[PDF] Projets urbains régénératifs : de lidée à la méthode





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des fondements de la démarche de projet urbain celui-ci doit composer avec l’existant à toutes les échelles pour cela un dialogue entre concepteurs et écologues s’avère nécessaire une connaissance environnementale (faune-flore pédologie ) en amont de la conception permet de mettre le projet en adéquation avec ses

Quels sont les projets écologiques ?

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Quels sont les avantages d’un projet écologique?

    Exigence écologique Le projet s’inscrit durablement dans une logique de respect de la planète et de réduction des consommations d’énergie. Démarche non spéculative Les bénéfices réalisés restent au sein de la société et servent à rémunérer durablement les investisseurs du projet.

Comment faire un projet écologique à l’École ?

    Un projet écologique à l’école peut aussi prendre la forme d’un concours d’écoles fleuries, de l’opération « adoptez un jardin », d’un plan de reforestation régional. Pour engager votre établissement facilement dans le développement durable, vous pouvez vous appuyer sur le programme Eco-Ecole.

Comment encourager les projets écologiques et durables ?

    Pour encourager les projets écologiques et durables, des concours et trophées sont organisés tout au long de l’année. Ils permettent de mettre en valeur les actions, d’assurer la promotion des projets et de valoriser la compétitivité.
Projets urbains régénératifs : de l'idée à la méthode

Philippe Clergeau et Eduardo Blanco

Si l'idée d'intégrer la biodiversité dès la conception des projets d'aménagement s'est généralisée,

la méthode consistant à penser le milieu urbain comme un système écologique évolutif demeure en

revanche mal connue. Philippe Clergeau et Eduardo Blanco en rappellent ici les principes centraux. L'urbanisme organise et transforme l'espace, et intervient directement dans l'aménagement du

territoire, qu'il s'agisse de création de nouveaux territoires urbanisés ou de requalification-

restauration de quartiers existants. Les projets urbains sont donc en première ligne des objectifs de

durabilité qui peuvent être attendus aujourd'hui, notamment dans un contexte de transition

écologique et de lutte contre le changement climatique. L'urbanisme ne peut plus s'affranchir de ces

problèmes. Il ne s'agit alors plus seulement d'adaptation, de réduction d'impacts ou de réponses à

des contraintes, par exemple climatiques, mais surtout de modifier le paradigme de l'urbanisme

actuel. L'objectif de l'urbanisme régénératif est non seulement de créer des écosystèmes au sein de

la ville, mais aussi de faire de la ville un vaste système social et écologique qui " s'auto-entretient ».

Les notions de fonctionnement écologique (pris au sens large) et de différents niveaux d'action et de

complexité sont évidemment au coeur de la réflexion.

Des systèmes urbains écologiques

Dans la planification et l'aménagement urbain, l'idée de relier le fonctionnement des systèmes

urbains et celui des systèmes écologiques remonte au XIXe siècle, avec les travaux de chercheurs et

praticiens américains et anglais comme George Perkins Marsh, John Wesley Powell, Patrick Geddes, Sir Ebenezer Howard et Frederick Law Olmsted. Ces travaux ont été pionniers dans

l'application de processus écologiques dans le projet urbain, avec l'objectif d'augmenter la qualité

de vie des populations humaines. En 1994, John Tillman Lyle propose l'expression " regenerative

design » appliquée à l'aménagement, qui remet en cause la linéarité des systèmes urbains par

rapport au fonctionnement des systèmes naturels et qui propose des systèmes circulaires qui

contribueraient à la régénération des écosystèmes naturels. Lyle mobilise trois types d'information

pour que chaque projet puisse répondre aux besoins et aux fonctions vitales du site : 1) la structure

des écosystèmes ; 2) les processus écosystémiques, comme la conversion de l'énergie, l'épuration

des eaux et le cycle des nutriments et 3) les informations de localisation. Depuis, de nombreux

auteurs ont rediscuté les termes d'urbanisme régénératif et les objectifs qu'il convenait d'y inscrire

(voir Blanco et al. 2021).

