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COMMENTAIRE SUR MODERATO CANTABILE: Marguerite Duras

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Marguerite Duras Moderato Cantabile La scène du repas - Pimido

16 mar 2009 · Marguerite Duras Moderato Cantabile La scène du repas : commentaire composé 3 pages français pdf Résumé du document

  • Quel est le message de Moderato Cantabile ?

    Dès l'ouverture de Moderato cantabile, la musique jouée par l'enfant de l'héroïne, éveille chez elle le sentiment d'absence et de manque. La musique liée à des sons venus de l'extérieur: le cri entendu d'une femme souffrante fait l'écho intérieurement d'un deuil impossible et d'une inconsolable perte.
  • Pourquoi choisir Moderato Cantabile ?

    La réponse comble cette faille culturelle et place à égalité les deux classes sociales : « Moderato, ? veut dire modéré, et cantabile, ? veut dire chantant, c'est facile. » Et c'est moderato cantabile que Marguerite Duras va mettre en mots cette non-histoire, rendant ses phrases à sa manière mélodieuses.
  • Quand se passe Moderato Cantabile ?

    Elle traverse la ville tous les vendredis après-midi avec son enfant pour la leçon de piano : elle est autorisée à sortir, semble-t-il, pour cela et depuis peu. La traversée de la ville dans sa partie populaire lui est, socialement, interdite.
  • Moderato Cantabile est un ouvrage très court, elliptique et où silences et non-dits occupent plus de place que ce qui est écrit. Peu de personnages, quelques lieux bien définis - le salon de la professeur de piano, le bar, la maison où vivent Anne Desbar?s et son fils.
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Romy Berthou Comte 1°es

>COMMENTAIRE SUR MODERATO CANTABILE: Marguerite Duras est née en 1914, c'est un auteur du XX° siècle qui a une multiplicité de cordes à son arc, elle s'intéressa au cinéma en parallèle à la littérature et aux idées politiques notamment au travers du PCF qu'elle quittera après 6ans d'adhésion. Elle écrivit Moderato Cantabile qui parut en 1958 aux éditions de minuits, cette oeuvre s'inscrit dans le nouveau roman dans la mesure où le personnage

principale à l'origine appelé " héros » n'a rien d'héroïque, c'est une femme à la

