[PDF] Petite histoire de Boulogne-sur-mer





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Petite histoire de Boulogne-sur-mer

PETITE HISTOIRE. DE. BOIJLOGN E-SU R-MER. ÇVc GraVUres Carte et Ias w_ 11. - Document. -



Petite histoire de Boulogne-sur-mer

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HENRI MALOIauvÇai de j'Tnsf [fui

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BOtJLOGNE-SUR-MER

SociÇtÇ Typographique et Lithographique 35-37, rue Adolphe-Thiers -Administratnur A, BARET 1899

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CofIÇeffIt gçnçrac,

Offiaet De, Ca fscjiot 3'TCoitiicitt.

Ciizn JIçONSTEUR,

Vous avez bien voulu me faciliter la publication (lu travail que je présente aujourd'hui d mes Concitoyens; permettez-moi (le vous en offrir la dédicace, el veuillïz agréer, en m•me temps, les vifs reniereimen(s (le voire dévoué

HENRI MALO.

E:

Lo,miet, phot,

Fig. 2. - 1, havome D. }Taignl?ré

I listorjo!! du Iloulorinais.

PRéFACE

Nous ne pouvions, dans un ouvrage de ce genre, donner une bibliographie dÇtaillÇe des ouvrages et des documents que nous avons consultÇs pour l'Çtablir. Il convient donc d'en toucher quelques mots ici.- Dans l'ensemble, nous nous sommes servi (les diffÇrents mÇmoires et des notices parus dans la collection des Mémoires et du Bulletin de la SociÇtÇ AcadÇmique de Boulogne-sur-Mer. Nous -avons consultÇ plus particuliçrement pour la pÇriode prÇhistorique et la pÇriode ancienne la brochure de M. le D E. T. ïHarny, Boulogne dans l'Antiquité (Boulogne 1899 in-8), (Jili fait partie de l'ouvrage publiÇ par la Ville • l'occasion du Congrïs de l'Association franàaise pour l'Avancementeut des Sciences en 1899; pour l'archÇologie, le travail de M. C. Enlart paru dans le màme volume. Quant an Moyen-Age, nous avons utilisÇ nos travaux personnels, et aussi, pour les dÇtails inÇdits, lepremicr volume de l'Histoire (le la Marine franàaise de M. Charles de la Ronciçre. Pour les temps .modernes, nous avons consultÇ l'Histoire de Boilogne-sur-Mcr de, d'Hanttefeuille et BÇnard. Enfin nous mentionnerons spÇcialement les deux Dictionnaires de l'abbÇ D. 1-laignerÇ, auquel il faut toujours avoir recours lorsqu'on Çtudie un point quelconque de l'histoire de Boulogne. OLI$t

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Fig. 3-9. - Quelques boulonnais eÇlçb,e.s.

H. Caudsviée, phat.

INTRODUCTION

Un travers assez gÇnÇral • l'homme est de croire que le monde n'existe que depuis le jour oê il est nÇ, ce qui fait que chacun de nous est ÇtonnÇ, lorsqu'il a une idÇe, de s'apercevoir que d'autres-l'ont eue avant lui. Ce travers a une consÇquence regrettable, celle de rejeter toute, idÇe, toute le»on que le passÇ litS donne Or, de màme qu'ux arbre ne peut vivre sans ses racines, de màme une nation ne peut vivre sans son passÇ, oê gisent prÇci- sÇment les racines qui la font vivre actuellement. Notre exis- tence individuelle n'est qu'un rouage infime clans la vie (le ce grand corps qui s'appelle la nation.-- Pour que nous remplissions bien notre devoir de citoyen, il convient donc que nous vivions en connaissance de cause, c'est- •-dire en sachant oê nous devons tendre, d'aprçs les faits an- tÇrieurs • nous. Et ces faits, nous ne pouvons les connaitre que par une Çtude sÇrieuse- et approfondie. L'Çtude de l'histbire est par suite essentielle. Un Etat fort est celui qui sait allier l'amour et le respect du passÇ avec l'intuition des faits nouveaux, d'ordre matÇriel on intellectuel, (lui pro- duisent ce mouvement en avant de l'humanitÇ, le Progrçs. Il faut que chaque Fran»ais. connaisse les lignes gÇnÇrales de l'histoire de France. Mais cela ne suffit pas chaque Fran»ais doit conna - tre aussi, et plus particuliçrement, l'histoire du fragment de France, l'histoire de la province oê il nÇ. Chaque province a eu et n encore une vie propre, qui tient • son sol et • son ethnographie. C'est la vie de cette individualitÇ, parmi celles qui composent la nation fran»aise, qui s'appelle le Boulonnais, que nous avons voulu prÇsenter, et surtout populariser, dans le travail qui va suivre.

