[PDF] [PDF] Adieu Yalta ? La France la détente et les origines de la Conférence





Previous PDF Next PDF



la CONFERENCE DE YALTA décidait de la paix du monde

28 févr. 2022 la CONFERENCE DE YALTA ... Le 4 février à Yalta



Vous avez vécu cela: la conférence de Yalta (RTL 31 mars 1961)

4 juil. 2016 La conférence de Yalta. [Winston Churchill] Yalta ! Yalta une trouvaille ! Vous connaissez Yalta ? [Malcolm] Et bien



Protocole des travaux de la Conférence de Yalta (11 février 1945)

1 janv. 1999 Protocole des travaux de la Conférence de Yalta (11 février 1945). Source: Notes et études documentaires. dir. de publ.



SUR LA CONFÉRENCE DE YALTA

SUR LA CONFERENCE DE YALTA(1). Celle de Munich mise ? part aucune des confrontations diplomatiques internationales du xxe siede ? pas meme la Conference de 



SUR LA CONFÉRENCE DE YALTA

SUR LA CONFERENCE DE YALTA(1). Celle de Munich mise ? part aucune des confrontations diplomatiques internationales du xxe siede ? pas meme la Conference de 







le role des etats-unis dans les conferences - de malte et de yalta

La conference de Crimee connue sous le nom de conference de Yalta



Yalta de léchec au mythe dans Le Monde (5 février 1985)

2 juil. 2015 Légende: Du 4 au 11 février 1945 la Conférence de Yalta réunit Winston Churchill



Sans titre

De ces conférences l'on re?endra la Déclara?on sur l'Europe Libérée et le refus La conférence de Yalta se ?ent en URSS entre les 4 et 11 février 1945.



[PDF] la CONFERENCE DE YALTA décidait de la paix du monde

28 fév 2023 · Le 13 février Roosevelt Chur- chill et Staline s'expliquaient : la conférence des Trois a débu- té le 4 février à Yalta en Cri-



SUR LA CONFÉRENCE DE YALTA - JSTOR

SUR LA CONFERENCE DE YALTA(1) Celle de Munich mise ? part aucune des confrontations diplomatiques internationales du xxe siede ? pas meme la Conference de 



[PDF] Protocole des travaux de la Conférence de Yalta (11 février 1945)

1 jan 1999 · Protocole des travaux de la Conférence de Yalta (11 février 1945) Source: Notes et études documentaires dir de publ



Accords de Yalta 11 février 1945 MJP

La conférence de Crimée plus connue comme la conférence de Yalta s'est tenue du 4 au 11 février 1945 entre les trois Grands : Roosevelt Churchill et 



[PDF] JOURNAL OFFICIEL - Sénat

Lisez le compte rendu de la conférence de Yalta En face d'un Staline eu pleine possession de ses moyens maître incon- testé d'une Russie à son entière 



Accords de Yalta - Perspective Monde - Université de Sherbrooke

Série de textes concernant la conférence de Yalta tenue en 1945 entre les dirigeants des futurs pays vainqueurs de la Deuxième Guerre mondiale: Winston S



[PDF] Histoire: La conférence de Yalta I/ Les décisions territoriales

Histoire: La conférence de Yalta I/ Les décisions territoriales: Allemagne Pologne et Extrème-Orient: Etudions le sort de l'Allemagne tout d'abord: on la 



[PDF] Accords secrets conclus à la conférence de Yalta - BAnQ

Staline annonce qu'un nouveau plan quinquen nal «era bientôt approuvé — Le programme d'in dustrialisation de la Russie — Causes des guerres Moscou 11 iP



[PDF] Adieu Yalta ? La France la détente et les origines de la Conférence

France Detente and the Origins of the Conference on Security and Cooperation in Europe 1965-1975 Abstract From 1965 the USSR sought to take advantage of 



[PDF] Commentaire de document Thème La conférence de Yalta (4-11

Cette conférence réunit les trois grands chefs alliés de la seconde guerre mondiale : Roosevelt Churchill et Staline Roosevelt réélu en novembre 1944 pour 

  • Quelles sont les 3 grandes décisions prises lors de la conférences de Yalta ?

    adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale ; régler le sort de l'Europe après la défaite du Troisième Reich ; garantir la stabilité du nouvel ordre mondial après la victoire.
  • Quelle est le but de la conférence de Yalta ?