vie qui paraît la plus ordinaire qu'il soit. Marguerite Duras propose dans cette oeuvre au lecteur non pas une histoire toute faite, diégétique et limpide où aucun effort n'est à faire mais une observation minutieuse d'une femme et de son environnement à la quête d'une possible recherche personnelle, psychique .Elle a d'ailleurs été accueillie par ses lecteurs et critiques de manière très contrastée. Certains comme Robert Poulet en 1958, expliqueront que Duras " a raison de croire que le même fait peut prendre diverses couleurs et produire des émotions différentes, selon la manière dont il est mené » mais pour lui ce n'est pas le cas ici, il n'y trouve alors aucune narration et que des suppositions floues. Ce parti prix a cependant beaucoup de sens et permet au lecteur attentif une certaine vision de l'Homme et du monde. Moderato Cantabile retrace un moment de la vie d'une femme plutôt aisée paraissant ordinaire et menant son fils à une leçon de piano qui finalement aura des effets bouleversants à partir d'un cri entendu, ce cri, rompant la musique, vient d'une scène entre un homme et une femme morte. On peut alors se demander qu'elle vision de la femme est donnée ici et quelle est celle du monde auquel elle appartient. Pour répondre à cette question, nous analyseront dans un premier temps la vision de la femme mère, épouse et le tournant dans sa vie que l'on perçoit, puis celle du monde bourgeois, de bonne société auquel elle appartient. Pour mieux cerner l'originalité de la démarche nous la comparerons avec celle de Camus dans L'Étranger parut à la même époque dans style littéraire semblable, comparaison qui sera faite sur la vision de l'Homme et du Monde. Tout d'abord, le personnage central est Anne Desbaresdes, c'est cette femme que le lecteur va suivre dans ses actes et essayer de comprendre tant elle peut avoir différentes facettes selon l' interprétation du lecteur. Dans le premier chapitre, l'incipit est in médias res et se passe durant la leçon de piano , le lecteur ne perçoit pas au premier abord qui est le personnage le plus important et surtout que " cette femme assise à trois mètres de là », (périphrase qui exprime une certaine distance paradoxale), puis " Anne Desbaresdes » n'est autre que la mère du petit pianiste. Aucun indice ne permet de déceler leur lien de parenté. L'enfant cependant montre tout au long du roman plus de transparence dans ces liens en recherchant la présence de sa mère mais avec l' insouciance de l'enfance, dans ce chapitre: il " tourne la tête vers cette voix[...] 1 le temps de s'assurer de son existence » . Cette scène met dès le départ en place la relation troublante entre une mère et son fils. Cette femme aimant pourtant son enfant comme on peut le voir par tout les noms qu'elle emploie pour le désigner comme " mon trésor », " mon amour » ne parvient cependant pas à admettre qu'elle l'a bien enfanté et qu'il est son fruit, est-ce par trop d'amour ? Un amour trop violent ? C'est ce que laisse présumer le chapitre V par exemple de manière très forte où la mère voit son enfant comme un " barbare » lorsque la musique, réussie, vient à ses oreilles, car elle pénètre son inconscient et l'oblige à admettre qu'il est bel et bien réel, comme un cri de son enfant, " un cri de la vie », car la musique est " portée de son enfant à elle » et s'abattat " de nouveau sur sa mère » qui l'aime d'une façon peu conventionnelle c'est une " damnation de son amour ». Anne Desbaresdes est donc " condamnée » à cette réalité qui n'est pas celle qu'elle imagine, et cela transparaît dans ses paroles, quand elle s'adresse au petit garçon " quelquefois je crois que je t'ai inventé, que ce n'est pas vrai, tu vois » (chapitre II), chose qui pourrait paraître cruelle de la part d'une mère, et également lorsqu'elle se confie à Chauvin qu'elle rencontre dans un café: "un jour[...] j'ai eu cet enfant là » (chapitre V), avec un passé composé qui implique une action finie et donc terminée, incompatible avec la mise au monde d'un enfant. Anne Desbaresdes a donc une relation affective et de rejet, entre amour et haine avec son enfant, comme une " passion amoureuse » pourrait être vécue. Dans ce début du roman, le son, la musique, les sensations sonores sont très présentes et dévoilent des émotions. Au travers de la scène de crime qui va fasciner cette femme, on peut aussi se rendre compte de l'impact du cri de la femme morte, tuée, assassinée par son amant sur la femme bourgeoise, elle va lors d'une conversation avec Chauvin dévoiler qu'elle n'a crié qu'une seule fois de la même façon, lorsqu'elle a eu son enfant, à l'accouchement (chapitre III): " j'ai crié, si vous saviez ». Ce rapprochement est troublant, et renforce ce sentiment de relation double entre la mère et son fils, entre l'amour qu'elle lui porte et sa façon de percevoir sa venue au monde, comme si c'était un amour meurtrier. Anne desbaresdes est aussi en dehors d'être une mère, une femme, qui se cherche, qui cherche à aimer, à connaître son identité, comment assouvir ses envies, et qui en oublie son mari. Elle entend et voit donc une femme assassinée par son amant, et cette image la fascine. Cet évènement va ébranler sa vie, et aboutit à des questions posées à Chauvin, témoin tout comme elle de cette scène, des questions répétitives, insistantes qui illustrent son trouble sentimental, et sa remise en question. Tout d'abord, le fait que l'amour puisse pousser au crime, et que peut-être ce serait une façon d'aimer, un désir : " Dites-moi, je vous en prie, comment elle en est venue à découvrir que c'était justement ça qu'elle désirait de lui? » (chapitre III). Ce désir est alors une quête et la question alors est comment savoir ce que l'on désir, ce qu'elle désirait et donc on peut supposer qu' Anne cherche à savoir ce qu'elle cherche avec Chauvin en parallèle. Puis, au travers des discussions entre les deux personnages ont peut comprendre que A Desbaresdes s'éloigne peu à peu se son mari, jamais nommé ni mentionné hormis à la fin du roman dans un diner de société vue de manière très négative. L'absence du mari dans le roman, en contraste avec l'omniprésence de l'enfant montre bien que si Anne cherche l'amour, se n'est pas dans un cadre conjugal qu'elle le trouvera. Elle exprime une possibilité de " problèmes de coeur » (chapitre II), qui auraient pu être la cause du meurtre, arrivants " au bout d'un temps » (chapitre II). Cette remarque arrive après l'exposition de la vie supposée de la femme morte, mariée et avec des enfants devenant " ivrogne », comme si après plusieurs années de quotidien dans les normes, l'alcool ou la volonté de mourir pouvait être le seul échappatoire. Ce qui, déjà, annonce l'addiction naissante d'Anne Desbaresdes à l'ivresse et à Chauvin comme pour s'éloigner 2

