[PDF] [PDF] Etude des performances scolaires des apprenants des classes d





Previous PDF Next PDF



[PDF] 2010 Brevet de fin détudes moyennes (BFEM) Epreuve de

2010 Brevet de fin d'études moyennes (BFEM) Epreuve de Mathématiques Exercice 1 (5 points) r 36 cm 270? A A S Le schéma ci-contre représente le 



[PDF] 2010 Brevet de fin détudes moyennes (BFEM - Examensn

2010 Brevet de fin d'études moyennes (BFEM) Epreuve DE SCIENCES PHYSIQUES Exercice 1 (4 points) Un briquet neuf rempli de gaz butane (C4H10) a une masse 



[PDF] 10 SUJETS TYPES DE BFEM CORRIGES ET COMMENTES

EXAMEN DU BFEM œSESSION DE 1989 Sénégal I ALGEBRE EXERCICE 1 : 1°/ Trouver successivement dans Z dans iD puis dans IR l'ensemble des solutions de



[PDF] recueil-de-bfem-2000-a-2010-pdf

BFEM Sénégal 2008 EPREUVES DE SCIENCES PHYSIQUES BFEM Sénégal 2009 EPREUVES DE SCIENCES PHYSIQUES BREVET DE FIN D'ÉTUDES MOYENNES (SÉNÉGAL 2010)



[PDF] FINALE FASCICULE MATHS 3EME ok - Halwar Groupe Scolaire

EXAMEN DU B F E M -2010 – PREMIER GROUPE – JUILLET Exercice 1 Le schéma ci-contre représente le patron d'un cône de révolution de sommet S de rayon de 



[PDF] Fact Page Music Therapy in Austria (May 2020)

1984 (ÖBM); 1997 (WIM); 1999 (Institute for Ethno Music Therapy); 2010 (BfEM) Professional Publications ÖBM Journal Supporting Regions or Provinces



[PDF] Sénégal; Données mondiales de léducation 2010/11

moyennes (BFEM) Les moyens actuels du Sénégal ne permettent pas de scolariser la totalité des enfants en âge de bénéficier de l'éducation



[PDF] RVT 2010 - JICA

Sages femmes qui était le BFEM a été relevé au baccalauréat 2 2 Expérience professionnelle et perception sur le maintien en zones difficiles



[PDF] Etude des performances scolaires des apprenants des classes d

The data analyses is shown that results at national exams (CFEE and BFEM) En 2010 selon l'Organisation Internationale de la Francophonie



[PDF] educationgouvsn

Répartition du personnel selon la langue d'enseignement en 2010 Les résultats du Brevet de Fin d'Etudes Moyennes (BFEM)



Battle Force Email (BFEM) and other HF Issues

00 11 09 N6 BFEM - 1 - N6 Conference 14-17 Nov 2000 Battle Force Email (BFEM) and other HF Issues DISTRIBUTION A: Cleared for Public Release; Distribution is unlimited Contract Number: SPO700-98-D-4002 D O 0003 Information Superiority and Sensors and C4/IO and ISR Analysis IATAC TAT 98-04 February 2000 3190 Fairview Park Drive Falls Church

Etude des performances scolaires des apprenants GHV ŃOMVVHV G·H[MPHQV GMQV OH Ń\ŃOH IRQGMPHQPMO MX

Sénégal

Abdoulaye SAGNA, Irène Efua AMENYAH,

Assane DIAKHATE & Mouhamadou Lamine BA

Université Gaston Berger de Saint-Louis

sagna.abdoulaye@.ugb.edu.sn / efua-irene.amenyah@ugb.edu.sn

Résumé

GMQV QRPNUH GH SM\V IUMQŃRSORQHV G·$IULTXH OH V\VPqPH pGXŃMPLI HVP MVVXUp j PUMYHUV GHX[ 2 RUGUHV G·Hnseignement O·HQVHLJQHPHQP SXNOLŃ HP O·HQVHLJQHPHQP SULYpB I·HQVHLJQHPHQP SULYp