    Signés en février 1945 par les Américains, les Britanniques et les Soviétiques, les accords de Yalta prévoient notamment, devant la défaite inéluctable de l'Allemagne, le partage de celle-ci en quatre zones d'occupation, ainsi que l'entrée en guerre de l'Union soviétique contre le Japon.
  • Pourquoi la France n'a pas été invitée à la conférence de Yalta ?

    La France doit en effet son absence à Franklin Roosevelt. Le président américain nourrissait une aversion particulière pour le général, qu'il considérait, selon certains historiens américains, comme un "apprenti dictateur", seul et autoritaire.
  • le principe d'un démembrement de l'Allemagne, d'un partage de l'Europe en zones d'influence et du déplacement de la Pologne vers l'ouest ; le rejet par Staline et Roosevelt du projet britannique d'offensive par la Méditerranée et les Balkans ; l'organisation d'un débarquement en Normandie en juin 1944 .

UNIVERSITE SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3

ED 514 - Ecole doctorale des Etudes anglophones, germanophones et européennes EA 2291 - Intégration et Coopération dans l'Espace Européen

Thèse de doctorat en histoire contemporaine

Nicolas BADALASSI

Adieu Yalta ?

La France, la détente et les origines de la

Conférence sur la Sécurité et la Coopération en

Europe,

1965 - 1975.

Sous la direction de Frédéric BOZO

Soutenue le 3 décembre 2011

Membres du jury :

- Madame Christine MANIGAND, Professeur à l'Université Sorbonne

Nouvelle - Paris 3.

- Madame Marie-Pierre REY, Professeur à l'Université Panthéon Sorbonne - Paris 1. - Monsieur Frédéric BOZO, Professeur à l'Université Sorbonne Nouvelle -

Paris 3.

- Monsieur N. Piers LUDLOW, Lecteur à la London School of Economics and Political Science. - Monsieur Andreas WILKENS, Professeur à l'Université Paul Verlaine, Metz

Adieu Yalta ?

La France, la détente et les origines de la Conférence sur la Sécurité et la

Coopération en Europe.

Résumé

A partir de 1965, l'URSS cherche à profiter de la politique de " détente, entente,

coopération » lancée par le général de Gaulle auprès des pays du pacte de Varsovie pour

obtenir, via une conférence sur la sécurité européenne, le gel de l'ensemble des frontières du

continent et la reconnaissance de la mainmise soviétique sur l'Europe de l'Est. Sauf que la

France, partisane au contraire d'une détente censée aboutir au dépassement de l'ordre bipolaire

issu de la guerre froide, n'entend pas entériner le statu quo politique et territorial européen.

Dès 1969, la France décide peu à peu de se servir du projet de conférence pour promouvoir sa

vision de l'Europe : la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe doit d'une part

favoriser le rapprochement entre tous les peuples du continent et d'autre part encourager

chaque nation à s'exprimer en son nom propre, en dehors des alliances militaires. Lorsque trente-trois Etats européens, les Etats-Unis et le Canada se réunissent, de 1972 à

1975, pour négocier le contenu du futur Acte final de la CSCE, les Français tentent, avec leurs

partenaires de la Communauté européenne, de faire de la conférence le prolongement

multilatéral de la politique gaullienne de détente.

Dans cette optique, ils veillent d'abord à ce que les frontières puissent être modifiées de

façon pacifique : il s'agit de permettre à l'Allemagne d'être un jour réunifiée. Ils oeuvrent

également pour que la conférence facilite la coopération culturelle et la circulation des

personnes entre l'Est et l'Ouest, le but étant, selon le président Pompidou, de transmettre aux

pays communistes le " virus de la liberté » et d'enfoncer un coin dans le système des blocs.

