements respectifs des biens et des services doit toutefois être nuancée. Ces nouveaux besoins se traduisent également par l'achat de biens : biens directement liés aux loisirs et renouvellement de biens durables qui, grâce auxbaisse du coût d'acquisition de nombreux biensdurables rend préférable le renouvellement à
la réparation. Cette baisse se traduit alors par une progression des dépenses en volume de biens et une diminution de certains services. Enfin, biens et services connaissent souvent undéveloppement complémentaire : le taux d'équipement en téléphones mobiles à la fin des
Au final, la croissance en volume des dépenses des ménages en biens manufacturésdemeure toujours supérieure à celle des services (y compris loyers réels et imputés), même si
l'écart s'est nettement resserré : + 6,1 % par an contre + 3,6 % avant 1974, + 2,3 % contre + 2,0 % depuis lors. Néanmoins, compte tenude leur poids grandissant dans le budget des ménages en valeur, la part prise par la consommation de services dans la croissance de la consommation totale s'est accrue au cours du temps(figure 4). Plus précisément, jusqu'en16Cinquante ans de consommation en France
-202461960 1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995
2000 2005
ServicesBiens manufacturésDépenses en volume par habitantContributions :
évolution annuelle en %
4.Dépenses de consommation et contributions des biens manufacturés et des services
à la consommation
Source : Insee, comptes nationaux, base 2000.
4Dossier 1.psN:\H256\STE\zf3njy Pierre\_donnees\Consommation\Dossier 1\Dossier 1.vpmardi 18 aoßt 2009 11:25:49Profil couleur : Profil d'imprimante CMJN gØnØrique
Composite 150 lpp 45 degrØs
Dossier - La consommation des ménages depuis cinquante ans17Encadré 1
L'évolution relative des consommations par type de produit en volumePour un poste donné, la part budgétaire
ce poste au budget global des ménages. L'évolution d'une part budgétaire dépend de deux paramètres : l'évolution relative des prix et celle des volumes. La hausse relative du coefficient budgétaire correspondant à la plupart des postes de services relève par exemple souvent d'une plus forte hausse des prix de ces services, par rapport à l'inflation d'ensemble. Inversement, la baisse de la part des achats des biens manufacturés dans le budget des ménages résulte bien souvent d'une hausse moindre des prix, par rapport à l'inflation d'ensemble.Hors les évolutions relatives de prix,
achète-t-on plus ou moins de biens relative ment aux services en 2007 qu'en 1960 ? Pour répondre à cette question, il faut choisir une année de référence pour fixer les niveauxévolutions en volume par poste et en recalant
sur le volume total chaque année, on peut alors définir une part budgétaire en volume et la faire évoluer au cours du temps. Naturelle- ment, le chiffrage dépend directement de l'année de référence retenue pour les prix.On retient ici(graphique)comme année de référence une année " temporellement médiane » les coefficients budgétaires en volume de 1980 coïncident avec ceux en valeur de la même année. Mais pour les autres années, ils dépendent desévolutions relatives des volumes consommés.
Le diagnostic sur les évolutions relatives de
nettement de celui que l'on tire de la seule observa tiondespartsbudgétairesenvaleur(figure 3).Lapart budgétaire affectée aux biens alimentaires baisse sur longue période dans les deux cas. En revanche, celle des biens manufacturés progresse continûment en volume, alors qu'en valeur, elle est stable de 1960 à1990 puis décroît quelque peu. S'agissant des
services, leur part relative augmente fortement enquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] consommation finale effective des apu
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