HVP RUJMQLVp HQ GLIIpUHQPHV ŃRPSRVMQPHV GRQP O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH (3FB GMQV OHV

SM\V IUMQŃRSORQHV OH IUMQoMLV PpGLXP HP OMQJXH G·HQVHLJQHPHQP RŃŃXSH XQH SOMŃH prépondérante dans les programmes scolaires. Ce faisant, non seulement il constitue le socle de

tous les enseignements dispensés mais sa maîtrise, facilite la réussite et la performance dans les

autres matières. Cet article analyse les performances scolaires des apprenants des classes

G·H[MPHQV GMQV OH Ń\ŃOH IRQGMPHQPMO j PUMYHUV O·XVMJH GX IUMQoMLVB 1RXV IRUPXORQV O·O\SRPOqVH VHORQ OMTXHOOH OHV SHUIRUPMQŃHV VŃROMLUHV GHV MSSUHQMQPV GMQV OHV ŃOMVVHV G·H[MPHQV

GMQV O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH VRQP MVVXÓHtties à la maîtrise de la langue française. La

recherche a couvert la période de 2005 à 2015. Elle a utilisé la méthode quantitative en

administrant des questionnaires aux apprenants et aux enseignants dans deux (2) écoles élémentaires et un (1) Collège de O·(3F GMQV OM FRPPXQH GH 6MLQP-Louis au Sénégal. Au

total, 214 participants, soit 183 apprenants et 31 enseignants, ont répondu aux TXHVPLRQQMLUHVB I·MQMO\VH GHV GRQQpHV M PRQPUp TXH OHV UpVXOPMPV MX[ H[MPHQV QMPLRQMX[

(CFEE1 et BFEM2) sont plus élevés chH] OHV MSSUHQMQPV IUpTXHQPMQP OHV pŃROHV GH O·(3FB HO

1 FHUPLILŃMP GH )LQ G·(PXGHV (OpPHQPMLUHV F)((

2 %UHYHP GH )LQ G·(PXGHV 0R\HQQHV %FEM)

11

ressort que les performances scolaires des apprenants sont positivement corrélées aux profils de

formation des enseignants, aux catégories socio-professionnelles des parents et aux conditions

G·HQVHLJQHment/apprentissage.

Mots-clés : Performances scolaires, FOMVVHV G·H[MPHQV, Cycle fondamental,

Apprenants.

Abstract:

In French speaking countries in Africa, educational system is divided into two (2) educational orders: public education and private education. Private education is organized in different branches among them catholic private school (CPS). In francophone countries, French, medium and language of education takes a dominant place in school programs. So, not only it constitutes the basis of all given education but its control, make easier the success

MQG MŃOLHYHPHQP LQ POH RPOHUV VXNÓHŃPVB 7OLV MUPLŃOH MQMO\VHV VŃORRO VPXGHQPV· MŃOLHYHPHQPV LQ

exams classes in fundamental cycle through French use. We formulate the hypothesis according to which school achievements of students in exams classes in catholic private school are subjugated at French language control. Research covered a period going from 2005 to

2015. It used quantitative method by administrating questions to students and teachers in

two (2) elementary schools and in one (1) college of private catholic school in Saint-Louis District. In total, 214 participants, to wit 183 students and 31 teachers are answered to the questions. The data analyses is shown that results at national exams (CFEE and BFEM) are higher for students spending time in catholic private school. The result of this is that school achievements of students are positively correlated with teachers training profile, with socio-professional categories of parents and with teaching and learning conditions. Key words: school achievements, exams classes, fundamental cycle, learners 12

Introduction

GMQV OHV SM\V IUMQŃRSORQHV G·$IULTXH O·HQVHLJQHPHQP HVP dispensé en langue française, une langue qui est autre que les langues maternelles pMUOpHV SMU O·HQVHPNOH GHV MSSUHQMQPVB $X

