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A1 - Largumentation: Notion de base Le dernier jour dun

Dans le dernier jour d'un condamné il imagine les derniers instants d'un condamné à mort



7 Le Dernier Jour dun condamné(1829)

Dans un tableau mettez en regard les arguments plaidant pour la peine de mort et ceux plaidant contre. b. Identifiez la stratégie mise en œuvre par Hugo pour.



Thème débat

argument



Corrigé

2) Peux-tu dire si Robert Badinter a adopté une démarche déductive ou inductive pour soutenir son argumentation contre la peine de mort ? Justifie ta réponse 



Victor Hugo et la peine de mort : une question de droit ?

Ainsi dans la préface de 1832 du Dernier jour d'un condamné



17 1.Introduction Ce roman de Victor Hugo rédigé en 1829

https://dergipark.org.tr/en/download/article-file/1716556



La pédagogie

5- Quels sont les arguments contre la peine de mort évoqués? sur Le Dernier jour d'un condamné dont le sujet sera présenté comme.



Le dernier jour dun condamne

Ainsi à travers ses sentiments et les sensations qu'il décrit le narrateur exprime implicitement des arguments contre la peine de mort. Le lecteur restera 



La peine de mort

Non seulement en effet





[PDF] 7 Le Dernier Jour dun condamné(1829) - Plan détudes romand

le récit dans le cadre d'un débat sur la peine de mort : aux arguments avancés pour justifier la peine de mort Hugo oppose des contre-arguments et des exemples 



[PDF] Notion de base Le dernier jour dun condamné Victor HUGO

Pour éviter tout risque de récidive la peine de mort est efficace La prison à perpétuité suffit pour réduire à néant ce risque La loi du Talion : Œil pour 



Arguments contre la peine de mort dans - Le dernier jour dun

31 jan 2011 · 5-La peine de mort anéantit la famille du condamné et a des conséquences sur l'avenir des enfants innocents (chap 9 et 26)



Arguments contre la peine de mort - Amnesty International Schweiz

Dans certains pays la procédure de condamnation à la peine de mort ne donne pas droit à une défense solide de l'accusé·e sur le plan juridique et n'octroie pas 



Victor Hugo contre la peine de mort - BnF - Expositions virtuelles

En écrivant à vingt-sept ans Le Dernier Jour d'un condamné comme un journal à la première personne Hugo interpelle le lecteur en exposant les sentiments d' 



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e Dernier Jour d'un condamné roman écrit par Victor Hugo en 1829 est un plaidoyer contre la peine de mort reflétant les scrupules moraux d'une petite 



[PDF] Victor Hugo et la peine de mort dossier documentaire

Pour le 25ème anniversaire de l'abolition de la peine de mort en France la Maison de Victor Hugo propose d'avril à décembre 2006



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Non seulement en effet l'auteur du Dernier jour d'un condamné fut un infatigable partisan de l'abolition de la peine de mort militant à l'Assemblée 



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L'enjeu principal comme Victor Hugo finit par le concéder lors de la préface de 1832 c'est bien d'écrire un livre contre la peine de mort et pour son 



[DOC] Le dernier jour dun condamné de Victor Hugo - Lettres-Histoire

Conclusion : dans ce chapitre VI Victor Hugo justifie son acte d'écriture son engagement contre la peine de mort Pour rendre son récit plus vraisemblable 

  • Quels sont les arguments contre la peine de mort ?

    La peine de mort viole ces droits humains fondamentaux. Tuer ne se justifie jamais, même lorsqu'on suit les ordres d'un État. Un Etat ne peut à la fois interdire le fait de tuer tout en le pratiquant lui-même. Les normes internationales relatives aux droits humains se situent au-dessus du droit national.
  • Pourquoi le dernier jour d'un condamné est un plaidoyer contre la peine de mort ?

    C'est le thème principal car ce roman est avant tout un réquisitoire contre la peine de mort. Victor Hugo dénonce cette pratique qu'il considère comme barbare et énonce comme arguments: 1-La légéreté et le laisser aller de la justice de ses hommes(chapitres 2 et 8).31 jan. 2011
  • Pourquoi Victor Hugo lutte contre la peine de mort ?

