DOCUMENT 1 b) Le travail est source de revenu Lintégration dans
Le travail a donc une fonction de socialisation cad « le processus par lequel un Le sociologue Emile Durkheim a proposé une analyse approfondie de ces ...
Comment la socialisation contribue-t-elle à expliquer les différences
mis de définir la socialisation de montrer que c'est un processus et de Durkheim É.
1 ? La problématique ? Emile Durkheim : un auteur une pensée et
Selon Durkheim la division sociale du travail unit les individus dans Traditionnellement
SOCIALISATION
du pouvoir de l'éducation comme pouvoir de socialisation
La socialisation démocratique contre la forme scolaire
En poursuivant ce travail anthropologique sur les formes de transmission et en reprenant les recherches sociologiques (Durkheim sur l'école à proprement
La théorie durkheimienne du lien social à lépreuve de léducation
6 nov. 2009 dans l'accomplissement du processus de socialisation. 20. Durkheim L'éducation morale
Comment se construisent et évoluent les liens sociaux ?
Durkheim Emile De la division du travail social
Socialisation et conflit: Les systèmes éducatifs et leur histoire selon
377. Rarement theorie sociologique a ete aussi unilateralement comprise que la theorie durkheimienne des systemes educatifs (1) alors que
La socialisation
Réponse de Durkheim : la société préexiste à l'individu le social exerce une contrainte sur l'individu. Le lien social lie de manière durable les individus par
LA SOCIALISATION
Durkheim Éducation et sociologie
[PDF] 1 ? La problématique ? Emile Durkheim : un auteur une pensée et
Selon Durkheim la division sociale du travail unit les individus dans Traditionnellement la famille était l'instance de socialisation par excellence
[PDF] La théorie durkheimienne du lien social à lépreuve de léducation
6 nov 2009 · Cherkaoui M 1976 « Socialisation et conflit : les systèmes éducatifs et leur histoire selon Durkheim » Revue française de sociologie XVII
[PDF] Division du travail inégalités sociales et ordre social Note sur les
5 nov 2009 · Une question centrale de la sociologie durkheimienne est celle des conditions de l'ordre et de l'intégration dans un type de société caractérisé
Socialisation - Cairn
Résumé : La notion de socialisation formulée en définition de l'éducation É Durkheim De la division du travail social Paris Alcan 1893 p
[PDF] LA SOCIALISATION - Dunod
Dans l'optique d'Émile Durkheim ce processus est un processus orienté qui pointe dans une certaine direction : il s'agit pour l'enfant d'acquérir un « rôle
[PDF] Comment la socialisation contribue-t-elle à expliquer les différences
2 avr 2020 · La socialisation secondaire représente le processus d'évolution de la Durkheim É De la division du travail social PUF Quadrige
[PDF] Durkheim et léducation
29 nov 2017 · socialisation autant que sur le sujet en éducation en effet depuis 1893 dès la rédaction de sa thèse La division du travail social
[PDF] INTEGRATION ET SOLIDARITE : Émile DURKHEIM (1858-1917)
On retiendra de Durkheim l'idée d'une division sociale du travail qui unit certaines normes sont intériorisées à travers le processus de socialisation
[PDF] La socialisation - APSES
Réponse de Durkheim : la société préexiste à l'individu le social exerce une contrainte sur l'individu Le lien social lie de manière durable les individus par
[PDF] JE Durkheim & la socialisation - appel à communications - Calenda
Néanmoins la rareté de l'emploi du vocable explique vraisemblablement la variété des points de vue sur ce que le sociologue a pu entendre sur un plan
Qu'est-ce que la socialisation selon Durkheim ?
Dans l'approche durkheimienne, la socialisation est un processus par lequel la société attire à elle l'individu, à travers l'apprentissage méthodique de règles et de normes par les jeunes générations ; elle favorise et renforce l'homogénéité de la société.Pourquoi Durkheim nomme le monde du travail le grand intégrateur social ?