6pQpJMO O·pŃROH M ŃRPPHQŃp HQ 1822 MYHŃ O·MUULYpH GHV

missionnaires français. Après moult concessions, les premières pŃROHV IXUHQP ŃRQILpHV j O·ePMP HP HOOHV VRQP GHYHQXHV GHV pŃROHV publiques. En même temps, des congrégations religieuses ont ŃUpp GH OHXU Ń{Pp O·RUGUH G·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH (3FB Dans la Commune de Saint-IRXLV SUHPLHU SRLQP G·HQPUpH GHV PLVVLRQQMLUHV O·HQVHLJQHPHQP SXNOLŃ Ń{PRLH O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH MLQVL TXH O·HQVHLJQHPHQP SUivé laïc. Tous les ordres les différents textes et lois en vigueur. Aux examens nationaux, les apprenants des écoles privées catholiques font les meilleurs résultats et ces établissements se classent en tête de liste. En fait, les conditions de travail et les méthodes utilisées par ces écoles Q·RQP ÓMPMLV ŃOMQJpB $XÓRXUG·OXL HQŃRUH O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH ÓRXH OHV SUHPLHUV U{OHV GMQV O·pGXŃMPLRQ GH OM population locale dont la langue française qui reste le médium G·HQVHLJQHPHQP HVP pPUMQJqUH j OM SRSXOMPLRQ ORŃMOH HP Q·HVP SMUOpH

TX·j O·pŃROHB

13 Le présent article comprend une problématique qui analyse le contexte ; un cadre théorique de référence ; une démarche méthodologique qui définit les outils pour la collecte les données qui vont aboutir à des conclusions qui permettront de comprendre la réalisation des performances scolaires des

MSSUHQMQPV MX QLYHMX GH O·(3F j 6MLQP-Louis.

