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  • Comment expliquer les fluctuations économiques ?

    Les fluctuations économiques sont des mouvements de la croissance soit à la hausse, soit à la baisse, qui s'étudient sur le court ou le long terme. Lorsque ces phases d'accélération et de ralentissement sont régulières, qu'elles durent à peu près le même nombre d'années, les économistes parlent de cycles.
  • Quels sont les déterminants des fluctuations économiques ?

    Les auteurs classiques considèrent que les déterminants de la croissance économique sont essentiellement le travail, le capital et la terre. Or, ces facteurs de production sont soumis à une malédiction : la malédiction des rendements décroissants.
  • Quelles sont les phrases du cycle économique ?

    Un cycle économique est une période durant laquelle plusieurs phases de l'activité économique se succ?nt. Ces phases (reprise, expansion, surchauffe, récession) reviennent à intervalle régulier et détermine l'état de la conjoncture. Les cycles économiques montrent que la croissance économique n'est jamais continue.
  • — Crise : retournement du cycle = passage d'une période de croissance à une période de dépression, voire de récession. Fluctuations économiques : mouvements de hausse ou de baisse du PIB en alternance. (Si cette alternance est régulière, on parle de cycles).

Peut-on expliquer l'investissement

à partir de ses déterminants

traditionnels au cours de la décennie 90 ?

Jean-Baptiste Herbet*

Dans les années récentes, les périodes de croissance ou les épisodes de récession se sont généralement accompagnés d'un mouvement concomitant de l'investissement. En revanche, la reprise de 1995 ne se traduit pas par une hausse de l'investissement conforme à ce que l'on aurait pu attendre du lien habituellement observé entre l'investissement et la valeur ajoutée. Les deux années qui suivent font aussi apparaître des évolutions contradictoires entre ces deux grandeurs macroéconomiques. Les modèles théoriques usuels, notamment le principe de l'accélérateur, n'expliquent pas la déconnexion qui s'est opérée au cours de cette période entre l'investissement prévu et l'investissement effectivement réalisé. La prise en compte d'autres détermi- nants de l'investissement que l'anticipation de la croissance des débouchés, comme la profitabilité des entreprises ou le coût et les conditions de financement de l'investis- sement, enrichissent le pouvoir explicatif des modèles traditionnellement retenus. La comparaison d'une chronique de l'investissement sur la période 1980-2000 tenant compte de ces nouvelles variables avec l'investissement effectivement constaté dans les comptes nationaux montre en effet que le modèle reproduit la réalité de façon globa- lement satisfaisante. Il a fallu notamment attendre le rétablissement de la profitabilité des entreprises à partir de 1997 pour voir s'estomper les effets de la crise de l'investis- sement enregistrée les années précédentes. La restauration des marges des entrepreneurs semble avoir également favorisé l'accumulation du capital dans les principaux pays dŽveloppŽs.

* Jean-Baptiste Herbet appartenait au département des études économiques d'ensemble (DEEE) de l'Insee au moment de la rédaction

de cet article. Les noms et dates entre parenthèses renvoient à la bibliographie en fin d'article. ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 341-342, 2001 - 1/2

INVESTISSEMENT

85

085-106 - Invest 2 29/06/2001 09:30 Page 85

L e principe de l'accélérateur est considéré de longue date comme le déterminant majeur de l'investissement (Muet,1979 ;Artus et Morin, 1991). Il consiste à retracer le comportement d'accumulation du capital des entreprises lorsque celles-ci sont chronique- ment contraintes sur leurs débouchés. Dans une situation concurrentielle, sans pouvoir sur les prix,les entrepreneurs anticipant une hausse de la demande souhaitent accroître leur capa- cité de production soit en investissant soit en utilisant plus intensément leur capital. On suppose aussi que le même principe joue lors d'une baisse de la demande anticipée. Au cours de la seconde moitié des années 80, la forte croissance de la valeur ajoutée des entreprises françaises s'est accompagnée d'une croissance encore plus vigoureuse de l'investissement, conformément au principe de l'accélérateur (cf. graphique I). De même, les épisodes de croissance nulle ou de réces- sion des années 1991 et 1993 ont vu l'investis- sement chuter, et ce de façon spectaculaire : en 1993, la baisse est d'environ 10 % en g.a. aux deuxième et troisième trimestres. En revanche, l'année 1995 se caractérise par une croissance comparable à celle des années

1985-1990, mais la hausse de l'investissement

est décevante au regard de cette reprise.