    La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. (Mouvement.) Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne.
  • Victor Hugo livre peine de mort

    Nous ne prétendons pas avoir les compétences et encore moins l'expérience de ces grands hommes, mais nous souhaitons nous investir à notre tour afin que les pays pratiquant la peine de mort ouvrent enfin les yeux. Tuer un homme qui a tué n'est pas rendre la justice Tout d'abord, la vie de tout être humain est sacrée.
9

Du droit à la vie

Une lecture de Victor Hugo

Marc C

répon D U SEC o URS DE LA

LITTÉRATURE

Il y a des écrivains dont l'oeuvre, hantée par la violence, se distingue par la présence obsédante de la ?gure ou de l'objet, dont la représentation récurrente, de nouvelles en romans, fait quasiment o?ce de signature. Il n'est alors pas de récit qui ne soit, sous leur plume, le prétexte à une nouvelle description, comme si aucune occasion ne devait être manquée de renouveler le combat que cette violence appelle, en répétant, une vie durant, au ?l de l'écriture, le geste de protestation, la mise en accusation, le cri de révolte que la conscience exige. Une telle répétition est d'abord le signe d'une extériorité persistante, d'une opposition du monde : la puissance des passions qui gouvernent l'État, la société, le peuple, quand ils résistent à la suppression aussi bien de cette même violence que des causes qui l'entretiennent. Éprouvant la force de leurs calculs meurtriers, elle trouve sa raison d'être dans l'obstination contraire des images et des discours, des raisonnements et des raccourcis, des arti?ces rhétoriques et des faux syllogismes qui nourrissent la " casuistique du sang » propre à ces calculs. À ceux qui croiraient pouvoir l'oublier, elle rappelle donc qu'il ne su?t pas de dénoncer une fois ce qui révolte la conscience, pour être quitte de son indignation. Nous n'en avons pas ?ni aujourd'hui avec la peine de mort. Même si la guillotine est désormais rangée, au même titre que le gibet, la potence, la roue et les fers, au musée des tortures du passé, il se trouve en France, comme partout en Europe, des hommes et des femmes pour regretter Retrouver ce titre sur Numilog.com 10

LA PEINE DE MoRT.

VERS L'ABoLITIoN ABSoLUE ?

son abolition et des forces politiques pour faire de son rétablissement un argument de campagne. La fausse évidence de la loi du talion, la soif de sang qui confond justice et vengeance, le plaisir-désir du meurtre légal n'ont pas disparu des consciences. En dépit des règles de droit qui, notamment en Europe, le rendent quasiment impossible, le fantasme de son retour continue d'agiter des esprits convaincus de sa justice et de son exemplarité. Mais, surtout, la peine de mort divise le monde. Elle sépare en deux " familles » les États abolitionnistes et ceux qui maintiennent le principe et la pratique de la peine capitale. Parce que son abolition n'a rien d'universel, la peine de mort compte ainsi au nombre des violences qui exigent encore maintenant que leur cruauté soit rappelée, en dépit de tous les moyens mis en oeuvre pour la masquer, et que les arguments qui la soutiennent soient combattus. Aucun secours alors ne saurait être négligé, à commencer par celui de ces grandes voix qui, de Cesare Beccaria à Robert Badinter en passant par Albert Camus, ont fait de ce combat l'oeuvre d'une vie. Mais dès lors que sont en jeu les ressources de l'écriture pour donner droit à son obsession et qu'il s'agit de penser l'endurance de sa représentation comme une arme contre la violence, il en est une que la durée et la constance de son engagement imposent plus qu'aucune autre : celle de

Victor Hugo. Non seulement, en e?et, l'auteur du

Dernier jour d'un condamné

fut un infatigable partisan de l'abolition de la peine de mort, militant à l'Assemblée constituante, multipliant les déclarations, les appels, les lettres de soutien réclamant la grâce de tel ou tel condamné, de l'assassin Tapner à Guernesey aux condamnés de Charleroi, mais rares sont ses romans dans lesquels n'apparaît pas la silhouette menaçante de la guillotinke, avec ses montants peints en rouge, quand ce n'est pas le gibet ou toute autre forme du dispositif de ce que Hugo ne manque jamais une occasion de désignekr comme un " meurtre légal ». Ainsi son premier roman, Bug Jargal, qui a pour toile de fond la révolte des esclaves à Saint-Domingue, est-il rythmé, d'un bout à l'autre, par une alternance de meurtres et d'exécutions capitales tantôt accomplis, dans un bain de violence, tantôt annoncés, di?érés et ?nalement perpétrés non sans d'in?nis ra?nements de cruauté. Puis, après

Le Dernier

Jour d'un condamné

, c'est au tour du récit

Claude Gueux

de se terminer par

l'exécution de celui auquel la société n'aura laissé aucune chance. En?n, Retrouver ce titre sur Numilog.com

11 DU D

RoIT À LA VIE.