Le constat que l'on peut faire aujourd'hui est que les actions qui sont entreprises en aménagement

pourraient être hiérarchisées selon un niveau de " maturité », jusqu'à aboutir à un projet urbain plus

durable dans ses composantes holistiques et régénératives. On peut identifier trois étapes d'objectifs

et de pratiques, qui représentent différents niveaux de complexité (figure 1). Une première étape

consiste à planter beaucoup de végétation pour répondre aux besoins du citadin. Les services

fournis par cette nature (rafraîchir la ville, santé du citadin, gestion de l'eau, etc.) sont conséquents

et apparaissent indispensables à une ville habitable et sereine (Abbadie 2020). C'est un objectif

clairement affiché par une majorité de municipalités, qui est aujourd'hui ciblé par les acteurs de la

1

production de projets urbains (Bonthoux et Chollet 2021 ; Louis-Lucas 2021). Une deuxième étape

fait intervenir non plus des végétaux, mais une biodiversité, dans le sens donné par les écologues :

un ensemble d'espèces qui ont des relations entre elles et avec leur habitat. Il s'agit alors de

favoriser les espèces locales et spontanées. L'intérêt est que les services sont fournis non par

quelques espèces connues et disponibles chez les pépiniéristes, mais par un foisonnement d'espèces

végétales qui ont coévolué et dont l'ensemble offre une forme de " stabilité » par rapport aux

monocultures d'espèces qu'on a l'habitude de planter (les alignements de platanes, les toits de

sédums...). Cette étape tend à produire une ville verte et durable (Clergeau 2007). Une troisième

étape va encore plus loin dans l'objectif de durabilité, car elle vise à un auto-entretien des

plantations, notamment par une reproduction spontanée des espèces et une reconstitution régulière

des fonctionnements écologiques (chaînes alimentaires, corridors écologiques, par exemple). L'idée

est de reconstituer les écosystèmes les plus proches possible de ce qui existe dans la nature. Il s'agit

bien d'une bioinspiration, les concepteurs s'inspirant de la nature pour créer des espaces urbanisés,

verts, pérennes, autonomes et résilients (Buck 2017). Le système, qu'il s'agisse d'une plantation,

d'un quartier ou de la ville, vise alors à se régénérer, comme la nature le fait spontanément. Même

si la ville ne sera jamais un système " naturel », l'objectif est de l'intégrer dans sa biorégion

(Magnaghi 2003), de compléter les notions de métabolisme par le rôle du vivant, de considérer

l'humain non plus comme l'espèce dominante, mais comme une espèce parmi d'autres faisant partie

d'un système dynamique et fragile, de s'inspirer au plus près des fonctionnements écosystémiques

pour permettre un auto-entretien et une régénération des composantes vivantes et non vivantes de

l'urbain. La flexibilité, la résilience, l'adaptabilité et la gestion des incertitudes sont plus propres à

un système autonome et complexe qu'à un système linéaire complètement sous gestion. L'approche

systémique implique à la fois une lecture transversale du fonctionnement du site à travers ses

composantes sociales, environnementales et économiques et une lecture des différents niveaux

spatiaux de ces fonctionnements, depuis la parcelle et le bâti jusqu'à la ville et son périurbain.

Figure 1. Schématisation de trois niveaux de maturité de la question " nature en ville »

De nouveaux outils pour la conception urbaine

L'urbanisme régénératif propose de nouveaux outils fondés sur des labels et des outils d'aide à la

conception. Les labels, par exemple le Living Building Challenge (LBC, 2019), tentent de certifier une bonne pratique à partir d'un nombre important d'exigences, comme l'autonomie en eau potable,

en énergie et en traitement des eaux usées, la restriction de construction du projet sur des zones

vertes ou sensibles, l'obligation de stratégies de mobilité douce ou décarbonée, etc. À l'échelle du

bâtiment, plus de 130 projets sont certifiés LBC en 2020 dans le monde, et 690 projets visent cette

certification. Le LBC est décerné par une association américaine sans but lucratif, appelée