Quant aux années 1996-1997, elles font ap-

paraître des évolutions contradictoires entre investissement et valeur ajoutée. C'est seule- ment depuis 1998 que l'investissement rede- vient conforme au phénomène d'accélération vis-à-vis de la valeur ajoutée. L'objet de cet article est de mettre en évidence une relation économétrique analysant l'inves- tissement des sociétés non financières et des entrepreneurs individuels (SNF-EI) au vu de l'évolution des arguments usuels de la déci- sion d'investir et par là même d'apprécier le caractère anormal de l'investissement au cours des années 90. À cet effet, on a comparé l'investissement observé sur l'économie fran- çaise à celui prédit par un modèle qui exploite le lien possible entre l'investissement et l'évo- lution de la demande.

En fait, il semble que l'on puisse attribuer

cette relative déconnexion à l'histoire des marges des entrepreneurs. Leur restauration progressive sur la seconde moitié des années 80 a été suivie d'une nouvelle dégradation sur le

début de la décennie 90. Ce mouvement estbien mesuré par une équation de type accélé-

rateur-profit et permet d'expliquer de façon satisfaisante l'évolution de l'investissement en

France sur la période.

Par ailleurs, l'importance de ce facteur semble

pouvoir expliquer aussi l'évolution de l'inves- tissement en Espagne et en Italie. Enfin, aux

Etats-Unis, son poids relatif est faible et, s'il

est important au Canada,son évolution lui fait jouer un rôle dépressif sur l'accumulation de capital.

Les différentes modélisations

de l'investissement

Le modèle de " demande notionnelle »

de capital Les premiers modèles d'investissement utilisés sont généralement qualifiés de " néoclas- siques » : ils dérivent de la maximisation du profit de l'entreprise en l'absence de toute contrainte (cf. encadré 1). Dans un contexte de concurrence monopolistique ou de concur- rence pure et parfaite, la flexibilité des prix permet d'assurer l'équilibre entre offre et demande de biens ; l'entreprise n'est alors pas contrainte sur ses débouchés. Elle choisit la combinaison productive capital/travail qui lui permet de réaliser le profit le plus élevé, étant donnés les coûts de ses facteurs. Une augmen- tation du coût du capital par rapport à celui du travail l'incite à substituer du travail au capital et pèse donc sur sa demande de capital. Ce modèle d'investissement a été obtenu par Klein dès les années 50 par une maximisation ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 341-342, 2001 - 1/286

Graphique I

Taux de croissance de l'investissement et

de la valeur ajoutée de l'ensemble des SNF-EI*

85 87 89 91 93 95 97 99

- 10 - 50510

InvestissementValeur ajoutŽe

* Glissement annuel

Source : Insee, comptes trimestriels.En %

085-106 - Invest 2 29/06/2001 09:30 Page 86

Encadré 1

LA MODÉLISATION NÉOCLASSIQUE DE L'INVESTISSEMENT

Hypothèses :

- les firmes sont en situation de concurrence parfaite (le prix du produit et les coûts de production sont donnés,

il n'y a pas de limite à la production) ;

- la technique de production des firmes est représentée par une fonction à facteurs substituables, les rendements

d'échelle sont décroissants.

On prend, par exemple, une fonction Cobb-Douglas avec progrès technique exogène croissant au rythme

Le programme de maximisation du profit s'écrit : avecVA, p: valeur ajoutée, prix de la VA

L, w: travail, coût du travail

K, c: capital, coût du capital

La firme détermine sa production et le volume de capital et de travail correspondant, étant donné la technique

de production qu'elle emploie, de manière à obtenir un profit maximal.

Le stock de capital désiré dépend uniquement des coûts réels des facteurs de production :

Pour une fonction de production Cobb-Douglas, log(K) est linéaire en ses deux arguments :

Le capital effectif s'adapte au capital désiré avec retard. En appliquant des polynômes retards (P(B), Q(B), R(B)

avec Bopérateur retard, avec la notation habituelle B(X t ) = X t-1 )aux facteurs explicatifs, on modélise l'investis- sement sous la forme du modèle à correction d'erreur suivant : L'introduction de l'effet " accélérateur » : le modèle de déséquilibre

Hypothèse différente :

- la firme subit une contrainte sur ses débouchés. Le programme de maximisation du profit s'écrit alors :

Le stock de capital désiré dépend du coût relatif capital-travail, mais également de la demande : .

