[PDF] Retard de croissance intra-utérin





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HYPERTENSION ARTERIELLE

Premier recours et des urgences Selon les recommandations 2013 de la Société Européenne de l'Hypertension un traitement médicamenteux.



Prise en charge de lhypertension artérielle de ladulte

En 2013 au Canada la Canadian Family Physician a publié des recommandations concernant le dépistage de l'hypertension chez les adultes de 18 ans et plus



Hypertension artérielle et urgences hypertensives

En l'absence de retentissement clinique contrairement aux recommandations émises





Fiche Mémo – Prise en charge de lhypertension artérielle de ladulte

menteux sauf en cas d'urgence hypertensive. 12 HAS « Décision médicale partagée » et recommandations 2013 SFHTA « Consultation d'annonce ».



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respecter une hypertension artérielle (sauf si valeurs tensionnelles répétées > 230/130 mmHg ou si mal Recommandations pour les urgences hospitalières.



Prise en charge de lanaphylaxie en médecine durgence

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Président : Professeur B. Hédon. Septième partie. Recommandations pour la pratique clinique. 37ES. JOURNÉES NATIONALES. Paris 2013.



Document de synthèse – Méthodes contraceptives

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Prise en charge de lhypertension artérielle de ladulte

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Prise en charge des urgences et poussées - EM consulte

Le texte complet de cet article est disponible en PDF Mots clés : Urgence hypertensive Poussée hypertensive sévère Services des urgences Atteinte organe 



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Une tension élevée est donc souvent la conséquence et non la cause des chiffres obtenus (il faut néanmoins la prendre en charge) La crise hypertensive est 

  • Quelles sont les urgences hypertensives ?

    Une urgence hypertensive est une HTA grave avec des signes d'atteinte des organes cibles (principalement le cerveau, le système cardiovasculaire et les reins). Le diagnostic repose sur la mesure de la PA, l'ECG, l'analyse des urines et les dosages sériques d'urée et de créatinine.
  • Quand Parle-t-on d urgence hypertensive ?

    On considère qu'une personne souffre d'hypertension lorsque l'on constate à deux reprises, et pas le même jour, une tension artérielle systolique supérieure ou égale à 140 mmHg et/ou une tension artérielle diastolique supérieure ou égale à 90 mmHg.
  • C'est quoi une urgence hypertensive ?

    On définit une urgence hypertensive comme une décompensation rapide et progressive de la fonction d'un organe vital causée par une augmentation inappropriée de la TA.
  • On parle d'hypertension artérielle lorsque l'une et/ou l'autre de ces valeurs, mesurée au repos, est supérieure aux valeurs normales : 140 mmHg (millimètres de mercure) pour la pression systolique et 90mmHg pour la pression diastolique.

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12> 4C9P0:8:4B2> 2A :/>APA<60629> 3<.9O.6>

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8 PUcb88:

FD;E)"", 2CG:()%((%(+((2,2/68<;/0" 805
)LGCGP3RL CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français)

91 boulevard de Sébastopol - 75002 Paris

%GCAPc2 GL5-EAN-PAGE B. C ARBONNE, président (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), C. V AYSSIÈRE, coordonnateur (gynécologue obstétricien, CHU, Toulouse), L. S ENTILHES, coordonnateur (gynécologue obstétricien, CHU, Angers), C. A RNAUD, méthodologiste (épidémiologiste, Inserm U1027, Toulouse), D. C OMBOURIEU(CFEF, Collège français d"échographie foetale, échogra - phiste foetale, secteur privé et CHU, Lyon), V. T

ESSIER(CNSF, Collège

national des sages-femmes), B. L

ANGER(SFMP, Société française de

médecine périnatale, gynécologue obstétricien, CHU, Strasbourg), P. T RUFFERT(Société française de néonatologie, pédiatre, CHU, Lille), A. S ERRY(CIANE, Collectif interassociatif autour de la naissance), C. B

ERNARD(CIANE)

"aI3LPN2R5LGRI323PL-U-AB A. E GO(épidémiologiste, CHU, Grenoble), C. FLAMANT(pédiatre,

