[PDF] Situation et perspectives de l’économie mondiale 2014





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Situation et perspectives de léconomie mondiale 2013

Situation et perspectives de l'économie mondiale 2013. Embargo. 06 h 00 HEC. 17 janvier 2013. En Europe



Situation et perspectives de léconomie mondiale 2013

17 janv. 2013 Nations Unies Situation et perspectives de l'économie mondiale 2013



Perspectives de léconomie mondiale : Une dette élevée et une

Révisions des projections de croissance des Perspectives de l'économie mondiale pour 2012 et 2013 pays les banques demeurent fragiles et leur situation.



Situation et perspectives de léconomie mondiale 2012

7 juin 2012 Le produit mondial brut (PMB) devrait connaître une croissance de 25% en 2012 et de 3



Perspectives de léconomie mondiale : Espoirs réalités

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Situation et perspectives de léconomie mondiale 2014

Les perspectives macro-économiques mondial. La croissance mondiale a été plus faible que prévue en 2013 mais les perspectives sont meilleures pour 2014- 



Transitions et tensions : Perspectives de léconomie mondiale du

27 févr. 2013 Perspectives de l'économie mondiale : aperçu des projections ... Conditions financières dans les pays émergents depuis mai 2013.



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20 janv. 2014 Pour la deuxième année consécutive l'économie mondiale a connu une croissance en demi-teinte en 2013



Résumé - Perspectives pour la croissance économique mondiale et

Situation et perspectives de l'économie mondiale 2013. La crise mondiale de l'emploi se poursuit. Le chômage reste très élevé à travers le monde 



Résumé

Situation et perspectives de l'économie mondiale 2012 ralentissement économique à l'échelle mondiale en 2012-2013



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Nations Unies Situation et perspectives de l’économie mondiale 2013 publié aujourd’hui En dépit d’un ralentissement mondial le taux de croissance de l’Afrique (excluant la Libye



Situation et perspectives de l’économie mondiale - United Nations

annoncée de la reprise de l’activité économique de mi-2013 à 2014 on peut s’attendre à ce qu’en 2013 tous les pays voient leur chômage augmenter ne fût-ce que faiblement avant de



Situation et perspectives de l’économie mondiale

l’économie mondiale en 2023 La persistance d’une inflation élevée – environ 9 en moyenne en 2022 – a donné lieu à un resserrement monétaire agressif dans de nombreux pays développés



Situation et perspectives de l’économie mondiale 2014

La croissance mondiale a été plus faible que prévue en 2013 mais les perspectives sont meilleures pour 2014-2015 La croissance de l’économie mondiale n’a été que de 21 pour



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connaître une croissance de 21 en 2012 et de 23 en 2013 soit une légère révision à la hausse par rapport aux précédentes prévisions et une légère hausse après la croissance de

Situation et perspectives de l’économie mondiale 2014

Situation et perspectives de

l'économie mondiale 2014

Nations Unies

New York, 2014

Résumé

Les perspectives macro-économiques mondial

La croissance mondiale a été plus faible que prévue en 2013, mais les perspectives sont meilleures pour 2014-2015 La croissance de l'économie mondiale n'a été que de 2,1 pour cent en 2013. Alors que la

plupart des pays développés ont encore des di?cultés à dé?nir des politiques budgétaire et

monétaire appropriées suite à la crise ?nancière, certaines économies émergentes, qui avait

déjà connu un ralentissement notable lors des deux dernières années, ont fait face à de nou

veaux vents contraires au niveau national et international en 2013. Certains signes d'amélioration sont apparus plus récemment. La zone euro est ?na

lement sortie d'une récession prolongée et le produit intérieur brut (PIB) de la région dans

son ensemble est reparti à la hausse. L'économie des États-Unis d'Amérique continue de se

redresser et quelques grandes économies émergentes, y compris Chine, semblent avoir cessé leur ralentissement. Le produit mondial brut (PMB) devrait croître à un rythme de 3,0 et

3,4 pour cent en 2014 et 2015, respectivement.