Mots clés : CSCE, France, guerre froide, détente, frontières, droits de l'homme

Goodbye Yalta ?

France, Detente, and the Origins of the Conference on Security and

Cooperation in Europe, 1965-1975.

Abstract

From 1965, the USSR sought to take advantage of the French policy of détente launched by General de Gaulle towards the Warsaw Pact's countries to set the borders in Europe and to obtain Western acknowledgment of the Soviet control over Eastern Europe. But France was in favour of a détente which would lead to overcome bipolarity created by the Cold War ; it did want to confirm the European political and territorial status quo. From 1969, France gradually decided to use the conference project to point out its vision of Europe: the Conference on Security and Cooperation in Europe had to promote the coming together of peoples of the whole continent and to encourage each nation to speak with its own particular voice, outside military alliances. When thirty-three European countries, the United States and Canada met, from 1972 to

1975, in order to negociate the Final Act's content, the French and their European Community

partners tried to make the conference a multilateral continuation of the Gaullist policy of détente. From this perspective, they first made sure that borders could be changed by peaceful means: it was crucial to reserve the German people's right to be reunified. They also acted to make the CSCE facilitate cultural cooperation and movement of persons between East and West. According to President Georges Pompidou, the main goals were to transmit the "freedom virus" to the communist countries and to drive a wedge into the bipolar system. Keywords : CSCE, France, Cold War, Detente, borders, human rights 6

A mes grands-parents

Remerciements

Cette thèse n'aurait jamais vu le jour sans le soutien précieux des personnalités et

institutions qui ont rendu possible ce travail ou ont contribué à étayer mes réflexions. Mes remerciements les plus chaleureux vont à mon directeur de thèse, le professeur

Frédéric Bozo, qui, depuis le jour où je me suis lancé dans ce travail, a toujours gardé un oeil

attentif sur l'avancée de mes recherches. Que ce soit à Paris ou depuis Washington, il n'a cessé

de me prodiguer, semaine après semaine et à chaque étape de l'élaboration de cet ouvrage, ses

conseils avisés et a su répondre à toutes les attentes qu'un doctorant peut espérer de son

directeur. Je le remercie d'avoir cru en moi dès mon arrivée en Master à la Sorbonne Nouvelle

et de m'avoir inlassablement encouragé au moment de la préparation à l'agrégation d'histoire.

Ce travail aurait été plus difficile, voire impossible, à réaliser s'il n'avait pas bénéficié de

l'appui et de la confiance de l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris III. Je remercie tout particulièrement l'Ecole doctorale des études anglophones, germanophones et européennes

d'avoir fait en sorte que je puisse bénéficier, de 2007 à 2010, d'une allocation de recherches

m'ayant permis de mener mes recherches de la manière la plus sereine qui soit. Je souhaite également témoigner de ma reconnaissance envers Olivier Buirette, dont la bienveillance et l'efficacité ont souvent été d'un grand secours.

Ce travail étant tributaire de l'accès aux sources écrites, je sais gré aux personnels des

Archives nationales et diplomatiques françaises de m'avoir accordé les dérogations nécessaires

à la consultation de documents qui n'étaient pas encore accessibles. S'agissant des Archives nationales, je remercie leur directrice, Martine de Boisdeffre, le responsable de la section du XXe siècle, Christian Oppetit, et les conservateurs des fonds de Gaulle, Pompidou et Giscard d'Estaing, Agnès Callu, Christèle Noulet et Pascal Geneste d'avoir facilité mes recherches. Pour ce qui est des archives du Quai d'Orsay, mes remerciements vont à leur directeur, Jean Mendelson, et au personnel de conservation, qui m'ont permis d'accéder à plusieurs centaines de cartons, dont certains n'avaient fait l'objet que d'un classement provisoire.