Alors qu' y voit un moyen d'accroître la productivité et les richesses produites, durkheim la conçoit comme un phénomène social reposant sur le partage des fonctions jusque-là communes à tous les individus. la division du travail augmente la solidarité et l'interdépendance entre les membres d'une société.Quelle est la théorie de Durkheim ?
Dans sa forme générale, le lien social pour Durkheim consiste dans la combinaison de deux types de relations entre les individus et la société – l'intégration et la régulation – exprimées statistiquement par deux variables liées mais autonomes.Les 3 modes de socialisation sont :
l'imitation, les enfants imitent en général leurs parents ou les adultes avec lesquels ils sont en contact;l'injonction, les parents donnent des ordres aux enfants;l'interaction, les individus se comportent les uns en fonction des autres.
La socialisation
Thème & débat, 2008
D.Bolliet et S.P Schmitt
Comment des groupes d'individus forment une société ?Réponse : par la socialisation. La société agit sur nous pour faire de nous des êtres sociaux.
Du coup, cela pose la question du déterminisme et de la liberté dont l'agent dispose. I)La société fait-elle de nous des êtres programmés ? •La socialisation comme contrainteDurkheim a deux préoccupations :
1)Donner des fondements scientifiques à la sociologie
2)Répondre à la question de la cohésion sociale dans une société qui connaît de grand
bouleversement. Quelles sont les conditions qui permettent d'assurer la continuité de la société, de
continuer à intégrer les individus, alors que la logique sociale les pousse à être différents les uns des
autres.Réponse de Durkheim : la société préexiste à l'individu, le social exerce une contrainte sur
l'individu. Le lien social lie de manière durable les individus par un système de solidarité. Une
conscience collective est nécessaire à la cohésion sociale. Il existe des normes et des valeurs communes qui nes ont pas innées mais transmises etintériorisées. Parfois cela devient même une habitude. Par exemple s'habiller le matin constitue une
norme intériorisée.La socialisation est un phénomène universel, la société a besoin que ses membres se ressemblent un
minimum. Parsons veut faire une théorie générale de la socialisation. Il s'inspire de : -Durkheim: chaque élément de la société rempli une fonction qui assure l'harmonie -Weber : les actions humaines sont orientées vers des buts et répondent à des normes et impliquent à des motivations.Pour Parsons, l'action humaine prend son sens dans l'interaction, or pour avoir une interaction il faut
des normes communes et un code commun pour échanger (par exemple avec le même langage).La socialisation doit répondre à ;
1)Une latence : la socialisation doit assurer la stabilité des normes pour avoir un cadre
prévisible d'action.2)Une intégration : la socialisation doit permettre la coordination
3)Un " goal attainement » : la socialisation doit permettre l'adaptation des individus à
leurs envies.4)Une adaptation : la socialisation doit permettre la définition des buts de l'action.
Le courant de l'anthropologie culturaliste avec M. Mead. Il existe des personnalités féminines et
masculines naturelles mais s'inscrivent dans une société qui définit les rôles (Par exemple la
douceur chez les Arapesh = vertu à la fois de l'homme et de la femme, en France on associe par contre l'image de la douceur à celle de la femme).La socialisation produit des personnes adaptées à un contexte social et détermine les structures
mentales qui caractérisent la personnalité des individus.Bourdieu a une conception déterministe, la société façonne les individus. Développe son idée via la
notion de l'habitus qui est une intériorisation de structures objectives mais qui permet d'agir.Mais la théorie de Bourdieu s'inscrit dans une théorie de la domination, chez lui la société est
composée de différents milieux sociaux.Il existe une socialisation différente selon le milieu social, la position sociale. Chaque habitus est
différent (bourgeoisie, petite bourgeoisie, milieux populaires).Il y a donc une double reproduction : la socialisation est au coeur de la continuité des structures
sociales et la transmission d'habitus différents entraîne une reproduction des milieux sociaux.