CHU, Nantes), A. G

AUDINEAU(gynécologue obstétricien, CHU,

PecommUndUvionu'

rowt'lU'rtUviswe'cliniswe

Me'tevUtd'de'ctoiuuUnce'invtUAwv(tin

r98-j49t93)m)r+48$3g+ng)4 go_rpc_02_RCIU_bat2_ jm_cngof09 12/11/

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Strasbourg), G. GASCOIN(pédiatre, CHU Angers), G. GRANGÉ (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), V. HOUFFLIN-DEBARGE (gynécologue obstétricien, CHRU, Lille), V. MALAN(généticienne,

CHU, Paris), P. M

ARCORELLES(anatomopathologiste, CHU, Brest),

J. N IZARD(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), F. PERROTIN (gynécologue obstétricien, CHU, Tours), L. SALOMON(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), M.V. S

ENAT(gynécologue obstétricien, CHU,

Clamart), V. T

SATSARIS(gynécologue obstétricien, CHU, Paris) (31P3RLN E. A ZRIA(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), M. BECHARDDE SPIRLET(gynécologue obstétricien secteur privé, Levallois-Perret), C. B LANCHOT-ISOLA(sage-femme secteur privé, Evry), B. BRANGER (pédiatre, CHU, Nantes), H. BRUEL(pédiatre, CHG, Montivilliers), A. B URGUET(pédiatre, CHU, Dijon), D. CARLES(foetopathologiste, CHU,

Bordeaux), M.L. C

HARKALUK-DUPONT(pédiatre secteur privé, Lille), F. C OATLEVEN(gynécologue obstétricien, CHU, Bordeaux), P. DAUNE (sage-femme, CHU, Amiens), I. de MEZERAC(association SPAMA, Soins palliatifs et accompagnement en maternité), M. D

REYFUS(gynécologue

obstétricien, CHU, Caen), M. D

RIESSEN(gynécologue obstétricien, CHU,

Paris), G. D

UCARME(gynécologue obstétricien, CH, La Roche sur Yon), C. F OULHY(sage-femme, CHU, Clermont-Ferrand), D. GALLOT (gynécologue obsté tricien, CHU, Clermont-Ferrand), F. GOFFINET (gynécologue obstétricien, CHU, Paris), S. GONY(maÔeuticien, CHU,

Clermont-Ferrand), I. G

UELLEC(pédiatre, CHU, Paris), T. HARVEY

(gynécologue obstétricien, ESPIC, Paris), J.M. JOUANNIC(gynécologue obstétricien, CHU, Paris), O. J

OURDAIN(gynécologue obstétricien secteur

privé, Bruges), G. K AYEM(gynécologue obstétricien, CHU, Colombes), R. K UTNAHORSKY(gynécologue obstétricien, CHG, Colmar), H. L AURICHESSE(gynécologue obstétricien, CHU, Clermont-Ferrand), A. L EREBOURS-BARBIER(gynécologue obstétricien secteur privé, Vannes), M. M ARTINEZ(maÔeu ticien, CHU, Montpellier ), E. MASCITTI-HUMBERT (sage-femme, CH, Chaumont), C. MORIN(sage-femme, CHU, Bordeaux), M. M ORIN(maÔeuticien, CHU, Toulouse), I. NISAND(gynécologue obstétricien, CHRU Strasbourg), M. P

ERINEAU(gynécologue obstétricien

secteur privé, Toulouse), A. R

ICBOURG(gynécologue obstétricien, CHU,

Paris), V. R

IGOURD(pédiatre, CHU, Paris), C. ROUILLARD(sage-femme,

CHU, Angers), P. R

OZENBERG(gynécologue obstétricien, CHI, Poissy), B. S CHAUB(gynécologue obstétricien, CHU, Fort de France), J. SEROR (écho graphiste secteur privé, Paris), O. THIEBAUGEORGES(gynécologue obsté tricien secteur privé, Toulouse), E. V

ERSPYCK(gynécologue obsté -

tricien, CHU, Rouen), J. Z

EITLIN(épidémiologiste, Inserm U953, Paris)

806
CNGOF go_rpc_02_RCIU_bat2_ jm_cngof09 12/11/

13 11:47 Page806

La prise en charge du retard de croissance intra-utérin implique tous les professionnels de la périnatalité et nécessite une même compréhen - sion des processus en cause ainsi que l"adoption d"un langage commun basé sur des définitions précises. L"information la plus claire possible des parents est indispensable afin de permettre leur implication éclairée dans les décisions médicales avant comme après la naissance. .08-23BGBaBIGUl8)AIBe8-1U8)IcR(1U8-18)RIBUU G)1 La définition d"une anomalie de croissance et le choix d"une courbe de poids conditionnent en grande partie le dépistage et le diagnostic du retard de croissance intra-utérin (RCIU).

