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  • Quelle est la couleur attribuée par Rimbaud à la voyelle u ?

    Chaque voyelle est associée à une couleur: « A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu » (v. 1). Corporelles : « frissons » (v.
  • Quel est le style d'écriture de Rimbaud ?

    Le Dormeur du Val (1870) est le poème plus beau et cél?re d'Arthur Rimbaud. Ce sonnet en Alexandrins issu du second Cahier de Douai est inspiré par la bataille de Sedan. Il décrit un jeune soldat tranquille au milieu de la nature accueillante.
  • Quel est le plus beau poème d'Arthur Rimbaud ?

    Rimbaud pourrait paraître lyrique dans les poésies, car comme les romantiques il aime la nature, décrit ses sentiments, ses amours d'adolescent (Roman, Première soirée). Mais Rimbaud est un génie et sa poésie est esthétique et heuristique, une poésie de recherche permanente de ce qui est beau et nouveau.

Poésies (1870-1871) d'Arthur Rimbaud " Voyelles » 1. Le texte du poème. Voyelles A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs de vapeurs et des tentes, Lance des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, Suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges : - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! - 2. Recherche lexicale : " latent » : en latin, " être caché » : qui ne se manifeste pas mais qui est susceptible de le faire à tout moment ; secret. Ex. : un conflit latent : qui couve, qui est sur le point d'éclater. " bombinent » : néologisme créé sur le mot latin " bombus » qui signifie " bourdonnement des abeilles » : bourdonnement. " candeur » : du latin " candor », la blancheur : qualité d'une personne pure et innocente. " cruel » : en latin, " crudelis » a pour sens " cru » ou " qui aime le sang ». " ombelle » : variété de petites fleurs groupées formant une coupole. " pourpre » : couleur d'un rouge foncé ; étoffe de la même couleur, symbole de richesse et d'une haute dignité sociale. " pénitent » : personne exclue des fidèles à cause de ses péchés ; personne qui se repent.

" viride » : du latin " uiridis » qui signifie " vert ». Néologisme rimbaldien. " pâtis » : néologisme pour " prés ». " strideurs » : bruits perçants et vibrants. " oméga » : en grec, signifie " grand o » ; dernière lettre de l'alphabet grec qui note un " o » long ouvert ; dernier élément d'une série (" l'alpha et l'oméga »). Présentation du texte. Surligné : ce que je consei lle de retenir. Le reste est donné mais c'e st parfois un peu " fumeux ». Le sonnet " Voyelles » est considéré comme l'un des poèmes les plus énigmatiques de Rimbaud. Un de ses critiques , René E tiemble, l'a qual ifié de " chef d'oeuvre magico -alchimisto-kabbalisto-spiritualisto-psychologico-érotico-mégaïco-structuraliste ». Le poè me fait en tout cas l'objet d'un véritable acharnement touchant son interprétation. Les hypothèses sur les sources d'inspiration de Rimbaud sont variées : sur le plan littéraire, l'auteur a été séduit par la théorie des correspondances de Baudelaire, qui associe la vue et l'ouïe ; sur le pl an personnel, i l a pu se s ouvenir d'un abécédaire col orié ; sur le plan scientifique, il s'est peut-être référé au phé nomène de l'audition col orée, qui a ssocie, à l'audition de certains sons, une image colorée ; enfin, l'influence des Kabbalis tes et de l'alchimie est également possible. La Kabbale est une doctrine juive secrète, qui prit naissance dans les deux siècles qui précédèrent l'avènement du christianisme, et qui repose sur l'idée d'une correspondance entre les noms et les choses qu'ils désignent ; les lettres de l'alphabet sont des intermédiaires entre le monde matériel et le monde spirituel. La doctrine fait également état d'âmes à moitié masculines ou féminines qui, séparées sur terre, cherchent à s'unir en un seul être, lequel sert, à travers lui, l'expression du divin. Quant à l'alchimie, dont le nom signifie en grec " magie noire », elle est, au Moyen Âge, la science par excellence, contenant les principes de toutes les autres. Elle a pour objet l'étude de la vie des trois règnes : animal, végétal, minéral. Son but est la découverte et la fixation d'un ferment mystérieux, grâce auquel la désagrégation des corps, et donc la mort, pourrait être retardée. E lle pouvait être liquide , avec l'élixir de longue vie ou panacée, remède infaillible de toutes les maladies, ou solide avec la pierre philosophale : introduite dans la masse d'un métal en fusion, elle transmutait ce dernier en or ou en argent. Les lois chimiques de transformation étaient symbolisées dans des grimoires en une langue figurée à peu près incompréhensible et dont les archimages avaient seuls le secret. En 1871, Rimbaud semble vouloir révolutionner l'écriture poétique. Il s'en confie à Georges Izambard, puis à Paul Demeny dans deux lettres que nous appellerons les lettres " du voyant ». Rimbaud affirme en effet vouloir être poète, c'est-à-dire " se faire voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens ». Son but est " d'arriver à l'Inconnu » et de " rendre la poésie accessible à tous les sens ». Nous allons pouvoir constater que ce programme poétique annoncé par Rimbaud prend forme dans le poème intitulé " Voyelles ». Ce qui fra ppe le l ecteur à la pre mière lect ure de ce poème, c'est une sensa tion d'incompréhension. Une observation plus fine du texte nous permet cependant d'en éclairer peu à peu la lecture.