Limites de toute ces théories qui voient l'individu programmé : la seule façon de penser le
changement social passe par des facteurs exogènes (comme des changements d'envie). De plus, dans la société , il y a une pluralité de valeurs qui sont en concurrence. •Marge de l'individu et socialisationBoudon, l'action individuelle est l'unité de base de l'analyse sociologique. On parle d'acteur ici et
non d'agent. La rationalité de ces acteurs dépend de la position de ceux-ci : exemple les stratégies
scolaires différent selon le milieu social des familles. Il y a un effet de position, il n'y a pas un rejet
total de la socialisation car rien n'interdit de penser que les choix des filières viennent de dispositions acquises dans le milieu familial : effet de disposition.→ Le système social offre à la fois des opportunités et des contraintes, la socialisation étant un
paramètre parmi d'autres.Touraine et Dubet insistent sur le rôle de l'expérience dans la construction des individus. Ils ne
sont pas de simples supports aux structures sociale, ils se construisent dans l'interaction et l'expérience.Lahire : " L'homme pluriel » . 2005. L'individu intériorise des habitus et pas un seul. Les acteurs se
caractérisent par la rencontre d'une pluralité de contextes venant de mondes sociaux différents et
donc de lieux de socialisation différents (exemple : l'homme d'affaire joueur de foot le dimanche).
Lors des expériences, l'individu enregistre des schèmes (des manières de penser et d'agir) propres à
chaque action et qu'il réutilise quand il est dans en situation. Le contexte a des effets inhibiteurs sur l'habitus.On dépasse le dilemme déterminisme ou liberté, les individus sont libres mais pas libres de faire
n'importe quoi.Kaufmann. " Pour une sociologie de l'individu » , 2001. L'homme pluriel devient un homme
d'habitude. L'habitude correspond à des schèmes et des actions incorporés qui régule l'action des
individus. Les habitudes ne sont pas une pure répétition toutefois, elles s'actualisent.L'intériorisation d'un schème est quelque chose de long car il entre en conflit avec d'autre, l'individu
doit y réfléchir.La socialisation est un processus d'incorporation, des habitudes qui sont activées selon le contexte
social pour réguler l'action. II)La socialisation s'achève t'elle à l'enfance ? •L'enfance: le moment privilégié Tous les sociologues et psychologues sont d'accord sur ce point. La socialisation permet auxindividus de tenir une place dans la société et d'assurer la continuité du lien social au travers des
générations, car les générations s'entrecroisent ; la société est un continuum. Il n'y a pas de table rase, l'interaction entre les générations maintient la société.Durkheim. La société est caractérisée par l'action éducatrice des générations anciennes sur les
jeunes générations. Il faut donc que la société mette en place des institutions spécialisées dans
l'éducation = l'école. La socialisation ne se contente pas de transmettre des normes et des valeurs,
elle est le moment où l'individu se structure comme étant social. L'école doit construire
l'attachement à la Nation en plus d'inculquer des normes et des valeurs ainsi que " l'esprit dediscipline », c'est-à-dire qu'il faut intérioriser les normes et les dispositions à intérioriser les normes.
La socialisation ne peut pas se faire en dehors de la relation entre l'autorité morale d'un adulte et
l'enfant.Bourdieu. La socialisation assure la reproduction de la société et elle est au coeur de la reproduction
sociale. La socialisation dans l'enfance pèse alors de tout son poids sur le destin des individus.
