[PDF] Le financement des agents non financiers en Europe : le rôle des





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Pertinence de lidée de désintermédiation documentaire

(désintermédiation financière) pour désigner une des conséquences de la mondialisation de l'économie. De même la notion de médiation renvoie le plus.



Le financement des agents non financiers en Europe : le rôle des

désintermédiation a souvent été associée à celle fier la tendance à la désintermédiation finan- ... comme un ANF présente deux inconvénients.



Les crises financières

duits financiers susceptibles de limiter les risques – lesquelles l'emportent à la concurrence et la désintermédiation financière ont alimenté des méca- ...



Développement des marchés de titres et financement de léconomie

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Desintermediation ou diversification financiere ? Le cas des pays

[2003] soulignaient en effet les deux inconvénients de cette hypothèse : « d'une part parmi les concours apportés par les intermédiaires financiers.



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30 nov. 2020 et quels sont les risques de désintermédiation. Le modèle met en avant les flux physiques informationnels et financiers dans le canal comme ...



Le secteur bancaire en Afrique subsaharienne - Évolutions récentes

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comporte des inconvénients impor- tants car l'extension de la réglemen- tation à un domaine d'activités financières de plus en plus large.



LE FINANCEMENT DE LINVESTISSEMENT DES ENTREPRISES

9 sept. 2015 désintermédiation forcée : vouloir passer fût-ce à long terme



Désintermédiation ou diversification financière ? y - JSTOR

Désintermédiation ou diversification financière ? Le cas des pays développés1 Michel Boutillier2 Jean-Charles Bricongne3 La mesure d'un taux d'intermédiation est un bon moyen de caractériser de manière synthétique l'importance du rôle des intermédiaires financiers dans l'économie et leur positionnement face à l'essor de la finance



Principales caractéristiques de l’intermédiation

un phénomène moteur de la globalisation financière Ce processus a été désigné sous le terme de « désintermédiation financière » supposé décrire une diminution notable des financements intermédiés dans le total des financements des entreprises Empiriquement on ne constate pas de désintermédiation:



Que peut-on attendre d’une désintermédiation financière en

Que peut-on attendre d’une désintermédiation financière en Europe ? (suite) interrogations Quant aux opérations de titrisation il reste à démontrer qu’elles permettent aux banques de réduire leurs ressources et donc le coût de leurs crédits Or cela sup-pose des conditions sur le niveau et la structure des taux d’intérêt qui sont



L'intermédiation financière et l'intermédiation bancaire

tous les agents Elle également marqué par une désintermédiation qui se traduit par une baisse de l'importance des crédits bancaire dans le financement global de l'économie Mais ce mouvement n'implique pas un affaiblissement sensible de l'intermédiation financière En effet l'expansion des marches des capitaux



la libéralisation financière et l'intermédiation bancaire

d'intermédiation classique pour donner lieu aux phénomènes de désintermédiation et à la " marchéisation " des conditions de financement bancaire L'ère de la finance directe et des nouvelles technologies n'a donc pas tant engendré de désintermédiation mais qu'un nouveau partage des rôles dans la sphère financière En effet



De quoi la désintermédiation est-elle le nom ? Pour une

désintermédiation financière La désintermédiation au sens classique du terme est un mouvement de fond de remplacement du financement par le crédit par les financements de marché : les investisseurs et emprunteurs se rencontrent « en direct » sur les marchés financiers Les banques y jouent un rôle



Principales caractéristiques de l’intermédiation financière

de l’intermédiation financière en France sur la période récente En 1998 et en 1999 la conjoncture économique française a été marquée par la reprise de l’investissement des entreprises et de l’achat de logements et de biens durables par les ménages Sociétés et ménages ont ainsi nettement accru leur recours au crédit



LES LIMITES DE L’ANALYSE FINANCIÈRE - Université TÉLUQ

Les cinq premiers chapitres nous ont permis d’apprécier l’utilité de l’analyse financière pour des fins de gestion : mesure de la performance financière évaluation des forces et des faiblesses de l’entreprise et des divers risques auxquels elle est confrontée soit les risques d’exploitation financier et d’insolvabilité



L'INTERMÉDIATION FINANCIÈRE

La révolution financière des années 80 et l'accélération de la mondialisation de l'économie dans les années 90 justifient donc que l'on se pose la question de la place de l'intermédiation financière dans l'ensemble du système de financement et de la réalité du processus de désintermédiation (première partie)



D'une intermédiation financière à une autre : le cas de la

désintermédiation L'interpellation est de taille dans la mesure où depuis Gurley et Shaw (1960) l'intermédiation financière était considérée comme le fondement économique de l'activité exercée par des agents économiques spécifiques les institutions financières Cela signifie-t-il que ces dernières sont menacées dans leur

Quel est le rôle des intermédiaires financiers dans la mutualisation des risques ?