Je me dois également d'exprimer toute ma gratitude à la Gerald R. Ford Presidential

Foundation qui, en m'accordant sa bourse bi-annuelle de l'automne 2010, m'a permis de diversifier l'origine géographique de mes sources écrites et, ainsi, de pouvoir consulter les

archives de la Maison Blanche déposées à la Gerald R. Ford Presidential Library, à Ann Arbor

dans le Michigan. L'accueil enthousiaste qui m'y a été fait doit beaucoup à Monsieur William

McNitt, qui a tout mis en oeuvre pour que mes recherches soient les plus fructueuses possibles. Je le remercie d'avoir facilité mon séjour aux Etats-Unis en me prodiguant ses nombreux et précieux conseils. Je suis par ailleurs fort reconnaissant envers le bureau praguois de l'OSCE, en particulier

Madame Alice Nemcova, de m'avoir aidé dans ma tâche en me faisant parvenir, après

obtention d'une dérogation, l'ensemble des documents officiels produits par la délégation

10

française à Helsinki et à Genève entre novembre 1972 et août 1975, le tout sous forme

numérisée.

Ce travail aurait été incomplet sans le témoignage avisé de certains des protagonistes de la

diplomatie française des années 1970. Je sais gré à Messieurs Jacques Andréani, Gabriel

Robin, Henri Froment-Meurice, François Plaisant, Paul Poudade, Michel Rougagnou, Alain

Pierret, Philippe Husson, Jean François-Poncet et Christian Bernard d'avoir conféré une valeur

ajoutée inestimable à mes recherches, de par les éclairages qu'ils ont su me fournir sur des

questions essentielles auxquelles les sources écrites ne permettent pas toujours de répondre. Je

remercie également le professeur Jean Klein d'avoir partagé avec moi sa connaissance aiguisée

des questions de désarmement pendant la guerre froide. Je tiens en outre à dire ma reconnaissance au professeur Odd Arne Westad et à son équipe de la London School of Economics qui, en retenant ma candidature pour participer à la Cold War Conference de 2009 organisée chaque année par la LSE, l'Université George Washington

et l'Université de Californie, m'ont offert la possibilité de m'intégrer dans un réseau

international dynamique de jeunes chercheurs en histoire de la guerre froide. Les échanges avec ces personnes ont grandement contribué à ma réflexion. Si je ne peux énumérer ici toutes les personnes qui m'ont appuyé activement dans mon travail, je souhaite vivement remercier ceux et celles qui ont eu la gentillesse de relire tout ou partie de cette thèse et de ne jamais mesurer leur temps pour m'aider à mener à bien mon projet. Je pense notamment à Sophie Davieau-Pousset, Nicolas Davieau, Raphaël Fantin et Elise Bernard, qui, de par leur érudition et leur bonne humeur, n'ont pas cessé de me soutenir pendant ces quatre années. Ce travail de recherches ne serait pas parvenu à son terme sans le soutien de mon entourage le plus proche, qui a subi au quotidien les hauts et les bas qui accompagnent l'élaboration

d'une thèse. Je remercie Chloé de m'avoir aidé à mettre la touche finale à cet ouvrage et mes

parents et beaux-parents d'avoir été à mes côtés. Surtout, merci à Sarah d'avoir lu et relu

chaque phrase de cette thèse, d'avoir toujours su me conseiller à toutes les étapes de sa

conception et d'avoir fait preuve d'une patience sans bornes. Je remercie enfin Jules de

m'avoir encouragé, malgré lui, à aller au bout de cette entreprise. 11

TABLE DES MATIERES

TABLE DES MATIERES .....................................................................................................11

PROLOGUE. LA FRANCE ET LA LENTE GESTATION DE LA SECURITE

EUROPENNE, 1945 - 1964...................................................................................................41

I. L A FRANCE, L'URSS ET L'IDEE PANEUROPEENNE, 1945-1958.......................................43 1. L A FRANCE ET LE DEBUT DE LA GUERRE FROIDE : L'EMERGENCE DU PROBLEME