Les perspectives d'inflation restent bénignes

L'in?ation reste faible à travers le monde, re?étant en partie la capacité excédentaire de

l'économie mondiale, le taux de chômage élevé, l'austérité budgétaire et un désendettement

?nancier continu dans les principales économies développées. Parmi les pays développés, les

préoccupations dé?ationnistes sont en hausse dans la zone euro tandis que le Japon a réussi

à mettre ?n à une dé?ation qui persistait depuis dix ans. Parmi les pays en développement et

en transition, seul une douzaine de pays répartis dans di?érentes régions on connu un taux d'in?ation supérieur à 10 pour cent, en particulier en Asie du Sud et en Afrique.

Le chômage élevé reste un défi majeur

La situation de l'emploi reste désastreuse en raison des e?ets durables de la crise ?nan- cière qui continue de peser sur le marché du travail dans de nombreux pays et régions.

Parmi les pays développés, la situation la plus di?cile se trouve dans la zone euro, où le taux

chômage dépasse 27 pour cent et touche près d'un jeune sur deux dans des pays comme

l'Espagne et la Grèce. Le taux de chômage a diminué aux États-Unis, mais reste élevé.

Diverses situations existent dans les pays en développement et en transition. Le chômage

structurel reste très élevé en Afrique du Nord et en Asie occidentale, en particulier chez les

jeunes. Dans de nombreux pays en développement, le marché du travail continue d'être

caractérisés par une grande informalité ainsi que par des écarts prononcés entre l'emploi des

hommes et des femmes. ivÉtude sur la situation économique et sociale dans le monde 2014 Un certain nombre de pays font des e?orts concertés pour soutenir le marché de l'emploi, par exemple en harmonisant leurs politiques macroéconomiques et en prenant des mesures pour stimuler la productivité et l'innovation. Cependant, davantage d'investisse ments publics dans la formation (continue) seront nécessaires pour intégrer les groupes qui ont été exclus depuis le début de la crise.

Le commerce international et le financement

du développement Une croissance modérée pour le commerce international et une stabilisation des prix des matières premières La croissance du commerce mondial de marchandises a continué de s'a?aiblir en 2013, ralenti par la croissance économique mondiale en déclin. La faiblesse de la demande dans de nombreux pays développés et la croissance chancelante dans les pays en développement ont conduit à une baisse de la croissance mondiale du volume des exportations de 3,1 pour cent en 2012 à seulement 2,3 pour cent en 2013, bien en dessous de la tendance d'avant la

crise ?nancière. Les perspectives pour le commerce mondial devraient s'améliorer, grâce à

une hausse modeste de la demande en Europe et une reprise économique aux États-Unis et en Asie de l'Est. La croissance des exportations mondiales devrait être de 4,6 pour cent en

2014 et de 5,1 pour cent en 2015. Le commerce des services, qui semble se redresser plus

rapidement que le commerce des marchandises, devrait continuer à croître au cours de la période de prévision suite à une amélioration notable à la mi-2013. Les prix des matières premières ont a?ché des tendances divergentes au cours de

l'année 2013, tout en se modérant de manière générale. Les prix agricoles ont baissé progres

sivement, grâce à de meilleures récoltes que prévues pour les principales cultures agricoles.

Pour les métaux de base, la faible demande, l'approvisionnement su?sant et des niveaux de

stocks élevés ont contribué à la baisse des prix. Les prix du pétrole ont connu des ?uctua

tions importantes au cours de l'année, suite à de multiples remous géopolitiques. Les prix des matières premières devraient rester relativement stables sur l'horizon de prévision. Les négociations commerciales multilatérales stagnent tandis que les accords commerciaux régionaux se multiplient Les négociations du Cycle de Doha ont permis des avancés limitées dans trois domaines: l'agriculture, le développement et la facilitation des échanges. L'impact économique de ces changements n'est pas encore clair et est peu susceptible d'a?ecter le commerce dans la période de prévision. Le système commercial international est devenu plus fragmenté et l'incertitude quant à certaines décisions à venir persiste. Les accords commerciaux régionaux (ACR) continuent de se multiplier et 379 sont déjà en vigueur. Deux ACR majeurs sont en cours de négociation, l'Accord de Partena riat Trans-Atlantique entre les États-Unis et l'Union européenne et l'Accord de Partenariat Trans-Paci?que, impliquant 12 pays dont le Japon et les États-Unis. Ces accords couvrent la majorité du commerce mondial et sont considérés par certains comme une alternative moins ambitieuse aux négociations du Cycle de Doha. Une certaine inquiétude existe quant aux e?ets potentiels sur les pays en développement qui ne font pas partie de ces accords commerciaux régionaux, tels que leur marginalisation ou les impacts sur leur compétitivité. vRésumé