F(finivionu

La terminologie suivante, à utiliser en anté comme en postnatal, est proposée : Pf/tf%n%/trne$/tr&#/o1(jf/jf$%b%nrppfo/r&/U9I(équivalent français de IjRgg bno 5aprRrfnmRg 0caou SGA) est défini par un poids isolé (estimation pondérale fm traonou poids de naissance) infér ieur au 10 e percentile, (bccr#e/t#rgf$$nrppfo). Le PAG sévère corres pond

à un PAG inférieur au 3

e percentile (bccr#e/t#rgf$$nrppfo). - Le _ a(équivalent français de barRg con#re oaprofUrfnm(FGR) ou fmroR/traofma con#re oarRo_RrfnmIUGR) correspond le plus souvent à un PAG associé à des arguments en faveur d"un défaut de croissance pathologique : arrêt ou infléchissement de la crois - sance de manière longitudinale (au moins 2 mesures à trois semaines d"intervalle) ( bccr#e/t#rgf$$nrppfo). Plus rarement, un RCIU peut correspondre à un défaut de croissance, avec un poids proche du 10 e percentile sans être PAG (RU6).

PemUtsweu'

- Dans les situations de PAG sur une mesure isolée, l"existence de signes d"altération du bien-être foetal (diminution des mouvements foetaux, anomalies du Doppler, oligoamnios) doit faire évoquer un

RCIU (

bccr#e/t#rgf$$nrppfo). 807
C

1/ 73 C30C2 23 1C:6II0913 69C0/P$C69

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- Les enfants PAG sont soit des enfants constitutionnellement petits, soit d"authentiques RCIU ( NP2). - Il est souhaitable de supprimer du vocabulaire les dénomina - tions " hypotrophe », " RCIU symétrique ou asymétrique » accord professionnel).

Ehoi%'deu'cowtaeu

- Les courbes de poids de naissance ne sont pas adaptées au repérage des PAG aux petits âges gestationnels en raison des pathologies liées à la prématurité. Les courbes fm traonrepré - sentent plus fidèlement la croissance physiologique ( NP2). - Le sexe foetal, la taille et le poids maternels en début de gros - sesse, la parité, et l"origine ethnique influencent signifi cativement le poids foetal, le sexe étant le facteur prépondérant ( NP2). L"utilisation d"une courbe non différenciée par sexe conduit à suspecter préférentiellement le faible poids chez les filles (faux positifs) et ignorer des PAG garçons (faux négatifs) ( NP3). - Les courbes ajustées individuelles de croissance foetale associent croissance fm traonet ajustement sur taille, poids de la mère, parité, et sexe foetal. Les PAG définis uniquement selon une courbe en population ne présentent pas d"augmentation de risque périnatal et semblent être constitutionnellement petits. Les PAG définis uniquement selon les courbes ajustées indivi - duelles de poids foetal ont un excès de risque de décès périnatal de 2 à 10 ( NP3). Rapportés à l"ensemble des naissances, 5 % des enfants sont reclassés (

NP3). Ils représentent environ 25 % des

PAG (NP3). Dw' vovUl-'l"adoption homogène de nouvelles courbes de croissance, en période prénatale comme à la naissance, est une nécessité pour tous les professionnels de la périnatalité (obstétriciens, sages-femmes,

échographistes, pédiatres...) (

accord professionnel). En échographie diagnostique (ou de référence), l"utilisation de courbes de croissance ajustées sur taille, poids de la mère, parité, et sexe foetal, est recommandée ( accord professionnel). En dépistage, l"utilisation des courbes ajustées doit faire l"objet d"une évaluation dans des régions pilotes, qui guidera le calen- drier de leur utilisation ultérieure à l"échelle nationale. Ce choix 808
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