ALLEMAND

2. L E PANEUROPEANISME COMME PROJET EUROPEEN DE SECURITE...................................48 3. L E TRIOMPHE DE LA NOTION DE " SECURITE EN EUROPE » (1955 - 1958).....................55 II. L

A FRANCE, BERLIN ET CUBA, 1958-1962 .....................................................................61

1. L

E DESSEIN GAULLIEN...................................................................................................61

2. D E GAULLE, KHROUCHTCHEV ET LA CRISE DE BERLIN.................................................65 3. D

E GAULLE, KENNEDY ET LA CRISE DE CUBA...............................................................74

III. V

ERS LA DETENTE.............................................................................................................77

1. C

AP A L'EST..................................................................................................................77

2. L

A PANEUROPA GAULLIENNE.........................................................................................84

3. L ES PLANS POLONAIS SUR LA SECURITE EUROPEENNE EN 1963-1964............................89 CHAPITRE 1. VRAIE DETENTE, FAUSSE ENTENTE, JANVIER 1965 -

JUILLET 1968........................................................................................................................97

I. L A RECHERCHE D'UNE COMMUNAUTE DE VUES, JANVIER 1965 - MARS 1966................98 1. L

A CONFERENCE DE PRESSE DU 4 FEVRIER 1965............................................................98

2. L E CHEMINEMENT D'UNE IDEE FACE AU POSTULAT GAULLIEN.....................................102 3. E

N FRANCE : MEFIANCE ET CIRCONSPECTION..............................................................110

II. L E CHEMIN DE L'ENTENTE. MARS 1966 - SEPTEMBRE 1967.......................................117 1. L

E TOURNANT BILATERAL (MARS - JUIN 1966) ...........................................................117

2. L E PROJET SE PRECISE (JUILLET - DECEMBRE 1966)....................................................126 3. V ERS LA REALISATION D'UN VOEU FRANÇAIS ? LES PREMIERS EFFETS DE L'OSTPOLITIK

(DECEMBRE 1966 - SEPTEMBRE 1967) ...............................................................................132

III. L'

ESSOUFFLEMENT, SEPTEMBRE 1967 - JUILLET 1968...............................................141 1. L

E DESENCHANTEMENT...............................................................................................141

2. L A FRANCE ENTRE EMULATION ET DESAPPROBATION (DECEMBRE 1967 - MAI 1968).145 3. D E GAULLE MAINTIENT LE CAP : OUI A LA SECURITE, NON AU DESARMEMENT (MAI -

JUILLET 1968).....................................................................................................................150

12 CHAPITRE 2. LE TEMPS DE LA NORMALISATION, AOUT 1968 - DECEMBRE I. L' INTERVENTION EN TCHECOSLOVAQUIE ET SES CONSEQUENCES : LES

FLOTTEMENTS DE LA POLITIQUE EXTERIEURE DE LA

FRANCE, AOUT 1968 - MARS 1969 .158

1. L'

AFFAIRE TCHECOSLOVAQUE (AOUT-NOVEMBRE 1968)............................................ 158 2. L A RFA MONTREE DU DOIGT : LA DEGRADATION DES RAPPORTS FRANCO-ALLEMANDS 163
3. L E REEQUILIBRAGE VERS L'OUEST (DECEMBRE 1968 - MARS 1969) .......................... 170 II. L

E RENOUVEAU, MARS - AOUT 1969............................................................................178

1. L'

APPEL DE BUDAPEST................................................................................................ 178

2. L E DEPART DU GENERAL ET LES NOUVELLES INITIATIVES SUR LA SECURITE EUROPEENNE 186
3. G EORGES POMPIDOU : LA CONTINUITE AVANT TOUT...................................................194