U

NE LECTURE

D

E VICToR HUGo

lorsque quelque quarante ans plus tard paraît

Quatre-vingt-treize

, l'ombre de la guillotine s'étend, d'un bout à l'autre du roman, avant d'apparaître en pièces détachées, transportées par une charrette, sur la place d'un village et d'être ?nalement montée, de nuit, dans les dernières pages du roman, en vue de l'exécution qui le conclut. Au premier abord, l'idée que cette chose éveillait était l'idée de l'inutile. Elle

était là parmi les bruyères en ?eur.

on se demandait à quoi cela pouvait servir. Puis on sentait venir un frisson [...]. C'était peint en rouge. Tout était en bois, excepté le triangle qui était en fer. o n sentait que cela avait été construit par des hommes, tant c'était laid, mesquin et petit ; et cela aurait mérité d'être apporté là par des génies, tant c'était formidable. Cette bâtisse di?orme, c'était la guillotine 1 To UTE

VIE SINGULIèRE EST IRREMPLAçABLE

Comment lutter contre les arguments qui présentent la peine de mort comme une nécessité sociale ? Comment faire voir et faire comprendre ce que signi?e d'abord et avant tout une exécution capitale ? Comment montrer ce qu'exprime le fait d'une part d'ordonner, d'autre part d'assister et d'applaudir à la suppression légale d'une vie ? Il y aura toujours quelque supercherie, quelque tour de passe-passe meurtrier à traiter cette question sans se donner la peine de rappeler ce qui fait la singularité d'une vie - de toute vie, quelle qu'elle soit et quels que soient les crimes dont elle est comptable. La force de la littérature qu'aucun traité, qu'aucun argumentaire théorique et juridique ne saurait e?acer est de rendre possible un tel rappel. Lorsque Hugo, bouleversé par le spectacle d'un condamné en marche pour l'échafaud, entreprend le combat contre la peine de mort qu'il ne devait jamais abandonner, c'est cette

1. V. Hugo, Quatre-vingt-treize, p. 374. La longue description de la guillotine que Hugo propose

dans ces pages peut être rapprochée de celle qu'il fait de l'arrivée de la guillotine à Alger dans

Choses

vues , en 1842 : " o n distinguait des objets étranges, deux longues solives peintes en rouge, un panier

peint en rouge, une lourde traverse peinte en rouge dans laquelle semblait emboîtée par un de ses

côtés une lame épaisse et énorme de forme triangulaire. Spectacle autrement attirant, en e?et, que

le palmier, l'aloès, le ?guier et le lentisque, que le soleil et que les collines, que la mer et que le ciel :

c'était la civilisation qui arrivait à Alger sous la forme d'une guillotine. » V. Hugo, Choses vues, dans

Écrits sur la peine de mort

, p. 61-63.Retrouver ce titre sur Numilog.com 12

LA PEINE DE MoRT.

VERS L'ABoLITIoN ABSoLUE ?

stratégie qu'il adopte. Ce qu'il choisit de rappeler, ce n'est pas le prix abstrait de toute vie, mais sa singularité, irremplaçable, insubstituable. Et avec elle, le fait que chacune de ces vies est plus mystérieuse, plus insondable qu'aucun jugement ne saurait le reconnaître. Décrivant de façon initiale - comme le coup d'envoi d'une oeuvre à venir - le dernier jour d'un condamné dans un roman éponyme, les dernières heures d'un homme singulier dont on ne saura jamais ni le nom ni le crime (comme si tout cela était dans le fond secondaire face au caractère universel de la cause), il fait ce que ni le droit ni la philosophie ni la sociologie ne peuvent faire dans la même mesure ; il montre ce que la peine de mort s'autorise à supprimer : un être au monde, une sensibilité, un toucher, une vision, un goût absolument uniques. Le choix même de l'auteur qui fait du condamné le narrateur a pour e?et premier d'ouvrir le monde qui lui est propre, au moment précis où celui-là même qui tente de le décrire à la première personne a la certitude insupportable, la certitude anticipée de sa disparition. Ainsi du moment où le condamné apprend la sentence qui ne lui laisse plus d'espoir : Une révolution venait de se faire en moi. Jusqu'à l'arrêt de mort, je m'étais senti respirer, palpiter, vivre dans le même milieu que les autres hommes ; maintenant je distinguais clairement comme une clôture entre le monde et moi. Rien ne m'apparaissait plus sous le même aspect qu'auparavant. Ces larges fenêtres lumineuses, ce beau soleil, ce ciel pur, cette jolie ?eur, tout cela était blanc et pâle, de la couleur d'un linceul. Ces hommes, ces femmes, ces enfants qui se pressaient sur mon passage, je leur trouvais des airs de fantômes 1 Un peu plus tard vient le temps d'un sentiment de révolte contre l'ampu tation de la vie : " Quoi ! le soleil, le printemps, les champs pleins de ?eurs, les oiseaux qui s'éveillent le matin, les nuages, les arbres, la nature, la liberté, la vie, tout cela n'est plus pour moi 2

Nous reviendrons sur la façon dont le "

temps de la peine de mort » est un temps indé?niment arrêté. Attardons-nous, en attendant, sur ce que rappelle ici Hugo : il y a dans toute vie un " être au monde », c'est-à-dire une relation à la nature, au ciel, aux étoiles, aux arbres, aux murs de la ville, à leur cortège

1. V. Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné, p. 272.

2.