Problématique

Dans le quotidien des familles, des jeunes et des adultes, le IUMQoMLV OM OMQJXH RIILŃLHOOH GHV SM\V IUMQŃRSORQH G·$IULTXH HVP pratiquement inexistant. Tout se passe dans les langues locales ou GMQV OM OMQJXH YHUQMŃXOMLUH j O·H[ŃHSPLRQ GH O·pŃROH RZ O·HQVHLJQHPHQP HVP GLVSHQVp HQ IUMQoMLVB FHOM donne lieu à un contraste puisque le niveau de performance est faible. La question est de savoir : quelle est la place du français, médium et langue G·HQVHLJQHPHQP GMQV OM UpMOLVMPLRQ GHV SHUIRUPMQŃHV VŃROMLUHV GHV apprenants dans le cycle fondamental ? 4XHO HVP O·XVMJH HP TXHOOH est le niveau de maîtrise du français des apprenants de O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH SRXU IMYRULVH OM UpMOLVMPLRQ GHV performances scolaires ? De Dakar à Thiès en passant par le centre jusque dans les régions du sud du pays telles Ziguinchor, Sédhiou et Kolda, et dans les ŃMPSMJQHV O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH V·\ HVP SURJUHVVLYHPHQP LPSOMQPpB 6RQ MŃŃHSPMPLRQ V·HVP IMLPH GH PMQLqUH 14 progressive, avec la complicité des chefs de cantons et de certains dignitaires religieux, jXVTX·j MPPHLQGUH OH QLYHMX MŃPXHO GH VRQ H[SMQVLRQ Ń·HVP-à-dire une couverture quasi-totale du territoire national. G·MSUqV OH )UqUH 7OLRU 2017 : 1), une des missions de O·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH HVP © de soutenir les parents, premiers éducateurs SRXU OH NLHQ GH OM VRŃLpPp HQ MŃŃRPSMJQMQP O·HQIMQP HP OH ÓHXQH SRXU O·MLGHU j GpYHORSSHU OHV SRPHQPLMOLPpV GRQP LO HVP SRUPHXU GH OM IMoRQ OM SOXV harmonieuse possible afin de faire face aux problèmes de la vie ». $XÓRXUG·OXL O·HQVHLJQHPHQP ŃMPOROLTXH a, par ses conditions de travail et méthodes, conquis le terrain éducatif avec des religieuses et des religieux sénégalais qui administrent les écoles privées ŃMPOROLTXHVB 0rPH VL RIILŃLHOOHPHQP O·HQVHLJQHPHQP HVP GLVSHQVp en français, dans les écoles de O·(3F O·XVMJH GX IUMQoMLV HP SOXV régulier et plus institutionnalisé. I·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH HVP UpJL SMU OHV mêmes dispositions juridiques sénégalaises et les apprenants qui fréquent ces écoles sont majoritairement constitués de sénégalais. Les contenus des enseignements sont conformes aux programmes en vigueur dans le système éducatif du Sénégal. La nouvelle FRQVPLPXPLRQ GX 22 ÓMQYLHU 2001 GH OM 5pSXNOLTXH GX 6pQpJMO O·M consacrée en son article premier que : " La langue officielle de la République du Sénégal est le français. Les langues nationales sont 15 le Diola, le Malinké, le Pulaar, le Sérère, le Wolof et toute autre langue nationale qui est codifiée ». Cette clause postule que le français est la langue des institutions de la République telles que : OM 3UpVLGHQŃH O·$VVHPNOpH QMPLRQMOH O·$GPLQLVPUMPLRQ SXNOLTXH OM FRXUV GH ÓXVPLŃH OHV )RUŃHV MUPpHV HP SROLŃLqUHV O·(QVHLJQHPHQP j tous les niveaux, les médias, etc. Le principe est toujours en YLJXHXU GMQV OHV pŃROHV VpQpJMOMLVHV PMLV VRXV O·influence des langues nationales telle que le Wolof, il est parlé partout par le sénégalais au quotidien. Cette influence du Wolof est moins vécue GMQV OHV pŃROHV GH O·(3F MXPMQP SMU OHV MSSUHQMQPV TXH SMU OHV enseignants comparativement aux autres écoles où autant les HQVHLJQMQPV TXH OHV MSSUHQMQPV QH SMUOHQP OH IUMQoMLV TX·HQ ŃOMVVH HP XQH IRLV OH SMOLHU IUMQŃOL Ń·HVP OM OMQJXH JRORI TXL GRPLQH entrainant ainsi un abandon voire un déclin du français. (Q 2010 VHORQ O·2UJMQLVMPLRQ HQPHUQMPLRQMOH GH OM )rancophonie (OIF), seuls 20 à 30 % de la population utilisent le français dans la communication courante. Ce taux paraît faible pour le rôle que jouent les écoles privées catholiques dans la promotion de la langue française. Les positions restent assez mitigées sur la TXHVPLRQB G·XQ Ń{Pp OH IUMQoMLV HVP HQ QHP GpŃOLQ TXMQG LO \ M OM promotion des langues nationales jusque dans les écoles VpQpJMOMLVHVB GH O·MXPUH OH IUMQoMLV HVP HQ H[PHQVLRQ ORUVTX·il est 16 promu par les écoles privées ŃMPOROLTXHV SMU O·XVMJH TX·HOOHV HQ font.

3HQGMQP TXH O·RQ MVVLVPH j OM NMLVVH GX QLYHMX GHV MSSUHQMQPV HQ

IUMQoMLV GMQV O·HQVHLJQHPHQP SXNOLŃ HP SULYp OMwŃ O·HQVHLJQHPHQP privé catholique parvient à réaliser des performances scolaires pOHYpHVB 4X·HVP-ce qui explique cette différence du niveau en français entre les apprenants du privé catholique et ceux des autres écoles ? Est-ce que cela est lié aux facteurs internes ULJXHXU GMQV O·XVMJH GX IUMQoMLV j O·pŃROH ŃRQGLPLRQV G·HQVHLJQHPHQP HP MSSUHQPLVVMJH, formation des enseignants, etc.) HQŃMGUHPHQP GHV MSSUHQMQPV HPŃB j O·pŃROH ? En somme, quel regard porté sur les performances scolaires faites dans O·(3F ? Si des sénégalais musulmans regardants se méfient de O·HQVHLJQement privé catholique à cause des pratiques et méthodes TX·LO SHUSpPXH PHOOHV TXH OHV SULqUHV GLPHV j ŃHUPMLQHV OHXUHV G·MXPUHV QH YRLHQP TXH OHV UpVXOPMPV RX OHV SHUIRUPMQŃHV VŃROMLUHV TXH SURGXLVHQP OHV MSSUHQMQPV TXL OH IUpTXHQPHQPB G·MXPUHV HQŃRUH se plaignent de certaines pratiques ou des faits existant dans les écoles privées catholiques, tels que les cours et les évaluations intensifs pour ne pas dire du bachotage. Ce qui ne permet pas un pSMQRXLVVHPHQP LQPHOOHŃPXHO GHV MSSUHQMQPV SXLVTX·LO Q·\ M Sas de répit dans le travail. 17 $LQVL OHV ŃRQGLPLRQV GH PUMYMLO OHV PpPORGHV XPLOLVpHV HP O·XVMJH GX français dans les écoles privées catholiques présentent des ŃRQILJXUMPLRQV RZ O·HQVHLJQHPHQP HP O·MSSUHQPLVVMJH GHV apprenants sont à promouvoir. Il en ressort la question de recherche qui suit : " pourquoi les apprenants obtiennent-ils des résultats scolaires élevées aux différents examens nationaux » ?