Pour une fonction de production Cobb-Douglas, log(K )est linéaire en ses deux arguments :

Le capital effectif s'adapte au capital désiré avec retard. En appliquant des polynômes retards (P(B), Q(B), R(B))

aux facteurs explicatifs, on modélise l'investissement sous la forme du modèle à correction d'erreur suivant :

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 341-342, 2001 - 1/287 KKw pc p log . .log .log

K cste tw

pc p=+-----( 111
1

Max pVA cK wL

slc VA F L K VA KL, 1 log.log).(log.log.log -1- log . log log

Kcste t VAw

c=-+++?++?(

αβ1

KLeQKLFVA

t 0 , avec α + β < 1 et γ > 0

Max p VA c K w L

slc VA F L K

KLVA,,

VA 1* 1 log.log).(log.log.log

085-106 - Invest 2 29/06/2001 09:30 Page 87

statique du profit, exprimé comme la valeur ajoutée nette des salaires et de la rémuné- ration du capital. Jorgenson (1963) l'a ensuite amélioré en procédant à une optimisation dynamique de la valeur de la firme,qui permet, en particulier, d'obtenir une expression du coût d'usage du capital (cf. encadré 2). À ce stade, c'est le stock de capital (K) désiré qui est ainsi fixé ;il n'est fonction que des coûts réels des facteurs de production (coût réel du travail (w/p) et du capital (c/p)) ainsi que du progrès technique représenté par une tendance linéaire (t). On parle de demande notionnelle

de capital. Le capital réel s'ajuste ensuite aucapital désiré avec un certain délai, que l'on

choisit de traduire par l'utilisation d'une fonc- tion à retards échelonnés. L'investissement est alors déduit de la chronique du capital à l'aide du taux de déclassement I = K - (1- ?).K -1

Accepter le modèle de demande notionnelle,

sous l'hypothèse d'une fonction de production à rendements d'échelle décroissants, consiste à tester la validité de l'équation de demande notionnelle de capital (équation [1] de l'enca- dré 3 (1)). ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 341-342, 2001 - 1/288

EncadrŽ 2

LE COÛT D'USAGE DU CAPITAL

L'expression du coût d'usage provient de la maximisation intertemporelle de la marge brute d'autofinancement (CF)

avec un taux d'actualisation donné (r t

En effet, résoudre

avecCF, r: marge brute d'autofinancement (Cash Flow), taux d'actualisation p: prix de la valeur ajoutée K, ?: capital, taux de déclassement

I, q: investissement, prix de l'investissement

L, w: travail, coût du travail

est équivalent à résoudre pour chaque période: où c t est le coût d'usage du capital : avec

Coût d'usage du capital

80 82 84 86 88 90 92 94 96 98 00

- 0,0500,050,100,15

Coût d'usage du capital

Coût d'usage du capital déflaté du prix de la VA

Source : Insee, calculs de l'auteur.

MaxCF r slc

CF pFLK wL qI

KKI LIt t t t tt tt tttt tttt, ().1 1 0 1+(

Max p F L K w L c K

LKt t tt tt tt,

cqrqqrq ttta t ata tta ta ta ))..11 11 q q qq q rr t t at1t t t a t+1 +a t a t 1 Pour calculer une série de coût d'usage du capital, nous avons supposé que les anticipations des agents étaient parfaites, que le taux de déclassement était variable ainsi que le taux d'actualisation. Le taux de déclassement a été calculé à partir des données de capital et d'investissement de la comptabilité natio- nale ;en ce qui concerne le taux d'actualisation, nous avons pris le taux nominal des obligations privées (dites de deuxième catégorie). On obtient un coût d'usage du capital dont l'évolution est retracée dans le graphique ci-contre :

1. Pour des raisons pratiques de mise en page, les équations

ont été regroupées dans l'encadré 3. Le lecteur s'y reportera

à l'aide de leur numéro entre crochets [ ].

: indice des prix des investissements : anticipation d'inflation des prix des biens d'investissement : taux d'actualisation anticipé : taux de déclassement du capital anticipé

085-106 - Invest 2 29/06/2001 09:30 Page 88

Afin de rendre compte de la dynamique de

court terme de l'accumulation, cette équation est estimée à l'aide d'un modèle à correction d'erreur (cf. encadré 4). L'équation estimée prend alors la forme [2] (cf. encadré 3).

Du fait de la non-stationnarité des séries

modélisées, les tests habituels de Student ne sont pas pertinents dans ce type de modèle pour tester la significativité des termes mesu- rant les effets de long terme (il s'agit des paramètres { 0 1 2 3 } de l'équation [2] dans l'encadré 3) (Hamilton,1994 ;Stock et Watson,

1993).

Néanmoins,ces valeurs permettent de calculer

l'éventuelle présence d'une productivité ten- dancielle ainsi que les élasticités travail et capital de la production (respectivement et ?) (2). De longue date, les résultats obtenus à partir de ce type de modélisation ne permet- tent pas de retenir les coûts réels des facteurs de production du modèle néoclassique pur comme déterminants de l'investissement (Artus et Muet, 1984). De fait, en présence d'une productivité ten- dancielle, les valeurs obtenues pour les élasti- cités sont parfois de signes négatifs ou plus grandes que l'unité. Cela n'est pas compatible avec les hypothèses sous-jacentes qui suppo- sent un rendement décroissant des facteurs de production, et, bien entendu, des élasticitésquotesdbs_dbs45.pdfusesText_45
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