  • Le rôle des intermédiaires financiers dans la mutualisation des risques financiers s’est également renforcé avec le recul de la détention directe de titres par les agents non financiers, qui ont privilégié les placements en assurance-vie et l’acquisition de titres d’OPCVM.

Quels sont les avantages de l'intermédiation bancaire?

  • L'intermédiation bancaire permet également de supprimer les coûts induits par la recherche d'une enquête de solvabilité, le suivi des emprunts, la gestion des défaillances et des saisies financières. Imaginons par exemple qu'il y ait 10 prêteurs et 10 emprunteurs potentiels, nous avons alors théoriquement 100 couples.

Quel est le taux d’intermédiation financière des agents non financiers résidant en France ?

  • Au sens étroit (financement par crédits obtenus auprès des établissements de crédit résidents), le taux d’intermédiation financière des flux de financements des agents non financiers résidant en France a fortement progressé, de 11 % en 1998 à 37 % en 1999, soit le taux le plus élevé depuis 1992 6.

Quels sont les avantages de l’analyse financière ?

  • 1. INTRODUCTION Les cinq premiers chapitres nous ont permis d’apprécier l’utilité de l’analyse financière pour des fins de gestion : mesure de la performance financière, évaluation des forces et des faiblesses de l’entreprise et des divers risques auxquels elle est confrontée, soit les risques d’exploitation, financier et d’insolvabilité.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 366, 200363

Le financement des agents

non financiers en Europe : le rôle des intermédiaires financiers demeure prépondérant Gunther Capelle-Blancard et Jézabel Couppey-Soubeyran Le degré d'intermédiation des financements de treize pays européens entre 1994 et 2001 est évalué à partir des comptes financiers nationaux (base Eurostat). Deux approches sont distinguées. L'approche par la demande adopte le point de vue des agents à besoin de financement qui sollicitent un crédit auprès d'un intermédiaire bancaire ou émettent des

titres sur le marché. L'approche par l'offre enregistre l'activité des institutions financières

qui contribuent au financement de l'économie, au-delà du crédit bancaire, en achetant des titres sur les marchés. Pour parvenir à une mesure du taux d'intermédiation en volume, les

encours de titres sont corrigés de la valorisation boursière. L'idée est de capter uniquement,

dans l'augmentation de la capitalisation boursière, l'aspect " nouveau financement ». L'écart obtenu entre l'évaluation en valeur et celle qu'on préconise en volume montre l'importance du biais induit par les effets de valorisation boursière. L'écart entre l'approche par l'offre et l'approche par la demande révèle qu'une large part des financements " demandés » par les agents non financiers sont " offerts » par les

intermédiaires financiers (IF). Quant aux écarts entre les différents pays, ils ne se situent

guère au niveau des financements externes (financements de marché/financements

intermédiés) mais bien plus à celui des modalités même de l'intermédiation, selon que

l'activité des IF consiste davantage dans le crédit ou dans l'achat de titres. Ces évaluations montrent que le degré d'intermédiation financière des financements s'est maintenu en Europe entre 1994 et 2001, dans une phase d'activité soutenue des marchés de capitaux. Cette évolution conforte l'idée que le développement des marchés financiers ne saurait se faire au détriment de celui des intermédiaires financiers.

FINANCE

* Gunther Capelle-Blancard appartient au Cadre (Université de Lille 2), et au Team (Université de Paris 1 et CNRS).

Jézabel Couppey-Soubeyran appartient au Team (Université de Paris 1 et CNRS). Les noms et dates entre parenthèses renvoient à la bibliographie en fin d'article.

64ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 366, 2003

epuis la fin des années 1970 et tout au long des années 1980 et 1990, au rythme des innovations financières et du progrès technolo- gique, les marchés de capitaux ont connu un for- midable essor. L'introduction de nouveaux titres, la création de nouveaux marchés ou de nouveaux segments de marchés ont assurément promu les financements par émission de titres. À cette expansion des financements de marché a parfois été associée l'idée de désintermédia- tion (1), comme si cet essor avait pu se nourrir exclusivement de l'épargne de petits porteurs accédant directement aux marchés, comme si le développement des marchés avait pu s'opérer au détriment des intermédiaires bancaires et financiers. La grave crise de rentabilité traversée par un grand nombre de banques européennes au cours des années 1990 (Commission bancaire, 1996) et l'ampleur des restructurations du secteur ban- caire à l'échelle européenne (Ayadi, Lima et