Cadre théorique de référence

I·HQVHLJQHPHQP SULYp V·HVP GpYHORSSp GMQV SUHVTXH PRXV OHV SM\V au monde. Au 6pQpJMO O·pŃROH V·HVP OLNpUMOLVpH j OM VXLPH GHV différentes rencontres et conférences internationales et nationales sur O·pGXŃMPLRQB I·HVVHQPLHO GHV ŃRQŃOXVLRQV TXH YLVHQP OHV UHQŃRQPUHV HVP O·MPpOLRUMPLRQ GHV performances scolaires des apprenants, des conditions de travail de tous les acteurs scolaires. DHV pPXGHV RQP pPp PHQpHV VXU O·HQVHLJQHPHQP SULYp MX 6pQpJMO GH façon générale HP O·HQVHLJQHPHQP Srivé catholique en particulier. Abordant la communication au sein de la Direction de O·(nseignement catholique, Sambou (2014) a montré par une étude portant sur " GLMJQRVPLŃ HP SURSRVLPLRQ G·XQH VPUMPpJLH ŃRPPXQLŃMPLRQQHOOH MX VHLQ GH O·HQVHLJQHPHQP ŃMPOROLTXH : le cas GH O·RIILŃH GLRŃpVMLQ GH O·HQVHLJQHPHQP ŃMPOROLTXH GH 6MLQP-Louis (ODEC/S) ». Dans un tout autre registre, Kandji et Soumaré (2017) ont proposé une étude concernant le Sénégal mais porté sur " O·(QVHLJQHPHQP SULYp MX 6pQpJMO : Histoire, Mutations et 18 Ruptures ªB IHV MXPHXUV UHPUMŃHQP O·OLVPRULTXH GH O·HQVHLJQHPHQP privé, particulièrement le privé catholique et les différents héritages qui se perpétuent à travers une authentification des différents acteurs locaux. Toujours au Sénégal, des études ont été PHQpHV VXU O·HQVHLJQHPHQP GRQP ŃHOOH GX © BREDA, (1994). I·pŃROH HP OM SURPRPLRQ HP GH O·MOSOMNpPLVMPLRQ HP GH O·pGXŃMPLRQ pour tous XQH H[SpULHQŃH GH O·HQVHLJQHPHQP ŃMPOROLTXH MX

Sénégal ».

Sur un tout autre registre, Sall (2001) a fait une étude sur " (GXŃMPLRQ SRXU PRXV j O·RUpH GX PURLVLqPH PLOOpQMLUH : perception GHV GLIIpUHQPV P\SHV G·pŃROes au Sénégal. En Afrique, Charlier a mené des études sur le système éducatif de certains pays de O·$IULTXH GH O·2XHVP GRQP les plus connus sont : Charlier (2001) " 6\VPqPHV G·HQVHLJQHPHQP GpŃHQPUMOLVpV GMQV O·pGXŃMPLRQ sénégalaise, burkinabé et malienne : analyse des discours et "GHV écoles pour le sud » Plus tard, en 2003, il a réalisé, concernant le Sénégal, une étude sur " Le retour de Dieu O·LQPURGXŃPLRQ GH O·HQVHLJQHPHQP UHOLJLHX[ GMQV O·eŃROH GH OM 5pSXNOLTXH OMwTXH GX

Sénégal ».