I Le programme de ce sonnet est d'inventer la couleur des voyelles : " A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes » Cette description de 5 voyelles ne se fait qu'en une seule phrase qui compte 14 vers : la proposition principale se trouve aux vers 1 et 2 (" voyell es, / Je di rai quelque j our vos naissances latentes »). " Voyelles » est placé en contre-rejet qui permet à Rimbaud de le mettre en avant par rapport au sujet de la phrase " je ». Le verbe " dirai » est au futur, le but n'est pas encore atteint par Rimbaud, comme le souligne encore l'emploi de l'adjectif " latentes » (naissance en suspend, éclosion des lettres). Ri mbaud nous lais se entendre qu'il n'en est qu'aux pré misses de l'expérience qu'il lance. Sur le pl an grammati cal, il fa ut noter que ce poème est composé d'une seule phrase, composée d'une proposition principale (" je dirai ») et d'une juxtaposition de propositions par asyndète (suppression systématique des mots coordonnants entre deux groupes de mots). Ici, les groupes de mots ne sont pas liés logiquement : ils sont séparés les uns des autres par des virgules et des points virgules, ce qui donne une impression d'imbrication des voyelles et de leurs caractéris tiques. Cet effet est accentué par des déterminant s rares, des adjectifs à profusion (antéposés " suprême Clairon » et postposés : " lèvres belles » v.7), la présence de compléments du nom et de deux propositions s ubordonnées complét ives (v.4 : " qui bombinent » ; v.11 " que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux »). Rimbaud maltraite tellement le sonnet que nous nous approchons du poème en prose : il ne garde du sonnet que la forme visuelle. Cet effet est renforcé par l'absence de

ponctuation forte, les nombreux rejets (v.5 : " Golfes d'ombre »), contre-rejets (v.1 : " voyelles ») et enjambements (v 3-4 ; v. 5-6 ; v. 7-8 ; v. 10-11). Ce mouvement lié à la forme a pour but de précipiter le lecteur vers le dernier vers du sonnet qui garde sa fonction de pointe, tout en nous rappelant son objectif : " arriver à l'Inconnu », ce à quoi nous reviendrons après. Nous pouvons noter que ce sonnet, bien que son rythme soit perturbé par les enjambements, rejets et contre-rejets, respecte l'ordre des voyelles énoncées dans le premier vers : " A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu » et s'attache à les décrire en respectant la couleur qui y est initialement attribuée : " A, noir corset velu des mouches éclatantes / Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, / Golfes d'ombre ; » " E, ca ndeur des va peurs et des te ntes,/ Lance s des glaciers fiers, rois blancs, fris sons d'ombelles ; » Candeur = innocence, pureté morale < du latin candidus : blanc " I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles / Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; » " U, cycles, vibrements divins des mers virides, / Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides / Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; » " O, suprême Clairon plein des strideurs étranges, / Silences traversés des Mondes et des Anges : / - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! » Ainsi, le premier rôle de ce poème est d'associer à chaque lettre une couleur et des images comme pour l'illustrer. Deux sens sont donc mobilisés dans l'imagination du lecteur : la vue (image) et l'ouïe (son produit par chaque lettre). Rimbaud ne s'arrête pas là : il a pour objectif de rendre la poésie " accessible à tous les sens » et met tout en oeuvre pour y parvenir. Tous les sens sont ici présents : - Le goût : " sang craché » v.7 - La vue : " Golfes d'ombre » v.5 ; " Paix des pâtis semés d'animaux » v. 10 ; " des Mondes » v. 14 (sorte de paysages) - L'odorat : " puanteurs cruelles » v.4 - Le toucher : " corset velu » v.3 ; " frissons d'ombelles » v.6 - L'ouïe : c'est le sens le plus mobilisé dans ce poème : Pour mieux retranscrire un son évoqué, Rimbaud n'hésite pas à créer des mots (néologismes) : c'et le cas pour " Bombinent » v.3 (rappelle le vrombissement des mouches) ; " strideurs » v.12 (bruit aigu) Il crée également des contrastes entre les passages qui suggèrent le bruit et ceux qui suggèrent le silence : " bombinent » v.3 >

