[PDF] Construire un feu - de Jack LONDON





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Jack London

Jack London. Construire un feu. (Lost face) nouvelles traduites par. Paul Gruyer et Louis Postif. La Bibliothèque électronique du Québec.



Construire un feu - de Jack LONDON

Construire un feu de Jack LONDON. Pour un voyage sur terre ou pour une croisière autour du monde un compagnon est généralement souhaitable.



Construire un feu

9 janv. 2016 Construire un feu. Jack London ... un abri pour y construire un feu. ... construire un feu



Jack London

CONSTRUIRE UN FEU. (To Build a Fire). (première version 1902). Dans le monde entier pour voyager par terre ou par mer



Séquence : Construire un feu de Jack London

Jack London Construire un feu (1908)



Construire un feu

1902 : Tom Vincent ne meurt pas car ce texte est destiné à un jeune public. 1908 : Jack London a réécrit ce texte en l'enrichissant d'un chien et de détails.



Construire un feu - Jack London

21 oct. 2018 Construire un feu. Jack London version scénique mise en scène



Séance 1 : Construire un feu une nouvelle de Jack London

Séance 1 : Construire un feu une nouvelle de Jack London Décor : hiver



Jack London - La peste écarlate

qualitésd'évocation puissante coutumières à Jack. London. Construire un Feu est un conte du Klondike et du Pays de l'Or



Séance 4 : Comparer les deux incipits ( versions 1902 et 1908 )

Pour commencer : Lis ces deux débuts de la nouvelle Construire un feu de J. London. Activité 1 : Rechercher. Quelles sont les différences entre les deux 



[PDF] Jack London - La Bibliothèque électronique du Québec

Jack London Construire un feu (Lost face) nouvelles traduites par Paul Gruyer et Louis Postif La Bibliothèque électronique du Québec



[PDF] Construire un feu

Construire un feu de Jack LONDON Pour un voyage sur terre ou pour une croisière autour du monde un compagnon est généralement souhaitable



[PDF] construire un feu - janglesfr

CONSTRUIRE UN FEU (To Build a Fire) (première version 1902) Dans le monde entier pour voyager par terre ou par mer on considère généralement qu'il est



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Il avait oublié de construire un feu pour se dégeler Et à cette pensée qui lui revint soudain il se mit à ricaner en songeant combien il était sot Mais 



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Séance 1 : Construire un feu une nouvelle de Jack London 1/ Entrer dans l'histoire: 1- Observation : observez une des premières de couverture et 



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Construire un feu Jack London our un voyage sur terre ou pour une croisière autour du monde Po e terre our un compagnon est généralement souhaitable



[PDF] Séquence : Construire un feu de Jack London - Eduscol

Jack London Construire un feu (1902) traduit de l'anglais par Paul Gruyer et Louis Postif traduction revue et complétée par Frédéric Klein 



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9 mar 2010 · 1908 : Jack London a réécrit ce texte en l'enrichissant d'un chien et de détails Cette version est destinée à un public plus âgé B) Réponds 



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Page 1 sur 3 Titre CONSTRUIRE UN FEU Patrimoine Descriptif physique de l'ouvrage Auteur LONDON Jack Illustrateur VOGEL Nathaële Editeur



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13 jui 2022 · Construire un feu Jack London version scénique mise en scène scénographie et costumes Marc Lainé avec la troupe de la Comédie-Française

  • Comment faire un feu Jack London ?

    Construire un feu (titre original : To Build a Fire) est une nouvelle de l'écrivain américain Jack London publiée aux États-Unis en 1902 dans une première version puis en 1908 dans une seconde, plus connue. En France, elle est parue pour la première fois en 1924.
  • le chercheur d'or : Personnage central de l'histoire, peut-être un aventurier arrivé depuis peu dans le grand nord. Il met en application les conseils glanés ici ou là auprès de chercheurs d'or plus expérimentés. le chien : il sait, il comprend le danger. Il sait aussi que les hommes sont de bons pourvoyeurs de feu.

Construire un feu

de Jack LONDON

Pour un voyage sur terre ou pour une croisière autour du monde, un compagnon est généralement

souhaitable. Au Klondike1, comme Tom Vincent le découvrit, un tel compagnon est absolument nécessaire. Mais il

découvrit cela, non pas en suivant le précepte2, mais à travers une amère expérience. " Ne voyage jamais seul souvent et il avait -même et en la force de ses mains. la sagesse des

Le froid était à soixante degrés au-dessous de zéro3, et il avait trente miles4 de piste à abattre en

solitaire, mais cela lui était égal. En fait, il aimait tenir une allure cadencée dans un monde silencieux, son sang chaud

x

confins de Cherry Creek ; et au-delà, il rentrait de Dawson avec des lettres réconfortantes de chez eux aux Etats-

Unis.

leva, à neuf heures et demie, il avait coupé de quatre miles à travers le plat et il était à six miles, en amont de Paul

ndian River, si bien que Paul Creek était un coin nouveau et étrange. A onze heures : la moitié de la distance.

Il savait que par la nature des choses la piste allait devenir plus mauvaise à partir de là, et il pensa que,

tombé, il ôta la moufle de sa main droite, plongea dans sa chemise ju

sandwich avec des tranches de lard frits et enveloppés dans un mouchoir la seule manière dont il pouvait être

emportés sans geler. -t-il.