III. L

A FRANCE ET LE NOUVEAU DEPART DES RELATIONS EST-OUEST, AOUT-DECEMBRE

1969 ..198

1. L A NOUVELLE CAMPAGNE EN FAVEUR DE LA SECURITE EUROPEENNE......................... 198 2. L A NOUVELLE ATTITUDE FRANÇAISE ET SES AMBIGÜITES........................................... 202 3. L A PHILOSOPHIE FRANÇAISE DE LA CSCE A L'AUTOMNE 1969................................... 208

4. L'

ELABORATION DU PREALABLE ALLEMAND............................................................... 212 CHAPITRE 3. LA CSCE, PIERRE ANGULAIRE DE LA POLITIQUE EUROPEENNE DE LA FRANCE, DECEMBRE 1969 - SEPTEMBRE 1971..............219 I. L' ERE DES PREALABLES, OU LES OSCILLATIONS FRANÇAISES......................................221 1. L

A FRANCE, L'OSTPOLITIK ET LA CSCE ..................................................................... 221

2. L

E PREALABLE BERLINOIS........................................................................................... 226

3. L E LIEN BERLIN/CSCE OU L'AMBIVALENCE FRANÇAISE............................................. 237 4. L

E PREALABLE MBFR................................................................................................. 251

II. L'

OCCIDENTALISATION DE LA CSCE : LA FRANCE ENTRE LA CPE ET L'OTAN......255 1. L A FRANCE ET LE LANCEMENT DE LA COOPERATION POLITIQUE EUROPEENNE........... 256 2. L

A CSCE, OBJET DE LA CPE....................................................................................... 260

3. L

A FRANCE PREND POSITION....................................................................................... 265

CHAPITRE 4. PREPARER LA CSCE : LA FRANCE ET LA

MULTILATERALISATION DE LA DETENTE, SEPTEMBRE 1971 - JUIN 1973...283 I. L A CSCE, PROLONGEMENT DE LA POLITIQUE FRANÇAISE DE DETENTE......................285 1. L

ES DERNIERS PREALABLES......................................................................................... 285

2. L'

ARDENT DESIR SOVIETIQUE DE CSCE...................................................................... 294

3. L A CSCE, LES MBFR ET LES SALT : LA MISE EN OEUVRE DE DEUX VISIONS DE LA

DETENTE

............................................................................................................................. 298

II. L ES CONCEPTIONS FRANÇAISES DE LA PREPARATION MULTILATERALE DE LA CSCE311

1. L'

ORGANISATION DES POURPARLERS MULTILATERAUX PREPARATOIRES D'HELSINKI. 312 2. L

A CPE AU COEUR DU PROCESSUS............................................................................... 319

3. L'URSS

DOIT-ELLE RECONNAITRE LA CEE ? LES LIMITES DE L'ENGAGEMENT DE LA

FRANCE DANS LA CPE ....................................................................................................... 330

4. L'OTAN

LAISSEE POUR COMPTE ?.............................................................................. 333

5. L

A CONCERTATION FRANCO-SOVIETIQUE.................................................................... 336

13III. L

A DOCTRINE FRANÇAISE DE LA CSCE........................................................................338

1. L'

EMBRYON DU DECALOGUE DE LA DETENTE.............................................................338 2. L A FRANCE AU COEUR DU DEBAT SUR L'INTEGRATION DES ASPECTS MILITAIRES DE LA

SECURITE DANS L

'AGENDA DE LA CSCE ............................................................................347

3. L'

ORDRE DU JOUR DE LA DEUXIEME CORBEILLE : LA PRUDENCE FRANÇAISE...............350

4. L'

EPINEUSE TROISIEME CORBEILLE : LA FRANCE A LA RECHERCHE DU JUSTE MILIEU..354 5. L A QUESTION DE LA SECURITE EN MEDITERRANEE......................................................360 IV. L