4XMQP j G·$LJOHSLHUUH 2013 LO V·HVP LQPpUHVVp j O·$IULTXH VXU

G·MXPUHV SHUVSHŃPLYHV j VMYRLU © I·HQVHLJQHPHQP SULYp HQ $IULTXH subsaharienne : Enjeux, situations et perspectives de partenariat public-privé » pour apprécier les productions des deux ordres 19 G·HQVHLJQHPHnt à travers les différents pays. Abordant, O·H[ŃHOOHQŃH GHV SHUIRUPMQŃHV VŃROMLUHV GMQV O·HQVHLJQHPHQP SULYp catholique, Sagna (2019) a montré à travers une étude quantitative que différents facteurs favorisent les performances scolaires des apprenants deV pŃROHV GH O·(3F dans la Commune de Saint-Louis.

Méthodologie

La présente étude a adopté une démarche quantitative. Trois (3) pPMNOLVVHPHQPV G·HQVHLJQHPHQP SULYp ŃMPOROLTXH RQP pPp ŃLNOpVB Deux établissements relèvent du niveau élémentaire : O·LQVPLPXPLRn

6MLQP -RVHSO GH FOXQ\ 6-F O·pŃROH 1RPUH GMPH GH IRXUGHV

(NDL) et le Collège Didier Marie (CDM) relève du 1er degré du niveau secondaire. IH ŃORL[ GHV PURLV 3 pPMNOLVVHPHQPV V·H[SOLTXH par fait que le travail est centré sur la Commune de Saint-Louis TXL QH ŃRPSPH TXH ŃHV VPUXŃPXUHV G·HQVHLJQHPHQP SULYp catholique. I·LQVPLPXPLRQ 6-F est créée en 1822 alors que les 2 autres établissements datent de la période postcoloniale, soit les années 60. Des questionnaires ont été soumis aux enseignants et aux apprenants dans les 3 établissements. Outre les données sur les caractéristiques socio-professionnelles des enseignants et sociodémographiques des apprenants, les autres variables ont ciblé le niveau socio-économique des apprenants, le diplôme et la profession des parents, le profil de formation des enseignants, les ŃRQGLPLRQV G·HQVHLJQHPHQPCMSSUHQPLVVMJH HP OHV UpVXOPMPV VŃROMLUHV 20 produits aux différents examens nationaux de CFEE et de BFEM entre 2005 et 2015. En somme, 214 répondants, dont 31 enseignants et 183 apprenants parmi lesquels 110 du niveau élémentaire, ont répondu aux différentes questionsB F·HVP pJMOHPHQP O·pŃOMQPLOORQQMJH H[OMXVPLI TXL HVP XPLOLVp GMQV OH ŃMGUH de ce travail.

Résultats

IHV GRQQpHV GH O·HQTXrPH RQP PRQPUp TXH VXU OHV 31 HQVHLJQMQts,

67,7% sont des hommes et 32,3% de femmes alors que les 183

apprenants sont constitués de 51,4% de filles et de 48,6% de garçons. L·kJe PpGLMQ GHV HQVHLJQMQPV HVP VLPXp GMQV O·LQPHUYMOOH G·kJH GH L40 - 45 ans [alors TXH SRXU OHV MSSUHQMQPV O·kJH PLQLPMl est de 10 ans et le maximum 18 ans pour les 2 niveauxquotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
[PDF] bfem 2011

[PDF] bfem 2012

[PDF] bfem 2012 math corrigé

[PDF] bfem 2012 pdf

[PDF] bfem 2013 math

[PDF] bfem 2014 pdf

[PDF] bfem 2015 resultat

[PDF] bfem 2016

[PDF] bfem 2016 2eme groupe

[PDF] bfem 2016 maths

[PDF] bfem 2017

[PDF] bfem 2017 ia saint louis

[PDF] bfem deuxieme groupe

[PDF] bfem pdf

[PDF] bfm tarifs