d'une réalité étouffante.Elle transgresse, d'ailleurs les règles de sa société d'une

part en n'acceptant pas de donner l'éducation dans les normes à son enfant, et se déçoit lorsqu'il obéit aux ordres de son professeur de piano, Mlle Giraud, (chapitre I) " quand il obéit de cette façon, ça me dégoute un peu, [...]voyez- vous. » La société à laquelle appartient Anne Desbaredes apparaît de manière éparse dans l'ensemble du roman, mais elle est très présente dans le chapitre VII qui relate un diner auquel Anne arrivera en retard à cause de son habitude nouvelle maintenant de boire avec Chauvin dans le café. Le diner est une scène marquante du livre, qui est assez troublante, on se sait si le point de vue est complètement omniscient ou emprunt d'un point du vue interne du personnage principal, qui poserait un regard critique sur le monde environnant et qui rêverait à ce que Chauvin fait cet inconnu, le confident et source de désir, dehors. Puis, pour ajouter à cette scène un attrait plus important, c'est elle qui est le point central du récit, le temps est comme ralentis pour nous dépeindre la société. En effet les premiers chapitres se déroulent en une dizaine de jour puis le V°, VI° et le VII° sont tous trois les faits d'une même journée: un vendredi, mais dans le VII le présent de narration permet au fil de l'histoire de faire une pause sur un phénomène de société que représente le diner bourgeois et surtout de voir dans quel tourment psychologique se trouve Anne. La société à laquelle elle appartient apparaît tout d'abord comme peu affective, les convives ne sont pas nommés se sont des étrangers, on sait seulement qu' " ils sont quinze » p101., ce qui donne un aspect encore moins familial au lieu paradoxalement car c' est la résidence d'Anne qui pour la première fois ouvre ses portes aux lecteurs. Puis même les personnages principaux perdent de leur identité, et le doute du lecteur peut même s'installer : " un homme, face à une femme regarde cette inconnue »,p100, on comprend que l'homme est le mari d'Anne qui la fixe, telle une étrangère, car il ne la reconnaît plus, elle est saoule et vient de loin, du café. Le côté impersonnel des mondanités se retrouve dans la manière de voir les membres de ce cercle fermé, de les désigner par des pronoms indéfinis : "l'un [...]l'autre »p.99, ou encore pour le personnel: " des femmes » p99. Puis la vision de la société pointée du doigt est globalisante: " cette espèce » p102, " une société quelconque » p103, " une société fondée dans ses assises, sur la certitude de son droit» p103, ce qui contraste avec le reste du roman qui dans une ressemblance proche à l'existentialisme de Sartre, montre que les actes font l'identité.Pour Sartre, l'homme se définit par ses actes et se construit, " son existence précède l'essence ». Ici, les personnes décrites ne sont pas faites par leurs actes mais par leur essence, ce sont des Hommes. De plus, la généralisation de " l'homme » et de la » femme » permet une réflexion plus générale sur la société, une étude de la relation entre les deux moitié dans un couple de la bourgeoisie. Les femmes mêmes ne sont pas des amantes, aimées, ce sont des femmes qui remplissent un rôle d'épouse, et dont les époux font leur devoir, sans nécessairement être attentionnés : " les hommes les couvrirent de bijoux au prorata de leur bilan » p103. Les maris n'offrent des colliers et bijoux non pas par amour directement mais qu'en fonction de leur finance. C'est donc une société au fonctionnement particulier, entre devoir et apparences, dirigée par la richesse et le fast : " Les apparences ont le devoir d'être sauvées en toutes occasions, ce soir là notamment Anne va devoir cacher son ivresse : " un sourire fixe rend son visage acceptable »p101. Son apparence est admissible alors pour les codes sociaux qui l'entourent. Les codes sociaux sont justement dans ce chapitre bien remis en question. D'une part, les habitus dans le déroulement de cette " cérémonie » paraissent futiles, élitistes comme la description du service du saumon p.99 apporté par un homme " habillé de noir et ganté de blanc » dont il 3 est " séant de ne pas parler ». Cette phrase qui pourrait être rapportée au style indirect libre, comme une maxime inscrite dans un quelconque règlement intérieur que pourrait nous communiquer Anne, montre bien l'hostilité des Hommes du monde par rapport aux personnel, dénigré, qui n'appartient pas à leur classe. De plus la richesse des habitudes absurdes sont décrites avec précision et moquerie. Le fait que plat sur lequel le " saumon glacé dans sa forme initiale » est posé soit