Pujals, 2002) ont certes pu cautionner l'idée

d'un déclin de l'intermédiation bancaire. Pour- tant, la détérioration des marges bancaires ne provenait pas seulement d'une concurrence accrue des marchés ; elle s'expliquait aussi par le déploiement d'autres intermédiaires finan- ciers (OPCVM (2) et autres entreprises d'inves- tissement, sociétés d'assurances, etc.) pour les- quels le développement des marchés signifiait un élargissement considérable des perspectives d'activité et dont le propre développement était lui-même indispensable à celui des marchés. En outre, les banques ont su s'adapter (Boutillier, Pansard et Quéron, 2001). D'une part, en éten- dant leur activité à celles des intermédiaires financiers dont elles auraient sinon continué de subir la concurrence (bancassurance, gestion de fonds, etc.). D'autre part, en collectant sur les marchés des ressources leur permettant de com- penser la baisse relative des dépôts de leurs clientèles et en y destinant également l'emploi de leurs ressources par l'accroissement de l'acti- vité d'investissement en titres (Couppey-Sou- beyran et Saïdane, 2002). Comme l'ensemble des intermédiaires financiers, les banques ont ainsi nourri de leurs investissements l'essor des marchés de capitaux, puisant réciproquement dans ces derniers les sources du redéploiement de leur activité (Allen et Santomero, 2001).

Ainsi, l'essor des marchés de capitaux

n'entraîne pas automatiquement un déclin de l'intermédiation financière. Cet essor nécessite tout autant les apports massifs de liquidité des intermédiaires financiers qu'il assure à ces der-

niers les débouchés de nouvelles activités. Ladésintermédiation n'est donc pas une consé-

quence naturelle du développement des mar- chés, ni une condition qui faciliterait leur essor. La complémentarité croissante entre intermé- diation et marché rend toutefois plus floue la frontière entre finance directe et finance indi- recte. (1) (2)

Pour distinguer entre finance directe et finance

indirecte, deux points de vue sont à considérer : celui de l'agent à besoin de financement (appro- che par la demande) et celui des institutions financières (approche par l'offre). Pour combler son besoin, le premier choisit, soit de solliciter un intermédiaire bancaire pour l'obtention d'un crédit, soit d'émettre des titres sur les marchés de capitaux. Dans cette approche en termes de demande, le taux d'intermédiation des finance- ments se limite à la part des crédits dans le total des financements externes des agents non finan- ciers (ANF). Pertinente du point de vue des demandeurs de financements, cette première approche fait cependant l'impasse sur l'évolu- tion de l'activité bancaire et sur la contribution croissante au financement de l'économie des fonds d'investissement et des sociétés d'assu- rances. D'où l'intérêt d'une seconde approche, en termes d'offre, qui enregistre l'activité des institutions financières. Le financement inter- médié s'étend alors, au-delà des crédits que ces dernières accordent, aux concours qu'elles apportent par l'achat de titres. Le taux d'inter- médiation se mesure donc en rapportant aux financements externes des ANF, la somme des crédits et des titres détenus par les intermédiai- res. Une part de ce qui était considéré comme de la finance directe dans l'approche par la demande devient de la finance indirecte dans l'approche par l'offre. Ce clivage a été bien perçu en France par le Con- seil National du Crédit et du Titre (CNCT) qui s'est appliqué, dès 1992, à suivre, selon ces deux approches, le taux d'intermédiation des finance- ments (Odonnat, 1992). Néanmoins, une telle distinction reste à élargir à d'autres pays. Tel est le premier objectif de cet article : comparer à partir des comptes financiers nationaux des pays européens le degré d'intermédiation des finance- ments, selon qu'on adopte le point de vue de l'offre ou celui de la demande. Cette extension est d'autant plus souhaitable que beaucoup D

1. Voir, pour la France, Biacabe (1988), Ullmo (1988), Monfront

(1989), Castel et Ullmo (1991), Hairault et Portier (1991) et, pour l'Europe, le rapport de la BCE sur les effets éventuels de l'UEM sur le système bancaire (1999).

2. Organismes de Placement Collectif de Valeurs Mobilières.

ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 366, 200365

d'études analysent le développement financier à partir d'indicateurs qui restreignent encore le financement intermédié au crédit bancaire et n'établissent pas de lien entre financement inter- médié et financement de marché (tels que les ratios crédits sur PIB ou capitalisation boursière sur PIB, par exemple). C'est le cas dans le rap- port de la BCE (1999) consacré aux effets éven- tuels de l'UEM sur les systèmes bancaires euro- péens ou encore de Levine et Zervos (1998),

Levine (2002) et de Rajan et Zingales (2003) qui

tentent pourtant de relativiser la distinction tradi- tionnelle entre les systèmes financiers orientés banque et les systèmes orientés marché. Au-delà de ce clivage relatif au champ de l'inter- médiation, apparaît une difficulté supplémen- taire d'ordre méthodologique. Si la notion de désintermédiation a souvent été associée à celle de mutation financière, c'est parce que la mesure empirique du degré d'intermédiation financière semblait l'attester (cf. par exemple Schmidt,