Diverses possibilités pour faire avancer l'intégration régionale Sud-Sud sont à l'étude, y

compris les e?orts déployés par l'Union africaine visant à accélérer l'ouverture d'une zone

continentale de libre- échange en 2017. Volatilité et primes de risque accrues des flux de capitaux vers les économies émergentes

Les entrées de capitaux dans certains pays en développement et en transition ont décliné sensi-

blement en 2013 tandis que les marchés ?nanciers des pays émergents ont connus une volatilité

accrue, des baisses abruptes sur le marché des actions et de fortes dépréciations des monnaies

locales. Ces mouvements ont en partie été déclenchés par l'annonce de la Réserve fédérale des

États-Unis durant l'été dernier qu'elle allait commencer à réduire le montant de ses achats

mensuels d'actifs à long terme plus tard dans l'année. Le déclin des perspectives de crois

sance pour les économies émergentes a également in?uencé la baisse des entrées de capitaux.

Le financement à long terme est essentiel pour promouvoir le développement durable Les discussions sur le programme de développement post-2015 ont mis en évidence les énormes besoins de ?nancement pour promouvoir le développement durable dans ses di mensions économiques, sociales et environnementales. Le ?nancement à long terme est essentiel pour mobiliser les ressources nécessaires à la transition vers une économie verte et le développement durable. Pourtant, à ce jour, le système ?nancier international semble incapable d'allouer les ressources requises pour répondre à ces besoins. Les investissements demeurent insu?sants dans un grand nombre de domaines essentiels: les infrastructures, les

services sanitaires, de santé et d'éducation, l'accès au crédit pour les petites et moyennes en

treprises et les services ?nanciers pour tous, ainsi que les technologies vertes nécessaires pour faire face au changement climatique dans les pays développés et les pays en développement.

Incertitudes et des risques

Une sortie chaotique des politiques monétaires

d'assouplissement quantitatif représente un risque important pour l'économie mondiale De grandes incertitudes et des risques pour la croissance économique et la stabilité ?nan- cière mondiales sont inextricablement liés aux politiques monétaires non conventionnelles, telles que l'assouplissement quantitatif, adoptées dans les principaux pays développés. Les incertitude et risques se matérialiseront peut-être lorsque les banques centrales de ces pays commenceront à changer leurs positions. Une sortie chaotique de la QE pourrait conduire

à une série d'événements perturbateurs, tels qu'une hausse des taux d'intérêt à long terme,

non seulement dans les pays développés mais aussi dans les pays en développement, des ventes abruptes sur les marchés boursiers, une forte baisse des entrées de capitaux vers les pays émergents, et un pic dans les primes de risque de ?nancement externe dans les pays émergents. Ces chocs immédiats dans les marchés ?nanciers internationaux pourraient par la suite se transmettre rapidement aux économies développés et en développement. viÉtude sur la situation économique et sociale dans le monde 2014 Beaucoup de grands pays en développement, dont le Brésil, la Chine, l'Inde et la Fédé-

ration de Russie, ont connu une décélération signi?cative de la croissance économique ces

deux dernières années, en raison d'une combinaison de di?cultés internes et de conditions

externes défavorables. Dans le scénario de base mentionné précédemment, la croissance de

ces économies devrait se renforcer dans des pays tels que le Brésil, l'Inde et la Fédération de

Russie, et se stabiliser dans d'autres, comme la Chine. Des risques demeurent, cependant, et le ralentissement économique pourrait se poursuivre dans certains de ces pays. Les risques systémiques dans la zone euro ont diminué de manière signi?cative, mais

des fragilités demeurent dans le secteur ?nancier et l'économie réelle. Les incertitudes asso

ciées à des querelles politiques aux États-Unis sur les questions budgétaires et le plafond de

la dette continuent de peser. En outre, au-delà des risques économiques, certaines tensions

géopolitiques pourraient échapper à tout contrôle. Ces risques pourraient faire dérailler

l'économie mondiale, loin des projections énoncées dans le scénario de référence.

