[PDF] DM type bac (à rendre le mardi 1er février). Objet détude : 1 Texte 2





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Voltaire Jeannot et Colin

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7. Les études

Voltaire Jeannot et Colin (l764) Le père et la mère donnèrent d'abord un gouverneur au jeune marquis : ce gouverneur



Jeannot et Colin: illustration et subversion du conte moral

Jeannot et Colin comédie en trois actes et en prose



Jeannot et Colin

Le père et la mère donnèrent d'abord un. 7. Page 8. gouverneur au jeune marquis : ce gouverneur qui était un homme du bel air



Séance 6 : Oral/Lecture Objectif : Analyser comment le destin de

Support : Extrait de Jeannot et Colin à partir de la ligne 76 « La nature … » jusqu'à la ligne 124 Quel conseil le gouverneur donne-t-il à Jeannot ?



Descriptif des lectures et activités Première ES Session 2019 Nom

11 kwi 2019 le père et la mère donnèrent d'abord un gouverneur. ... Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et Colin à l'école dans la ville ...



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Le petit marquis ne lui fit point de réponse: Colin en fut malade de douleur. Le père et la mère donnèrent d'abord un gouverneur au jeune marquis: ce gouverneur 



Séance 3 : Oral/Lecture Objectif : Analyser comment Voltaire utilise

Support : Extrait de Jeannot et Colin à partir de la ligne 37 : « Le père et Que reprochent le gouverneur et le bel esprit aux différentes disciplines ?





Séance 4 : Les registres littéraires Objectifs : - définir un registre

Monsieur et madame n'entendaient pas trop ce que le gouverneur voulait dire ; mais ils furent entièrement de son avis. Voltaire Jeannot et Colin



The Project Gutenberg EBook of Jeannot et Colin by Voltaire

JEANNOT ET COLIN Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et Colin à l’Øcole dans la ville d’Issoire en Auvergne ville fameuse dans tout l’univers par son coll?ge et par ses chaudrons Jeannot Øtait fils d’un marchand de mulets tr?s renommØ; Colin devait le jour à un brave laboureur des environs qui cultivait la terre



La guerre de sept ans : un conflit international

JEANNOT ET COLIN Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et Colin a l’ecole dans la ville d’Issoire en Auvergne ville fameuse dans tout l’univers par son college et par ses chaudrons Jeannot etait fils d’un marchand de mulets tres renomme; Colin devait le jour a un brave laboureur des environs qui cultivait la terre



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Jeannot et Colin sont inséparables Pourtant lorsque Jeannot apprend que son père a fait fortune et qu il le somme de monter à Paris il quitte son ami sans le moindre regret La tristesse accable le bon Colin resté au pays

Qui est le gouverneur général de la Nouvelle-France?

Le gouverneur général de la Nouvelle-France, Pierre de Rigaud de Vau­ dreuil, né au Canada et auparavant gouverneur de la Louisiane, était particulièrement compé­ tent sur tout ce qui touchait les frontières franco- anglaises en Amérique, ainsi que la position des nations indiennes.

Qui est le gouverneur de la colonie?

Le gouverneur est le représentant du roi dans la colonie, chargé de l’ordre militaire. On retrouve encore une fois le représentant du pouvoir royal s’opposant aux colons sur la question des esclaves.

Quel est le pouvoir d'un gouverneur ?

Le gouverneur a le pouvoir de promulguer, par arrêté, les lois et décrets de la métropole qui devaient être appliqués dans la colonie. Il a des pouvoirs d'administration dans tous les domaines, il exerce l'autorité civile.

Qui est le gouverneur de Bourbon?

Etienne Regnault commis aux écritures de Colbert est nommé Gouverneur de Bourbon, une fonction qui le place comme représentant principal de l'autorité métropolitaine et chef de l'administration de sa colonie.

1ère STG 2- DM type bac (à rendre le mardi 1er février).

1 Texte 1 Montaigne, Essais, livre I, chap. 26, " », 1580.

Texte 2 Voltaire, Jeannot et Colin, 1764.

Texte 3 Jean-Pierre Claris de Florian, " », Fables, 1792.