Théorie de la domination sociale : la société est un système de position avec des dominants et des
dominés. La socialisation correspond à la transmission de capitaux : économiques, culturelles et
sociales et symboliques ; ce sont des ressources déterminantes dans la destinée des individus.La famille et le milieu social d'origine vont donner leur capital économique, culturelle, social et
symbolique ce qui va déterminer la réussite et le statut social. •La socialisation, un processus inachevéSocialisation primaire : au sein d'un groupe de pairs, relation affective. Les individus y
intériorisent les codes, les schémas de base comme le langage, les dispositions qui leurs permettent
de se repérer dans le monde social. Famille, bandes, écoles = groupe de pairs.Socialisation secondaire : souligne le fait que la socialisation ne s'arrête pas à l'enfance. La
socialisation secondaire est le processus qui permet aux individus de s'intégrer à ces sous mondes
sociaux spécialisés ; = une étape qui permet d'endosser de nouveaux rôles.Le concept d'identité. L'identité se construit autour de 3 dimensions, triangle avec trois côtés :
1)Moi2)Nous
3)Autrui
L'identité est pour soi car elle renvoie à l'image de soi. Elle est pour autrui car elle est aussi une construction de l'image que nous voulons renvoyer aux autres.De plus, elle se construit toujours dans l'interaction ; l'identité est donc une construction sociale.
Les études sur la socialisation politique montrent que la socialisation est un processus complexe qui
construit les individus tout au long de leur trajectoire. Les opinions politiques de forgent dans l'enfance.A. Muxelle " l'âge d'or des choix politiques » , 1992. S'intéresse aux 18-25 ans qui est l'âge de la
transition entre la socialisation politique de l'enfance et l'exercice des droits politiques. Cette phase
de transition est le produit à la fois de la filiation politique ( = contexte familial, type d'éducation
politique, transmission du rôle de citoyen). Elle montre que l'origine sociale est un déterminant fort
de l'inscription sur les listes électorales et l'expérience vécue joue aussi un rôle. Par exemple les étudiant votent plus que les jeunes chômeurs. III)Comment se transforment les formes identitaires dans les sociétés contemporaines? •Les formes identitaires dans les sociétés individuelles Les sociétés modernes sont des sociétés individualistes.Tocqueville. La démocratie transforme la société, elle met en avant deux nouvelles valeurs :
l'égalité et la liberté.Nouveau concept de l'autorité : elle est pré légitime, les choix doivent découler
des individus eux-mêmes et comme tout le monde est égaux il y a une souveraineté populaire. De plus, cela renforce l'émancipation des individus de toute autorité. Durkheim. Le processus de modernité demande une différenciation des fonctions sociales quitransforment la nature du lien social. La cohésion sociale repose sur la complémentarité des
fonctions = solidarité organique. La société produit des individus émancipés dont elle a besoin our
remplir des fonctions différentes.Limites : Pour Tocqueville et Durkheim l'émancipation et le développement de l'individu peuvent
entraîner un risque d'isolement et de repli sur soi.Pour Elias, le processus de civilisation = la modernité et a conduit à la production d'une société
d'individus. •Processus de rationalisation et formes identitaires Max Weber. La modernité est un vaste processus de rationalisation. Les activités rationnellesl'emportent sur les autres dans toutes les sphères de la société via une transformation des mentalités.