2 l'International Living Future Institute (ILFI). Elle a récemment ouvert une antenne en Europe, le

Living Future Europe (LFE). Le label est décerné après un an d'opération et d'audit de terrain par

un expert. À l'échelle du quartier, le développement de projet est plus lent mais existe en Amérique

du Nord et en Océanie. Un projet remarquable est The Paddock, en Australie1. La conception s'est

appuyée sur cette certification LBC et plusieurs stratégies ont été proposées pour restaurer l'habitat

naturel et la biodiversité, être autonome en eau et énergie et créer un impact socioécologique positif

sur le site. La conception du projet s'est fondée sur un diagnostic écologique participatif (Pedersen

Zari 2018).

Plusieurs boîtes à outils ont aussi été proposées, par exemple le Living Environments in Natural,

Social, and Economic Systems (LENSES, Plaut et al. 2012), fondé sur une conception participative, ou encore l'Ecosystem Services Analysis (ESA, Pedersen Zari 2015), qui s'appuie sur l'évaluation

des services écosystémiques pour comprendre le fonctionnement des écosystèmes et le transposer

dans le domaine de la conception architecturale et urbaine.

Le label français EcoQuartier est décerné par une commission du club EcoQuartier dépendant du

ministère de la Transition écologique. Bien que beaucoup moins exigeant en termes

environnementaux que le LBC, ce label se rapproche aussi de certains objectifs et principes du

design régénératif. Nous pouvons citer notamment l'engagement 1, qui prévoit des projets

répondant aux besoins de tous en s'appuyant sur les ressources et contraintes du territoire,

l'engagement 2, qui prévoit une gouvernance partagée et l'engagement 5, qui prône une démarche

d'évaluation et d'amélioration continue du projet. La biodiversité encore absente dans la plupart des conceptions urbaines

Bien que ces outils soient plus utilisés et que les projets citent maintenant clairement des objectifs

de durabilité et d'environnement, l'analyse de Blanco et al. (2021) montre la faible prise en compte

de la biodiversité dans ses composantes spécifiques et fonctionnelles. Les acteurs de production de

la ville se concentrent sur des approches de métabolisme ou de végétalisation, avec une faible

maturité vis-à-vis des approches écosystémiques, comme nous les avons définies précédemment.

L'examen des documents d'urbanisme dit régénératif et de ses pratiques de mise en oeuvre fait

ressortir plusieurs éléments qui semblent indispensables à des stratégies opérationnelles. D'une part,

il s'agit de généraliser 1) une lecture systémique du site pour comprendre les interrelations entre le

système écologique, le système social et le système économique, en s'appuyant notamment sur des

diagnostics socio-écologiques (voir aussi Clergeau 2019) et l'usage d'indicateurs écologiques

(Blanco et al. 2022) ; 2) un processus participatif où les acteurs locaux sont mobilisés dans les

phases de diagnostic et de création (Camrass 2020) ; 3) un processus continu de gestion et

d'évaluation, car la régénération et les impacts ne sont pas observables à la livraison du projet, mais

dans le temps (Clergeau et Bonnaud 2019).

D'autre part, il faudrait prendre en compte explicitement la biodiversité et le paysage

(inventaires, indicateurs, qualité des sols et des habitats, processus de dispersion...), qui va de pair

avec une économie de sobriété (mobilité douce, circuits courts, matériaux biosourcés...) pour des

bénéfices mutuels à la société et à la nature.

Finalement, il s'agit de modifier les objectifs du projet urbain en considérant que le non-bâti

devient aussi important que le bâti dans tous les aménagements qui se disent durables.

1Voir https://www.thepaddockcastlemaine.com.au.