financé par " trois générations » familiales. p99 est un minuscule détail que relève

Marguerite Duras, mais il est assez révélateur, car à aucun autre moment les anciennes générations ne sont évoquées hormis pour un bien matériel et le profit de l 'héritage. Anne Debaresdes est un personnages proche de Meursault dans l'Etranger d'Albert Camus. On peut rapprocher ces deux romans car les deux " héros » se placent en dehors des règles admises, en en marge de la société. Meursault lui est un homme qui ne montre pas ses sentiments pour la simple et bonne raison qu'il refuse l'absurdité du monde environnant : " cela n'a pas d'importance » " cela n'a pas de

sens » répète-t-il plusieurs fois parallèlement à Anne Desbasredes qui transgresse les

obligations et la conduite qu'on attend d'elle. Elle boit, elle parle avec un autre homme que son mari dans un café, et surtout elle ne donne pas à son enfant l'éducation traditionnelle. Ces deux êtres sont alors condamnés par la société par un rejet, Anne par exemple au cours du repas " l'une d'entre elle contrevient ce soir à l'appétit général » p104 et Meursault lorsque même son amie lui dit qu'elle le trouve " bizarre », par les regards posés sur lui quand il ne dit pas ce qu'il doit dire notamment à l'enterrement de sa mère : " je savais que je n'aurais pas du dire cela ». De plus ce qui renforce la ressemblance entre ces deux romans est la démarche de l'auteur qui appartiennent tous deux au courant littéraire du nouveau roman au XX° siècle. Marguerite Duras et Camus utilise en majorité un trouble venant du point du vue, externe en général présent, qui ne donne pas la possibilité de connaître les sentiments des personnages, de connaître le fond de leur pensée. Ainsi, les gestes, les actes et chaque détails dans la manière d'agir d'Anne et de Meursault donnent des indications sur ce qu'ils vivent et sont des énigmes à résoudre. Le lecteur a donc un rôle de compréhension et ne se voit pas offrir un roman classique ou la morale est donnée explicitement. Ce fait là pousse à la réflexion sur les agissements des personnages, sur l'existence de l'Homme et également sur l'absurdité de notre monde. Les deux romans présentent donc une critique implicite de la société, pour l'Etranger on peut parler d'une critique du système juridique, avec une scène de jugements fallacieuse, comique par notamment les gestes du procureur qui " a essuyé son visage brillant de sueur » ce qui donne à la scène un coté théâtral proche de Moderato Cantabile dans la scène du repas. Scène du repas où la société bourgeoise est dépeinte dans ses travers par un comique véhiculé par la description de la nourriture tel que le saumon dans ses différentes formes et des discussions banales, stériles : " le choeur des conversations augmente peut à peu de volume, et dans une surenchère d'efforts et d'inventivités progressive». Pour conclure, l'originalité de l'oeuvre Durassienne de Moderato Cantabile est d'offrir une vision humaine de la femme comme on ne peut pas percevoir le fond sans une observation minutieuse et par interprétation, recherche de sens aux actes. La femme est amoureuse, capable de céder à certaines tentations, aux cotés obscures que la société refuse de prendre en compte notamment dans un milieu bourgeois, luxueux ou tout doit être limpide sans défauts. Camus et Marguerite Duras ont le point commun et l'originalité de proposer une autre vision de la société et des hommes que ce que nous pouvons avoir grace à étonnement un recule par rapport à la pensée, mais un rapprochement plus gestuels, d'observation. 4quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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