La modernité occidentale correspond en une croyance dans la raison humaine qui repose sur unmode de connaissance spécifique : la science. La modernité créée un nouvel homme qui calcule et
qui a des schémas de pensée scientifique. Notion de désenchantement du monde chez Weber a deux lectures : -C'est une désacralisation du réel, les choses peuvent être connues sans passer par le divin, les dieux deviennent inutiles pour expliquer le monde. Cependant, la science n'apas de réponses à la question du bien et du mal → " la guerre des dieux », pluralisme des
valeurs, mise en concurrence de systèmes de valeurs différents. Les valeurs deviennent du domaine du choix personnel. -C'est un regard critique sur le monde où il y a une domination des actions rationnelles. Nouveau monde sans idéal, sans grande cause, pù la bureaucratie domine, le monde devient dépouillé de toute signification. IV)La famille remplit-elle encore son rôle de socialisation ? •L'importance de la socialisation familialeBesoin de famille dans un contexte de travail flexible. Le travail est un élément pilier du lien social
et définit fortement l'identité de l'individu = identification statutaire. Or, la flexibilité et la
précarisation font que le travail n'est plus autant un pilier.Martin Carnoy, Dans quel monde vivons-nous ? , 2001 : dans ce contexte on a besoin d'une famille
stable pour que l'individu continue (par exemple) à garder du lien social pendant une période de
chômage. •Fragilisation apparente de la socialisation familiale et crise des identités sexuées La forme du lien familial a évolué avec la hausse de l'individualisme et de la démocratie.Le couple fonctionne désormais sur la base de l'échange et de l'estime réciproque. Chacun a son
autonomie, son espace, les rythmes de vie sont de plus en plus différents. Le temps familial n'est plus strictement collectif, par exemple chacun se sert dans le frigo pourmanger. Le rôle des parents n'est plus associé à l'exercice de l'autorité ; l'éducation est moins stricte
ou trop souple avec développement de l'enfant roi. L'autorité se légitime plus par l'expérience et se
pratique sur le mode de la négociation.Les conséquences négatives de ces évolutions : Notion d'individualisme négatif chez Castel : la
famille perd toute signification en tant que institution créatrice de solidarité et devient un instrument
pour l'individu. Une autre cause de l'évolution de la sphère familiale est l'émancipation des femmes : -par l'accès à l'emploi, + de 80% des femmes travaillent. Le temps consacré au travail est entré en concurrence avec le temps familial surtout quand certains horaires deviennent très incompatibles (travail de nuit par exemple) -émancipation par la maîtrise du corps : dans les années 70, on a eu une évolution dudroit de la famille avec des nouvelles formes de famille. On a assisté à une
desinstutionnalisation de la famille avec le déclin du mariage, la montée des divorce, l'apparition des familles monoparentales, le développement des couples non mariés et la montée des enfants hors mariage.La socialisation familiale a été mise en concurrence. La famille est une institution de socialisation
parmi d'autres, car les individus, en particulier les jeunes, sont de plus en plus en contact avec d'autres instances de socialisation (groupe de pairs, médias, école...).On assiste aussi à un déclin de la culture ouvrière chez les jeunes : Schwartz, Beaud, Pialoux.
Ceux-ci sont plus vulnérable à la précarité et au chômage et les renvoie à une image dévalorisée. La
condition des parents n'offre plus une référence aux enfants ce qui peut provoquer des tensions.
De plus, avec l'éducation, il peut arriver un déchirement entre l'identité et le milieu social. Double
déchirement si les aspirations du modèle éducatif n'amènent pas au résultat escompté.
•La famille socialise toujours mais autrementF. De Singly. Le soi, le couple et la famille, 1996. Il rejette l'idée d'une individualisation négative.
Pour lui, la quête de soi implique toujours la reconnaissance d'un autre. Cette reconnaissance, cette
confiance, se construit pour beaucoup grâce à l'amour conjugal et aux parents. Il met en avantl'importance de la cohabitation car on y apprend le vivre ensemble et des compétences sociales (par
exemple comment écouter de la musique sans gêner les autres).Il parle de socialisation par flottement qui correspond à un processus d'apprentissage dans la vie
commune de la sensibilisation aux autres.La famille reste un point d'encrage, un lieu de mémoire. Les solidarités familiales restent fortes.
Au sein de la famille les individus se construisent des racines où se forgent des identités. La
cohabitation avec les grands parents est une aide et un maillon de la chaîne des générations. La
famille est un lieu de mémoire où se transmet des souvenirs qui ancrent les identités dans un passé
commun.Notre société n'a pas renoncé à faire de la famille un dispositif de socialisation de ses membres.