3

Bibliographie

Abbadie, L. 2020. " La nature nous rend et se rend des services », in P. Clergeau (dir.), Urbanisme

et biodiversité. Vers un paysage vivant structurant le projet urbain, Rennes, Éditions Apogée,

p. 16-26. Blanco, E., Raskin, K. et Clergeau, P. 2021. " Le projet urbain régénératif : un concept en

émergence dans la pratique de l'urbanisme », Les Cahiers de la recherche architecturale urbaine

et paysagère. URL : http://journals.openedition.org/craup/8973.

Blanco, E., Raskin, K. et Clergeau, P. 2022. " Towards regenerative neighbourhoods: An

international survey on urban strategies promoting the production of ecosystem services ». Sustainable Cities and Societies, vol. 80. URL :

Bonthoux, S. et Chollet, S. 2021. " Pourquoi et comment favoriser la spontanéité écologique en

ville ? », Métropolitiques. URL : https://metropolitiques.eu/Pourquoi-et-comment-favoriser-la-

spontaneite-ecologique-en-ville.html. Buck, N. T. 2017. " The art of imitating life: The potential contribution of biomimicry in shaping the future of our cities », Environment and Planning B. Urban Analytics and City Science, vol. 44, n° 1, p. 120-140. Camrass, K. 2020. " Regenerative Futures », Foresight, vol. 22, n° 4, p. 401-415. Clergeau, P. 2007. Une écologie du paysage urbain, Rennes, Éditions Apogée.

Clergeau, P. 2019. " La biodiversité dans les stratégies d'aménagement urbain », Métropolitiques.

URL : https://metropolitiques.eu/La-biodiversite-dans-les-strategies-d-amenagement- urbain.html. Clergeau, P. et Bonnaud, X. 2019. " La gestion adaptative comme outil des paysages urbains durables », Traits urbains, n° 102, p. 66-69. International Living Future Institute. 2019. Living building Challenge 4.0.

Louis-Lucas, T. 2021. " Que recouvre l'intérêt des promoteurs pour la biodiversité ? »,

Métropolitiques. URL : https://metropolitiques.eu/Que-recouvre-l-interet-des-promoteurs-pour- la-biodiversite.html. Lyle, J. T. 1994. Regenerative Design for Sustainable Development, New York : John Wileys and Sons. Magnaghi, A. 2003. Le Projet local. Manuel d'aménagement territorial, Bruxelles : Éditions

Mardaga.

Pedersen Zari, M. 2015. " Ecosystem services analysis: Mimicking ecosystem services for

regenerative urban design », International Journal of Sustainable Built Environment, vol. 4, n° 1,

p. 145-157. Pedersen Zari, M. 2018. Regenerative Urban Design and Ecosystem Biomimicry, Londres :

Routledge.

Plaut, J. M., Dunbar, B., Wackerman, A. et al. 2012. " Regenerative design: The LENSES Framework for buildings and communities », Building Research and Information, vol. 40, n° 1, p. 112-122. 4

Philippe Clergeau est professeur émérite au Centre d'écologie et des sciences de la conservation

du Muséum national d'histoire naturelle. Ses recherches portent sur l'intégration de la biodiversité

dans les projets urbains et les processus d'écologie urbaine, la planification urbaine durable et l'aménagement du paysage. Eduardo Blanco est ingénieur en environnement spécialisé dans l'urbanisme durable. Il est

actuellement doctorant au Centre d'écologie et des sciences de la conservation du Muséum national

d'histoire naturelle et chargé de mission au Centre européen d'excellence en biomimétisme de

Senlis (CEEBIOS). Ses recherches portent sur la conception urbaine durable, le design régénératif

et le biomimétisme au niveau des écosystèmes.

Pour citer cet article :

Eduardo Blanco & Philippe Clergeau, " Projets urbains régénératifs : de l'idée à la méthode »,

Métropolitiques, 20 juin 2022. URL : https://metropolitiques.eu/Projets-urbains-regeneratifs-de-l-

idee-a-la-methode.html. 5quotesdbs_dbs17.pdfusesText_23
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