Hackethal et Tyrell (1999)). En France, notam-

ment, les taux d'intermédiation financière, quelle que soit l'approche (demande/offre), sem- blent orientés à la baisse tout au long de la décen- nie 1990 qui restera comme une phase d'expan- sion considérable des marchés de capitaux. En réalité, ces évaluations n'ont pas cherché à dis- criminer entre les effets prix et les effets volume associés à l'augmentation en valeur des finance- ments de marché. Or, si l'on ne corrige pas, au préalable, l'incidence de la valorisation bour- sière sur les encours de titres, on est nécessaire- ment conduit, selon les périodes de hausse ou de baisse du marché boursier, à sous-estimer ou à surestimer le taux d'intermédiation. En période d'euphorie des marchés, par exemple, l'augmen- tation du prix des actifs financiers aura pour effet d'accroître artificiellement la part des actions dans les financements externes et donc d'ampli- fier la tendance à la désintermédiation finan- cière. Il s'ensuivra une réduction mécanique du taux d'intermédiation. On peut, bien sûr, pour pallier ce problème, n'utiliser que des séries en flux. Toutefois, leur extrême variabilité d'année en année rend très délicates les comparaisons historiques. Le second objectif de cet article est d'appliquer une mesure du taux d'intermédia- tion en volume (Capelle-Blancard, 2000). La méthode consiste à utiliser des séries en encours, corrigées des phénomènes de valorisation bour- sière, afin de capter uniquement, dans l'augmen- tation de la capitalisation boursière, l'aspect " nouveau financement ».

L'harmonisation des systèmes de comptes

nationaux européens dans le cadre du SEC 95permet de disposer d'une base commune de données financières autorisant une comparaison à l'échelle européenne. L'objet de cet article n'est toutefois pas de brosser un panorama com- plet des systèmes financiers européens. Au-delà des particularités de chaque système financier, il s'agit de capter les évolutions communes du degré d'intermédiation des financements.

L'évaluation du taux d'intermédiation en

volume, appliquée à 13 pays européens (Alle- magne, Autriche, Belgique, Danemark, Espa- gne, Finlande, France, Italie, Norvège, Pays-

Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède) au cours

de la période 1994-2001 - correspondant à une activité particulièrement soutenue des marchés de capitaux - confirme un maintien du degré d'intermédiation financière des financements, et conforte ainsi l'idée d'une activité étroite- ment imbriquée des intermédiaires et des mar- chés financiers.

L'utilisation des comptes financiers

d'Eurostat

On utilise les comptes financiers nationaux en

flux et en encours extraits de la base Eurostat (3).

Ces comptes sont établis dans le cadre du sys-

tème européen de comptes en base 1995 (SEC 95) (4).

Les comptes financiers du SEC 95

ne sont disponibles qu'à partir de 1994, ou 1995 selon les pays, et jusqu'en 2000 ou 2001. Tous les secteurs institutionnels résidents ainsi que le secteur du Reste du monde sont retenus dans l'article en distinguant deux sous- ensembles : les agents non financiers (ANF) et les intermédiaires financiers (IF). Le secteur des ANF comprend les sociétés non financières (S11), les administrations publiques (S13), les ménages y compris les entreprises individuelles (S14), les institutions sans but lucratif au service des ménages (S15) (5) et le reste du monde (S2).

Considérer le secteur " Reste du monde »

comme un ANF présente deux inconvénients. D'une part, parmi les concours apportés par les IF résidents aux non-résidents, certains le sont à d'autres IF (non résidents). D'autre part, cela suppose que tous les concours dont ont bénéfi- cié les résidents proviennent d'IF résidents alors qu'une partie d'entre eux provient d'IF non rési- dents. En outre, cette hypothèse, qui est légitime lorsque l'on considère la perspective des IF

3. L'étude est réalisée à partir des comptes consolidés.

4. Pour une présentation de la base de données SEC 95, voir

Boutillier et al. (2002).

5. Dans les comptes, les secteurs S14 et S15 sont regroupés.

66ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 366, 2003

(résidents), l'est moins si on considère le point de vue des ANF (résidents) qui demandent des financements (approche par la demande) ; le secteur du reste du monde devrait alors être davantage considéré comme un IF. Mais cela ne serait pas non plus sans inconvénients. Dans ce dernier cas, on supposerait que tous les finance- ments accordés aux ANF par les non-résidents l'ont été par des IF et on exclurait les titres émis ou les crédits demandés par les ANF non rési- dents. En définitive, comme il convient de con- server la même hypothèse dans les deux appro- ches pour pouvoir comparer les évaluations obtenues, on choisit de retenir le secteur reste du monde comme un ANF. Le secteur institutionnel des IF retient au sein du secteur des sociétés financières (S12) : lesquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18
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