8INTRODUCTION

Mais, auparavant, il est quelques idÇes gÇnÇrales que nous dÇsirons exposer fi ce sujet. Le fait qui domine l'histoire de Boulogne est la persistance et l'intensitÇ de sa vie municipale. Dçs que la ville fut constituÇe en citÇ romaine, elle eut une organisation municipale. Cette organisation se maintint • travers l'Çpoque franque, car les conquÇrants germains n'agirent pas directement sur les villes ils habitaient les campagnes, et n'occupaient dans un pays que les points stratÇgiques oê ils pouvaient le plus facilement per- cevoir les impôts sur les marchandises qui circulaient. L'organisation municipale romaine subit peu de changements chez nous, et le premier comte qui donna aux bourgeois une charte de commune, Renaud de Dammartin en 1203; ne crÇaï pas une commune, mais reconnut simplement un Çtat (le choses existant. Pendant les luttes de la fÇodalitÇ contre la royautÇ, la muni- cipalitÇ boulonnaise comprit l'intÇrÇt de la France et se rangea toujours du côtÇ du pouvoir royal qui reprÇsentait l'unitÇ fran- »aise A l'Çpoque des, guerres de religions, la ville, malgrÇ la domination passagçre des. factions rivales, appartint au tiers- parti, • celui (lui finit par l'emporter avec l'ienri l\T. Elle con- tribua ainsi pou!' sa part ii la crÇatiozi tic cette unitÇ fran»aise qui a fait notre force, et elle n'en fut pas diminuÇe prÇcisÇment parce que l'intensitÇ de sa vie municipale la mit • l'abri (le, la centralisation peut-Çtre excessive crÇÇe par la royautÇ et ren- forcÇe par la Convention et NapolÇon 1er. Une des premiçres consÇquences de cet Çtat de choses fut un patriotisme ÇclairÇ (liii se manifesta merveilleusement Û l'heure du danger, sans tenir compte du concours actif fourni par les Boulonnais aux armÇes de France aux heures critiques de'i'his- foire: il suffit de se rappeler la belle conduite de tous, et cii particulier du mayeur Eurvin, lors du siçge de la ville par Henri VIII d'Angleterre en 1544 : ils donnçrent alors in des plus beaux exemples de courage et de civisme (lue 1105 'annales aient • enregistrer, et dont nous pouvons • bon droit Çtre fiers. Avant de passer fi l'histoire de Boulogne proprement (lite, nous allonsjeter un coup d'oeil sur la biographie (le quelques boulonnais cÇlçbres. n

QUELQUES BOULONNAIS CÈLÈBRES

CAMPAIGNO (famille de). èCette famille a donnÇ an Boulon- nais huit sÇnÇchaux, de 1597 • la RÇvolution. Elle Çtait d'origine italienne, et les guerres contre les Sarrazins lui avaient valu le nom de Fatras. L'un de ses membres offrit ses services • Charles VII, et s'Çtablit en France; son petit-1115 prit, sous Louis XII, le nom de Campaigno, d'une terre qu'il possÇdait. Les cieux plus illustres membres de la famille furent les deux frçres, Michel et Bertrand de Patras de Campaiguo; le premier avait ÇtÇ surnommÇ le Chevalier Noir, probablement • cause (le la couleur de son armure. Dis qu'il eut ÇtÇ nommÇ SÇnÇchal du Boulonnais, il fit une rude guerre aux Espagnols pour les, Çloi- gner de la ville. Malheureusement, il re»ut presqu'aussitôl, en

1597, un coup de lance • la tàte eu dÇfendant contre des cava-

liers espagnols le passage du pont de Cuverville., au-dessus de Cii isendalle ; on l'emporta mourant au hameau appelÇ le Lueq uet. Son frçre Bertrand lui succÇda dais sa charge de SÇnÇchal. Depuis longtemps, il s'Çtait signalÇ comme un vaillant capitaine. Alors que la position de du Bernet Çtait prÇcaire • Boulogne, par suite des altaques des ligueurs, ôul'avait envoyÇ fi son secours; une premiçre fois, il fut battu • Abbeville, et ne put availcer une seconde fois, Çtant gouverneur du château cl'ûtapies, . alors que du Bernet Çtait complçtement assiÇgÇ par les ligueurs, Bertrand de Canipaigno gagna Calais par mer, et de l• se porta sur Boulogne, oê, par la porte F'lamengue, il rÇussit • faire entrer un bon nombre de soldats dans la place. Pour le rÇcompenser, Henri 1V, en le nommant SÇnÇchal, lui donna les rentes de terres appartenant • des seigneurs lancÇs dans le pati espagnol (1597).r Bertrand de Campaigno s'entendit toujours avec l'Çchevinage pour maintenir Boulogne en bon Çtat de dÇfense, et garder la