" glaciers » v.6 > " rire » v.7 > " Paix » v.10 > " suprême Clairon » " strideurs étranges » v.12 > " silences » v.13 o Pour termi ner, il faut noter les i nnombrables ass onances (répétit ion du son d'une ou plusieurs voyelles) et allitérations (répétition de sons consonantiques) qui créent des effets d'échos. Parmi les plus remarquables : [...] ; E, candeur des vapeurs et des tentes, Rimes riches : 3 sons en commun : " tentes » " pénitentes » " ombelles » " belles » Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère 0ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ; Et tant d'autres... Quel est l'effet obtenu ?... la poésie est accessible à tous les sens ! II Mais le poète va plus loin : il joue avec les SYNESTHESIES (perceptions simultanées) en associant plusieurs sens au sein d'une expression très courte : v.6 : " frissons d'ombelle » : il mobilise ici le toucher avec " frissons », la vue avec la blancheur de la fleur " ombelle », et sollicite également l'odorat puisqu'il s'agit d'une fleur. v.7 : " rire des lèvres belles » : l'ouïe avec le rire, le toucher ou le goût avec les lèvres et finalement la vue avec " belles ». Pour conclure cette partie, nous pouvons donc constater que les images associées aux voyelles rendent l'écriture accessible à tous les sens comme le projetait Rimbaud dans ses lettres du voyant. Il s'agit de voir si l'autre objectif de Rimbaud est atteint : " plonger vers l'Inconnu ». Comment cela se manifeste-t-il ici ? Rimbaud plonge bien vers l'Inconnu ici : ce poème, sous ce désordre apparent, est finalement très ordonné. La richesse du vocabulaire va crescendo :

- Strophe 1 : vocabulaire prosaïque (c'est-à-dire terre à terre) : " corset » (v.3), " mouches éclatantes » (v.3), " bombinent » (v.4) ; " puanteurs cruelles » (v.4) - Strophe 2 : vocabulaire courant avec un champ lexical de la royauté (richesse qui ne tient pas au vocabulaire employé mais à la sémantique) : " lance », " fiers », " rois » (v.6) / " pourpres » " sang » (v.7) - Strophes 3 : vocabulaire plus riche : " viride » (v.9) ; " pâtis » (v.10), " alchimie » " studieux » (v.11) - Strophe 4 : vocabulaire qui appartient au domaine de la religion : " suprême Clairon » (rappelle le Jugement Dernier) ; "anges» (v.13), " oméga » (v.14) ; " Ses Yeux » (v.14) Ainsi, le texte se mble suivre une évolution logique, contrai rement, encore une fois à la première impression laissée : l'ordre des voyelles A, E, I, U et O s'explique alors. " O » est à considérer comme la lettre " oméga », la dernière lettre de l'alphabet grec, ce qui justifie pleinement sa place dans la dernière strophe consacrée à la divinité car " alpha » et l' " oméga » sont deux lettres qui ont un sens religieux : elles symbolisent le commencement et la fin de toute chose pour la religion catholique. " L'Inconnu » évoqué par Rimbaud correspondrait ainsi à une expérience extrême que le poète ne peut atteindre qu'en passant par d'atroces souffrances, qui lui font approcher de t rès près la mort ou la folie com me Rimbaud en témoigne dans les Lettres du Voyant : " Il arrive à l'inconnu, et quand, affolé (=rendu fou), il finirait par perdre l'intelligence de ses visions, il les a vues ! ».

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