Ibid., p. 279.Retrouver ce titre sur Numilog.com

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RoIT À LA VIE.

U

NE LECTURE

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E VICToR HUGo

de sons, d'odeurs et de couleurs qui en fait la singularité absolue. Chaque fois qu'il évoque - et il n'aura jamais cessé de le faire - le destin con?squé d'un condamné, sa vie interrompue, Hugo ne manque pas de le mettre en avant. Qu'est-ce que la vie ? Qu'est-ce que la vie d'un vivant singulier, absolument singulier, en tant que tel ? À défaut non pas de poser la question, mais de le faire apparaître, par l'écriture, dans un portrait ou dans un récit, il est impossible de comprendre et de se représenter ce qui aura constitué, pour Hugo, le fer de lance de son argumentation contre la peine de mort (que nous reprendrons longuement in ?ne ), à savoir " l'inviolabilité de la vie humaine ». Voilà en quoi consiste le secours premier du récit qui le rend indispensable. Voilà où réside sa force initiale et - dès lors qu'on songe à l'oeuvre de Hugo et à tous les condamnés qu'elle met en scène - kinaugurale. L'inviolabilité trouve son fondement dans le caractère absolument singulier de la vie. Et l'oubli de la première, sa négligence ou son déni est indissociable de l'ignorance du second ou de son mépris, comme le rappelle toute forme de terreur, partout où elle impose sa loi, dans le monde :

C'est moi qui vais mourir

! Moi, le même qui est ici, qui vit, qui se meut, qui respire, qui est assis à cette table, laquelle ressemble à une autre table, et pourrait aussi bien être ailleurs ; moi, en?n, ce moi que je touche et que je sens, et dont le vêtement fait les plis que voilà 1 Ce qui constitue dès lors le point commun de tous les argumentaires, juridiques, politiques et sociaux en faveur de la peine de mort - et avec eux, de toutes les justi?cations de la violence meurtrière, sous quelque forme qu'elle se manifeste - est leur dénégation partagée de cette singularité. Voilà ce qui conjoint, dans un même combat, le refus de la peine de mort appliquée aux détenus de droit commun et celui de la terreur politique. Et c'est pourquoi, au bout du compte,

Le Dernier Jour d'un condamné

et

Quatre-vingt-treize

relèvent du même engagement. Entre les deux, Hugo n'aura cessé de déployer, sous toutes les formes possibles, son argumentaire contre la peine capitale. Et parmi tous ces textes, il en est un au moins qui choisit de rappeler, dans la même perspective que les récits que l'on vient d'évoquer, le plus simplement qui soit, ce que les partisans de la peine de mort oublient toujours de prendre en 1.

Ibid., p. 325.Retrouver ce titre sur Numilog.com

14

LA PEINE DE MoRT.

VERS L'ABoLITIoN ABSoLUE ?

considération, souligne-t-il, quand ils en défendent le principe, comme celui

d'un châtiment suprême " irréversible », " irrévocable » et " irréparable ». S'il

est vrai qu'on se demande ici, au ?l conducteur d'une lecture de Hugo, ce qui pourrait être encore dit, ce qui devrait être rappelé pour entraîner cette conversion du coeur et de l'esprit qui conduirait ceux et celles qui résistent encore à prendre fait et cause pour l'abolition, on trouve comme condition première la représentation principielle de ce qu'est " un homme

» - non pas

tel condamné en particulier qu'identi?e son crime, sa condition sociale, son histoire propre, mais tout homme, c'est-à-dire tout condamné potentiel à la peine capitale, comme l'est au demeurant le narrateur du

Dernier jour d'un

condamné . Qu'est-ce qu'un homme ? Que sait la société de l'homme dont elle décide la mort, insouciante de la façon dont celle-ci détruit la vie de ceux et celles qui lui sont liés, à commencer par sa famille ? Que sait-elle de ce qui fait la singularité de sa vie propre, non pas seulement de son histoire dépouillée par les tribunaux, mais de son monde, du monde qu'à elle toute seule cette vie signi?equotesdbs_dbs45.pdfusesText_45
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