10QUELQUES BOULONNAIS CÇLéBRES

ville au toi. Sous la rÇgence (le Malle de MÇdicis, il prenait des mesures sÇrieuses • l'encontre (lit le duc d'épernon, qui projetait sur Boulogne un coup de main, lorsque la. mort vint le surprendre, en 1617. Aprçs lui, la fonction de SÇnÇchal fut sÇparÇe tic celle de gouverneur de la ville. DAUNOU (Pierre - Glande - Frauàois). - NÇ â Boulogne le

18 aoÛt 1761, mort ç Paris le 20 juin 1840. 11 fit ses Çtudes au

Collçge (les Oratoriens, et fut ordonnÇ prçtre. Lorsqu'arriva la RÇvolution, il s'empara tics idÇes nouvelles ; en 1791, nous le voyons grand-vicaire tic l'ÇvÇque. constitutionnel du Pas-de- Calais. Il se fit remarquer • Boulogne au Club des Amis de la Constitution, ce qui i ni valut d'çtre nommÇ dÇputÇ • la Con- vention Lorsquil eut • se prononcer sur le sdrt. tic Louis XVI, il vota la dÇtention du roi ; ce vote et ses protestations lois (le la chute des Girondins lui attirçrent li nimitiÇ du Gouvernement de la Terreur, qui le fit emprisonner ; sa dÇtention dura prçs d'un an. Il avait ÇtÇ l'ami de ChÇnier. Daunou fut le principal auteur de la Constitution de l'An III vingt-sept dÇpartements le nommçrent au Conseil (les Cinq- Cents, qui l'Çlut (le suite soit Vers cette Çpoque, le Directoire l'envoya • Rome comme commissaire, avec la mis- sion d'organiser la RÇpublique. En 1798, il fut rÇÇlu ail Conseil tics Cinq-Cents. Daunou Çtait trop un modÇrÇ pour rÇsister • Bonaparte ; il se soumit ail jeune gÇnÇral triomphant, et Çcrivit sous sa dictÇe ï la Constitution de l'an N'ill. Il n'accepta pas le siçge ait Conseil d'Etat qu'on lui oflra it, et prÇfÇnÉ entrer au Tribunat, oê il ï siÇgea sur les bancs de l'opposition il Fut ÇliminÇ en 1802. Il obtint peu aprçs en compensation la garde de la Bibliothçque du PanthÇon ; ses qualitÇs de penseur, tic littÇrateur, d'historien, purent alors se donner libre carriçre. En 1804, on le nomma archiviste (lit lÇgislatif, et, en 1807, archiviste de l'Empire. il accepta la croix (le la LÇgion d'honneur, mais refusa la place de censeur impÇrial. La Restauration le destitua cii 1815 ; on lui confia cependant en 1819 la chaire d'histoire et de morale au Collçge de Fiance; la RÇvolution de 1830 lui rendit soit d'archiviste tin royaume. il avait ÇtÇ Çlu dÇputÇ en 1818 ; il le fut jusqu'en

QUELQUES BOULONNAIS CéLÈBREil

1834, Çpoque Ç laquelle il renon»a Ç hi dÇputation. En 1832,

l'AcadÇmie des Sciences Momies et Politiques l'admit dans son sein, et, en 1838, l'AcadÇmie des Inscriptions en lit son secrÇ- taire perpÇtuel. Enfin, en 1839,1839, il obtint un siçge â la Chambre des Pairs. Voici la liste de- ses principaux ouvrages: de l'influence de BoUcau sur la littérature franàaise (1787) ; Memoire sur l'origine, l'étendue et les limites (le l'autorité paternelle (1788); Essai sur l'instruction publique (1793) ; Essai sur la puissance temporelle (les Papes (1809) ; Essais sur les garunlies individuelles que réclame l'état (Iduel de la société (1819) ; Analyse des opinions diverses sur l'origine (le limprimerie (1802) ; - Coursd'études historiques (1842 Ç 1846, Çdition posthume). Daunou a Çcrit, en outre, de nombreux rapports lÇgislatifs, des brochures, des articles au Journal des Savants et au Journal Encyclopçdique. Il collabora aussi au Recueil des Historiens (le la Fiance et • l'Histoire littéraire de la France. DuCHENNE: (Guillaume-Benjamin). - NÇ • Bdnlogne en 1806, il lut recu docteur • Paris en 1831 et revint exercer dans sa ville natale. En 1812, 11 se fixa dÇfinitivement • dParis oê il s'occupa spÇcialement des questions Çleetro-physiologiqtics. Il se servit de la photographie instantanÇe. Ce fut un prÇcurseur. li crÇa l'Çlec- trothÇrapie. L'institut lui dÇcerna plusieurs prix, et il re»ut la croix- de la LÇgion d'Honneur en 1858. 11 mourut • Paris le

18 septembre 1875.

Il Çcrivit beaucoup dans les jou ruailix de mÇdecine, et publia un certain nombre de travaux sur les questions spÇciales quiquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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