Les défis politiques

Les décideurs politiques dans les principaux pays développés devraient assurer la bonne mise en oeuvre des mesures requises pour assurer l'évolution contrôlée des politiques d'as souplissement quantitatif au cours des prochaines années. Les banques centrales de ces pays devraient élaborer une stratégie de communication claire leur permettant d'articuler le ca

lendrier et les objectifs de leur action. Une sortie prématurée pourrait étou?er la reprise éco-

nomique, mais des délaiements excessifs pourraient créer des bulles ?nancières. Des e?orts continus sont requis pour améliorer la supervision, la réglementation et la surveillance des

marchés ?nanciers a?n d'identi?er et d'atténuer les risques ?nanciers et les vulnérabilités.

Pour les pays en développement et les économies émergentes, le dé? est de se protéger contre les possibles e?ets de contagion liés à la ?n des politiques d'assouplissement quanti

tatif. Ces économies devraient réduire les déséquilibres internes et externes a?n de garder

une marge de manoeuvre politique. La supervision et la régulation devraient également être renforcées a?n d'éviter les des écarts importants dans l'appariement de devises dans les bilans bancaires. La surveillance macro-prudentielle doit être redoublée, en particulier dans le secteur bancaire de l'ombre. En plus des politiques macroéconomiques, de nombreux pays développés et en déve loppement ont entrepris diverses réformes institutionnelles, y compris dans les champs de

la sécurité sociale, de l'éducation et de la santé, de la répartition des revenus, du secteur

?nancier, de la ?scalité, de l'énergie et des transports. Ces réformes sont cruciales pour rééquilibrer la structure économique, supprimer des contraintes de l'o?re, mobiliser des ressources pour l'investissement à long terme, et améliorer la gestion macroéconomique et la réglementation ?nancière. La concertation politique à l'échelle mondiale devrait se mobiliser pour renforcer la reprise économique Les dé?s multiples et complexes auxquels fait face l'économie mondiale requièrent une coordination internationale accrue. Les e?orts de coordination devraient avoir pour objectif principal de renforcer la reprise économique mondiale, en particulier par la reprise de l'em

ploi. Une attention accrue devrait également être accordée à l'atténuation des possibles e?ets

de contagion émanant de la sortie des politiques d'assouplissement quantitatif. viiRésumé La coopération et coordination politique internationale sont nécessaires pour faire avancer les réformes du système ?nancier international sur plusieurs fronts. La réforme de

la réglementation ?nancière a été extrêmement lente, en partie en raison de la résistance

du secteur ?nancier. Certains progrès mineurs ont été réalisés dans le secteur bancaire.

Cependant, des e?orts renouvelés sont nécessaires pour aborder les questions d'évasion et de fraude ?scale, notamment par le biais des paradis ?scaux. La coopération internationale devrait veiller à ce que des ressources suffisantes soient mises à la disposition des pays les moins avancés La coopération internationale doit veiller à ce que des ressources su?santes soient mises à la disposition des pays en développement, et en particulier des pays les moins avancés et

de ceux qui possèdent un espace budgétaire limité pour répondre aux impératif de la lutte

contre la pauvreté et du développement durable. La diminution de l'aide publique au dé

veloppement des deux dernières années devrait être inversée. Alors que la date butoir pour

les Objectifs du Millénaire pour le développement des Nations Unies (OMD) approche, les donateurs internationaux devraient redoubler d'e?orts pour honorer leurs promesses. Ces ressources sont absolument nécessaires pour que les pays en développement puissent accé

lérer les progrès vers la réalisation des OMD et renforcer les politiques de développement

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