A TEMPORALITE DE LA CSCE.....................................................................................366

1. L

E SCHEMA FRANÇAIS, MECANISME DE LA CSCE........................................................366

2. P ROPOSITIONS ET CONTRE-PROPOSITIONS SUR LES SUITES INSTITUTIONNELLES..........370 3. L

ES PMP, " REFLET DES CONCEPTIONS FRANÇAISES »................................................374

CHAPITRE 5. LA FRANCE, ACTRICE ET SPECTATRICE DU PROCESSUS

D'HELSINKI, 1973-1975.....................................................................................................379

I. L A FRANCE ET LES DEUX GRANDS : UN IMPACT DECISIF SUR LA CSCE.......................381 1. L

E CONDOMINIUM, PLUS QUE JAMAIS...........................................................................381

2. L A FRANCE, KISSINGER ET LA CSCE : LES VICISSITUDES DES RELATIONS FRANCO- 3. C ONCLURE POUR MIEUX POURSUIVRE : LE DEBAT SUR LA TROISIEME PHASE ET SUR LES

SUITES

II. L

E FORMEL ET L'INFORMEL..........................................................................................409

1. M

ICHEL JOBERT A HELSINKI.......................................................................................409

2. L'

AUTRE " ESPRIT DE GENEVE » .................................................................................415

3. G

ISCARD A HELSINKI...................................................................................................432

III. L

ES FRANÇAIS ET LA CSCE, ENTRE DETENTE ET DISSIDENCE....................................440 1. L

A DETENTE REMISE EN QUESTION..............................................................................441

2. L

E ROLE CENTRAL DES INTELLECTUELS.......................................................................444

3. L'

OPINION PUBLIQUE FRANÇAISE : DE L'INDIFFERENCE A LA DEFIANCE......................450 CHAPITRE 6. LA PREMIERE CORBEILLE OU LA DETENTE NEGOCIEE.........457 I. L E STATU QUO EN QUESTION : LA NEGOCIATION DES PRINCIPES TERRITORIAUX DE LA

DETENTE

1. L'

INVIOLABILITE DES FRONTIERES, CLE DE VOUTE DU SYSTEME EUROPEEN SOVIETIQUE 461
2. L A NEGOCIATION DES AUTRES PRINCIPES TERRITORIAUX............................................473 II. L A PROTECTION DES DROITS ET RESPONSABILITES QUADRIPARTITES, PRIORITE

FRANÇAISE

1. L ES CRAINTES FRANÇAISES VIS-A-VIS DU DECALOGUE................................................479 2. L A FRANCE CONTRE LES NEUTRES ET NON-ALIGNES...................................................485

III. A

U NOM DE L'OCCIDENT : LA DEFENSE DES VALEURS DU " MONDE LIBRE »................493 1. L

A DOCTRINE BREJNEV EN QUESTION..........................................................................493

2. A U NOM DE L'EUROPE. LE RESPECT DES DROITS DE L'HOMME ET DES LIBERTES

FONDAMENTALES

3. L E PRINCIPE DE LA COOPERATION ENTRE LES ETATS : LA FRANCE, " A LA POINTE DU

COMBAT CONTRE L

'URSS »...............................................................................................500

IV. L A NEGOCIATION DES MESURES DE CONFIANCE...........................................................503 1. V ISIONS ET PERCEPTIONS D'UN FRUIT DE LA GUERRE FROIDE......................................503 14

2. LA FRANCE ET LES MDC, DE L'ENGAGEMENT AU PROFIL-BAS.................................... 505

3. C HRONIQUE D'UNE NEGOCIATION LABORIEUSE........................................................... 510 CHAPITRE 7. UNE BOMBE A RETARDEMENT ? L'ENGAGEMENT DE LA FRANCE EN FAVEUR DE LA TROISIEME CORBEILLE.........................................515 I. L