La politisation de la famille. La famille est un enjeu politique. L'État prolonge l'émancipation des
individus (par exemple en facilitant le divorce) et cherche à protéger les enfants de l'expérience d
divorce (droit des enfants) ainsi qu'à stabiliser la filiation.Les États Scandinaves ont développé des aides publiques pour les familles : crèches, congé
maternité... Les familles ont à remplir leur rôle de socialisateur alors qu'aux USA la famille est plus
privée et l'État intervient moins (peu de crèches publiques). V)L'école, une instance de socialisation en crise ?Notre société a un rapport ambivalent envers l'école car on a encore en tête l'idéal républicain de
Jules Ferry. De nombreux espoirs se cristallisent dans l'école alors qu'il existe de nombreux problèmes comme l'égalité des chances. •Le projet scolaire initial : faire une nationL'école est une instance clé de la socialisation des citoyens. Pour Durkheim, toute société a besoin
de ressemblance pour exister, toute société a besoin de valeurs communes pour créer du lien.
La Nation ne peut pas se développer sur les seules bases d'un lien sociétaire, la Nation s'appuie
aussi sur un sentiment d'appartenance.Parallèle ici avec Condorcet pour qui l'accès à la connaissance la plus haute fonde la citoyenneté.
Jules Ferry, lois scolaires de 1980, 81, 82, école laïque et obligatoire : l'objectif est d'instituer la
Nation en socialisant les jeunes générations et en les préparant à devenir de futurs citoyens. Unifier
la Nation dans une même langue et une même culture. L'objectif n'est pas de promouvoir l'égalité
des chances et l'objectif de professionnalisation est faible.Une instance de socialisation en crise. A la fin de la 1ère Guerre Mondiale, l'objectif d'intégration
nationale semble atteint. L'école est l'objet de tensions suite à des transformations sociétales qui
modifient les demandes vis à vis de l'école. Il s'agit même de logiques contradictoires.Chômage élevé, discrimination à l'embauche, lien Nation-citoyen qui ne va pas de soi... l'école est
traversée par des revendications identitaires. Le fait de faire de l'éducation civique c'est mettre en
avant le fait que l'école doit offrir une culture commune permettant l'intégration. De plus, on
demande à l'école de former les élèves et d'avoir un meilleur capital humain pour accéder au marché
du travail. L'école doit enfin insérer et promouvoir l'égalité des chances. •De nouveaux défis à l'écoleL'efficacité de la socialisation dépend de la volonté du socialisé de recevoir le message que l'on lui
adresse. Sous la III ème République, l'école devient le dispositif privilégié de transmission des
valeurs = dispositif légitime de socialisation.Avec la massification, l'école devient en plus l'élément qui distribue les statuts et les places.
Différentes socialisations selon le futur métier. La scolarisation devient un enjeu concernant entre autres les familles.Dans le même temps l'autorité conférée à l'école diminue, il existe une revendication de
l'autonomie, d'épanouissement etc. Il existe donc 3 demandes sociales à l'école qui sont parfois contradictoires :1)L'intégration par la transmission d'une culture commune
2)Formation pour le marché du travail
3)Construction d'une identité personnelle
Dubet, 3 registres de motivation (croissant) parallèle avec les 3 demandes.1)Dimension de l'utilité, l'école donne des diplômes.
2)Degré d'adhésion des élèves à la culture scolaire, plus la distance culturelle entre l'école et la
famille est faible, plus il apparaît naturel de travailler à l'école.3)Les élèves peuvent travailler par intérêt intellectuel, par vocation.
→ C'est l'élève lui-même qui construit ses motivations, ce n'est pas donné, acquis.quotesdbs_dbs45.pdfusesText_45[PDF] formation des délégués de classe powerpoint
[PDF] antigone jean anouilh hda
[PDF] les misérables victor hugo pdf
[PDF] joseph vernet le port de bordeaux biographie
[PDF] les misérables livre entier
[PDF] socialisation verticale
[PDF] individualisme positif et négatif
[PDF] socialisation verticale def
[PDF] individualisme universaliste et particulariste
[PDF] socialisme communisme et syndicalisme en allemagne depuis 1875 composition corrigé
[PDF] l ami retrouvé livre complet
[PDF] socialisme et communisme en allemagne depuis 1945 composition
[PDF] pourquoi linfidélité dans le couple
[PDF] etre infidele definition