Texte 1

Pour tout ceci, je ne veux pas q

1

son esprit à le tenir à la géhenne2 et au travail, à la mode des autres, quatorze ou quinze heures

par jour, comme un portefaix3. Ni ne trouverais bon, quand par quelque complexion solitaire et mélancolique4 indiscrète5 on civile6 et les détourne de meilleures occupations. Et combien ai-

Ni ne

française a été anciennement en proverbe, pour une sagesse qui prenait de bonne heure, et

où on les envoie, de quoi ils ont foison, les abrutissent ainsi. Au nôtre, un cabinet, un jardin, la table et le lit, la solitude, la compagnie, le matin et le

vêpre, toutes heures lui seront une, toutes places lui seront étude ; car la philosophie, qui,

comme f eut que je sais faire ; et ce de quoi il est maintenant temps, je ne le sais pas faire.» Car de présenter des harangues ou des disputes de

rhétorique à une compagnie assemblée pour rire et faire bonne chair, ce serait un mélange de trop

mauvais accord. Et autant en pourrait-on dire de toutes les autres sciences. Mais, quant à la

jugement commun de tous les sages, que, pour la douceur de sa conversation, elle ne devait être et accommodée au temps et au lieu, quoique ce soit de ses plus hauts discours et plus salutaires :

AEque pauperibus prodest, locupletibus aeque ;

Et, neglecta, aeque pueris sensibusque nocebit.

Ainsi, sans doute, il chômera moins que les autres. Mais, comme les pas que nous employons à nous promener dans une galerie, q comme ceux que nous mettons à quelque chemin desseigné, aussi notre leçon, se passant comme

par rencontre, sans obligation de temps et de lieu, et se mêlant à toutes nos actions, se coulera sans

se f lutte, la musique, la danse, la chasse, le maniement des chevaux et des armes. Je veux que la

10, et la disposition de la personne, se façonne quant et

les conduire également, comme une couple de chevaux attelés à même timon. Montaigne, Essais, livre I, chap. 26, " », 1580.

1 dément

2 torture

3 Homme qui porte des fardeaux

4 sombre

5 excessive

6 contact des autres

7 philosophe grec

8 rendu fou

9

10 Qualité sociale

11

1ère STG 2- DM type bac (à rendre le mardi 1er février).

2

Texte 2

homme du bel air, et qui ne savait rien, ne put rien enseigner à son pupille. Monsieur voulait que son fils

apprît le latin, madame ne le voulait pas. Ils prirent pour arbitre un auteur qui était célèbre alors par des

ouvrages agréables. Il fut prié à dîner. Le maître de la maison commença par lui dire: " Monsieur, comme

vous savez le latin, et que vous êtes un homme de la cour...

on ne partage pas son application entre elle et les langues étrangères. Voyez toutes nos dames, elles ont

nous cette supériori pla-t-on en latin, quand on a un procès? fait-

Monsieur, ébloui de ces raisons, passa condamnation, et il fut conclu que le jeune marquis ne perdrait

point son temps à connaître Cicéron, Horace e-t-il donc? car encore faut-il -on pas lui montrer un peu de géographie? A quoi cela lui

servira-t-il? répondit le gouverneur. Quand M. le marquis ira dans ses terres, les postillons ne sauront-ils

se trouve.

Vous avez raison, r

et faudra-t-il que M. le marquis se tue à calculer une éclipse, quand il la trouve à point nommé dans

père était très indécis. " Que faudra-t-il donc apprendre à mon fils? disait-il. A être aimable, répondit

Madame, à ce discours, embrassa le gracieux ignorant, et lui dit: " On voit bien, monsieur, que répondit- anciennes, comme le disait un de nos beaux esprits12, ne sont que des fables convenues; et, pour les institué les douze pairs de France, et que son successeur ait été bègue?

connaissances inutiles; mais de toutes les sciences la plus absurde, à mon avis et celle qui est la plus

est la géométrie. Cette science ridicule a pour objet des lignes courbes entre un cercle et une ligne droite qui le touche, quoique, dans la réalité, entièrement de son avis. " Un seigneur comme M. le marquis, continua-t-il, ne doit pas se dessécher le cerveau dans ces

reculés, il enverra chercher un bénédictin. Il en est de même de tous les arts. Un jeune seigneur

en les encourageant par sa magnificence: il vaut sans doute mieux les protéger que de les exercer. Il suffit

Voltaire, Jeannot et Colin, 1764.

12 " Un de nos beaux esprits » e, auteur français, précurseur des Lumières

1ère STG 2- DM type bac (à rendre le mardi 1er février).

3

Enfin le roi lion venait d'avoir un fils ;

Partout dans ses états on se livrait en proie

Aux transports éclatants d'une bruyante joie :

Les rois heureux ont tant d'amis !

Sire lion, monarque sage,

Songeait à confier son enfant bien aimé

Aux soins d'un gouverneur vertueux, estimé,

Sous qui le lionceau fît son apprentissage.

Vous jugez qu'un choix pareil

Est d'assez grande importance

Pour que longtemps on y pense.

Le monarque indécis assemble son conseil :

En peu de mots il expose

Le point dont il s'agit, et supplie instamment

Chacun des conseillers de nommer franchement

Celui qu'en conscience il croit propre à la chose.

Le tigre se leva : sire, dit-il, les rois

N'ont de grandeur que par la guerre ;

Il faut que votre fils soit l'effroi de la terre :

Faites donc tomber votre choix

Sur le guerrier le plus terrible,

Le plus craint après vous des hôtes de ces bois. Votre fils saura tout s'il sait être invincible.