ES TEMPS DE LA TROISIEME CORBEILLE......................................................................520

1. L

E PREAMBULE DE LA TROISIEME CORBEILLE.............................................................. 521

2. D

ES NEGOCIATIONS AU RYTHME SACCADE.................................................................. 527

3. S

UITE(S) ET FIN(S) DE LA TROISIEME CORBEILLE......................................................... 534

II. L A COOPERATION CULTURELLE, VELLEITE FRANÇAISE.................................................535 1. L

ES OBJECTIFS FRANÇAIS............................................................................................ 539

2. L'

AFFAIRE DES SALLES DE LECTURE............................................................................ 543

3. L A COOPERATION CINEMATOGRAPHIQUE ET LE PROJET FRANÇAIS DE DECLARATION SUR

LES ECHANGES CULTURELS

................................................................................................ 550 4. C ONTRER L'HEGEMONIE CULTURELLE DES ETATS-UNIS............................................. 553

III. S

CIENCE ET EDUCATION : LA FRANCE ET LA DETENTE DES SAVANTS...........................557 1. P OUR EN FINIR AVEC LA GUERRE FROIDE SCIENTIFIQUE............................................... 557

2. L'

ECRITURE DE L'HISTOIRE, UN ENJEU EST-OUEST..................................................... 561 3. L A CONTROVERSE FRANCO-ALLEMANDE SUR LE FORUM SCIENTIFIQUE PANEUROPEEN564 4. L ES LANGUES VIVANTES COMME VECTEURS DU RAPPROCHEMENT PANEUROPEEN...... 565

IV. L'

INFORMATION, CHEVAL DE TROIE DE L'OCCIDENT..................................................567 1. A U-DELA DE L'HUMANITE. LA DIFFUSION DE LA PRESSE ET L'ACCES A L'INFORMATION 570
2. B RISER LE RIDEAU HERTZIEN : LE PROBLEME DU BROUILLAGE RADIO......................... 574 3. U N METIER, DEUX CONCEPTIONS. LES JOURNALISTES AU COEUR DU DEBAT EST-OUEST 578

4. L'A

MERIQUE PREND LE RELAIS : LA GLOBALISATION DES NEGOCIATIONS SUR L

'INFORMATION................................................................................................................. 582

V. D ECHIRER LE RIDEAU. LA FRANCE ET LE PROBLEME DES CONTACTS HUMAINS........588

1. L'

AUTRE QUESTION ALLEMANDE : LA REUNION DES FAMILLES................................... 593 2. N EGOCIER A DEUX : PARIS, MOSCOU ET LE MINI PREAMBULE SUR LES CONTACTS...... 595

3. " M

ARIAGES ROUGES »............................................................................................... 598

4. L ES JEUNES ET LES TOURISTES, UN MOINDRE MAL POUR L'EST................................... 599 5. L A QUESTION DES FORMALITES DE VOYAGE, PIERRE ANGULAIRE DES CONTACTS EST- O

UEST................................................................................................................................ 601

CHAPITRE 8. VERS LA CONVERGENCE DES MODELES ? LA FRANCE ET LA

DEUXIEME CORBEILLE.................................................................................................609

I. L A COOPERATION EST-OUEST, ENTRE PREROGATIVES COMMUNAUTAIRES ET

EXPERIENCE PANEUROPEENNE

1. L A FRANCE, LA CEE ET LA DEUXIEME CORBEILLE..................................................... 618 2. L A COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE DES NATIONS UNIES........................ 621 II. Uquotesdbs_dbs45.pdfusesText_45
[PDF] cours arduino pdf

[PDF] projets arduino pour les nuls pdf

[PDF] je t'aime moi non plus pdf gratuit

[PDF] solides et figures ceb

[PDF] solides et figures 2ème primaire

[PDF] solides et figures 3ème primaire

[PDF] je l'ai conjugaison

[PDF] futur antérieur

[PDF] pourquoi personne ne m'a aidée pdf gratuit

[PDF] personne n est venu mon enfance dans l orphelinat de l horreur

[PDF] les temps de l indicatif exercices pdf

[PDF] j'ai le plaisir de vous adresser ma candidature

[PDF] j'ai l'honneur de vous présenter ma candidature

[PDF] je souhaiterais vous rencontrer afin de discuter

[PDF] la solitude sujet argumentatif