Il cracha sur la neige une des blagues favorites du Grand Nord et le crépitement aigu de la congélation

-dessous de zéro mais il était certain que le froid avait augmenté, plus f une chose

plutôt inhabituelle pour lui. Ça ne devrait pas, décida-t-il, et faisant glisser son paquetage en travers de ses épaules,

il sauta sur ses pieds et courut rapidement sur la piste. a moustache de glace pendante et formait des glaciers

La plupart des hommes portaient des cache-nez, ses équipiers aussi, mais il méprisait ce " truc féminin » et

jusque- constamment.

1 Klondike : région du nord-ouest du Canada.

2 précepte : règle.

3 soixante degrés au-dessous de zéro : moins de 60 degrés Fahrenheit, ce qui correspond à environ moins 33 degrés centigrades

(Celsius).

4 trente miles : un mile vaut environ 1610 mètres.

réalisait quelque chose, il allait au bout de quelque frontière de Cherry Creek.

cacher dans leurs trous. Mais lui ne se cachait pas, il était dehors, il faisait face au froid, il le combattait. Il était un

homme, un maître des choses.

Ainsi, se réjouissant fièrement, il allait. Après une heure, il suivit une courbe, où la rivière longeait de près le

parence le plus insignifiant mais le plus redoutable des voyages dans le Grand Nord.

La rivière elle-

écoulements de plusieurs sources. Ces sources ne gelaient jamais et le seul effet des coups de froid les plus sévères

et formait, à la surface de la glace, des flaques peu profondes.

La surface de ces

-dessus de la première.

Ainsi, au fond il y avait la solide glace de la rivière, puis probablement de six à 5, puis une

-dessus cette dernière peau, pour compléter le piège, il y avait un pouce de neige fraîche. re très insignifiante e demi-

douzaine de grandes enjambées il était à la rive. Il était plutôt calme et plein de sang-froid. La chose à faire, et la

: voyage avec des c6 au-dessous de zéro ; après ça, fais un feu. Et il faisait trois froid plus froid que moins vingt, et il le savait.

homme fort, exultant, se vantait de sa maîtrise des éléments, il ne se battait pas pour sa vie contre ces mêmes

éléments 7

Nord.

Dans un bouquet de pins sur le bord de la rive, les hautes eaux du printemps avaient déposé beaucoup de

laska aux mains, alors Vincent les ôta, il

intérieure il extirpa ses allumettes et une bande de fine écorce de bouleau. Les allumettes étaient du genre Klondike,

des allumettes soufrées en fagots de cent. ante. Elle fut soigneusement

alimentée par les plus petites brindilles et les plus fins débris, dorlotant la flamme avec un soin extrême. Comme il

le savait bien, il ne fallait pas faire les choses à la hâte, et bien que ses doigts fussent maintenant presque raides, il

ne se pressa pas.

5 : un pouce vaut 2,54 centimètres.

6 moins vingt degrés : environ moins 11 degrés centigrades.

7 : environ un litre.

ite :

Mais au moment où il ajoutait les premières branchettes au feu, une chose injuste arriva. Au-dessus de sa

tête, le pin portait le fardeau de quatre mois de neige, et ce fardeau était dans un équilibre si délicat que ses

La neige supportée par les branches du sommet fut la première à tomber, frappant et détachant la neige des

branches au-dessous. Et toute cette neige, accumulée au gré des chutes, tomba sur la tête et les épaules de Tom

Vincent et étouffa son feu.

cueillir chaque brindille et de la briser de ses deux mains entre les bouts de ses doigts. es difficultés à en séparer une du fagot. Il réussit cependant, au la neige et ne put la ramasser.

Il était debout, désespéré. Il ne pouvait même pas sentir son poids sous ses pieds bien que ses chevilles

fussent très douloureuses. Enfilant ses moufles, il fit un pas de côté de telle sorte que la neige en tombe pas sur le

ajouter les premières branches, ses mains se heurtèrent et la petite flamme fut éteinte. oufles par désespoir, et il reprit la piste. Cependant on ne peut

pas courir contre le froid les pieds humides par moins soixante et même plus froid, comme il le découvrit rapidement.

8. Si seulement il avait un camarade dont

pour démarrer le feu qui le sauverait. pouvait frotter une allumette, il pourrait s

main contre ses doigts et les força ainsi à descendre sur la fagot. A maintes reprises, le tenant par les deux mains,

involontairement sa prise. Le fagot tomba dans la neige, et

Il courut à nouveau, cette fois méchamment effrayé. Ses pieds étaient totalement dépourvus de sensation.

Une fois il cogna ses orteils contre une bûche enterrée, mais bien que cela le fît tomber dans la neige et lui tordît le

-dessus de la fourche de uver il serait sauvé. Cinq minutes plus tard il au mieux, à cette terrifiante température, il serait un cadavre glacé.

8 : le silence total.

que les allumettes brûlent ses mains ? Des mains brûlées valaient mieux que des mains mortes. Pas de mains du

avait des brindilles et des branches, des feuilles et des herbes, très sèches et attendant le fe

força les doigts inertes à se poser sur le fagot et avec le poignet, les maintint là. Au second frottement le fagot prit

de ses mains. sa chair aux feuilles et aux herbes.

Frottant alternativement ses mains avec de la neige et les enfonçant dans les flammes, et les frappant sans

couteau de chasse il coupa les courroies de son paquetage, déroula sa couverture et en sortit des chaussettes sèches

et des chaussures. il garda ses pieds suffisamment éloignés du feu et les frotta avec de la neige. Il frotter. ette nuit-là, il très " ne voyage jamais seul ! » maintenant il respecte le commandement du Grand Nord.

Jack LONDON, Construire un feu, version de 1902,

traduction de Bernard Mathieuquotesdbs_dbs4.pdfusesText_7
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