L'ours fut de cet avis : il ajouta pourtant

Qu'il fallait un guerrier prudent,

Un animal de poids, de qui l'expérience

Du jeune lionceau sût régler la vaillance

Et mettre à profit ses exploits.

Après l'ours, le renard s'explique,

Et soutient que la politique

Est le premier talent des rois ;

Qu'il faut donc un mentor d'une finesse extrême

Pour instruire le prince et pour le bien former.

Ainsi chacun, sans se nommer,

Clairement s'indiqua soi-même :

De semblables conseils sont communs à la cour.

Enfin le chien parle à son tour :

Sire, dit-il, je sais qu'il faut faire la guerre,

Mais je crois qu'un bon roi ne la fait qu'à regret ;

L'art de tromper ne me plaît guère :

Je connais un plus beau secret

Pour rendre heureux l'état, pour en être le père,

Pour tenir ses sujets, sans trop les alarmer,

Dans une dépendance entière ;

Ce secret, c'est de les aimer.

Voilà pour bien régner la science suprême ;

Et, si vous désirez la voir dans votre fils,

Sire, montrez-la lui vous-même.

Tout le conseil resta muet à cet avis.

Le lion court au chien : ami, je te confie

Le bonheur de l'état et celui de ma vie ;

Prends mon fils, sois son maître, et, loin de tout flatteur,

S'il se peut, va former son coeur.

Il dit, et le chien part avec le jeune prince.

D'abord à son pupille il persuade bien

Qu'il n'est point lionceau, qu'il n'est qu'un pauvre Chien, Son parent éloigné ; de province en province

Il le fait voyager, montrant à ses regards

Les abus du pouvoir, des peuples la misère,

Les lièvres, les lapins mangés par les renards, Les moutons par les loups, les cerfs par la panthère,

Partout le faible terrassé,

Le boeuf travaillant sans salaire,

Et le singe récompensé.

Le jeune lionceau frémissait de colère :

Mon père, disait-il, de pareils attentats

Sont-ils connus du roi ? Comment pourraient-ils l'être ? Disait le chien : les grands approchent seuls du maître,

Et les mangés ne parlent pas.

Ainsi, sans raisonner de vertu, de prudence,

Notre jeune lion devenait tous les jours

Vertueux et prudent ; car c'est l'expérience

Qui corrige, et non les discours.

À cette bonne école il acquit avec l'âge

Sagesse, esprit, force et raison.

Que lui fallait-il davantage ?

Il ignorait pourtant encor qu'il fût lion ;

Lorsqu'un jour qu'il parlait de sa reconnaissance

À son maître, à son bienfaiteur,

Un tigre furieux, d'une énorme grandeur,

Paraissant tout-à-coup, contre le chien s'avance.

Le lionceau plus prompt s'élance,

Il hérisse ses crins, il rugit de fureur,

Bat ses flancs de sa queue, et ses griffes sanglantes Ont bientôt dispersé les entrailles fumantes

De son redoutable ennemi.

À peine il est vainqueur qu'il court à son ami : Oh ! Quel bonheur pour moi d'avoir sauvé ta vie !

Mais quel est mon étonnement !

Sais-tu que l'amitié, dans cet heureux moment,

M'a donné d'un lion la force et la furie ?

Vous l'êtes, mon cher fils, oui, vous êtes mon roi,

Dit le chien tout baigné de larmes.

Le voilà donc venu, ce moment plein de charmes, Où, vous rendant enfin tout ce que je vous dois, Je peux vous dévoiler un important mystère !

Retournons à la cour, mes travaux sont finis.

Cher prince, malgré moi cependant je gémis,

Je pleure ; pardonnez : tout l'état trouve un père,

Et moi je vais perdre mon fils.

Jean-Pierre Claris de Florian, Fables, 1792.

1ère STG 2- DM type bac (à rendre le mardi 1er février).

4

Questions : 6 points.

1. au même sujet, et

ont des idées assez proches.

2. -il pour faire part de sa vision

des choses ? Quels moyens littéraires les auteurs utilisent-ils ?

Ecriture : 14 points.

Sujet I Le commentaire littéraire :

Vous ferez le commentaire littéraire de la fable de Jean-Pierre Claris de

Florian, " ».

suivantes : - Le fabuliste nous propose une histoire plaisante (étudiez comment il la rend plaisante) - Le fabuliste propose sa vision des choses.

Sujet II La Dissertation :

Vous semble-t-

indirectement ?

Sujet III Invention :

Vous écrivez un essai dans lequel vous faites part de votre vision de doit leur enseigner.quotesdbs_dbs16.pdfusesText_22
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